Oui comme il n'y a pas de racisme , ni d’antisémitisme ni d'homophobie ....Citation
coldman a écrit:
"Les musulmans ont peur aujourd'hui, les femmes voilées n'osent plus sortir, ça nous rappelle la situation des Juifs dans les années 30", a lancé Abdelaziz Chaambi, de la coordination contre le racisme et l'islamophobie, aux nombreux journalistes présents devant la mosquée
il y en a qui n'ont pas peur des mots...............
l'islamophobie, ça n'existe pas.
Citation
QueenZA a écrit:
A COLDMAN si ce n est pas de l Islamophobie...c est quoi pour toi ? Hein...
Il est super dangereux de s en prendre à la communauté musulmane de France. Car elle ne sera pas les "juifs"des années 40.
Citation
Unesuggestion a écrit:
Il n'y a plus d'article de "Charente libre".
Précédemment dans ce fil, il n'y a que la moitié de l'info:
Ce sont les parents qui ont "alerté les autorités" (seulement) à cause des lectures de leur fils. Ça n'a rien à voir avec une arrestation au terme d'une enquête.
Le type n'avait pas d'arme: Seulement des munitions d'arme de 4e catégorie. Un militaire qui a des cartouche sans avoir d'arme chez lui: Quelle surprise
Le type aurait "avoué" dans les locaux des services secrets, au bout de 4 jours.
[www.lematin.ch]
Un projet d'attaquer des gens est très grave. C'est bien de le dire et de le répéter.
Mais voilà: Ici, c'est trop cousu de fil blanc. Ça sent à plein nez la manipulation gouvernementale pour donner des gages aux troupes communistes.
On observe aussi très clairement que, comme tout Régime communiste qui se respecte, l'accusation inclut un délit d'opinion digne de l'Inquisition: "Il est d'Extrême-Droite."
L'information complète est :
Des parents, inquiets de ce que lisaient leur fils, ont appelé on ne sait pas très bien qui: "les autorités".
Le Régime a bondi sur l'occasion pour pouvoir se gargariser des mots "Extrême-Droite".
Le fils a été cuisiné par les Services secrets du Régime pendant 4 jours. Après 4 jours, il aurait "avoué".
Dans le mouvement, il en aurait même avoué plus.
On ne dit pas si l'interrogateur s'appelait Gégène.
Finalement, on accuse un militaire de posséder des cartouches sans l'arme à 1 coup qui va avec.
Au final, il n'y a rien du tout: Des parents inquiets, pas d'enquête, des aveux dans les locaux de la Sécurité Intérieure, des cartouches, pas d'arme.
Ça ne veut pas dire que le type est innocent. Ça veut juste dire que ce que nous savons actuellement, c'est du vent.
Par ailleurs, 4 jours dans les mains de la Sécurité Intérieure ôtent beaucoup de crédibilité aux aveux.