Citation
Mitsuhirato a écrit:
[youtu.be]
La mauvaise foi de cette personne est impressionnante.
L'homme passe pour un docte, capable de répondre à ses questions religieuses mais quand on l'interroge sur un sujet précis, il fait l'anguille et se défile.
A quoi ça sert d'avoir un avis si c'est pour ne pas le donner et renvoyer le questionneur vers "consulte ton cœur" et "fais ce que ton cœur te commande?"
Si chacun faisait ce que son cœur lui commandait et en faisait un avis juridique, à quoi servirait la religion ?
Piètre personnage qui finit en rappelant la gravité de dissimuler le savoir que l'on détient mais s'abstient de donner le sien pour ne pas froisser ses auditeurs.
Les starlettes de l'Islam sont une calamité.
Cette affaire de l'usure permet de faire le tri entre les prêcheurs sincères et les starlettes qui ne veulent rien perdre de leur audimat.
Citation
a écrit:
. Personne t'oblige à les suivre.
Citation
Mitsuhirato a écrit:
Non, il y a consensus sur l'intedirction du prêt à intérêt.
Il y a juste quelques fatwas récentes qui l'autorisent. Ce n'est donc pas un sujet pour lequel on renvoie une personne à "la fatwa qui est dans son cœur".
Sinon, a quoi sert-il d'interroger un savant si la fatwa est dans le cœur ?
Pour l'homme interrogé ne donne pas son avis ? Il est interrogé sur une question très précise. Il n'y répond absolument pas car il sait que la réponse risquerait de contrarier celui qui pose la question (et ce n'est pas l'objectif d'une radio).
Surtout que ton passage sur le Quran est la Sunnah est risible. Même ceux qui autorisent le prêt à intérêt en France affirment sans ambiguïté que l'intérêt est interdit pour celui qui le donne comme pour celui qui le reçoit.
La divergence porte sur l'avis de certains avis (minoritaires) qui l'autorisent avec les non musulman.
Citation
a écrit:
. Personne t'oblige à les suivre.
Citation
TIGELLIUS a écrit:
Surtout que ton passage sur le Quran est la Sunnah est risible. Même ceux qui autorisent le prêt à intérêt en France affirment sans ambiguïté que l'intérêt est interdit pour celui qui le donne comme pour celui qui le reçoit.
Je t'invite à lire tous les passages du Coran. Tu ne trouveras aucun qui parle de celui qui paie l'intérêt. Si ce que je dis est confirmé alors le risible sera toi qui ne lit pas.
Citation
elmakoudi a écrit:
salam
la règle juridique (la nécessité lève l’interdiction) :
Il s’agit d’une règle consensuelle tirée du Coran à cinq endroits dont le verset situé dans sourate
« al-an’am » (les bestiaux) : « Il vous a détaillé ce qu’Il vous a interdit, à moins que vous ne soyez contraints d’y recourir » (les bestiaux : 119),
et le verset situé dans la même sourate après l’énumération de quelques nourritures illicites : « Quiconque est contraint, sans toutefois abuser ou transgresser, ton Seigneur est certes Pardonneur et Miséricordieux » (les bestiaux : 145). Or, les jurisconsultes « fouqaha » stipulent que le besoin peut être assimilée à la nécessité qu’il soit spécifique ou général.
Le besoin « al-haja » ; son absence fait en sorte que le musulman se trouve dans une situation de gêne même s’il est en mesure de vivre, et ce, contrairement à la nécessité « ad-daroura » dont l’absence rend la vie impossible. Or, Dieu a épargné la gêne à cette communauté à travers les textes coraniques à l’instar du verset dans sourate
« al-hajj » (le Pèlerinage) : « Il ne vous a imposé aucune gêne dans la religion » (Le Pèlerinage : 78) et du verset de la sourate « al-ma-idah » (la table servie) : «Allah ne veut pas vous imposer quelque gêne » (La table servie : 6).
Citation
bouloulou4 a écrit:
Vous n'avez pas répondu à ma questions. étrange, vous avez presque tous la même tactique: changer de sujet quand ils ne savent quoi répondre
Citation
bouloulou4 a écrit:
je ne m'adressais pas à vous. je ne vois pas pourquoi me répondez .
Citation
Mitsuhirato a écrit:
L'argument d'al-haja serait comique s'il n'était pas si lourd de conséquences.
Hassan Inquouissen qui autorisé l'achat d'une propriété via un prêt à intérêt est d'avis que nécessité fait loi. Et il prend deux exemples :
-Celui qui vit dans un quartier chaud ou des fumeurs squattent les halls d'entrée.
-Celui qui habite loin de son lieu de travail. La nécessité ici repose sur le temps de trajet. Il autorise le recours à l'usure pour gagner une heure de trajet (il utilise l'argument de la fatigue, qui selon lui serait une gêne dans la vie quotidienne du musulman.)
Donc rationnellement, on ne voit pas trop où est la nécessitait impérieuse qui autoriserait à commettre un péché aussi grave.
Vivre dans un quartier chaud ? Ça n'a tué personne.
La distance ? Il est possible de louer près de son lieu de travail. Une heure de trajet en IDF c'est la norme de centaines de milliers de personnes.
Bref, très légères les fatawaa des imams français...