Seule la nuit parvient à éteindre les braises Qui consument mon esprit jour après jour Cette douleur sourde hélas rien ne l'apaise Seul le sommeil feint d'être mon secours.
Oublier impossible pourtant il le faut bien Les mots prononcés ont scellé à jamais Cette porte qui s'ouvrait, j'en étais certain. Sur un avenir radieux, enfin vivre en paix.
Le temps dit-on fera son œuvre salvatrice Panser les blessures invisibles,si profondes Maintenant la solitude comme complice La patience me ramera insha Allah dans son monde.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/08/24 03:05 par Mutassabiq.