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Unesuggestion a écrit:
Il faut, dès à présent, avancer dans le domaine de l'officialisation des peuples Amazighs.
En effet: Libérer l'Azawad/Nord-Mali ne résout que le problème le plus aigu: L'Occupation du pays et son asservissement pas des troupes étrangères.
Après ça, il faudra que les Amazighs trouvent une reconnaissance officielle, en particulier là où les frontières ont été tracées à la règle.
Le Maroc est un pionnier, car la Culture Amazighs y est reconnue dans la Constitution.
On imagine bien que l'Algérie aura beaucoup de peine à laisser de la place aux Kabyles, entre autres.
Bon, il faut quand même redire que les Kabyles auraient pu former un pays indépendant.
Leurs descendants maudissent ceux qui ont refusé que le pays de leurs ancêtres soit un état indépendant et les ont emprisonnés dans les délires algériens.
En Libye, la situation s'est améliorée depuis l'élimination de cacadhafi:
Cacadhafi reconnaissait l'existence des Amazighs, mais ses actes visaient à les affaiblir.
Un serpent à la langue fourchue.
Ce n'est pas le seul domaine dans lequel ses actes étaient exactement le contraire de ses promesses:
- Il créait une émigration sauvage massive et disait qu'il l'empêchait. Maintenant que cacadhafi n'est plus là pour l'organiser, le nombre d'émigrants illégaux qui passaient par la Libye a diminué.
- Il prétendait lutter contre les Islamistes, alors que c'est lui qui encourageait les troubles dans tous les pays frontaliers du Sahara et du Sahel.
- Il prétendait ne pas avoir d'armes de destruction massive, alors qu'il acvait des laboratoires de développement d'armes biologiques. C'est devenu public en 2009, car les microbes de la Peste se sont échappé d'un laboratoire et il y a eu des morts à la frontière égyptienne.
Étant donné que les pays européens sont équipés pour lutter contre des armes biologiques, ces armes étaient évidement dirigées contre les voisins du Sahara et du Sahel.
Les Amazighs peuvent maintenant dire "ouf", car cacadhafi pouvait les faire disparaitre dans d'atroces souffrances.
Des cacadhafi, il y en a plein dans les gouvernements qui, au nom de références non-africaines, nient l'identité amazigh.
C'est pourquoi il faut développer un mécanisme qui puisse être repris et décliné par tous les pays concernés.
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