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Alors que les Marocains du Maroc et du Monde convergent leurs regards vers le royaume qui s'apprête à célébrer les festivités de la fête du Trône, la tentation est grande de se livrer à l'exercice traditionnellement synthétique des bilans et des perspectives. La tentation est encore plus vive de vouloir ausculter, avec la minutie qui sied aux grands anniversaires, une réalité domestique dynamique et de la placer dans un contexte régional et international aussi mouvant qu'incertain. Le réflexe de la comparaison est alors inévitable et il place le Maroc, sous la direction du Roi Mohammed VI, sur le podium des pays devenus incontournable par leur dynamisme et la pertinence de leurs choix politiques.

Par Mustapha Tossa

En 2015, il est une réalité impossible à nier, même par les farouches détracteurs. Le Maroc est non seulement devenu un îlot de stabilité dans l'ensemble de la région mais confirme par sa stature et ses postures l'enviable et non moins réelle exception qui l'a toujours marqué. Cette distinction internationale trouve ses marques et sa traduction sur au moins quatre niveaux.

Le premier est économique. Malgré la crise qui déstabilise les marchés et les structures, le Maroc est non seulement demeuré une terre attractive pour les capitaux et les entreprises mais a conforté cette tendance en attirant davantage d'opérateurs économiques importants pour venir s'installer au Maroc et ouvrir des succursales et donc participer à la relance et au développement de l'économie marocaine. Ce phénomène suffit à lui seul pour indiquer le taux de confiance et l'excellente réputation dont jouit le pays à un moment où les voisins de la région se transforment en foyer de chaos et de tensions faisant fuir les hommes et les capitaux. Cette tendance indique aussi que le pays a su créer l'environnement économique qui séduit, procéder à une mise à niveaux de ses structures pour être adaptées aux normes internationales.

Le second niveau est d'ordre sécuritaire. Alors que les dangereuses évolutions de la menace terroriste font craindre le pire, l'ensemble des pays de la région, Maghreb et Méditerranée, sont mobilisés pour trouver la réponse, la thérapie et la protection. De toutes les expériences menées jusqu'à présent, le Maroc est un des rares pays à avoir su trouver la combinaison pour faire baisser de manière significative le niveau de la menace terroristes. Cette solution intègre une lutte sans merci sur le plan idéologique et religieux contre les discours de radicalité et un savoir faire sécuritaire qui traque inlassablement et avec un succès indéniable les cellules terroristes qui menacent la sécurité du pays. L'expérience marocaine est politiquement reconnue par les Américains et les pays de l’Union européenne qui ne ratent aucune occasion pour lui tresser les lauriers les plus flatteurs.

Le troisième niveau est purement politique. Sous la direction du Roi Mohammed VI, le Maroc conforte son rôle et sa place de puissance régionale incontournable. Parallèlement à une influence économique et politique de plus en plus grande sur les théâtres africains, Mohammed VI, commandeur des croyants, infuse à ses pays africains l'Islam modéré, l'Islam des lumières, dont il est à la fois porteur et gardien, pour contrer les tentations extrémistes qui inspirent la violence et qui déstabilisent les pays. Ce leadership politique et religieux lui permet d'être un acteur majeur dans la solution des conflits de la région et d'occuper ce rôle tant envié de médiateur pour aider un continent en proie à ses démons communautaires et religieux à dépasser ses tensions.

Le quatrième niveau est social. En 2015 le Maroc possède une des scènes sociales et médiatiques qui connaît le plus de convulsions et d'ébullitions. La pertinence de ses débats, parfois la violence sociale de certaines postures sont à mettre sur le compte d'un pays qui est en train de faire sa mue, de chercher ses marques pour avancer et évoluer. Et dès qu'une thématique sociale semble avoir atteint un niveau de maturité indispensable, le Roi Mohammed VI s'en empare pour livrer son arbitrage et trancher. La parfaite illustration de cette démarche a été le récent débat sur l'interruption volontaire de grosses IVG. Sur le terrain des réflexions de société, le Maroc est devenu un pays laboratoire que d'autres observent et épient pour pouvoir s'inspirer.

Tous ces facteurs participent à garantir une solide stabilité du Maroc qui lui permettent non seulement de se distinguer sur le plan international, d'être une source d'inspiration et d'exemplarité, mais aussi d'entrer en possession des leviers économiques et politiques qui lui permettent d'éteindre les foyers de frustration sociale et économique.

Source : Atlas-Info

Salam,

économiquement et politiquent le Maroc se porte très très bien hamdoallah

nous ne pouvons pas nier tous les projets que notre roi Mohamed 6 a mis en place, ses aides envers les associations et envers le peuple, la construction des logements , des hôpitaux, des centres de formations....... ozide ozide...


vive le Maroc



Modifié 2 fois. Dernière modification le 29/07/15 20:12 par ma-casablanca.

Les élections régionales (décentralisation) actuelles viennent pour renforcer tout ce que vous dites.

Nuance: l'avenir économique s'annonce morose. la croissance pour les prochaine années sera divisée par deux

Maroc : croissance en fort ralentissement à 2,6% en 2016, prévoit le HCP



Douche froide... Au Maroc, la croissance devrait être presque deux fois moins forte en 2016 que cette année. C'est ce qu'estime le Haut-commissariat au plan dans son dernier budget économique exploratoire. Après une augmentation chiffrée à 4,3% en 2015, la hausse du PIB ne devrait être que de 2,6% en 2016, du fait d'une production agricole moins bonne. La dette publique devrait dépasser 81% du PIB l'an prochain. Ces mauvais chiffres arrivent alors que la loi des finances sera débattue à l'automne. Le HCP plaide pour des réfomes de structure.


[www.usinenouvelle.com]

Salam,
Le HCP n'a pas prévu le casse-pipe de Lachgar et du PS, ou encore celui de Chabat et du PI ...
Les prévisions de Lahlimi, à la différence de celles de Mme Soleil, pourtant à la sauce socialiste, ne sont que rarement roses

HCP

Pour les pauvres cloches, qui veulent ternir l'image du Maroc, c'est mal barré ...
Avec le renforcement du PJD (25% des votants et des sièges des régionales, arrivé en ce sens, premier aux élections), de la coalition, les investissements étrangers vont s'accélérer, pour tenter de tirer profit de la croissance marocaine, la boostant en feedback ...

L’activité des agences immobilières a fondu de 60% sur les 5 dernières années

Voilà près de 5 ans que l’activité des agences immobilières est sur le déclin et le bout du tunnel n’est toujours pas en vue. «En comparaison aux années 2009 et 2010, l’activité des opérateurs du secteur a chuté de 60%», s’alarme Mohamed Lahlou, président de l’Association marocaine des agents immobiliers (AMAI), constituée depuis plus de 3 ans et rassemblant plus d’une cinquantaine d’opérateurs aujourd’hui. «Au vu de la situation du marché, caractérisé par une faiblesse de la demande, les agences ne traitent quasiment plus d’opérations d’acquisition et se rabattent quasi exclusivement sur la location», renchérit le professionnel. L’on ne s’étonnera pas dès lors de savoir que le mouvement de création de nouvelles agences, encore intense il y a quelques années, s’est à présent estompé. «On voit nettement moins d’opérateurs arriver sur le secteur et les agences en place stoppent leurs actions de développement voire ferment», constate un opérateur à Casablanca.

A vrai dire, le mouvement de création n’est pas complètement freiné, et de nouveaux acteurs, qui adoptent un business model moins contraignant, continuent d’affluer. «Nous observons de plus en plus la création d’agences constituées d’une seule personne. Et ces structures ne s’établissent pas forcément dans un local mais se contentent d’une présence sur internet», informe Moncef Lahlou, directeur général de Capital Foncier. Selon les professionnels, ces nouveaux acteurs arrivent à vivre sans peine d’une ou de deux transactions par mois d’autant plus que leurs coûts de structure sont réduits. En réponse à cela, les agences historiques cherchent à leur tour à renforcer leur présence sur Internet. L’AMAI a signé dans ce sens un partenariat en début d’année avec le portail d’annonces immobilières marocain Immogeo.


[lavieeco.com]

Salam,
Al Maghrib oua ma adra ma Al Maghrib ... Fi 9oulob Al Mgharba ...

Le Maroc s'est libéré du joug des armes de la colonisation ...
Ce n'est point la rancoeur, la haine, la médisance, les analyses à l'emporte pièce, tétues et perverses qui pourront le nuire ou porter atteinte à son développement ...
Une nation comptant de plus en plus d'instruits, de forces vives qui contribuent jour aprés jour à la construction d'un pays souverain ...

Une croissance interne, au grand dam des détracteurs qui continuera son bonhomme de chemin. Il n'y a qu'un meilleur avenir devant nous, nous qui savons de quel point nous sommes partis, au lendemain de l'indépendance ...
Le nombre de médecins, d'ingénieurs, de cadres, de compétences s'étoffe d'années en année ..

Nous sommes sur la bonne voie, celle qui marque au fer rouge les ennemis et les détracteurs médisants qui ne savent que collecter et mettre en ligne que des "avis" et des "on-dit", péjoratifs, hors contexte, en copier-coller, au lieu d'analyses rationnelles ...



Modifié 2 fois. Dernière modification le 06/09/15 13:25 par blagueur.

Immobilier Maroc: une crise marocaine sous forme de bulle spéculative ?


Avec 26% des nouveaux projets immobiliers qui n’ont pas trouvé preneur, des problèmes de trésorerie et une baisse des prix, le marché immobilier marocain est en crise, mais c’est peut-être aussi une bulle spéculative qui est aussi en train d’éclater.

Aujourd’hui, seules les activités immobilières à Rabat et Casablanca perdurent, les gens « n’achetant plus » dans le reste du Royaume, c’est le constat fait il y a quelques temps par Chakib Bennani, l’un des vice-présidents de la Fédération nationale des promoteurs immobiliers (FNPI).

En termes de statistiques, avec 26% des nouveaux projets immobiliers qui n’ont pas trouvé preneur, c’est l’offre immobilière qui est désormais largement supérieure à la demande. Face à cela, les prix commencent à baisser, par exemple de 1,7% sur les prix des villas. Ce ralentissement se traduit d’ailleurs également du côté des prêts hypothécaires avec le plus grand ralentissement enregistré depuis 2004.

Pourtant, en mettant cela en corrélation avec les besoins en logements sociaux, une demande toujours existante, on se rend compte que l’offre est supérieure à la demande, mais surtout pas adaptée à la demande avec du « luxe » au lieu du « social ». De fait, le secteur immobilier marocain serait non pas en train de payer pour une quelconque crise immobilière, mais pur une bulle spéculative qui serait en train d’éclater.

C’est dans cette logique de marché que les grands groupes, comme Addoha ou Alliances, doivent faire face à de sérieux problèmes de trésorerie, une situation encore aggravée par la récente décision gouvernementale de taxer les logements vacants au titre de la loi de Finances 2014.
Mais au final, ne suffirait-il pas de simplement proposer des projets immobiliers adaptés aux réels besoins des Marocains ?

Source: Immobilier Maroc

Salam,

Bis et Ter ...

Al Maghrib oua ma adra ma Al Maghrib ... Fi 9oulob Al Mgharba ...

Le Maroc s'est libéré du joug des armes de la colonisation ...
Ce n'est point la rancoeur, la haine, la médisance, les analyses à l'emporte pièce, tétues et perverses qui pourront le nuire ou porter atteinte à son développement ...
Une nation comptant de plus en plus d'instruits, de forces vives qui contribuent jour aprés jour à la construction d'un pays souverain ...

Une croissance interne, au grand dam des détracteurs qui continuera son bonhomme de chemin. Il n'y a qu'un meilleur avenir devant nous, nous qui savons de quel point nous sommes partis, au lendemain de l'indépendance ...
Le nombre de médecins, d'ingénieurs, de cadres, de compétences s'étoffe d'années en année ..

Nous sommes sur la bonne voie, celle qui marque au fer rouge les ennemis et les détracteurs médisants qui ne savent que collecter et mettre en ligne que des "avis" et des "on-dit", péjoratifs, hors contexte, en copier-coller, au lieu d'analyses rationnelles ...

Fund For Peace: Le Maroc, l’Algérie et la Tunisie, des Etats ‘ très fragiles’


En effet, Fund For Peace, une ONG américaine basée à Washington et qui se spécialise dans l’étude des états défaillants et fragiles de part le monde, vient de publier la 11e édition de son rapport ‘Fragile States Index 2015 ’.

Dans ce rapport, le Maroc, l’Algérie et la Tunisie ont été classés dans la catégorie ‘Avertissement – Warning’ des Etats fragiles, avec néanmoins un léger avantage pour le Maroc.

Ainsi, sur une liste étudiée de 178 pays, dans laquelle les premières places sont occupées par les pays les plus fragiles, le Maroc se classe à la 89e place, avec un score de 74,6. Le FFP a attribué au royaume la mention de ‘Amélioration marginale - Marginal Improvement’

La Tunisie, plus fragile que le Maroc, arrive à 86e place avec un score de 75.8. Elle lui a été attribué la mention ‘dégradation significative – Significant Worsening’.

L’Algérie de loin la plus fragile des trois, arrive à la 67e place avec un score de 79.6. Le pétro-régime a obtenu la mention ‘dégradation marginale - Marginal Worsening’.

Le pays le plus fragile au monde et qui se classe à la première place de ce classement, est le sud Soudan. Le pays le plus stable au monde et qui arrive à la dernière place de ce classement soit à la 178e place, est la Finlande.

Pour réaliser son indice mondial des pays fragiles, le FFP a assuré étudier 12 indicateurs et plus de 100 sous indicateurs se rapportant aux climats social, économique et politique. Le rapport 2015 a exploité des données collectées dans les 178 pays de la liste, entre le 1er Janvier, 2014 et le 31 Décembre 2014.


[www.lemag.ma]

Salam,
De la désinformation en sous bannière FFP, sous drapeau lemag, fervent soutien du gvt, connu pour ses objectifs ... relayée par un virtuel yabiladiste muet ...
Quels sont les critères sur lequel se fonde cette "analyse" ?
Sont-ils objectifs ?
Peut-on vérifier les données statistiques, le protocole, les méthodes retenues, la pertinence des critères ?
Peut-on utiliser les mêmes mailles de tamis, pour classifier des granulés divers ?
Peut-on mettre les USA en lice avec le Soudan, ou un pays en guerre civile ?
Cette étude reflète-t-elle l'histoire des pays ?
Quel aurait été le classement de l'URSS par rapport à celui de la Russie ?

Rien, un cheveu sur la soupe ...

Faire les poubelles de pseudos études ayant une portée dégradante, péjorative pour le Maroc ?
Quelle est l'information, si il y en a une ?
Que signifie la fragilité, existe-t-il un "mètre" étalon pour la mesurer ?
Peut-on mesurer la fragilité ?
De quoi offir un bon thermomètre à FPP et à ses relais ...
Quelles preuves ?
Comment étayer un "avis" ?
Quel est l'objectif et qui finance ?

Bref, des âneries hors contexte ...


Même les agences de notation, plus sérieuses qu'une ONG, bossent pour les banques, renchérissant les taux d'intêrets au gré des crises financières ...

Du vide dont la seule portée est de nuire à l'image du Maroc ...



Modifié 3 fois. Dernière modification le 06/09/15 17:57 par blagueur.

Les causes de la pauvreté au Maroc selon la BM


Selon la banque mondiale :


-5% de la population, soit près de 5 millions de personnes, vit en situation de pauvreté
25% la population, soit près de 8 millions de personnes, vit au seuil ou en dessous du seuil de pauvreté ;

-50% de la population vivant au-dessus du seuil de pauvreté sont considérés comme " économiquement vulnérables " aux maladies et invalidités, aux intempéries, ou à la perte d'un emploi.

-40% de la population marocaine, soir 13 millions de personnes, font face soit à des difficultés pour maintenir un mode de vie modeste ou tout simplement pour survivre au jour le jour.

-2,5 millions d'enfants, principalement des filles rurales, ne vont pas à l'école
-83% des femmes en milieu rural sont toujours analphabètes



Source : Banque Mondiale : SE SOUSTRAIRE A LA PAUVRETE AU MAROC

Salut,
La recherche sur la source mène à un séminaire de 2014...

cadtm

coeurdumaroc

Le lien direct de la Banque Mondiale ... conduit à une étude de 2007.

BM2007

Nous sommes en 2015 et l'étude remonte à 2007 ....
Depuis il y a eu un recensement, l'AMO et une floppée de mesures ...

Pas d'annexes portant sur l'origine des statistiques ou des données permettant de confronter les hypothéses, avec nos propres données nationales produites par l'administration et les ministères ...
Je vais prendre le temps de lire posément ...
Additif,
Désolé, mais la lecture me rappelle celle des études de la mission scientifique des affaires indigènes, je n'ai pas pu poursuivre tant elle est truffée d'une modélisation quasi coloniale, rapportant le tout à un référentiel exogène, occidental ...

A la lecture en diagonale, ce n'est pas un rapport, mais une dissertation philosophique, le conte de trois femmes et un multiple de trois en les neufs communautés échantillons ...
Cela ne pèse pas lourd ...
Si l'on appelle cela une étude macro-économique .... A sirou tla3bo l'bille ....



Modifié 5 fois. Dernière modification le 07/09/15 01:39 par blagueur.

Les prévisions de la croissance pour 2016 sera entre 2,6 et 4,8 selon plusieurs secteurs économiques (surtout l'agriculture qui dépend de la pluviométrie) et selon si le pétrole reste à ce niveau ou bien il reprendra son ascension.

.


Merci MusulmanGéo pour tes excellents post

Moi qui a connu le Maroc sous Mohamed 5
Je n'aurais jamais cru, ni dans mes rêves le travail qu' a fait Mohamed 6 surtout quand j'ai pris l'autoroute Fes Taza j'ai apprécié cette autoroute à 100 Km / H je ne voulais pas aller vite. je ne croyais pas mes yeux, sachant que dans cette portion de route j'ai perdu deux amis en accident de voiture

Maintenant les constipés, les jaloux, on s'en tape le coquillard.


.

Citation
MusulmanGéo a écrit:
Les prévisions de la croissance pour 2016 sera entre 2,6 et 4,8 selon plusieurs secteurs économiques (surtout l'agriculture qui dépend de la pluviométrie) et selon si le pétrole reste à ce niveau ou bien il reprendra son ascension.

Merci Imtiyaz pour le compliment.
Moi aussi je prends souvent cette autoroute pour rendre visite à ma famille à Berkane (Bni Yznassen) et de même, au début des années 2000 je n'avais jamais rêvé de mon vivant pouvoir réaliser ce voyage sur une autoroute.
C'est vrai que le Maroc n'est pas le Paradis dont rêvent d'autres. Mais pour moi, le Maroc est mon Paradis Wa A7abba mane A7ab, Wa Kariha mane Karih !

Aïd Moubarak Saïd et A+

Citation
imtiyaz a écrit:
.


Merci MusulmanGéo pour tes excellents post

Moi qui a connu le Maroc sous Mohamed 5
Je n'aurais jamais cru, ni dans mes rêves le travail qu' a fait Mohamed 6 surtout quand j'ai pris l'autoroute Fes Taza j'ai apprécié cette autoroute à 100 Km / H je ne voulais pas aller vite. je ne croyais pas mes yeux, sachant que dans cette portion de route j'ai perdu deux amis en accident de voiture

Maintenant les constipés, les jaloux, on s'en tape le coquillard.


.

la grande victoire du règne de Mohammed 6 est qu'il a réussi à redonner aux marocains confiance en leur pays. je le vois tt les jours quand je discute avec des marocains qui connaissent vraiment leur pays. Leur discours a changé , ils font confiance à l'administration , aux capacités du pays. ils savent qu'il y a des gens compétents et droits. Que la Maison Maroc est SOLIDE et construite sur de bonnes bases.

changer la mentalité d'un peuple ne se fait pas du jour au lendemain , Mohammed 6 a réussi.

Et évidement quand on a confiance , on peut tout faire. Je maintiens et je signe que beaucoup de marocains de l'intérieur et certains à l'étranger ne se rendent pas compte des opportunités possibles...en emplois et en innovation, et de l'impact de réformes à l'extérieur.

je ne veux pas rentrer dans les détails , et les longues analyses

Richelieu a dit le meilleur système ou Régime Politique c'est le régime Monarchique
pour une Raison très simple , le Régime Monarchique , n'a pas de Parti Politique

la preuve est visible
le Maroc est stable
le Maroc est un exemple , pour bcp de pays même les plus sûrs
juste une remarque nous sommes
(chouiya Hnayia Nasse GHachacha et Fainiyanine Bézzafe Bézzafe) dommage, dommage

La monarchie a fait des concessions en laissant le pjd passer .. maintenant le pjd est comme une digue pour garder le calme . L ennemi d hier est devenu l ami d aujourd'hui.

Pour le moment la digue tiens bien et le Maroc s en sort bien.

Pour moi le fond reste le même et la forme a changé. Au moyen orient les gouverneurs donne l exemple du roi comment il a bien réussi à gérer la crise et il pense à s inspirer de lui pour faire pareil dans leur pays.