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Les musulmanes s'unissent contre les violences faites aux femmes
f
22 novembre 2010 07:01
LU DANS WEBARABIC


"Les musulmanes s'unissent contre les violences faites aux femmes

Des dizaines d'associations féminines d'Afrique, d'Europe, du Moyen Orient et d'Asie ont joint leurs forces la semaine dernière dans le cadre d'une immense campagne orchestrée par la Coalition pour les droits sexuels et corporels dans les sociétés musulmanes (Coalition for Sexual and Bodily Rights - CSBR).

Dans le cadre de cette manifestation "Un jour, un combat" organisée simultanément en plusieurs endroits, mercredi 9 novembre, des manifestations publiques, des projections de films, des spectacles de théâtre et des ateliers ont été organisés au Bangladesh, en Egypte, au Ghana, en Indonésie, en Iran, au Liban, en Malaisie, au Pakistan, en Palestine, au Soudan, en Turquie et en Tunisie.

Cette initiative mondiale visait à attirer l'attention des sociétés musulmanes sur les abus sexuels, les mutilations génitales, les meurtres pour l'honneur, la lapidation ou la flagellation des femmes, et le "droit à l'intégrité corporelle et sexuelle de toutes les personnes", a indiqué le CSBR.

Cette journée a été une déclaration d'action contre "toutes les forces réactionnaires qui cherchent à contrôler, disposer et prendre possession du corps des femmes", a expliqué Sanaa Benachour, présidente de l'Association des femmes démocrates de Tunisie, lors d'un forum organisé à Tunis pour marquer cet évènement.

"Nous voulons prendre certaines mesures pour venir à bout de l'hypocrisie sociale, de l'oppression culturelle et de la coercition politique, et pour nous permettre d'ouvrir un débat sérieux sur les droits sexuels et physiques", a-t-elle ajouté.

Les droits corporels prévoient la protection contre le harcèlement sexuel. Cette question revêt une importance particulière en Tunisie, le seul pays du Maghreb à participer à cette campagne internationale.

Le harcèlement et les abus sexuels restent parmi les délits les moins signalés et les moins efficacement traités en Tunisie, a expliqué Me Faouzi ben Mrad, avocat, aux participants de ce forum.

"Le Code pénal doit être revu. Il souffre de plusieurs lacunes, notamment dans la mesure où la législation tunisienne n'utilise pas le terme "violence sexuelle", mais parle plutôt de délits de viol, de prostitution publique ou d'obscénité", a ajouté Me ben Mrad.

Bien que la peine pour viol soit la prison à vie en Tunisie, le pays est encore en retard par rapport à l'Algérie et au Maroc en matière de harcèlement, a-t-il précisé.

"La victime ne peut porter plainte directement auprès du tribunal ; elle doit le faire par le biais du procureur de la République, qui décide si le cas doit ou non être déféré au juge. Mais même dans ce cas, la victime peut être légalement poursuivie si l'accusé est acquitté", a-t-il précisé.

Les femmes tunisiennes se plaignent d'avoir à endurer de fréquentes violations sur leur lieu de travail ou dans la rue.

"Je souffre de harcèlement tous les jours, mais je ne peux porter plainte parce que je ne peux fournir les preuves nécessaires, ce qui pourrait me placer en situation d'accusée", a déclaré Sarah, une enseignante.

Pour sa part, la coordinatrice du Comité national des femmes travailleuses Najoua Makhlouf a apporté des témoignages de femmes au travail sujettes à des abus, expliquant que "elles sont issues de milieux modestes et ont besoin de ces emplois en usine, et se retrouvent parfois obligées de céder aux avances de leurs supérieurs par crainte de perdre leurs moyens de subsistance".

L'année dernière, avec l'aide de comités pour les droits des femmes, une femme salariée dans un hôpital privé a osé intenter un procès pour harcèlement sexuel contre le propriétaire de cet hôpital. Le tribunal lui a rendu justice et lui a accordé 80 000 dinars d'indemnisation. Le propriétaire a dû fermer son établissement, mais la victime a décidé de ne pas porter plainte au civil contre lui.

Bochra Bel Haj Hmida, avocate et ancienne présidente de l'Association tunisienne des femmes démocrates, a souligné la nécessité de lois assurant un suivi psychologique et social pour les femmes et les enfants victimes de violences sexuelles.

Elle a présenté le cas d'une jeune fille qui avait été séduite par son compagnon, puis agressée sexuellement par un groupe d'hommes jeunes. Le tribunal avait décidé que la victime de ce viol s'était livrée à la prostitution et l'avait condamnée à une peine de prison.

"Nous ne devrions pas nous contenter de punir le coupable, il faut mettre en place une procédure de suivi des victimes", a-t-elle conclu. (©MAGHAREBIA) "
s
23 novembre 2010 14:16
ce genre de poste déplaît et irrite bcp les apprentis et les rêveurs futurs oulama et moftiènesn sur les forums occidentaux
surtout les femmes qui encouragent les hommes de garder leur tuteura sur elles !!!!! disant que l'homme doit resté le tuteur de sa femme comme le veut la religion , comme
pas de sortie sans être accompagnée
pas de cinéma c'est haram,
pas de voyage seule même pour une urgence,
pas de musique,
et surtout la façon de s'habiller , pas moulant,
pas de formes (elles risquent d'exciter les hommes n'est ce pas)
pas de maquillage
pour résumer et d'après certains la femme ne sera
jamais libre
ou décider seule de faire ou ne pas faire
d'agir ou ne pas agir ,
choisir seule
elle ne sera jamais majeur, car elle doit toujours demander au maître (le mari) même pour l'achat de ses habits
et pour se maquiller aussi
et aussi pour travailler
et surtout aucune confiance ne lui sera accordée c'est pour cette raison elle n'a pas le droit de sortir seule
bonne soirée et vive la femme libre et décidée
je hais l'hypocrisie
l
23 novembre 2010 14:23
Citation
gemia a écrit:
LU DANS WEBARABIC


"Les musulmanes s'unissent contre les violences faites aux femmes

Des dizaines d'associations féminines d'Afrique, d'Europe, du Moyen Orient et d'Asie ont joint leurs forces la semaine dernière dans le cadre d'une immense campagne orchestrée par la Coalition pour les droits sexuels et corporels dans les sociétés musulmanes (Coalition for Sexual and Bodily Rights - CSBR).

Dans le cadre de cette manifestation "Un jour, un combat" organisée simultanément en plusieurs endroits, mercredi 9 novembre, des manifestations publiques, des projections de films, des spectacles de théâtre et des ateliers ont été organisés au Bangladesh, en Egypte, au Ghana, en Indonésie, en Iran, au Liban, en Malaisie, au Pakistan, en Palestine, au Soudan, en Turquie et en Tunisie.

Cette initiative mondiale visait à attirer l'attention des sociétés musulmanes sur les abus sexuels, les mutilations génitales, les meurtres pour l'honneur, la lapidation ou la flagellation des femmes, et le "droit à l'intégrité corporelle et sexuelle de toutes les personnes", a indiqué le CSBR.

Cette journée a été une déclaration d'action contre "toutes les forces réactionnaires qui cherchent à contrôler, disposer et prendre possession du corps des femmes", a expliqué Sanaa Benachour, présidente de l'Association des femmes démocrates de Tunisie, lors d'un forum organisé à Tunis pour marquer cet évènement.

"Nous voulons prendre certaines mesures pour venir à bout de l'hypocrisie sociale, de l'oppression culturelle et de la coercition politique, et pour nous permettre d'ouvrir un débat sérieux sur les droits sexuels et physiques", a-t-elle ajouté.

Les droits corporels prévoient la protection contre le harcèlement sexuel. Cette question revêt une importance particulière en Tunisie, le seul pays du Maghreb à participer à cette campagne internationale.

Le harcèlement et les abus sexuels restent parmi les délits les moins signalés et les moins efficacement traités en Tunisie, a expliqué Me Faouzi ben Mrad, avocat, aux participants de ce forum.

"Le Code pénal doit être revu. Il souffre de plusieurs lacunes, notamment dans la mesure où la législation tunisienne n'utilise pas le terme "violence sexuelle", mais parle plutôt de délits de viol, de prostitution publique ou d'obscénité", a ajouté Me ben Mrad.

Bien que la peine pour viol soit la prison à vie en Tunisie, le pays est encore en retard par rapport à l'Algérie et au Maroc en matière de harcèlement, a-t-il précisé.

"La victime ne peut porter plainte directement auprès du tribunal ; elle doit le faire par le biais du procureur de la République, qui décide si le cas doit ou non être déféré au juge. Mais même dans ce cas, la victime peut être légalement poursuivie si l'accusé est acquitté", a-t-il précisé.

Les femmes tunisiennes se plaignent d'avoir à endurer de fréquentes violations sur leur lieu de travail ou dans la rue.

"Je souffre de harcèlement tous les jours, mais je ne peux porter plainte parce que je ne peux fournir les preuves nécessaires, ce qui pourrait me placer en situation d'accusée", a déclaré Sarah, une enseignante.

Pour sa part, la coordinatrice du Comité national des femmes travailleuses Najoua Makhlouf a apporté des témoignages de femmes au travail sujettes à des abus, expliquant que "elles sont issues de milieux modestes et ont besoin de ces emplois en usine, et se retrouvent parfois obligées de céder aux avances de leurs supérieurs par crainte de perdre leurs moyens de subsistance".

L'année dernière, avec l'aide de comités pour les droits des femmes, une femme salariée dans un hôpital privé a osé intenter un procès pour harcèlement sexuel contre le propriétaire de cet hôpital. Le tribunal lui a rendu justice et lui a accordé 80 000 dinars d'indemnisation. Le propriétaire a dû fermer son établissement, mais la victime a décidé de ne pas porter plainte au civil contre lui.

Bochra Bel Haj Hmida, avocate et ancienne présidente de l'Association tunisienne des femmes démocrates, a souligné la nécessité de lois assurant un suivi psychologique et social pour les femmes et les enfants victimes de violences sexuelles.

Elle a présenté le cas d'une jeune fille qui avait été séduite par son compagnon, puis agressée sexuellement par un groupe d'hommes jeunes. Le tribunal avait décidé que la victime de ce viol s'était livrée à la prostitution et l'avait condamnée à une peine de prison.

"Nous ne devrions pas nous contenter de punir le coupable, il faut mettre en place une procédure de suivi des victimes", a-t-elle conclu. (©MAGHAREBIA) "


Voilà où est le problème.
Ils protègent, cautionnent et encouragent les criminelles et font des victimes des exemples afin de terroriser toutes celles qui voudraient faire valoir leurs droits !!!!



Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/11/10 11:30 par déesse Chou.
s
24 novembre 2010 01:21
j'aurais aimé venir sur ces forum la majorité des femmes qui vivent sous le dictat et les ordres de leur mâles et il y en la majorité mais renoncent à le faire savoir pour des raisons de la tradition et de la coutume qui rajoutent à leur tour leur règles de privation de droit lez plus élémentaire , c'est la liberté
une femme qui n'osera même pas choisir librement de programmer un jour pour se promener ou aller voir un filme de' cinéche ? c'est une femme libre?
je hais l'hypocrisie
f
24 novembre 2010 06:31
j'aurais aimé venir sur ces forum la majorité des femmes qui vivent sous le dictat et les ordres de leur mâles et il y en la majorité mais renoncent à le faire savoir pour des raisons de la tradition et de la coutume qui rajoutent à leur tour leur règles de privation de droit lez plus élémentaire , c'est la liberté
une femme qui n'osera même pas choisir librement de programmer un jour pour se promener ou aller voir un filme de' cinéche ? c'est une femme libre?



Peu de personnes sont intervenus parce que ce "copié/collé" n'est pas un témoignage mais juste une information glanée...
z
24 novembre 2010 14:28
Salam,

La femme musulmane est une battante , malheureusement les droits qu'Allah swt nous a octroyés sont bien trop souvent bafoués.

J'espère juste une chose c'est que ses femmes se battent contre l'homme et non contre l'islam , car contrairement a ce qu'on pense l'islam accorde à la femme une place honorable et une protection de ses biens , de son honneur , de sa dignité , de sa personne, de son éducation ... mais certains hommes ont bafoués ses droits et mon plus grand souhait c'est qu'ils nous soient restitués. Il va falloir certes se battre mais nous avons avec nous le Coran et la Sunna qui sont garant de nos droits.

Pour ce qui est des viols , où dans certains pays on rejettent la faute sur la femme et passe du statut de victime à coupable , cela a été le cas de nombreux pays y compris la France il y a de ça encore quelques années , cela a changé je ne vois pas pourquoi cela ne changerais pas dans les autres pays , cela demande un peu de patience et que certaines mentalités changent je suis sure que ses femmes y arriveront.

Nous avons une carte maitresse celle de l'éducation de nos fils qui plus tard deviendront des hommes alors à nous de leur inculquer les valeurs de l'islam , leur apprendre le respect envers les femmes et toutes les femmes , qu'elles soient une sœur , une mère , une épouse , une voisine , une inconnue .....
f
24 novembre 2010 14:38
Nous avons une carte maitresse celle de l'éducation de nos fils qui plus tard deviendront des hommes



Tout à fait mais leur père aussi doit montrer l'exemple
z
24 novembre 2010 15:22
Citation
gemia a écrit:
Nous avons une carte maitresse celle de l'éducation de nos fils qui plus tard deviendront des hommes



Tout à fait mais leur père aussi doit montrer l'exemple

Salam ,

Tu veux que ce père montre l'exemple de ce que ses femmes reprochent ? grinning smiley

L'islam encourage l'éducation des enfants par la mère mais aussi bien par le père , mais quand le père n'est pas un exemple , à la femme de mettre les bouchées doubles afin que son enfants ne soit pas comme son père et qu'elle en profite aussi pour rappeler a son mari ce que dit l'islam car le rappel profite aux croyants.

N'accusons pas les hommes de tout les maux , la femme dans certains cas est aussi responsable , j'ai vu le comportement de certaines femmes au Maroc faire du favoritisme pour leur fils , car celui ci est un homme , ne pas envoyer leur fille à l'école non pas parce que le père ne voulait pas mais parce qu'elles souhaitaient que leur fille reste auprès d'elle pour les aider dans les taches ménagère alors que les deux ensembles étaient compatible. Bien souvent au Maroc ce n'est pas la religion le problème mais bien souvent la solution , mais c'est des histoires de traditions et de culture.

Des femmes se taise devant l'injustice à elles aussi de faire valoir ses droits et de ne pas rester passif , l'islam offre des recours au cas où certains voudrait bafoués ses droits. Et tu a un exemple dans ce que tu cite

"L'année dernière, avec l'aide de comités pour les droits des femmes, une femme salariée dans un hôpital privé a osé intenter un procès pour harcèlement sexuel contre le propriétaire de cet hôpital. Le tribunal lui a rendu justice et lui a accordé 80 000 dinars d'indemnisation. Le propriétaire a dû fermer son établissement, mais la victime a décidé de ne pas porter plainte au civil contre lui."

Pourquoi cette femme n'a pas continuer son combat surtout qu'elle était soutenu , il y a surement une raison a cela mais c'est que en faisant appliqué la justice qu'on y arrivera.

Aujourd'hui mon constat c'est que des hommes respectent et honore la femme comme il se doit et d'autre pour qui cela est secondaire. A nous femmes avec ses hommes qui nous apprécie à notre juste valeur de faire en sorte que ceux pour qui la femme est secondaire soient éradiqués. grinning smiley
z
24 novembre 2010 23:13
Salam,

PARIS (AP) — Deux cents femmes sont violées chaque jour en France, la plupart du temps par des hommes qu'elles connaissent et qui sont très rarement condamnés, dénoncent trois associations féministes qui lancent mercredi un manifeste et une pétition proclamant que "la honte doit changer de camp".

Emmanuelle Piet, médecin et présidente du Collectif féministe contre le viol (CFCV, fondé en 1985), relève que "les femmes hésitent à porter plainte" à cause du sentiment de culpabilité qui continue de peser sur les victimes.

"Elles ont peur qu'on doute de leur parole, elles ont peur qu'on les accuse de l'avoir un petit peu cherché", explique Béatrice Gamba, l'une des porte-parole de Mix-Cité (Mouvement mixte pour l'égalité des sexes et des sexualités, créé en 1997).

Lancée à l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes qui se tient jeudi, cette campagne vise à tordre le cou aux préjugés. "Le viol, ce serait dans une rue sombre en minijupe", ironise Caroline De Haas, d'Osez le féminisme (réseau né en juin 2009).

La réalité est tout autre. Trois viols sur quatre sont commis par une personne connue de la victime, selon les témoignages recueillis par la permanence téléphonique Viols Femmes Informations (0.800.05.95.95). Depuis sa création par le CFCV en 1985, cette plateforme a reçu presque 40.000 appels de victimes d'agressions sexuelles. Le violeur peut être un père, un beau-père, un patron, un enseignant, un médecin, énumère Emmanuelle Piet.

"Le viol est souvent traité comme un fait divers", note Béatrice Gamba, en citant l'exemple récent du meurtre de la joggeuse en forêt. Or, bien plus que "des cas isolés, c'est un phénomène de société", considère-t-elle.

Les trois associations à l'origine de la campagne estiment que 75.000 femmes sont violées chaque année en France, soit 200 par jour ou une toutes les sept minutes. Des chiffres proches des statistiques officielles. D'après l'enquête de victimation menée en 2007 par l'Observatoire national de la délinquance (OND), un peu plus de 130.000 personnes âgées de 18 à 60 ans ont subi un viol en 2005 et 2006, "presque exclusivement des femmes".

Toujours selon l'OND, moins d'une victime sur dix porte plainte. Et seulement entre 1% et 2% des violeurs sont condamnés, d'après le CFCV.

Emmanuelle Piet assure que des progrès ont été réalisés au cours des 30 dernières années. Les policiers sont mieux formés à l'accueil des victimes dans les commissariats, note-t-elle.

Cependant, "la société minimise" toujours le phénomène, déplore la présidente du CFCV, "même dans son vocabulaire". L'on dit fréquemment par exemple "elle s'est fait violer" au lieu d'"elle a été violée", alors que la première tournure rejette presque une part de responsabilité sur la victime. Pour désigner un viol collectif, des journalistes emploient le terme "tournante", alors que "une tournante, c'est un jeu". Emmanuelle Piet voit là des "mots complices de l'agression".

Contrairement à d'autres sujets, comme les violences conjugales, le viol demeure "un sujet complètement tabou, même entre femmes", remarque Béatrice Gamba. Le but de la campagne est de "libérer la parole des victimes". En effet, "le silence bénéficie toujours aux violeurs", rappelle la militante de Mix-Cité.

Le manifeste a été signé par des dizaines de personnalités féminines, dont les actrices Isabelle Carré, Marina Foïs et Agnès Jaoui, les réalisatrices Zabou Breitman et Coline Serreau, les humoristes Florence Foresti et Muriel Robin.

Hommes et femmes peuvent signer la pétition qui a recueilli plus de 2.000 signatures dès le premier jour de sa mise en ligne mercredi. Elle réclame notamment des campagnes de sensibilisation à l'école, une enquête systématique lorsqu'une plainte est déposée pour crimes ou délits contre la personne, l'arrêt des requalifications de viols (passibles des assises) en agressions sexuelles (jugées au correctionnel), et une meilleure prise en charge des victimes. AP

[tempsreel.nouvelobs.com]

On se rend compte que le combat des femmes et pas encore gagné y compris dans les pays non musulmans.
f
25 novembre 2010 08:32
Tout à fait ton propos tombe à pic(merci beaucoup pour avoir mis en ligne la pétition)

Effectivement c'est un problème occidental et le"viol domestique" est majoritaire et tabou!
z
25 novembre 2010 08:58
Citation
gemia a écrit:
Tout à fait ton propos tombe à pic(merci beaucoup pour avoir mis en ligne la pétition)

Effectivement c'est un problème occidental et le"viol domestique" est majoritaire et tabou!

Salam,

La violence physique,moral et sexuelle faite aux femmes est un fléau mondial , partout dans le monde la femme est bien souvent mal traité et a très peu de recours pour se défendre , mais cela avance et change certes ont est encore loin de ce qu'on pourrait espérer mais on y arrivera , car les femmes aujourd'hui se mobilisent et crée des associations ce qui leur permet de s'unir donc d'être plus forte et surtout d'être mieux entendu.

Il y a aussi des spots qui passe en ce moment concernant la violence faite au femmes mais ce qui est dommage c'est qu'on les passes uniquement le 25 novembre et ceux pendant une semaine suite à la journée de lutte contre la violence faite aux femme , tout les jours de l'année doit être une lutte et ceux dans chaque pays mais bon c'est déjà cela.
f
25 novembre 2010 09:01
La violence physique,moral et sexuelle faite aux femmes est un fléau mondial , partout dans le monde la femme est bien souvent mal traité et a très peu de recours pour se défendre , mais cela avance et change certes ont est encore loin de ce qu'on pourrait espérer mais on y arrivera , car les femmes aujourd'hui se mobilisent et crée des associations ce qui leur permet de s'unir donc d'être plus forte et surtout d'être mieux entendu.


Tout à fait et beaucoup d'hommes commencent à les soutenir(même ici dans ce forum,certains prennent des positions justes à ce propos)
25 novembre 2010 14:40
Citation
zz95 a écrit:
Salam,

La femme musulmane est une battante , malheureusement les droits qu'Allah swt nous a octroyés sont bien trop souvent bafoués.

J'espère juste une chose c'est que ses femmes se battent contre l'homme et non contre l'islam , car contrairement a ce qu'on pense l'islam accorde à la femme une place honorable et une protection de ses biens , de son honneur , de sa dignité , de sa personne, de son éducation ... mais certains hommes ont bafoués ses droits et mon plus grand souhait c'est qu'ils nous soient restitués. Il va falloir certes se battre mais nous avons avec nous le Coran et la Sunna qui sont garant de nos droits.

Pour ce qui est des viols , où dans certains pays on rejettent la faute sur la femme et passe du statut de victime à coupable , cela a été le cas de nombreux pays y compris la France il y a de ça encore quelques années , cela a changé je ne vois pas pourquoi cela ne changerais pas dans les autres pays , cela demande un peu de patience et que certaines mentalités changent je suis sure que ses femmes y arriveront.

Nous avons une carte maitresse celle de l'éducation de nos fils qui plus tard deviendront des hommes alors à nous de leur inculquer les valeurs de l'islam , leur apprendre le respect envers les femmes et toutes les femmes , qu'elles soient une sœur , une mère , une épouse , une voisine , une inconnue .....
Cette déclaration est un vrai cri du coeur...quel élan et quelle fougue ..bien loin de la réalité mais on peut se prendre à rêver Zen
h
25 novembre 2010 15:01
ton titre est malhonnete ...

je l'ai changé pour mon intervention, le miens est plus adequat que celui que t'as choisi ...

tes accusations sont infondées ...

ce n'est ^pas propres aux musulmans ce genre de violence , ...

si tu suis vraiment l'actualité, t'aurais remarqué que ce sont plutot les femmes occidentales qui subissent le plus cette violence et en silence ...

mais les medias relatent une autre idée ...

bref , faisons face aux prejugés .... comme ce qu'on lit sur ton titre

ps : ton, toi, te = gemia
assalam o alykoum
f
25 novembre 2010 17:54
Ce n'est pas mon titre mais celui d'un article de webarabic
l
25 novembre 2010 18:01
Citation
habib75 a écrit:
ton titre est malhonnete ...

je l'ai changé pour mon intervention, le miens est plus adequat que celui que t'as choisi ...

tes accusations sont infondées ...

ce n'est ^pas propres aux musulmans ce genre de violence , ...

si tu suis vraiment l'actualité, t'aurais remarqué que ce sont plutot les femmes occidentales qui subissent le plus cette violence et en silence ...

mais les medias relatent une autre idée ...

bref , faisons face aux prejugés .... comme ce qu'on lit sur ton titre

ps : ton, toi, te = gemia


c'est pas ça l'essentiel.
Le plus important est d'en parler sans que ce soit tabou ou je ne sais quoi ou de dire c'est plus chez les autres...
h
25 novembre 2010 18:57
on est pas obligé de suivre ce que ecrivent certains ...

on en a marre de subir les prejugés nous concernant, et on va pas accepter ça les yeux fermés ..

tu sais tres bien que c'est faut, mais tu aime bien participer a nous bourrer le crane avec tes idées occidentales.

tu oublies parfois qu'on est de culture musulmane - marocaine

et sur ce sujet exactement , on est pas du tout concerné , .... ce n'est pas parce que on a NPNS qui fait de ça son fond de commerce qu'on doit tous les suivre les yeux fermées ....

mefie toi de ces chiennes de gardes manipulées par les sionistes de gauches,
assalam o alykoum
f
26 novembre 2010 12:39
on est pas obligé de suivre ce que ecrivent certains ...

Bien sûr mais c'est une initiative collective...de solidarité féminine tout simplement...

Orient...occident...planète....où se trouve la frontière?
 
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