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La mort du rassoulAllah a lire jusqu au bout svp
20 janvier 2013 08:48
A lire jusqu'au bout et à partager...Barakallahou fikoum


LA MORT DU PROPHETE MOHAMED SAYDOUL AWALIN WAL AKHIRIN KHITIMOULANBIYA IMAMOUL MOURSALIN

LA MORT DU PROPHETE

Le prophète (qpssl) avait 63 ans, il était bien fatigué et avait beaucoup donné ! Il avait traversé tellement d'épreuves: il avait été orphelin, il avait perdu son père, sa mère, son grand-père, son oncle, 7 de ses enfants étaient morts (4 filles et 3 garçons) deux de ces filles lui avaient été renvoyées, divorcées des fils d'Abou Jahl, avec lesquels elles avaient été mariées avant la révélation. Il

Tout cela fait qu'à 63 ans, il n'était plus capable d'accomplir les prières surérogatoires debout et les accomplissait donc assis. Lorsqu'on lui demanda: « Tu pries assis ? Qu'as-tu ya rassoul'Allah ? », il répondit: « Je me suis fatigué à force de me soucier des gens. »

Omar lui dit: « Tu as des cheveux blancs ô messager d'Allah! » Il lui répondit: « Houd m'a fait vieillir! » (Il s'agit d'un bout de verset qui dit "demeure sur le droit chemin comme il t'est commandé..."winking smiley

Cette année là, il sortit pour le pèlerinage d'adieu et répéta : « Ô gens! Prenez de moi (en me regardant pour m'imiter) vos actes de dévotion, peut-être que vous ne me trouverez pas à cet endroit après cette année! »

Puis a été révélé le verset : « J'ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et j'agrée l'Islam comme religion pour vous »

Les gens furent heureux en apprenant ce verset sauf Abou-Bakr qui pleura!

Lorsqu'on lui demanda ce qui le faisait pleurer, il répondit: «C'est (ce verset) l'annonce de la mort (faire-part de décès) du prophète (qpssl)!

C’est le faire-part du décès du prophète (qpssl)! »

[En effet, Abou Bakr avait du discernement, puisque si la religion était parachevée et le message fini, la mission du prophète (qpssl) était arrivée à son terme et donc son existence sur terre aussi!]

Puis le prophète (qpssl) tomba gravement malade pendant treize jours...Neuf jours avant sa mort, le dernier verset est révélé: « Et craignez le jour où vous serez ramenés vers Allah. Alors chaque âme sera pleinement rétribuée de ce qu'elle aura acquis. Et ils ne seront point lésés »

Huit jours avant sa mort, il dit: « Mes frères d'Ohod (les martyrs) me manquent! Je veux leur rendre visite. » Il alla les voir et leur dit: «Assalam aleykoum martyrs d'Ohod! Vous êtes les précurseurs et je suis, inch'Allah, le suivant. »

Sur le chemin du retour, il se mit à pleurer, et ses compagnons lui demandèrent : «Qu'est-ce qui te fait pleurer ya rassoul'Allah ? »Il répondit: « Mes frères me manquent! » On lui dit alors : « Ne sommes-nous pas tes frères? » Il dit : « Non! Vous êtes mes compagnons! Mes frères sont des gens qui viendront après moi, croiront en moi alors qu'ils ne m'ont pas vu! »

[Il a pleuré tellement tu lui manquais! Et toi t'arrive-t-il de le pleurer?] Puis son état de santé s'aggrava.

Il rassembla alors ses épouses, chez Maymouna, et leur dit : « M'autorisez-vous à me faire soigner chez Aïcha ? » [As-tu vu les bonnes manières et le noble comportement envers ses épouses?

Il souhaitait passer les jours de sa convalescence chez Aïcha, ce qui veut dire qu'il ne pourrait pas voir ses autres épouses aux jours habituels, puisque chaque épouse avait son jour]

Elles l'autorisèrent à aller chez Aïcha. Il voulut alors se lever, mais n'y parvint pas! Vinrent alors Ali et Al Fadl pour le soutenir et l'aider à se déplacer jusque chez Aïcha. Les gens virent dans quel état était le prophète (qpssl). Inquiets, ils se rassemblèrent dans sa mosquée sans boire ni manger et attendirent des nouvelles.

Le prophète (qpssl), chez Aïcha essuya la sueur de sur son front et dit: «La ilaha illa Lah! Certes la mort a ses moments d'agonie. »

Puis il demanda : « Qu'est-ce que ce bruit?" (Le bruit venait de la mosquée car sa maison n'est séparée de la mosquée que par une porte avec un rideau). On lui dit alors: « Les gens se sont rassemblés, ils ont peur pour toi. » Il dit: « Emmenez-moi à eux!»

Une fois à la mosquée, il dit: « Ô gens! On dirait que vous avez peur pour moi? » Ils répondirent: « Oui! Ô messager d'Allah! »

Il répliqua : « Ô gens! Mon rendez-vous avec vous n'est pas ici-bas! Mon rendez-vous avec vous est aux abords du bassin (le jour du jugement dernier)!

Par Allah! C'est comme si je le voyais de là où je suis! Ô gens! Par Allah! Je ne crains pas la pauvreté pour vous! Mais (bien au contraire), je crains pour vous (les mondanités de) la vie d'ici-bas! (Je crains que) vous vous la disputiez comme ceux qui vous ont précédés, et qu'elle vous fasse périr comme elle les a fait périr!! Ô gens! Je vous recommande de prendre soin de vos femmes! Je vous recommande de prendre soin de vos femmes! Ô gens! Je vous en conjure pour la prière! (Ne l'abandonnez pas!)

Ô gens! Si j'ai fouetté (injustement) le dos de quelqu'un (d'entre vous) voici mon dos, qu'il vienne me rendre la pareille!

Si j'ai souillé l'honneur (ou réputation) de quelqu'un, voici mon honneur qu'il me rende la pareille!

Si j'ai pris de l'argent à quelqu'un, voici mon argent qu'il me le reprenne et qu'il ne craigne pas la rancune, elle n'est pas dans ma nature!

Jusqu’à ce que je retrouve Allah avec une âme saine et pure. »

Puis il a dit: « Ô gens! Allah a proposé à un serviteur de choisir entre la vie d'ici-bas et la rencontre d'Allah et il a choisit la rencontre d'Allah!

[Seul Abou bakr comprit que le serviteur dont il parlait était lui-même, alors il se leva, coupa la parole au prophète (qpssl) et lui dit: « je sacrifie tout mon avoir pour toi! Je sacrifie mon père pour toi!

Je sacrifie ma mère pour toi! Je sacrifie mon enfant pour toi! »

Les gens ont regardé Abou bakr avec désapprobation et réprimande (car il avait interrompu le prophète (qpssl) (psl) ce qui était un véritable sacrilège !). D'ailleurs les compagnons, dans les récits, utilisaient tous la même formule pour décrire à quel point ils étaient attentifs lorsque le prophète (qpssl) commençait un prêche : « Nous l'écoutions (et nous ne bougions pas) comme si nous avions (chacun) un oiseau sur la tête (et que nous craignions qu'il ne s'envolât, effrayé, si nous bougions)].

Le prophète (qpssl) leur dit: Ô gens! Laissez Abou bakr! (Ne le réprimandez pas!) Par Allah! Aucun d'entre vous ne nous a rendu service sans qu'on l'ait récompensé! Sauf Abou bakr! Je n'ai pas pu le récompenser, alors j'ai laissé sa récompense à Dieu!

Puis, il leva les mains et fit des invocations: « Qu'Allah vous mette à l'abri! Qu’Allah vous assiste! Qu'Allah vous honore! Qu’Allah vous préserve! Qu’Allah vous consolide ! Ô gens! Passez mon salam à quiconque me suivra de ma oumma jusqu'au jour du jugement dernier! »

[C’est bon! nous sommes en 2007 et le salam est arrivé! Wa'aleyk assalam ya rassoul'Allah! ]

Puis, le prophète (qpssl) retourna chez lui, sa douleur s'intensifia. Il s'allongea tellement il était épuisé. Il vit dans la bouche de son beau-frère, Abdel-Rahmane ben Abou Bakr, un "siwak" mais il fut incapable de le lui demander. Aïcha, avec sa bienveillance, vit sur quoi le regard du prophète (qpssl) était tombé, alors elle retira le siwak de la bouche de son frère et le mit dans la bouche du prophète (qpssl) (par l'autre bout), mais il fut incapable de se frotter les dents avec car celui-ci était dur et le prophète (qpssl) agonisait. Donc Aïcha reprit le siwak et le mit dans sa bouche, à elle, pour le mouiller et le rendre moins dur, puis elle le remit dans la bouche du prophète (qpssl). [Elle s'en souviendra et dira que ce fut un honneur pour elle que ce soit sa salive qui entre en dernier dans la bouche du prophète (qpssl) juste avant sa mort]. Quelle affection!

Le prophète (qpssl) demanda qu'on le laisse seul avec Aïcha, qui vint à côté de lui, et il posa sa tête sur la poitrine de sa femme.

[Quelle scène magnifique! Le prophète (qpssl) de l'humanité mourut dans les bras de sa femme? Oui! »

Il ne mourut pas l'épée à la main en martyr, et Dieu sait que cette mort est belle, ni en lisant le Coran, et Dieu sait que cette mort est belle, ni en priant, et Dieu sait que cette mort est belle! Non!

Il mourut dans les bras de sa femme! Tout un symbole!

Un honneur pour la femme musulmane et un message auquel nous avons été très peu attentifs malheureusement!]

Cela montre aussi toute l'affection et l'amour qu'il y avait dans ce couple. Puis, il leva la main et dit : « Plutôt la compagnie du Très Haut! Plutôt la compagnie du Très Haut! »

En fait, ce qui se passa, c'est que Jibril entra et salua le prophète (qpssl) : « Assalam aleyk ya rassoul'Allah! » Et le prophète (qpssl) répondit : « Wa 'aleyk Salam ya Jibril!» (Aicha entendit le prophète (qpssl) répondre et comprit que Jibril était présent).

Puis, Jibril dit au prophète (qpssl) : «L'ange de la mort est à la porte, il demande l'autorisation d'entrer et il ne la demandera à personne après toi.» Le prophète (qpssl) lui dit : « Autorise-le à entrer ya Jibril!»

(Aicha entendit cela aussi et elle comprit que l'ange de la mort était présent).

L'ange de la mort entra et dit : « Assalam aleyk ya rassoul'Allah!

Allah m'a envoyé te proposer de choisir entre la vie ici-bas et la rencontre avec Allah. »

Malgré l'agonie, le prophète (qpssl) leva la main et dit : « Plutôt la compagnie du Très Haut! Plutôt la compagnie du Très Haut! »

L’ange de la mort vint alors à côté de la tête du prophète (qpssl) et dit :

« Ô toi, bon esprit ! Esprit de Mohamed ben Abdallah! Sors vers l'agrément et les bonnes grâces d'un Dieu satisfait non fâché (contre toi) ! »

La main du prophète (qpssl) tomba! Et sa tête devint lourde dans les bras de Aïcha. Elle raconta: «Je sus qu'il était mort mais je ne savais pas quoi faire! Alors j'écartai le rideau qui séparait ma maison de la mosquée, [Seul le prophète (qpssl) empruntait cette issue qui donnait sur la mosquée. à chaque fois que le rideau était écarté les gens voyaient apparaître le prophète (qpssl) mais pas cette fois-ci.]

J’entrai chez les hommes réunis à la mosquée et je criai : Le prophète est mort! Le prophète est mort! Toute la mosquée éclata en sanglots et aucun d'eux ne trouva la force de se lever de sa place! »

Voilà! Le prophète (qpssl) est mort! Le prophète (qpssl) est mort! Il a été mis en terre et couvert de terre...

Fatema, sa fille, a dit à Anas: Ô Anas! Comment avez-vous fait pour (de bon coeur) couvrir de terre le visage du Messager ?

" Le prophète a plus de droit sur les croyants qu'ils n'en ont sur eux-mêmes et ses épouses sont leurs mères..." (XXLIII-6)? Donc, si ses épouses sont leurs mères, lui est un père pour eux! Il l’a dit lui-même : "

Il est mort!...

Louange à Allah, Bienfaiteur Miséricordieux. Paix et bénédiction sur son Prophète, Mohammad Ibn Abdallah, Ultime envoyé d'Allah. Guide des législateurs. L'envoyé d'Allah Mohammad, salla Allah u alihi wa sallam, (à lui bénédiction et salut) a dit: «Qu'Allah embellisse le visage de qui, ayant entendu ma parole, la conserve dans son cœur, puis la transmet à d'autres, telle qu'il l'a entendue».

Mohamed, grandeur et bonté Oh gloire à celui qui nous a sauvé Humble serviteur d'Allah l'exalté A toi seul, on peut se référé Mohamed le bien aimé Exemple sur toi, nous prendrons Délivre nos coeurs par le pardon Ton champs d'action est l'islam Tolérance, amour sont deux graines, semées au file du temps Certaines fleurs ont fanés d'autres se sont épanouies. La bulbe restera la même, peut importe l'endroit de l'implant Elle gardera cette empreinte que nul ne pourra effacer Celle du savoir et de la vérité.

Venons et partons ensemble à la découverte de la vie de ce merveilleux personnage nommé Mohammad (que la paix et les bénédictions d’Allah soient sur Lui), car rien d’autre de tel n'a jamais foulé le sol de ce monde. L’exemple de ses enseignements peut révolutionner Ta vie et notre monde, et ce, pour le meilleur.

ya rasulila innaka hubak billah

Abdel Aziz ibn h wazir

Mes Frères, Vous qui prendrez lecture de ce livret, nous vous engageons de ne point le faire d'une manière ordinaire. Nous vous demanderons de le lire avec attention par amour pour Allah, de l'étudier si possible et de le diffuser autour de vous. De là il en ressort que l'Envoyé d'Allah, salla Allah u alihi wa sallam, a dit: «Propagez l'instruction religieuse, et même après votre mort vous aurez la bénédiction de ceux qui l'auront mis en pratique.»

En effet le Saint - Prophète, salla Allah u alihi wa sallam, a dit :

"Celui qui étudiera quarante Hadiths pour le bienfait de mes partisans, Allah l'élèvera au jour de la résurrection parmi les Saints et les Martyrs et lui dira: entre au Paradis par la porte que tu désires."

En agissant ainsi, puisse la grâce d'Allah se répandre sur nous,
Amine.
H
20 janvier 2013 09:46
Masha'Allah que d'émotions. Ce passage montre à quelle point notre Prophète (Salla Allah u alihi wa salam ) s'est executer à accomplir ce qu'Allah Lui a dicter .Tous les musulmans dont moi devraient prendre connaissance de cela
l
20 janvier 2013 11:39
Salamou alaykoum,

Je jure par Allah subhana wa ta'la qu'à la lecture, j'ai pleuré et je n'en ai aucune honte de le dire.

Merci infiniment pour ce rappel magnifique, qu'Allah izza wajal fasse que nous soyons digne de notre prophète bien aimé sallahou aliyi wa salam.

Wa salam
20 janvier 2013 13:10
Aleykoum salam

Moi aussi mon frere j en ai pleurer wallah

Amine yarabi lhalamine
O
20 janvier 2013 13:13
Citation
leveilleur a écrit:
Salamou alaykoum,

Je jure par Allah subhana wa ta'la qu'à la lecture, j'ai pleuré et je n'en ai aucune honte de le dire.

Merci infiniment pour ce rappel magnifique, qu'Allah izza wajal fasse que nous soyons digne de notre prophète bien aimé sallahou aliyi wa salam.

Wa salam


Salam aleykoum

amine


Il n y a aucune honte le frère, moi a chaque fois je lis la vie du prophète sallahou alihi wa salam et surtout le passage avant sa mort j ai les larmes.


Le prophète (sws) sur son lit avant sa mort pensait a toutes l'humanité comme un père de famille avant de mourir donne des conseils pour ses enfants.
" Celui qui n'a pas d'objectifs ne risque pas de les atteindre "
20 janvier 2013 14:06
Salam,

Tres émouvant, vraiment.... Toutes ces épreuves qu'il a subit, tout les conseils qu'il nous à laissé, subhanAllah....

Qu'Allah le récompense lui, ses épouses et ses compagnons.....amine


Surtout le passage ou il pleure car on lui manque alors qu'il nous connais pas.... C'est fort....wallah, sa met vraiment les larmes aux yeux et sa fais beaucoup réfléchir....
l
20 janvier 2013 18:44
Salamou alaykoum,


En tant que converti à l'Islam je vous exhorte mes frères et soeurs en Islam à lire également le dernier Khotba du Prophète sallahou aliyi wa salam.

Bien souvent, nous les convertis (et les africains noirs aussi...) sommes mis de côté (je ne généralise pas mais c'est un faite !) , comme si nous étions des "sous musulmans", refusant même de vous marier avec nous et de nous fréquenter ....

N'oublions pas que les premiers de l'Islam étaient comme nous des convertis et que je sois blanc ou noir ou marron ou rouge n'a aucun effet sur ma religiosité !

Dans son dernier Khotba le Prophète sallahou aliyi wa salam, nous à mis tous à égalité et il a également fait un rappel sur le statut de la femme qui également (je ne fait pas une généralité non plus mais c'est un faite aussi !) est mise à mal ces dernière années ....

Wa salam

Allah wa'lam




Modifié 4 fois. Dernière modification le 20/01/13 18:50 par leveilleur.
m
20 janvier 2013 20:23
Oui tu as raison mon frére et puis l'Islam est universel et sans couleur aucun musulman n'est supérieur à un autre musulman si ce n'est par sa piété...mais bon quand on lit le Coran et la Sounna on voit bien que la Oumma en est loin malheureusement et seul l'aide d'Allah peut nous aider à être à l'image de notre belle religion.
m
20 janvier 2013 20:34
Moi sa me déprime sérieux...j'ai vraiment l'impression d'être nul pas à l'image de la religion pur du bon comportement car le Prophète (sws) a été "envoyé pour parfaire les nobles caractéres"...notre religion nous pousse au bon comportement avec autrui, au pardon, au respect de l'environnement, des animaux...etc et franchement je me dis qui faut vraiment faire ce djihad an nafs pour réussir même au plus bas des degrés pour se rapprocher des trois meilleures générations de l'Islam même si on en est loin...

Vu les épreuves que notre Prophète (sws) a subi il a toujours répondu avec douceur, sagesse et calme...il a fait preuve de patience ainsi que d'autre Prophète avant lui et franchement sa fait réfléchir en sachant que le Prophète (sws) avec la perfection de son comportement souvent rappeler dans le Coran se repentait auprès d'Allah 70 fois alors que dire de nous...soubhanAllah...franchement sa me fait pleurer et je me sens nul mauvaise musulmane crying(
l
20 janvier 2013 20:55
Citation
islammarocaine a écrit:
Moi sa me déprime sérieux...j'ai vraiment l'impression d'être nul pas à l'image de la religion pur du bon comportement car le Prophète (sws) a été "envoyé pour parfaire les nobles caractéres"...notre religion nous pousse au bon comportement avec autrui, au pardon, au respect de l'environnement, des animaux...etc et franchement je me dis qui faut vraiment faire ce djihad an nafs pour réussir même au plus bas des degrés pour se rapprocher des trois meilleures générations de l'Islam même si on en est loin...

Vu les épreuves que notre Prophète (sws) a subi il a toujours répondu avec douceur, sagesse et calme...il a fait preuve de patience ainsi que d'autre Prophète avant lui et franchement sa fait réfléchir en sachant que le Prophète (sws) avec la perfection de son comportement souvent rappeler dans le Coran se repentait auprès d'Allah 70 fois alors que dire de nous...soubhanAllah...franchement sa me fait pleurer et je me sens nul mauvaise musulmane crying(

Salamou alaykoum,

Ton message témoigne que tu es loin d'être une mauvaise musulmane ....

Et puis il y'a pas de bon ou mauvais musulman .... il y'a des musulmans et des non musulmans.
Même si une personne est au plus bas degré de la foi en Islam il est dans l'Islam, c'est déja énorme, des nations entières n'ont même pas été capable de cela !

Allah wa'lam
l
21 janvier 2013 16:28
روى البخاري من حديث أنَسٍ قوله صلى الله عليه وسلم:
لا يومن أحدكم حتى أكون أحب إليه من والده وولَده والناس أجمعين
امتحن رسول الله صلى الله عليه وسلم عمر بن الخطاب حين أخذ بيده فقال عمر: والله يا رسول الله لأنْتَ أحبُّ إلي من كل شيء إلا نفسي! فقال رسول الله صلى الله عليه وسلم: "لا يومن أحدكم حتى أكونَ أحبَّ إليه من نفسه". فقال عمر: فأنت الآن والله أحب إلي من نفسي! فقال رسول الله صلى الله عليه وسلم: "الآنَ يا عمر!". رواه الإمام أحمد

كنت مع ابن عمر جالسا ، فقال رجل : لوددت أني رأيت رسول الله صلى الله عليه وسلم ، فقال له ابن عمر : فكنت تصنع ماذا ؟ قال : كنت والله أومن به ، وأقبل ما بين عينيه ، وأطيعه ، فقال له ابن عمر : ألا أبشرك ؟ قال : بلى ، يا أبا عبد الرحمن ، فقال : سمعت رسول الله صلى الله عليه وسلم يقول : ما اختلط حبي بقلب عبد فأحبني إلا حرم الله جسده على النار ، ثم قال : ليتني أرى إخواني وردوا على الحوض فأستقبلهم بالآنية فيها الشراب فأسقيهم من حوضي قبل أن يدخلوا الجنة ، فقيل له : يا رسول الله ! أو لسنا إخوانك ؟ قال : أنتم أصحابي ، وإخواني من آمن بي ولم يرني ، إني سألت ربي أن يقر عيني بكم وبمن آمن بي ولم يرني
راوي: عبدالله بن عمر المحدث: أبو نعيم
المصدر: حلية الأولياء - الصفحة أو الرقم: 7/301

يقول الرسول صلى الله عليه و سلم : (أحبوا الله ما يغدقكم من نعمه وأحبوني بحب الله وأحبوا أهل بيتي لحبي)
رواه الترمذي والحاكم

روى السيوطي وغيره في تفسير هذه الآية بالاسناد إلى ابن عباس ، قال: لما نزلت هذه الآية ﴿ قُل لا أسألُكُم عَليه أجراً إلاّ المودَّةَ في القُربى ﴾ قالوا : يارسول الله ، من قرابتك هؤلاء الذين وجّبت علينا مودتهم ؟ قال صلى الله عليه وآله وسلم : علي وفاطمة وولداهما
المستدرك على الصحيحين 3 : 172

قال رسول الله صلى الله عليه وسلم في خطبة له بغدير خُم بعد أن حمد الله وأثنى عليه وذكر ووعظ: "أما بعد، ألا أيها الناس! إنما أنا بشر، يوشك أن يأتي رسولُ ربي فأُجيبَ. وإني تارك فيكم ثَقَلين: أولهما كتاب الله، فيه الهدى والنور، فخذوا بكتاب الله، واستمسكوا به". قال الراوي: فحث على كتاب الله ورغب فيه، ثم قال: "وأهلُ بيتي! أذكركم الله في أهل بيتي! أذكركم الله في أهل بيتي! أذكركم الله في أهل بيتي!". الحديث رواه مسلم عن زيد بن أرقَمَ رضي الله عنه. سأل حصين -وهو ممن حضر حديث زيد بن أرقم- ومَن أهله يا زيد؟ أليس نِساؤه من أهل بيته؟ قال زيد: نساؤه من أهل بيته. ولكنَّ أهل بيته مَن حُرِم الصدقَة بعده. قال: ومن هم؟ قال: هم آل علي، وآل عقيل، وآل جعفر، وآل عباس.

أخرج الترمذي عن زيد بن أرقم رضي الله عنه حديثا حسنا غريبا قال: قال رسول الله صلى الله عليه وسلم: "إني تارك فيكم ما إن تمسكتم به لن تضلوا بعدي. أحدهما أعظم من الآخر، وهو كتاب الله، حبل ممدود من السماء إلى الأرض. وعِترتي أهل بيتي. لن يفترقا حتى يَردا علي الحوض. فانْظروا كيف

سُألت عائشة رضي الله عنها عن خلق رسول الله صلى الله عليه و
سلم فقالت :
( لم يكن فاحشا , و لا متفحشا , و لا صخابا في
الأسواق , و لا يجزي بالسيئة السيئة , و لكن يعفو و يصفح )
أحمد (6/174) و أصله عند البخاري و مسلم , و هذا لفظ الترمذي (2016

وفي الصحيحين
عن عائشة أنها قالت هل أتى عليك يوم كان أشد من يوم أحد ؟ فقال لقد لقيت من قومك فكان أشد ما لقيت منهم يوم العقبة إذ عرضت نفسي على ابن عبد يا ليل بن كلال فلم يجبني إلى ما أردت فانطلقت وأنا مهموم على وجهي فلم أفق إلا في قرن الثعالب فرفعت رأسي فإذا أنا بسحابة قد أظلتني فنظرت فإذا فيها جبريل فناداني فقال إن الله قد سمع قول قومك وما ردوا عليك وقد بعث إليك ملك الجبال لتأمره بما شئت فيهم . قال فناداني ملك الجبال فسلم علي ثم قال يا محمد إن الله قد سمع قول قومك وأنا ملك الجبال وقد بعثني ربك إليك لتأمرني بأمرك إن شئت أطبق عليهم الأخشبين فقال رسول الله صلى الله عليه وسلم بل أرجو أن يخرج الله من أصلابهم من يعبد الله وحده ولا يشرك به شيئا
الأخشبين - هما جبلان مكة بينهما
m
21 janvier 2013 20:32
Qu'est-ce qui est écrit en arabe??? Je ne suis pas arabophone donc une traduction serait la bienvenue...baarakAllahoufikoum!
22 janvier 2013 13:02
Lamartine écrivait un texte célèbre sur le prophète Mahomet en 1854

"Jamais un homme ne se proposa, volontairement ou involontairement, un but plus sublime, puisque ce but était surhumain : Saper les superstitions interposées entre la créature et le Créateur, rendre Dieu à l'homme et l'homme à Dieu, restaurer l'idée rationnelle et sainte de la divinité dans ce chaos de dieux matériels et défigurés de l'idolâtrie... Jamais homme n'accomplit en moins de temps une si immense et durable révolution dans le monde, puisque moins de deux siècle après sa prédication, l’islamisme, prêché et armé, régnait sur les trois Arabie, conquérait à l'Unité de Dieu la Perse, le Khorassan, la Transoxiane, l'Inde occidentale, la Syrie, l’Égypte, l’Éthiopie, tout le continent connu de l'Afrique septentrionale, plusieurs îles de la méditerranée, l'Espagne et une partie de la Gaule. Si la grandeur du dessein, la petitesse des moyens, l'immensité du résultat sont les trois mesures du génie de l'homme, qui osera comparer humainement un grand homme de l'histoire moderne à Mahomet ? Les plus fameux n'ont remués que des armes, des lois, des empires; ils n'ont fondé, quand ils ont fondés quelque chose, que des puissances matérielles, écroulées souvent avant eux. Celui-là a remué des armées, des législations, des empires, des peuples, des dynasties, des millions d'hommes sur un tiers du globe habité ; mais il a remué, de plus, des idées, des croyances, des âmes. Il a fondé sur un Livre, dont chaque lettre est devenue une loi, une nationalité spirituelle qui englobe des peuples de toutes les langues et de toutes les races, et il a imprimé, pour caractère indélébile de cette nationalité musulmane, la haine des faux dieux et la passion du Dieu un et immatériel... Philosophe, orateur, apôtre, législateur, guerrier, conquérant d'idées, restaurateur de dogmes rationnels, d'un culte sans images, fondateur de vingt empires terrestres et d'un empire spirituel, voilà Mahomet. A toutes les échelles où l'on mesure la grandeur humaine, quel homme fut plus grand ?..."
Ma Sha Allah !!! "[i]Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme ![/i]" (Lavoisier) [Bienvenue au Yabi Poésie Club]([url=http://www.yabiladi.com/forum/yabi-poesie-club-7-3375889-5377811.html#msg-5377811])
22 janvier 2013 13:04
L'AN NEUF DE L'HEGIRE

Comme s'il pressentait que son heure était proche,
Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ;
Il marchait en rendant aux passants leur salut ;
On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu'il eût
A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;
Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,
Se souvenant du temps qu'il était chamelier.
Il semblait avoir vu l'Eden, l'âge de d'amour,
Les temps antérieurs, l'ère immémoriale.

Il avait le front haut, la joue impériale,
Le sourcil chauve, l'œil profond et diligent,
Le cou pareil au col d'une amphore d'argent,
L'air d'un Noé qui sait le secret du déluge.
Si des hommes venaient le consulter, ce juge
Laissait l'un affirmer, l'autre rire et nier,
Ecoutait en silence et parlait le dernier.
Sa bouche était toujours en train d'une prière ;
Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;

Il s'occupait de lui-même à traire ses brebis ;
Il s'asseyait à terre et cousait ses habits.
Il jeûnait plus longtemps qu'autrui les jours de jeûne,
Quoiqu'il perdît sa force et qu'il ne fût plus jeune.
A soixante-trois ans une fièvre le prit.
Il relut le Coran de sa main même écrit,
Puis il remit au fils de Séid la bannière,
En lui disant : " Je touche à mon aube dernière.
Il n'est pas d'autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. "
Et son œil, voilé d'ombre, avait ce morne ennui
D'un vieux aigle forcé d'abandonner son aire.

Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,
Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;
Et l'étendard sacré se déployait au vent.
Là, pâle, il s'écria, se tournant vers la foule ;
" Peuple, le jour s'éteint, l'homme passe et s'écroule ;
La poussière et la nuit, c'est nous. Dieu seul est grand.
Peuple je suis l'aveugle et suis l'ignorant.
Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. "

Un cheikh lui dit : " o chef des vrais croyants ! le monde,
Sitôt qu'il t'entendit, en ta parole crut ;
Le jour où tu naquit une étoile apparut,
Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. "
Lui, reprit : " Sur ma mort les Anges délibèrent ;
L'heure arrive. Ecoutez. Si j'ai de l'un de vous
Mal parlé, qu'il se lève, ô peuple, et devant tous
Qu'il m'insulte et m'outrage avant que je m'échappe ;
Si j'ai frappé quelqu'un, que celui-là me frappe. "
Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.
Une vieille, tondant la laine d'un mouton,
Assise sur un seuil, lui cria : " Dieu t'assiste ! "
Il semblait regarder quelque vision triste,
Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : " voilà,
Vous tous, je suis un mot dans la bouche d'Allah ;
Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.
J'ai complété d'Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l'aube pour précurseur.
Jésus m'a précédé, mais il n'est pas la Cause.
Il est né d'une Vierge aspirant une rose.
Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
Je ne suis qu'un limon par les vices noirci ;
J'ai de tous les péchés subi l'approche étrange ;
Ma chair a plus d'affront qu'un chemin n'a de fange,
Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
O vous tous, je serais bien vite dévoré
Si dans l'obscurité du cercueil solitaire
Chaque faute engendre un ver de terre.
Fils, le damné renaît au fond du froid caveau
Pour être par les vers dévoré de nouveau ;
Toujours sa chair revit, jusqu'à ce que la peine,
Finie ouvre à son vol l'immensité sereine.
Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,
Tantôt l'homme d'en haut, tantôt l'homme d'en bas,
Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne
Comme dans le désert le sable et la citerne ;
Ce qui n'empêche pas que je n'aie, ô croyants !
Tenu tête dans l'ombre au x Anges effrayants
Qui voudraient replonger l'homme dans les ténèbres ;
J'ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;
Souvent, comme Jacob, j'ai la nuit, pas à pas,
Lutté contre quelqu'un que je ne voyais pas ;
Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;
Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,
Et, comme je sentais en moi la vérité,
Je les ai combattus, mais sans être irrité,
Et, pendant le combat je criais : " laissez faire !
Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.
Qu'ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !
Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis
Auraient, pour m'attaquer dans cette voie étroite,
Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,
Ils ne me feraient point reculer ! " C'est ainsi
Qu'après avoir lutté quarante ans, me voici
Arrivé sur le bord de la tombe profonde,
Et j'ai devant moi Allah, derrière moi le monde.
Quant à vous qui m'avez dans l'épreuve suivi,
Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,
Vous avez bien souffert, mais vous verrez l'aurore.
Après la froide nuit, vous verrez l'aube éclore ;
Peuple, n'en doutez pas ; celui qui prodigua
Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,
Les perles à la mer et les astres à l'ombre,
Peut bien donner un peu de joie à l'homme sombre. "

Il ajouta ; " Croyez, veillez ; courbez le front.
Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront
Sur le mur qui sépare Eden d'avec l'abîme,
Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;
Presque personne n'est assez pur de péchés
Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,
En priant, que vos corps touchent partout la terre ;
L'enfer ne brûlera dans son fatal mystère
Que ce qui n'aura point touché la cendre, et Dieu
A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;
Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;
Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,
Les chevaux sellés d'or, et, pour fuir aux sept dieux,
Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;
Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,
Habite un pavillon fait d'une perle creuse ;
Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !
Ils auront des souliers de feu dont la chaleur
Fera bouillir leur tête ainsi qu'une chaudière.
La face des élus sera charmante et fière. "
Il s'arrêta donnant audience à l'espoir.
Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :

" O vivants ! Je répète à tous que voici l'heure
Où je vais me cacher dans une autre demeure ;
Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,
Que je sois dénoncé par ceux qui m'ont connu,
Et que, si j'ai des torts, on me crache aux visages. "
La foule s'écartait muette à son passage.
Il se lava la barbe au puits d'Aboufléia.
Un homme réclama trois drachmes, qu'il paya,
Disant : " Mieux vaut payer ici que dans la tombe. "
L'œil du peuple était doux comme un œil de colombe
En le regardant cet homme auguste, son appui ;
Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,
Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,
Et passèrent la nuit couchés sur une pierre
Le lendemain matin, voyant l'aube arriver ;
" Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,
Tu vas prendre le livre et faire la prière. "
Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;
Il écoutait pendant qu'Aboubékre lisait,
Et souvent à voix basse achevait le verset ;
Et l'on pleurait pendant qu'il priait de la sorte.
Et l'Ange de la mort vers le soir à la porte
Apparut, demandant qu'on lui permît d'entrer.
" Qu'il entre. " On vit alors son regard s'éclairer
De la même clarté qu'au jour de sa naissance ;
Et l'Ange lui dit : " Dieu désire ta présence.
- Bien ", dit-il. Un frisson sur les tempes courut

Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.

Victor [Abou Bekr] Hugo, le 15 janvier 1858.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/01/13 13:06 par Moh Tsu.
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