Les médias se sont toujours revendiqués comment étant un contre pouvoir par rapport aux politiques. Pour moi il est vrai qu'il représente de plus en plus un réel pouvoir. Mais ils sont vraiment loin d'être un contre pouvoir. Par contre, leur indépendance vis à vis des politiques je n'y crois pas vraiment même s'il est clair que les médias d'aujourd'hui ne sont plus directement contrôlés par les sommets de l'états (je parle ici des pays pseudo démocratiques).
J'ai en tête deux exemples bien concret qui me poussent penser cela.
- Les dernières élections présidentielles en France. Oui c'est bien celle ou vous auriez préféré vous réveillez d'un mauvais cauchemar le lendemain du premier tour. Les médias n'ont pas arrêté de parler du thème fétiche de la campagne électorale de la droite à l'époque : l'insécurité. Ce qui a poussé certaines personnes vivant dans des coins perdus de la France aussi calme qu'une île déserte et qui n'avaient jamais vu de cité de leur vie à penser qu'elles étaient en danger.
- La guerre en Irak ou comment persuader la quasi totalité des américains d'une nécessité d'une guerre sans qu'il y'ai aucune raison valable. Pour cela Bush a pu compté sur le travail de sape des médias américains qui aurait pu faire croire n’importe quoi à l’électorat américain. Preuve à l’appui, ils sont encore beaucoup, outre-atlantique, à croire à la thèse des ADM. Ils sont vraiment fort ces médias ricains.
[b]"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas."[/b] [i]Géronimo[/i]
Tout le monde sait que soit la tele soit la presse ecrite sont controler par les hommes politiques , rien qu'à voir certains journalistes qui sont virer au gré de soi la droite ou la gauche , et pire mais certains artistes comme dieudonné sont interdit d'apparaition à la télé , et on connait aussi le cas de bedos , si je ne trompe pas !
Quand au pays de l'oncle sam , eux c'est carrement la honte , aucune liberté de presse , et presque toutes les chaines teles sont là juste lancer la propagande du mensonge avant de passer à l'attaque .
Malheureusement tout le monde ne le sait pas. Pas mal de pesonne regarde la télé en ne prennant pas le recul nécessaire pour analyser le debit de manipulations d'infos qui nous sont envoyer directement aux cerveaux. Ce qui a pour conséquences des resultat aussi catastrophique que ce fameux 21 avril.
[b]"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas."[/b] [i]Géronimo[/i]
Moi à dire vrai j'ai zapper tout les journeaux teles , ras le bol d'entendre le meme discourt et les beurs et l'islam et le terrorisme et l'insucrité !
Voilà leurs mots , qu'on entend à toute les sauces en plus de ça , ils savent manipuler l'image catastrophe pour crée la peur , et la crainte !
Et le pire c'est que meme certains qui soi disant sont là pour relever ces details là , non ils les cautionnent , le boutih et d'autres du meme genre .
Et oui dans la société d'aujourd'hui le canal d'information le plus utilisé est la télé. Celle ci utilise des images chocs car son seul but est de faire des revenus publicitaires et non pas pas d'informer.
[b]"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas."[/b] [i]Géronimo[/i]
Les médias sont censés jouer un rôle d’information objective, et non pas désinformer en divulguant massivement une propagande mensongère. Il est vrai que certains d’entre eux jouent un rôle bénéfique de contre-pouvoir, de "chiens de garde" en quelque sorte, et qu’ils sont à cet égard utiles. Pourtant, beaucoup de médias sont délibérément, massivement et de façon éhontée, détournés par les pouvoirs en place pour servir des intérêts particuliers, qu’ils soient ceux d’un groupe d’individus ou d’un état.
En fait, la presse écrite ou télévisée est bien le premier pouvoir, devant les pouvoirs législatifs, exécutifs et judiciaires. Les constitutions des pays, ou leurs lois, ne font pour ainsi dire jamais référence formelle aux médias, alors qu’ils sont la clé de l’action politique. Cette grave lacune législative a ouvert une brèche béante où se sont engouffrées toutes les dictatures rampantes qui nous gouvernent, officiellement déclarées ou non. Soyons-en conscients : nous sommes manipulés de façon grossière ou, plus précisément, de façon très subtile. Les experts de la manipulation, les spécialistes de la propagande, les artistes de l’intoxication ne sont pas nés d’hier, ils existent depuis la naissance du pouvoir.
Faisons d’emblée une première remarque : Alors qu’on appelait la presse écrite, la télévision et la radio les « mass medias » dans les années soixante, on ne les appelle plus maintenant que « médias ». On a délibérément occulté le mot « mass » car la référence à des masses d’individus sentait le souffre, avec une connotation de « troupeaux », ce qui aurait pu être ressenti de façon péjorative. Celà aurait clairement désigné le talon d’achille des démocraties, les masses qui les constituent mais qui ne sont pas toujours suffisamment alertées. L’appellation originelle « Mass medias » signifiait moyens de toucher les masses, de leur communiquer un message. L’appellation nouvelle de « médias » signifie en anglais « moyens », ce qui ne veut rien dire en soi. Et ça, c’est si l’on peut dire la première manipulation sémantique réussie des médias, une première "omission". On verra plus loin que l’omission est une technique favorite des médias qui sont au service d’une propagande. Pourtant, l’objectif est bel et bien de toucher les masses, avec un but bien précis, soigneusement préparé, concocté, et mis en œuvre très habilement. Ce n’est finalement que de la technique facile, et le talent indéniable de certains manipulateurs ne joue qu’un rôle mineur en comparaison de la machinerie implacable qui sert l’action des médias.
Les médias ont une action de fond qui s’exerce en permanence, ainsi que des actions ponctuelles sur des sujets déterminés. L’action de fond vise à rendre les sociétés irrationnelles, totalement " intégrées " et passives. Les médias diffusent une néo-culture soporifique, incitant plus à l’évasion qu’à l’affrontement du réel. La télévision contribue à une uniformisation de la culture et à la relative disparition des cultures particulières. La publicité contribue grandement, elle aussi, à l’abêtissement du public. Les mêmes techniques sont utilisées, le but recherché est partiellement le même, au delà de l’aspect strictement commercial.
Cette action de fond qui permet d’obtenir la docilité passive des masses qui se laissent manipuler, prépare le terrain pour une manipulation de plus grande envergure, quand vient le temps d’obtenir une adhésion massive pour une cause, honorable ou non...
Quand un événement majeur se prépare ou survient, qui nécessite une manipulation d’envergure de l’opinion publique, les médias jouent un rôle fondamental. Toute la subtilité et l’adresse des manipulateurs consistent à modifier progressivement les " grilles d’interprétation " des individus qui composent l’opinion. Et cela se fait par la répétition de messages apparemment anodins, mais qui s’imprègnent subrepticement dans le subconscient des individus. Manipulés sur l’ordre d’un gouvernement, comme dans le cas des Etats-Unis lors de la guerre en Irak, les médias agissent à la manière d’une drogue, anesthésiante ou stimulante. Ils sont capables de faire faire n’importe quoi, à n’importe qui, n’importe comment et n’importe quand. Les médias ont réussi le tour de force de convaincre une majorité d’américains que l’Irak était un nid de terroristes liés à Ben Laden, et que ce pays constituait une menace réelle à cause de ses armes de destruction massive.
Les médias trient l’information, sélectionnent les nouvelles sur lesquelles l’attention des opinions publiques sera attirée, et n’hésitent pas à passer des faits essentiels sous silence. Ils veulent faire adhérer l’opinion à une certaine thèse, et cela est d’autant plus aisé qu’ils font appel aux émotions et aux sentiments des individus plutôt qu’à leur raisonnement. Reste à effectuer des choix tactiques en ce qui concerne par exemple les informations qui seront diffusées ou non, la manière dont elles seront propagées, et la façon dont elles seront commentées, de sorte que la réaction de l’opinion publique soit celle que l’on attend, celle qu’on a voulu. Citons quelques techniques utilisées :
Marteler la même information, sans relâche. Goebbels, le ministre de la propagande du III-ième Reich disait « il n’y a pas un mensonge qui, répété sans cesse, ne devienne une vérité acceptée de tous ». Une surimpression d’écran pendant la diffusion d’un film populaire « support our troups » garde les citoyens motivés vers une victoire, et ce n’est qu’un moyen parmi des dizaines d’autres utilisés à cet effet. Le même sujet traité par plusieurs journalistes qui déclinent le même message, le sujet repris autrement les jours suivants, et cette répétition convainc à la longue de la « véracité » des faits et de leur importance, en renforçant l’impact du message sublimé. Par défaut, tout autre fait qui contredirait ce qui a été martelé devient « faux », « mensonge ». En propagande, la dichotomie est la tactique fondamentale. Tout est blanc ou noir, bien ou mal. Occulter une information. Minimiser un fait, en faire une interprétation différente de la réalité. Oublier de diffuser des images d’une manifestation hostile aux Américains, filmer avec un grand angle pour donner l’impression qu’un groupe de cinquante personnes est une foule très nombreuse qui déboulonne une statue de Saddam de son socle. Mentir par omission. Inviter un expert qui va contribuer à renforcer l’opinion qu’on propage, ne pas inviter un autre expert qui pourrait affaiblir la position des médias. Utiliser certains mots plutôt que d’autres, en utilisant les possibilités de la sémantique. En Irak, les Américains sont des « libérateurs » et non des envahisseurs, les résistants civils et militaires irakiens sont des « terroristes » et non des résistants à l’occupant. Il faut combattre « l’axe du mal », et l’Irak « libéré » est maintenant un « nouvel Irak ». Le Général Garner, pro-consul en Irak, est le "nouveau shériff". À mourir de rire ! Tourner en dérision un adversaire, une position, un avis, marginaliser les opposants. Les Français ont été tournés en dérision, les opposants américains à la guerre ont été taxés d’anti-américanisme, de non-patriotisme. Les médias, en déclinant ce thème avec force, ont anesthésié toute résistance des démocrates. Prendre un ton particulier. Ce qui importe souvent, ce n’est pas le contenu du message, mais la façon dont il est transmis. Affirmer de façon péremptoire convainc.
Ce qui précède ne sont que des techniques, certes redoutablement efficaces. Mais la vraie statégie de fond, c’est celle qui consiste à jouer sur les émotions et les sentiments, en prenant grand soin de ne jamais faire appel au raisonnement des masses. Henri Laborit, ce génial vulgarisateur des mécanismes de fonctionnement de l’être humain, que j’admire profondément, aurait dit que les médias font appel au système limbique, cerveau reptilien et mammiférien, et non au cortex et au lobe orbito-frontal. Çà vous semble tiré par les oreilles ? Détrompez-vous. C’est exactement comme ça que les médias abusent les individus. Avec, en plus, l’utilisation de techniques dont certaines sont rappelées plus haut.
En matière de médias, rien n’est innocent. Et le silence moins que tout. Ceux qui maîtrisent les techniques de manipulation de l’information et qui en usent avec un minimum de talent et de circonspection peuvent mener l’opinion publique, c’est-à-dire une majorité des citoyens, à se mobiliser dans un sens ou dans un autre, en fonction de leurs objectifs. Dans un régime apparemment démocratique, les politiciens retournent leurs vestes en fonction de l’opinion majoritaire, et ainsi celui qui tient les rênes de l’information (ou plutôt de la désinformation) et des médias dirige en fait la société. Les médias sont en réalité la clé de la puissance politique et du pouvoir réel. Au XXI-ième siècle, les médias sont concentrés dans les mains de plusieurs grands groupes, au service des pouvoirs politiques.
Les progrès de l’humanité passeront impérativement, un jour, par la prise de conscience par les masses populaires du rôle pernicieux des médias pour qu’ils s’en protègent, et par le strict contrôle des règles qui devraient régir leur fonctionnement. Ces deux moyens seraient efficaces, mais ils semblent être utopiques. Ceux d’entre nous qui ont pris conscience d’être l’objet de tentatives de manipulation ressentent une frustration du fait que les masses se laissent berner. Le grand avantage qu’ont les médias, c’est que leurs tromperies réussissent face à la passivité des masses.
Seule une démarche volontariste, qui nécessite du travail de recherche, permet de trier le grain de l’ivraie, et de faire la part des choses entre information et désinformation, en exercant son esprit critique. Pour celà il faut savoir dépasser le stade primitif des émotions et des sentiments seuls, mais y rajouter le raisonnement, en ayant une démarche pro-active. Peu de citoyens prennent le temps de s’informer de façon objective, et la passivité est une attitude facile, qui ne requiert aucun effort. Cela fait l’affaire de ceux qui tirent les ficelles, grâce aux médias. Cette triste constatation ne laisse aucune chance à la vraie démocratie de mener le monde pour le rendre meilleur. Je considère, pour ma part, que c’est une des tragédies de l’humanité. Des médias réellement indépendants, qui n’exerceraient aucune manipulation, permettraient l’émergence d’un monde plus juste. Je n’ose y croire. Et nous assisterons encore longtemps, impuissants et frustrés, à la diffusion des mensonges d’états, à la mystification et au conditionnement des électeurs, et à l’utilisation des ressorts de la psychologie des masses.
Un dernier point. Ne voyez rien de péjoratif de ma part dans la répétition du mot "masse" dans cet article. Les masses ont en elles tout ce qui est nécessaire pour s’éveiller, et elles ne constituent en rien une sous-catégorie d’êtres humains, car il n’existe et il n’a jamais existé une telle sous-catégorie. Nous sommes tous égaux et libres, et celà d’autant plus que nous savons protéger nos libertés . Le drame est qu’elles sont gardées délibérément dans un état de léthargie par une "élite" malfaisante. Il faut simplement aider ces citoyens comme les autres de s’affranchir de leur aliénation programmée. En essayant nous-mêmes de rester lucides et de ne pas se laisser séduire par des thèses corrompues, diffusées entre autre par... les médias.
les gros tirages de la presse francaises sont sous le controle d'une pleiade de groupe financiers puissants comme lagardére , bolloré etc..et dassault qui est en passe de racheter certains journaux (je crois notamment liberation) evidemment ces patrons influencent la ligne editorialiste de leurs journaux et avec ce coktail de medias et finances c pas le 4 eme pouvoir c'est le POUVOIR qu'ils représentent . y a qu'a voir l'influence du puissant ruppert murdoch le magnat australo-ameriacain qui detient notammant la famEuse chaine fox news et des centaines de supports medias dans tous les pays anglo-saxons notamment ce qu'on appelle la presse a caniveau comme THE SUN en angleterre cet homme a lui tt seul a pu manipuler les opinions anglaises americaines et australiennes eet les faire basculer en faveur du camp des pro de la guerre en irak ce n'est pas pour rien que certains le présente comme " l'homme le plus dangereux du monde"
Je pense que le pouvoir de manipulations est plus important concernant les médias télévisés. On peut plus facilement gobber une information quand il y'a une image à l'appui.
[b]"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas."[/b] [i]Géronimo[/i]