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Se marier sans son wali...
:
:o)
19 mars 2007 15:01
est ce possible ?

Avez vous des preuves ? des hadiths Sahihs ?
r
19 mars 2007 15:20
wali = papa ?
puissante est la foi....
r
19 mars 2007 15:24
wali = tuteur je pense c est a dire le pere le frere l oncle ou la personne qui s'occupe de la fille

Allah o 3alam
[color=#6600FF][center] rah fark 3adim bine tefah o romana wach mine fark bine nta, nta o ananass el ghiwane[/center][/color]
I
19 mars 2007 15:31
Oui WALI c'est la personne qui "s'occupe" de la fille, en général c'est le papa, sinon l'oncle etc...


Par contre, comme moi je suis convertie, et qu'il faut que le WALI soit musulman, c'est un ami de mon mari qui a fait le Wali pour le mariage.


Question : Une Musulmane a-t-elle le droit de conclure son propre contrat de mariage sans la présence d’un représentant légal (walî) ?


Réponse du Conseil Européen de la Fatwâ et de la Recherche


Le mariage est l’un des contrats les plus importants, car il sous-entend la fondation d’une nouvelle famille, la venue au monde de nouveaux êtres humains, des devoirs et des responsabilités pour les deux conjoints. Etant donné que le mariage est un contrat qui lie les deux époux en tant que partenaires, leur consentement complet est essentiel à son entrée en vigueur. Dieu Tout-Puissant n’a pas permis au représentant légal de la femme (son père ou quelqu’un d’autre) de l’obliger à épouser un homme contre son gré. L’Islam assure en effet à la femme le droit d’accepter ou de refuser toute proposition de mariage.

Ibn `Abbâs — que Dieu l’agrée — affirme qu’une jeune femme alla trouver le Prophète — paix et bénédictions sur lui — pour lui raconter que son père l’avait forcée à se marier. Le Prophète lui laissa le choix entre rester mariée ou annuler le contrat de mariage [1].

Tous les hadiths viennent confirmer ce droit pour la femme. Le Prophète — paix et bénédictions sur lui — dit : « La vierge ne peut être mariée sans son consentement, ni la femme ayant déjà connu le mariage tant qu’elle n’aura pas exprimé ouvertement son accord. » Il ajouta : « Et c’est le père qui s’enquiert du consentement de la vierge. »

En cela, l’Islam décrète que le mariage doit être construit sur l’amour, la compassion et la miséricorde. Dieu Tout-Puissant affirme : « Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l’amour et de la miséricorde. » [2]

Il semble impossible d’atteindre cette beauté des sentiments lorsque le mariage est établi de force et sous la contrainte. Néanmoins, étant donné que la femme, malgré l’indépendance que l’Islam lui accorde, est souvent sujette aux désirs d’opportunistes mal intentionnés, l’Islam a instauré certaines règles de nature à faire respecter ses droits et dissuader les malveillants.

Par conséquent, l’Islam accorde une grande importance à l’approbation du tuteur de la femme, traduisant ainsi la solennité du contrat de mariage. Cela ajoute une autre dimension à la tranquillité et à l’amour que partage la famille, dans la mesure où la femme restera en de bons termes avec ses parents ou ses tuteurs, contrairement à ce qui pourrait arriver si elle allait contre leur souhait. Dans le cas contraire, c’est l’opposé de ce que l’Islam cherche à accomplir qui prévaudrait.

Malgré le consensus général parmi les savants sur le fait que l’approbation du tuteur de la femme est préférable et favorable, les avis diffèrent quant à savoir si c’est là une condition indispensable à la validité du contrat de mariage :

La majorité des savants estiment que l’approbation du tuteur est une condition sans laquelle le contrat ne serait pas valide, en vertu d’un hadith du Prophète — paix et bénédictions sur lui : « Le mariage de toute femme mariée sans la permission de son tuteur est nul. » Il dit également : « Aucun mariage ne doit avoir lieu sans le tuteur. »


Les disciples de Abû Hanîfah affirment cependant que la permission du tuteur n’est pas une condition, tirant cette conclusion d’un hadith rapporté par Muslim, Abû Dâwûd, At-Tirmidhî, Ibn Mâjah et An-Nasâ’î. Dans ce hadith, le Prophète — paix et bénédictions sur lui — dit : « La femme ayant déjà été mariée a le droit de décider pour elle-même, tandis que le consentement de la vierge doit être demandé, une marque de son consentement étant son silence. » Toujours selon la même école, la permission du tuteur devient une condition si la fille n’est pas encore pubère. Par ailleurs, ils affirment que : « Si la femme adulte saine d’esprit se marie (sans la consultation de son tuteur), son mariage est valide si toutes les autres conditions sont remplies. Son tuteur conserve néanmoins le droit de faire appel auprès d’un juge et de requérir l’annulation du contrat. »

Le Conseil Européen de la Fatwâ et de la Recherche conseille à la femme de ne pas mettre à l’écart son tuteur qui recherche le meilleur parti pour elle, à savoir un homme bon plutôt qu’un homme mal intentionné et de mauvaise foi.

Le Conseil recommande également aux pères de faciliter le mariage de leurs filles, de demander leurs avis à propos des prétendants et de ne pas transgresser les droits que l’Islam leur a octroyés. Le Conseil leur rappelle également le hadith du Prophète — paix et bénédictions sur lui : « Si un homme, dont la pratique de la religion et le comportement sont acceptables, vous fait une demande en mariage, acceptez sa demande, sinon le trouble et la corruption se répandront sur terre. »

Par ailleurs, les pères doivent comprendre qu’empêcher leurs filles de se marier constitue une grande injustice, et est formellement interdit par l’Islam. Le Conseil incite les centres islamiques à prendre en considération les règles précédemment citées, car cela est plus sûr et meilleur.

Cependant, si la femme n’a pas de représentant légal, alors un centre islamique doit remplir ce rôle, dans les pays où il n’existe pas de système juridique islamique. Enfin, le Conseil considère que si une femme mature, saine d’esprit, se marie sans l’intervention de son tuteur, alors son mariage est valable.


Puisse Dieu nous guider vers Son droit chemin et nous diriger vers ce qu’Il aime.


[1] Hadith rapporté par l’Imâm Ahmad.

[2] Sourate 30, Les Romains, Ar-Rûm, verset 21.
[center][b][color=#0066FF]Le Prophète (saws) à dit :[/color] [color=#FF66FF]« Agissez pour ce monde comme si vous deviez vivre mille ans, et pour l’autre comme si vous deviez mourir demain »[/b][/color][/center]
:
:o)
19 mars 2007 15:39
merci pour ta réponse ma soeur,

donc si je résume, il est possible de se marier sans la présence de son Wali ?
quelle est la procédure à suivre pour que le mzriage soit Halal ? est ce un Imam ou un Kkadi qui doit célebrer le mariage religieux ?
I
19 mars 2007 18:21
Allahou a3lem je ne sais pas pourquoi ton Wali ne peut/veut pas être présent mais essaye quand même par tous les moyens qu'il soit la... ou qu'il approuve ton choix... Car il y a quand même la majorité des savants qui disent que le mariage n'est pas valide...


A mon avis c'est aussi une question de raisons.

Si par exemple ton Wali refuse ton prétendant juste parce qu'il est blanc au lieu d'être noir ou une raison invalide pour l'Islam alors il est possible de se marier sans...


Citation
a écrit:
quelle est la procédure à suivre pour que le mariage soit Halal ? est ce un Imam ou un Kkadi qui doit célebrer le mariage religieux ?


Aucune idée


Assalam 'alykoum
[center][b][color=#0066FF]Le Prophète (saws) à dit :[/color] [color=#FF66FF]« Agissez pour ce monde comme si vous deviez vivre mille ans, et pour l’autre comme si vous deviez mourir demain »[/b][/color][/center]
T
19 mars 2007 21:19
Citation
Ilhem06 a écrit:
Oui WALI c'est la personne qui "s'occupe" de la fille, en général c'est le papa, sinon l'oncle etc...


Par contre, comme moi je suis convertie, et qu'il faut que le WALI soit musulman, c'est un ami de mon mari qui a fait le Wali pour le mariage.


Question : Une Musulmane a-t-elle le droit de conclure son propre contrat de mariage sans la présence d’un représentant légal (walî) ?


Réponse du Conseil Européen de la Fatwâ et de la Recherche


Le mariage est l’un des contrats les plus importants, car il sous-entend la fondation d’une nouvelle famille, la venue au monde de nouveaux êtres humains, des devoirs et des responsabilités pour les deux conjoints. Etant donné que le mariage est un contrat qui lie les deux époux en tant que partenaires, leur consentement complet est essentiel à son entrée en vigueur. Dieu Tout-Puissant n’a pas permis au représentant légal de la femme (son père ou quelqu’un d’autre) de l’obliger à épouser un homme contre son gré. L’Islam assure en effet à la femme le droit d’accepter ou de refuser toute proposition de mariage.

Ibn `Abbâs — que Dieu l’agrée — affirme qu’une jeune femme alla trouver le Prophète — paix et bénédictions sur lui — pour lui raconter que son père l’avait forcée à se marier. Le Prophète lui laissa le choix entre rester mariée ou annuler le contrat de mariage [1].

Tous les hadiths viennent confirmer ce droit pour la femme. Le Prophète — paix et bénédictions sur lui — dit : « La vierge ne peut être mariée sans son consentement, ni la femme ayant déjà connu le mariage tant qu’elle n’aura pas exprimé ouvertement son accord. » Il ajouta : « Et c’est le père qui s’enquiert du consentement de la vierge. »

En cela, l’Islam décrète que le mariage doit être construit sur l’amour, la compassion et la miséricorde. Dieu Tout-Puissant affirme : « Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l’amour et de la miséricorde. » [2]

Il semble impossible d’atteindre cette beauté des sentiments lorsque le mariage est établi de force et sous la contrainte. Néanmoins, étant donné que la femme, malgré l’indépendance que l’Islam lui accorde, est souvent sujette aux désirs d’opportunistes mal intentionnés, l’Islam a instauré certaines règles de nature à faire respecter ses droits et dissuader les malveillants.

Par conséquent, l’Islam accorde une grande importance à l’approbation du tuteur de la femme, traduisant ainsi la solennité du contrat de mariage. Cela ajoute une autre dimension à la tranquillité et à l’amour que partage la famille, dans la mesure où la femme restera en de bons termes avec ses parents ou ses tuteurs, contrairement à ce qui pourrait arriver si elle allait contre leur souhait. Dans le cas contraire, c’est l’opposé de ce que l’Islam cherche à accomplir qui prévaudrait.

Malgré le consensus général parmi les savants sur le fait que l’approbation du tuteur de la femme est préférable et favorable, les avis diffèrent quant à savoir si c’est là une condition indispensable à la validité du contrat de mariage :

La majorité des savants estiment que l’approbation du tuteur est une condition sans laquelle le contrat ne serait pas valide, en vertu d’un hadith du Prophète — paix et bénédictions sur lui : « Le mariage de toute femme mariée sans la permission de son tuteur est nul. » Il dit également : « Aucun mariage ne doit avoir lieu sans le tuteur. »


Les disciples de Abû Hanîfah affirment cependant que la permission du tuteur n’est pas une condition, tirant cette conclusion d’un hadith rapporté par Muslim, Abû Dâwûd, At-Tirmidhî, Ibn Mâjah et An-Nasâ’î. Dans ce hadith, le Prophète — paix et bénédictions sur lui — dit : « La femme ayant déjà été mariée a le droit de décider pour elle-même, tandis que le consentement de la vierge doit être demandé, une marque de son consentement étant son silence. » Toujours selon la même école, la permission du tuteur devient une condition si la fille n’est pas encore pubère. Par ailleurs, ils affirment que : « Si la femme adulte saine d’esprit se marie (sans la consultation de son tuteur), son mariage est valide si toutes les autres conditions sont remplies. Son tuteur conserve néanmoins le droit de faire appel auprès d’un juge et de requérir l’annulation du contrat. »

Le Conseil Européen de la Fatwâ et de la Recherche conseille à la femme de ne pas mettre à l’écart son tuteur qui recherche le meilleur parti pour elle, à savoir un homme bon plutôt qu’un homme mal intentionné et de mauvaise foi.

Le Conseil recommande également aux pères de faciliter le mariage de leurs filles, de demander leurs avis à propos des prétendants et de ne pas transgresser les droits que l’Islam leur a octroyés. Le Conseil leur rappelle également le hadith du Prophète — paix et bénédictions sur lui : « Si un homme, dont la pratique de la religion et le comportement sont acceptables, vous fait une demande en mariage, acceptez sa demande, sinon le trouble et la corruption se répandront sur terre. »

Par ailleurs, les pères doivent comprendre qu’empêcher leurs filles de se marier constitue une grande injustice, et est formellement interdit par l’Islam. Le Conseil incite les centres islamiques à prendre en considération les règles précédemment citées, car cela est plus sûr et meilleur.

Cependant, si la femme n’a pas de représentant légal, alors un centre islamique doit remplir ce rôle, dans les pays où il n’existe pas de système juridique islamique. Enfin, le Conseil considère que si une femme mature, saine d’esprit, se marie sans l’intervention de son tuteur, alors son mariage est valable.


Puisse Dieu nous guider vers Son droit chemin et nous diriger vers ce qu’Il aime.


[1] Hadith rapporté par l’Imâm Ahmad.

[2] Sourate 30, Les Romains, Ar-Rûm, verset 21.


Salam,


Rien à rajouter à cet avis du conseil européen de la fatwa.


Sinon qu'à ma connaissance, le malikisme, et pas seulement le hanifisme, reconnaît aussi le droit pour une femme ayant déjà été marié de décider pour elle même sans prendre l'avis d'aucun tuteur (Al-Muwatta', Lire 28 "du mariage", 1114 : "une femme jadis mariée a sur elle même plus de droits que son tuteur légal", rapporté par Ibn' Abbâs).


Et que le Maroc, avec la Moudawana, suivant en cela le droit hanifite, autorise le mariage sans accord obligatoire du tuteur.


Amicalement
:
:o)
20 mars 2007 15:30
merci pour vos réponses !

mais est ce que quelqu'un a des exemples dans son entourage?

quelle est la marche a suivre lorsque le tuteur n'est pas d'accord, sachant qu'il s agit d'un refus basé sur des fausses ecxuses (physique origine etc..)
:
:o)
20 mars 2007 16:20
est ce que quelqu u na déjà assister à une ceremonie religieuse sans le tuteur de la fille ?
:
:o)
3 avril 2007 10:07
personne ?sad smiley
s
3 avril 2007 10:40
Citation
yawning smiley) a écrit:
est ce que quelqu u na déjà assister à une ceremonie religieuse sans le tuteur de la fille ?

Salam,

J'ai jamais assisté à une cérémonie sans le papa wa el hamdollillah.
Il faut rappeler que le tuteur n'est pas autre chose que le père.
Etre en désaccord avec lui sur ce point peut causer de gros problèmes relationnels entre la fille et le père, et même la fille et la mère.
De plus, le fait que le père refuse un mariage n'est pas uniquement le cas pour les femmes, ça peut très bien se passer pour un homme que l'un des parents refusent l'union.

Maintenant la question est :
Si le père ou la mère refuse le mariage sans aucune raison légitime?
C'est à dire qu'ils dépassent leurs droits, par exemple, ce qui arrive assez fréquemment, le père s'oppose à un mariage parce que le prétendant est algérien alors qu'il est marocain, ou bien le prétendant est trop coloré à son gout, ou bien le prétendant est du nord et lui du sud, le prétendant n'a pas d'argent comme il le souhaiterait ...

Donc, le père refuse un mariage parce que l'homme n'est pas marocain par exemple, ce qui eest évidemment contraire à l'islam.
Alors, dans ce cas, certains vont dire que le père a dépassé son droit et donc la femme se marie et puis basta.
D'autres vont dire que la femme ne doit pas se marier car la piété filiale est un degré énorme en islam et se mettre à dos les parents causera assurément des problèmes dans le couple et sûrement des problèmes pour les enfants.
J'ai déjà pu voir ce type de mariage où le père était contre, et c'est une grande souffrance pour la femme en particulier mais aussi pour le père qui ne se ravisera pas (fierté oblige).
La difficulté est de mesurer la marche de manoeuvre par rapport au caractère du père (peut il changer facilement? Est il raisonnable ou c'est une tête de mule? Est ce qu'un facteur temps peut arranger la situation? ...)

Je ne pense pas qu'il y a de solution unique, c'est au cas par cas mais il faut toujours garder en tête que des hommes ou des femmes, il y en des tas, alors que nos parents, on en a que deux et eux par-contre, on ne peut ni divorcer, ni les changer, on doit composer avec leurs qualités et leurs défauts en essayant de les satisfaire dans la mesure du possible.


wa Allah o hlem

smiling smiley
R
3 avril 2007 11:45
Citation
srnit a écrit:
Citation
yawning smiley) a écrit:
est ce que quelqu u na déjà assister à une ceremonie religieuse sans le tuteur de la fille ?

Salam,

J'ai jamais assisté à une cérémonie sans le papa wa el hamdollillah.
Il faut rappeler que le tuteur n'est pas autre chose que le père.
Etre en désaccord avec lui sur ce point peut causer de gros problèmes relationnels entre la fille et le père, et même la fille et la mère.
De plus, le fait que le père refuse un mariage n'est pas uniquement le cas pour les femmes, ça peut très bien se passer pour un homme que l'un des parents refusent l'union.

Maintenant la question est :
Si le père ou la mère refuse le mariage sans aucune raison légitime?
C'est à dire qu'ils dépassent leurs droits, par exemple, ce qui arrive assez fréquemment, le père s'oppose à un mariage parce que le prétendant est algérien alors qu'il est marocain, ou bien le prétendant est trop coloré à son gout, ou bien le prétendant est du nord et lui du sud, le prétendant n'a pas d'argent comme il le souhaiterait ...

Donc, le père refuse un mariage parce que l'homme n'est pas marocain par exemple, ce qui eest évidemment contraire à l'islam.
Alors, dans ce cas, certains vont dire que le père a dépassé son droit et donc la femme se marie et puis basta.
D'autres vont dire que la femme ne doit pas se marier car la piété filiale est un degré énorme en islam et se mettre à dos les parents causera assurément des problèmes dans le couple et sûrement des problèmes pour les enfants.
J'ai déjà pu voir ce type de mariage où le père était contre, et c'est une grande souffrance pour la femme en particulier mais aussi pour le père qui ne se ravisera pas (fierté oblige).
La difficulté est de mesurer la marche de manoeuvre par rapport au caractère du père (peut il changer facilement? Est il raisonnable ou c'est une tête de mule? Est ce qu'un facteur temps peut arranger la situation? ...)

Je ne pense pas qu'il y a de solution unique, c'est au cas par cas mais il faut toujours garder en tête que des hommes ou des femmes, il y en des tas, alors que nos parents, on en a que deux et eux par-contre, on ne peut ni divorcer, ni les changer, on doit composer avec leurs qualités et leurs défauts en essayant de les satisfaire dans la mesure du possible.


wa Allah o hlem

smiling smiley

Barakallah oufik tu as super bien résumé le cas thumbs up
 
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