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21 août 2006 12:30

Les marocains établis à l'étranger finissent souvent par rentrer à leur pays d'origine

MAROC - 17 août 2006

Les Marocains gardent des attaches solides avec leur pays d'origine, aussi longue soit la période d'immigration passée à l'étranger, et préfèrent assez souvent rentrer définitivement chez eux pour faire bénéficier leur pays du savoir faire et de l'expérience acquise dans les pays d'accueil, a fait savoir le magazine économique bimensuel de la première chaîne de télévision, ''EchoEco''.

Dans sa dernière édition, diffusée mercredi soir en prime time par la TVM, le magazine économique a tracé le portrait de trois jeunes compétences nationales ayant étudié et travaillé en Europe et aux Etats-Unis puis décidé de regagner le Maroc pour y investir ou travailler.

Détenteurs de prestigieux diplômes dans les domaines de recherche et développement, de programmation et informatique et d'ingénierie industrielle, entre autres, les trois jeunes marocains, dont une femme, sont rentrés pour ''apporter tout notre savoir-faire et expérience à notre pays auquel nous sommes restés toujours attachés. C'est le retour au bercail'', s'accordent-ils à dire.

Aussi différents soient les domaines de leur activité, ajoute le magazine, ils ont un même objectif, en l'occurrence apporter cette plus-value et contribuer, tant soit peu, au développement de leur pays grâce à la grande expérience acquise dans leurs domaines respectifs.

''EchoEco'' a tenu, dans ce sens, à préciser que les trois jeunes marocains ont atteint le sommet de la pyramide dans des firmes et des multinationales américaines et européennes, faisant remarquer que les Marocains sont ''très sollicités'' à l'étranger par les plus grandes sociétés.

Approchant de près ces trois compétences, qui ont côtoyés les plus grands noms du domaine de la recherche et de l'invention parmi lesquels le fameux BillGates ou encore Steve Ballmer, le magazine relève qu'elles ont ''habilement'' profité de cette expérience et acquis une nouvelle vision de gestion ayant pour devise : ''passion, efficacité et rigueur'' dans le travail.

''EchoEco'', premier magazine télévisé diffusé sur Internet au Maroc, bénéficie du partenariat de nombreux établissements de presse, dont l'agence Maghreb Arabe Presse

hmb

21 août 2006 14:42

Salam,

Vous pouvez les compter sur les doigts de la main.

Soyes serieux Monsieur Telev.

telev

21 août 2006 15:10

Désolé hmb, vous n´ avez rien compris de ce sujet, on ne parles pas dans ce sujet des gens qui vivent du RMI en France ou bien des gens qui vivent du social en allemagne (Hartz IV), ou dans d´ autre pays, mais on parle des gens bien diplomé et qui travaillent dans des poste bien elevé, Vous pouvez les compter sur les doigts de la main, vous même, Mr hmb smiling smiley

)

Abdi2

21 août 2006 15:48

Citation
hmb a écrit:
Salam,

Vous pouvez les compter sur les doigts de la main.

Soyes serieux Monsieur Telev.

Ceux que l'on peut compter sur les doigts de la main, ce sont, plutôt, ceux qui, une fois terminées leurs études, décident de s'installer définitivement en europe, notamment en France. Et encore: parmi ces derniers, la majorité s'y trouve poussée par résignation : elle n'arrive pas à décrocher au bled un boulot, en adéquation avec sa formation. Mais, elle n'en continue pas mois d'espérer....

Je crois que cette affaire, i. e. la volonté de sétablir au maroc, n'est exclusivement réductible à des considération d'opportunité de travail. C'est l'envie, toute simple mais tellement forte, de se sentir CHEZ SOI. Et cette sensation, croyez-moi, n'a rien de comprable

saout

21 août 2006 21:23

Citation
telev a écrit:
Les marocains établis à l'étranger finissent souvent par rentrer à leur pays d'origine

MAROC - 17 août 2006

Les Marocains gardent des attaches solides avec leur pays d'origine, aussi longue soit la période d'immigration passée à l'étranger, et préfèrent assez souvent rentrer définitivement chez eux pour faire bénéficier leur pays du savoir faire et de l'expérience acquise dans les pays d'accueil, a fait savoir le magazine économique bimensuel de la première chaîne de télévision, ''EchoEco''.

Dans sa dernière édition, diffusée mercredi soir en prime time par la TVM, le magazine économique a tracé le portrait de trois jeunes compétences nationales ayant étudié et travaillé en Europe et aux Etats-Unis puis décidé de regagner le Maroc pour y investir ou travailler.

Détenteurs de prestigieux diplômes dans les domaines de recherche et développement, de programmation et informatique et d'ingénierie industrielle, entre autres, les trois jeunes marocains, dont une femme, sont rentrés pour ''apporter tout notre savoir-faire et expérience à notre pays auquel nous sommes restés toujours attachés. C'est le retour au bercail'', s'accordent-ils à dire.

Aussi différents soient les domaines de leur activité, ajoute le magazine, ils ont un même objectif, en l'occurrence apporter cette plus-value et contribuer, tant soit peu, au développement de leur pays grâce à la grande expérience acquise dans leurs domaines respectifs.

''EchoEco'' a tenu, dans ce sens, à préciser que les trois jeunes marocains ont atteint le sommet de la pyramide dans des firmes et des multinationales américaines et européennes, faisant remarquer que les Marocains sont ''très sollicités'' à l'étranger par les plus grandes sociétés.

Approchant de près ces trois compétences, qui ont côtoyés les plus grands noms du domaine de la recherche et de l'invention parmi lesquels le fameux BillGates ou encore Steve Ballmer, le magazine relève qu'elles ont ''habilement'' profité de cette expérience et acquis une nouvelle vision de gestion ayant pour devise : ''passion, efficacité et rigueur'' dans le travail.

''EchoEco'', premier magazine télévisé diffusé sur Internet au Maroc, bénéficie du partenariat de nombreux établissements de presse, dont l'agence Maghreb Arabe Presse

quelles sont les statistiques qui vous permettent de telles affirmations?

quels sont les chiffres qui vous permettent d'étayer votre affirmation????

Que les sondages auprés des RME relevent qu'ils souhaitent majoritairement le retour au pays, le taux de transformation est mince voir inexistant.

et pourquoi?

les conditions économiques politiques ne sont pas réunies. le solde migratoire Marocain est d'ailleurs négatif et de loins.

Abdi2

21 août 2006 23:18

L'appel du bercail est plus fort que toutes autres considérations; je dirais même qu'il est parfois assez insensé. On a envie par moments plutôt que de flâner sur la "promenade des anglais" à Nice ou les champs-Elysées à Paris, de s'engouffrer dans un souk bien de chez nous où les odeurs des mauvaises saucisses cuites par de malheureux vendeurs ambulants attirant sur eux des bataillons de mouches concurrencent celles des épices étalés tous azimuts et celles des baignées et autres crêpes mal cuites. Même les micros mal sonorisés vomissant à tue-tête les discours malsains et falsificateurs des fameux arracheurs de dents ne changent rien à cette affaire. Les bousculades, les gens qui, assommés par le soleil, vous rentrent dedans sans même s'en rendre compte et encore moins vous demander pardon ne sont pas, non plus, pour autant dissuasifs. Dès qu'on y est, on a plus envie en fait d'épiloguer sur des questions philosophiques, "économiques ou politiques". A chaque pas, on se dit "mais bon sang, je suis chez moi, l'air que je respire, même accompagnés parfois, de quelques grains de sable et d'odeurs, qui font penser à tout sauf aux tulipes d'Amterdam, est l'air que respiraient mes ancêtres, ces paysages me parlent et ces visages me sont tellement familiers"; bon sang je suis dans mon pays, je suis dans mon Maroc. Et à force de se répéter ces phrases comme pour se rassurer, il arrive qu'on trébuche -bousculé par un grand gaillard élevé à l'air de la compagne et à lharcha et lben tous les matins. Allez lui parler de nesquik, et d'autrs tartes au citron, vous verrez ce qu'il vous répondra grinning smiley

hmb

22 août 2006 11:01

Salam,

Salam Abdi2,

Sortez de votre bulle et découvrez la réalité de la vie, Le maroc reste un pays pauvre pour les riches.
sans parler de niveau de vie des millions de Marocains sans 1 dirhams de revenu par jour.
Allez voir dans les douars de l'atlas, l'air est pur mais la famine tue, sans parler des premiers soins
de la vie et les garanties sociales que nous connaissons en france, (apres les luttes de classes)
Sans faire le prof de morale,

hannou moussa

telev

22 août 2006 11:22

Mai Mr hmb, on ne parles pas ici des gens qui vivent du RMI en France et qui travaillent en noir pour qu´ils puissent passer leur vaccance au Maroc en se passant pour des riches alors que leur quotidiens en france c´ est la misère, Mr hmb on sait bien comment vivent la plus part des RME dans des quartiers difficils en France, en plus n´ essaye pas de comparer un pays qui appartient à l´ union européen comme la france avec un pays qui se bat tout seul pour faire face à cette mondialisation sauvage.
Et si tu compares la france avec l´ allemagne, tu vas trouver que la france est vraiment très en retard par rapport au pays nordique.

Abdi2

22 août 2006 11:34

Cher(e) hmb,

IL n'est question ici, enfin me semble-t-il, que des diplômés marocains (ingénieurs, docteurs, etc.) qui se trouvent, au terme de leurs études, devant l'alternative : s'établir au maroc ou rester en France; autrement dit des marocains qui sont non seulement assurés de décrocher un travail au maroc mais en plus un travail bien rémunéré.
Nous smmes d'accord: pour une bonne tranche de la population, c'est un peu défficile. Et c'est ce qui explique par ailleurs leur tendance à vouloir yharkou, passer illégalement de l'autre côté du détroit.

telev

22 août 2006 12:08

hmb, tu dois sortir aussi de ta bulle et voir la réalité des diplomé marocains en France qui n´ ont pas du travail et qui sont obligé de faire n´ importe quel travail, qui n´ a rien avoir avec leur formation.
J´ ai bcps d´ amis qui ont leur doctorat (physique, chimie,…etc) en France et qui n´ ont pas du travail.

Abdi2

22 août 2006 12:15

je suis d'accord avec toi telev: j'ai également des amis docteurs qui à force de pointer à l'anpe, se sont orientés finalement vers Addecco et compagnie où ils sont recrutés pour des boulots abêtissants - en attendant des jours meilleurs; beaucoup bénéficient du RMI et s'en trouvent àprès coup complètement désarçonnés.

ouriaghel

22 août 2006 13:48

Pffffffff, il font de trois personnes, une generalité.....

au maroc pour un cerveau qui revient au bercail, y' en a 10 000 qui partent...

sofiane68

22 août 2006 17:52

combien d'ingénieurs par an sont formés au Maroc? combien d'étudiants marocains quittent le Maroc pour étudier à l'étranger? quel est le taux de retour?

telev

23 août 2006 08:44

selon le journal de France2 (du 22.08.06) 280 000 (oui 280 000) jeune francais ont quittés la france dernierement et definitivement pour s´ installer dans d´ autre pays pour un avenir meilleur.
La même chose pour l´ allemagne, 140 000 allemands selon une source gouvernemental (250 000 selon les ONG) ont quittés l´ allemagne definitivement.
je ne sais pas pourquoi on discute une chose qui est narurelle pour l´ être humain: se deplacer d´ un coin à l´ autre dans le monde entier.

alger71

25 août 2006 00:44

un de perdu dix de retrouve

hmb

31 août 2006 19:25

Salam à tous,

Avec toute modestie et réspect,

Pour votre petites mémoire,
Je suis arrivé en France en mars 1972 pour étudier à la faculté des sciences rue JUSSIEU et quai saint Bernard depuis je suis resté en France et heureux de devenir français.
Le Maroc est une bombe humaine à retardement : des diplômés sans travail, et pour finir je confirme que les FACS aux Maroc sont des bastions de la corruption pour les futures élites du Maroc.

hannou moussa beauvais

drimi

31 août 2006 19:38

C'est vrai que c'est con d'être diplômé et de devoir faire la plonge à Paris, je préférerais être cadre à Rabat, quand même(tm)

Et puis l'argent ne fais pas le bonheur No no

ça doit être chouette de travailler dans son bled sans subir le racisme (disons la xénophobie) et respirer le bon air encore gratuit.

Abdi2

1 septembre 2006 00:21

Citation
hmb a écrit:
Salam à tous,

" les FACS aux Maroc sont des bastions de la corruption pour les futures élites du Maroc"

Votre "science" ne vous a certainement pas immunisé contre les extrapolations infondées, mises d'ailleurs à falsification par votre statut d'extpatrié. Pour donner un quelconque crédit à vos affirmations, vous êtes d'accord, il aurait fallu, pour que cela confine au postulat "scientifique", passer en revue ttes les facs . Or, ce n'est certainement pas le cas. Les facs marocaines, dont vous parlez, ressemblent très probablement à celles que vous auriez peut-être pu fréquenter, ds les années soixante-dix, si vous étiez resté au maroc. Celles d'aujourd'hui n'ont rien à envier aux facs françaises, et pour cause: tous les enseignants sont les lauréats des meilleures universités françaises, canadiennes et américaines. Nous marocains, résolus à rejoindre le maroc, sitôt nos études terminées, nous nous sentons aucune espèce de complexe d'infériorité. Nous nous considérons plus utiles ici qu'ailleurs. Nous avons envie, et c'est plutôt louable, me semble-t-il, de contribuer au dévellopemet de notre pays. Par ailleurs, sur la question du chômage, la France n'est pas mieux lotie: des amis français et marocains, docteurs ds différentes spécialités vivent du Rmi. Des diplômés chômeurs de plus en plus nombreux d'ailleurs. De même, la corruption qui au maroc confine au bakchich, existe également en france à cette différence près: elle se situe aux hautes sphères de l'Etat français. Il est certain qu'on ne peut comparer la France au maroc; mais le maroc, avec les moyens du bord, fait de son mieux pour s'améliorer. Au lieu donc de l'accabler avec des critiques, le plus souvent infondées, il faudrait, si on a, à défaut d'amour pour ce pays, un quelconque respect, mettre la main à la pâte. Mais là, il ne faut pas avoir la vue trop éblouie par les lumières des Champs-Elysées.

didine62

1 septembre 2006 01:56

"Détenteurs de prestigieux diplômes dans les domaines de recherche et développement, de programmation et informatique et d'ingénierie industrielle, entre autres, les trois jeunes marocains, dont une femme, sont rentrés pour ''apporter tout notre savoir-faire et expérience à notre pays auquel nous sommes restés toujours attachés. C'est le retour au bercail'', s'accordent-ils à dire."

c’est ce qu’on appelle du patriotisme et ces gens là, méritent des applaudissements et des yous yous qu’il faut faire entendre à ceux qui sont sourd à l’appel au bercail.
Dieu merci, et merci à ceux qui s’adhérent à cette pensée.

zaki7

1 septembre 2006 05:28

Tiens, je suis passe par la fac des courants d'air smiling smiley

Depuis 1972, on dit que le Maroc est une bombe a retardement, celui qui a programme l'heure de declenchement a du se tromper de millenaire a mon avis .

Citation
hmb a écrit:
Salam à tous,

Avec toute modestie et réspect,

Pour votre petites mémoire,
Je suis arrivé en France en mars 1972 pour étudier à la faculté des sciences rue JUSSIEU et quai saint Bernard depuis je suis resté en France et heureux de devenir français.
Le Maroc est une bombe humaine à retardement : des diplômés sans travail, et pour finir je confirme que les FACS aux Maroc sont des bastions de la corruption pour les futures élites du Maroc.

hannou moussa beauvais