Le 27 juin, Grégory Chelli, cybercriminel réfugié en Israël, a directement menacé, via son compte Twitter, d'empoisonner le directeur du site Panamza {[panamza.com]}.
La cause? La constitution, depuis un an et par Panamza, d'un dossier relatif à ses délits, crimes et connexions politico-policières à caractère sioniste. Son allusion à la "farine" concerne la substance ingurgitée, à ce jour inconnue, qui fut à l'origine du brutal problème de santé vécu en avril par l'auteur de ces lignes {[panamza.com]}.
Le prétexte de son intervention? Le récent succès viral d'une photo, via Facebook et Twitter, le représentant avec Mohamed Sifaoui. Dans ses tweets publiés aujourd'hui, Chelli alias Ulcan a voulu ainsi défendre Sifaoui en affirmant qu'il n'y avait aucune "complicité" entre les deux hommes.
Rappel : Chelli -dont le vote aux dernières élections israéliennes s'est porté sur le raciste d'extrême droite Naftali Bennett- continue de proférer des menaces de mort depuis un quartier résidentiel d'Ashdod dont l'adresse a déjà été identifiée par de nombreux internautes et transmise à Panamza.
La plupart des médias traditionnels n'ont consacré aucune enquête sérieuse au réseau d'Ulcan et se contentent d'évoquer son cas uniquement dans des affaires impliquant des journalistes du sérail (Schneidermann, Haski, Sieffert) ou des militants propalestiniens-et-juifs.
Ni le Crif ni le grand rabbin de France n'ont jamais condamné ses agissements commis, dit-il, "pour défendre le peuple juif". Quant au Premier ministre ultra-sioniste Manuel Valls, il n'a exprimé aucune dénonciation publique à son sujet.
Pour en savoir plus, consultez le dossier Ulcan : [panamza.com]
Voilà ce que j'appelle du journalisme d'exception. Il a intérêt à se protéger, parce que la première fois ils lui ont ingurgité du poison, et là ça risque d'être pire. C'est pas le premier ennemi qu'ils veulent éliminer et ce ne sera pas le dernier.