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mariage mixte
A
27 août 2018 22:45
Le mariage entre musulman et non musulman est autorisé en Islam mon cher!
Citation
francais converti a écrit:
Très simple ... tu vas voir:

- si le mariage mixte a lieu entre 2 musulmans --> alors la cérémonie sera musulmane et ne comportera aucun péché (musique, alcool, mixité, viande non-halal, innovations ...)

- si le mariage mixte a lieu entre 2 non-musulmans --> alors la cérémonie sera non-musulmane et à ce moment là faites ce que vous voulez (chantez, draguez, tournez sur la tête ...)

- si le mariage mixte a lieu entre 1 musulman(e) et 1 non-musulman(e) --> alors le mariage et caduque car un tel mariage est tout simplement interdit en islam (sauf cas spécifiques)

Voilà ... grinning smiley .!!! ... c'est pas compliqué la vie ... winking smiley
s
27 août 2018 23:50
Salam
Étant marié avec un européen musulman notre mariage s'est déroulé au Maroc et n avait que du soda , dans ma ville on ne sépare pas les femmes et les hommes c'est uniquement au nord (Tanger Tétouan...) qu'il y a cette tradition. Il y avait un grand chanteur et j ai fais un grand mariage hamdoulah , je garde un très bon souvenir. Pour l'alcool, la famille de mon mari qui n'est pas musulmane a Noël par exemple il y a du Champagne , on essaye de s'assoir le plus loin possible des bouteilles et des verres sachant que sa famille n'est pas des alcooliques nn plus ils boivent un verre. Quand j aide ma belle mère a débarassé la table je prend toute la vaisselle sauf les verres a alcool et bouteille. Je ne peux pas leur imposer de ne pas boire , c de leur coutume et je peux pas refuser d'aller faire le repas de Noël non plus c important pour mon mari ce repas avec sa famille. Deja qu'ils font un effort de faire que viande halal et mange plus de sanglier ce jour là. Donc j'essaye de passer cette journée, je fais bcp d'istighfar après en rentrant,le Dieu sait ma bonne foie chacun sa religion ( lakoum dinokom walia dîne). Après je peux vous assurer que j' ai assisté a pleiiiiin de mariage au bled et il y a la mixité, musique a donf et des cousins souls qui prennent même du 9ar9oubi, pire qu'ici
a
28 août 2018 04:19
Je me permet de te corriger , le mariage qui a été autorisé c'était des hommes musulmans avec les femme chastes issues des "gens du livres " ( les personnes qui pratiquant encore les percepts des livres sacrés de dieu )

Or de nos jours les gens du livres n’existent plus et encore moins les femmes chastes mis à part chez les musulmans bien sur , les chrétiens et juifs sont devenus des associateurs puisque la bible et la thora furent modifiés ( à l'époque du prophète il restait encore des femmes chastes qui avaient conservé las valeurs de la bible et de la thora mais elles n’existent plus de nos jours )

Et l'islam est venu justement pour "restaurer " les messages divins de jesus et moises et tous les prophètes avant eux , si la bible n'avait pas été modifiée alors dieu n'aurait pas envoyé mohamed sws comme messager et il n'y aurait pas eu d'islam , rappelant que Cette fois ci allah a protégé le coran pour qu'il ne soit plus modifié comme la bible et la thora




Citation
Alphaaa a écrit:
Le mariage entre musulman et non musulman est autorisé en Islam mon cher!



Modifié 4 fois. Dernière modification le 28/08/18 08:07 par akker.
28 août 2018 05:02
Tu es invité au mariage mais tu payes tes verres?
eye popping smiley
28 août 2018 07:47
As salamou alaikoum.

En islam:

1- il est strictement interdit à une femme musulmane d'épouser un homme non-musulman.

Pour ceux qui veulent s'amuser à émettre des fatwas mensongères (même parmi les pseudos savants modernes) ils verront le Jugement d'Allah azawjel au Jour du Jugement.
Étant moi-même un français converti, les autorités marocaines ont exigées de ma part une preuve obligatoire de ma conversion sous peine de refus de me marier avec ma prétendante marocaine musulmane --> et c'est une très bonne chose.

2- il est strictement interdit à un homme musulman d'épouser une femme non-musulmane, sauf si elle fait partie des "Gens du Livre" (chrétiens, juifs).

Mais comme l'a très bien mentionné Akker, ces "Gens" n'existent plus.
De plus les savants du Consensus ont dit: "Déjà que nous rencontrons de lourds problèmes de nos jours avec nos propres femmes musulmanes concernant le domaine religieux alors qu'en sera t-il avec des juives ou des chrétiennes?" Donc Allahou 'alam pour cette question.

________________________________________________

Le mariage d’une musulmane avec un non-musulman est absolument interdit ; il s’agit d’un principe très fort de la culture musulmane, qui s’impose partout, dans tous les pays.

Coran, sourate 2, verset 221. « (…) Ne donnez pas vos filles en mariage aux associateurs avant qu’ils ne croient. Certes, un esclave croyant vaut mieux qu’un associateur même s’il vous plaît. Car les associateurs invitent au feu ; tandis qu’Allah invite, de par sa grâce, au paradis et au pardon. Allah expose ses enseignements aux hommes ; peut-être réfléchiront-ils ! »

Coran, sourate 60, verset 10. « Ô croyants ! Quand viennent à vous des croyantes émigrées, éprouvez-les. Allah connaît très bien leur foi. Si vous les reconnaissez comme croyantes, ne les renvoyez pas aux infidèles [ndlr de La Mecque]. Elles ne sont pas licites en tant qu’épouses pour eux, et eux non plus ne sont pas licites en tant qu’époux pour elles. (…) »

La jurisprudence chaféite confirme : Section m6.7 « Il est contraire à la loi (…) : (5) (…) pour une musulmane d’épouser quiconque n’est pas musulman. »

La Convention citoyenne des musulmans de France n’évoque d’ailleurs pas la question et valide donc par défaut cette interdiction.

Le Conseil européen des fatwas confirme cette disposition : « Après avoir pris connaissance des recherches et des études aux orientations différentes, qui ont traité ce sujet avec profondeur et d’une manière détaillée au cours des trois sessions successives, et après exposition des différents avis juridiques et des argumentations qui y sont liées, en considérant les règles juridiques, les fondements du droit musulman et les finalités de la législation, tout en tenant compte des situations spécifiques que vivent les nouvelles musulmanes en occident dont les époux ont conservé leur religion, le Conseil confirme qu’il est illicite à la femme musulmane de se marier initialement avec un non musulman conformément au consensus de la communauté musulmane, comprenant aussi bien les pieux prédécesseurs que ceux qui les ont suivis. »

Yusuf Qaradawi confirme dans un autre ouvrage : « Il est interdit à la musulmane d’épouser un non-musulman, qu’il soit ou non des Gens du Livre. Cela ne peut en aucune façon lui être permis. (…) Cette interdiction jouit du consensus de tous les musulmans. L’islam a uniquement permis au musulman d’épouser une juive ou une chrétienne, mais il n’a jamais permis à la musulmane d’épouser un juif ou un chrétien, car l’homme est le maître de la maison. C’est lui qui veille aux intérêts de la femme et qui en est responsable. (…) Il est évidemment impossible pour une musulmane de parvenir à protéger sa religion et à suivre ses préceptes alors que son mari qui tient les rênes du foyer renie totalement cette religion. »

Le Statut confirme également : « Une musulmane ne saurait être sous l’autorité conjugale d’un non-musulman. (…) Si l’on suppose qu’une femme musulmane a épousé un non-musulman, il y a deux possibilités : soit elle ignorait le jugement de Dieu en la matière ; alors on doit le lui faire savoir et on la sépare de son mari non-musulman. Soit elle s’était mariée avec cet homme en connaissant l’interdiction de Dieu. Elle aura autorisé ce que Dieu a interdit. Dans ce cas, Dieu n’acceptera ni son adoration ni sa lecture du Coran. On ne priera pas pour elle si elle meurt dans cet état ; sauf si elle renonce à son apostasie, se repentit et revient à l’islam, alors sa condition sera celle du reste des musulmans. »



Citation
Alphaaa a écrit:
Le mariage entre musulman et non musulman est autorisé en Islam mon cher!
28 août 2018 07:49
(suite)

L’impossibilité du mariage d’une musulmane avec un non-musulman reste actuellement la norme juridique dans les pays musulmans (seul le mariage religieux étant reconnu), même ceux dits « modérés » comme l’Algérie, le Maroc, la Tunisie (dans ce dernier cas, semble-t-il en raison de dispositions administratives ne figurant pas dans le Code de Statut Personnel ou des pratiques locales des officiers de l’administration ; c’est un point qui n’est pas forcément facile à vérifier). Dans les pays musulmans, une jeune femme musulmane ne peut donc pas se marier totalement librement avec l’homme de son choix.

En France, cette jeune femme musulmane peut se marier au moins civilement avec un non-musulman puisque la religion n’entre pas en ligne de compte pour les autorités françaises. Encore que : car, semble-t-il, les mairies réclament a priori un « certificat de coutume » du pays d’origine (est-il réellement incontournable ?) validant le célibat de la femme (afin d’éviter en France la polygamie au cas où la femme serait déjà mariée) et que sa non-délivrance administrative est un levier d’action pour pousser à la conversion (au moins sur le papier) du mari.

Un nombre infime de musulmans ose remettre en cause ce principe. Tareq Oubrou est une des rares personnes qui ose écrire : « Ce qui est permis aux hommes doit l’être aux femmes. Cela vaut notamment pour le mariage interreligieux. Pourquoi permettre à l’homme musulman de se marier avec une chrétienne ou une juive et pas l’inverse ? Aucun texte ne l’interdit. Nous ne sommes plus dans la société patriarcale où cet avis du droit classique musulman a été forgé. »

JUSTIFICATION RATIONELLE

Pourquoi ce principe, qui bafoue clairement la liberté individuelle dans un environnement laïc comme en France – mais se comprend tout à fait dans des sociétés ne dissociant pas le religieux et le civil -, a-t-il une telle force dans le monde musulman et n’est-il pas dénoncé par les musulmans de France ? On peut y voir un lien assez naturel avec la hiérarchie que l’islam met entre les communautés humaines, la communauté musulmane étant au-dessus de toutes les autres communautés. En effet, on a vu que l’inégalité naturelle homme-femme donne une prédominance claire à l’homme sur la femme. Qu’un musulman épouse une non-musulmane est donc tolérable puisque c’est l’homme qui a de toutes façons le dernier mot sur l’éducation des enfants et la conduite des affaires de la famille ; dans ces conditions, la famille pourra de fait être musulmane. En revanche, si une musulmane épouse un non-musulman, cela revient, du fait de l’inégalité homme-femme, à assujettir l’islam, représenté par la femme, à une autre religion, en courant le risque que les enfants ne soient pas musulmans, ce qui est tout à fait intolérable et impensable.

Le Statut de la femme musulmane indique : « Une musulmane ne saurait être sous l’autorité conjugale d’un non-musulman. (…) Si l’on suppose qu’une femme musulmane a épousé un non-musulman, il y a deux possibilités : soit elle ignorait le jugement de Dieu en la matière ; alors on doit le lui faire savoir et on la sépare de son mari non-musulman. Soit elle s’était mariée avec cet homme en connaissant l’interdiction de Dieu. Elle aura autorisé ce que Dieu a interdit. Dans ce cas, Dieu n’acceptera ni son adoration ni sa lecture du Coran. On ne priera pas pour elle si elle meurt dans cet état ; sauf si elle renonce à son apostasie, se repentit et revient à l’islam, alors sa condition sera celle du reste des musulmans. »

CONSÉQUENCES

Si un musulman marié à une musulmane change de religion, c’est-à-dire devient apostat, son mariage est automatiquement dissous au regard des autorités musulmanes. Cette requête en annulation peut a priori être formulée par quiconque aurait connaissance de l’apostasie (défense de la communauté contre ce qui est considéré être une agression).

Ainsi en a-t-il été pour Nasr Hamid Abyu Zayd, professeur d’exégèse coranique au Caire, rédacteur d’un livre intitulé « le concept du texte », déclaré apostat par les autorités religieuses égyptiennes en raison d’une analyse du Coran jugée trop critique car contextualisant trop la rédaction du Coran par rapport à la situation sociale, politique et religieuse de l’Arabie du VIIème siècle. Celui-ci dut fuir l’Égypte pour se réfugier aux Pays-Bas, où il vécut une quinzaine d’années jusqu’à sa mort en 2010, son mariage ayant par ailleurs été annulé par les autorités égyptiennes au début des années 90 puisqu’un non-musulman (étant déclaré apostat, il n’était plus musulman) n’a pas le droit d’être marié à une musulmane.

Si le mariage civil a eu lieu en France, une jeune femme musulmane qui voyage dans un pays musulman avec son mari peut a priori être accusée selon l’angle d’analyse de fornication ou d’apostasie au regard de la doctrine.


source: [islametoccident.fr]
a
28 août 2018 08:26
Salam juridiquement parlant les lois peuvent être facilement contournées , faux certificat de conversion ou bien l'homme fait semblant de se convertir ( sa femme est au courante bien sur )

Entant que musulman c'est le jugement de dieu qui doit nous préoccuper et non pas le jugement des humains , on peut facilement tromper les humains( son entourage , ses amis ect ...) comme je l'est souligné plus haut mais on ne peut pas tromper allah

un musulman qui se marie avec une personne non-musulmane doit savoir qu'aux yeux d'allah son mariage est illicite et de ce fait il est dans le haram , c'est comme si il était dans une relation hors mariage .

nous on est là pour l'informer car on se dit que peut-être il est dans l'ignorance et qu'il ne connait pas cela ou peut-être qu'il a succombé à ses tentations et que nos paroles puissent le réveiller , après libre à lui de faire ses choix et de les assumer devant le créateur



Citation
francais converti a écrit:
(suite)

L’impossibilité du mariage d’une musulmane avec un non-musulman reste actuellement la norme juridique dans les pays musulmans (seul le mariage religieux étant reconnu), même ceux dits « modérés » comme l’Algérie, le Maroc, la Tunisie (dans ce dernier cas, semble-t-il en raison de dispositions administratives ne figurant pas dans le Code de Statut Personnel ou des pratiques locales des officiers de l’administration ; c’est un point qui n’est pas forcément facile à vérifier). Dans les pays musulmans, une jeune femme musulmane ne peut donc pas se marier totalement librement avec l’homme de son choix.

En France, cette jeune femme musulmane peut se marier au moins civilement avec un non-musulman puisque la religion n’entre pas en ligne de compte pour les autorités françaises. Encore que : car, semble-t-il, les mairies réclament a priori un « certificat de coutume » du pays d’origine (est-il réellement incontournable ?) validant le célibat de la femme (afin d’éviter en France la polygamie au cas où la femme serait déjà mariée) et que sa non-délivrance administrative est un levier d’action pour pousser à la conversion (au moins sur le papier) du mari.

Un nombre infime de musulmans ose remettre en cause ce principe. Tareq Oubrou est une des rares personnes qui ose écrire : « Ce qui est permis aux hommes doit l’être aux femmes. Cela vaut notamment pour le mariage interreligieux. Pourquoi permettre à l’homme musulman de se marier avec une chrétienne ou une juive et pas l’inverse ? Aucun texte ne l’interdit. Nous ne sommes plus dans la société patriarcale où cet avis du droit classique musulman a été forgé. »

JUSTIFICATION RATIONELLE

Pourquoi ce principe, qui bafoue clairement la liberté individuelle dans un environnement laïc comme en France – mais se comprend tout à fait dans des sociétés ne dissociant pas le religieux et le civil -, a-t-il une telle force dans le monde musulman et n’est-il pas dénoncé par les musulmans de France ? On peut y voir un lien assez naturel avec la hiérarchie que l’islam met entre les communautés humaines, la communauté musulmane étant au-dessus de toutes les autres communautés. En effet, on a vu que l’inégalité naturelle homme-femme donne une prédominance claire à l’homme sur la femme. Qu’un musulman épouse une non-musulmane est donc tolérable puisque c’est l’homme qui a de toutes façons le dernier mot sur l’éducation des enfants et la conduite des affaires de la famille ; dans ces conditions, la famille pourra de fait être musulmane. En revanche, si une musulmane épouse un non-musulman, cela revient, du fait de l’inégalité homme-femme, à assujettir l’islam, représenté par la femme, à une autre religion, en courant le risque que les enfants ne soient pas musulmans, ce qui est tout à fait intolérable et impensable.

Le Statut de la femme musulmane indique : « Une musulmane ne saurait être sous l’autorité conjugale d’un non-musulman. (…) Si l’on suppose qu’une femme musulmane a épousé un non-musulman, il y a deux possibilités : soit elle ignorait le jugement de Dieu en la matière ; alors on doit le lui faire savoir et on la sépare de son mari non-musulman. Soit elle s’était mariée avec cet homme en connaissant l’interdiction de Dieu. Elle aura autorisé ce que Dieu a interdit. Dans ce cas, Dieu n’acceptera ni son adoration ni sa lecture du Coran. On ne priera pas pour elle si elle meurt dans cet état ; sauf si elle renonce à son apostasie, se repentit et revient à l’islam, alors sa condition sera celle du reste des musulmans. »

CONSÉQUENCES

Si un musulman marié à une musulmane change de religion, c’est-à-dire devient apostat, son mariage est automatiquement dissous au regard des autorités musulmanes. Cette requête en annulation peut a priori être formulée par quiconque aurait connaissance de l’apostasie (défense de la communauté contre ce qui est considéré être une agression).

Ainsi en a-t-il été pour Nasr Hamid Abyu Zayd, professeur d’exégèse coranique au Caire, rédacteur d’un livre intitulé « le concept du texte », déclaré apostat par les autorités religieuses égyptiennes en raison d’une analyse du Coran jugée trop critique car contextualisant trop la rédaction du Coran par rapport à la situation sociale, politique et religieuse de l’Arabie du VIIème siècle. Celui-ci dut fuir l’Égypte pour se réfugier aux Pays-Bas, où il vécut une quinzaine d’années jusqu’à sa mort en 2010, son mariage ayant par ailleurs été annulé par les autorités égyptiennes au début des années 90 puisqu’un non-musulman (étant déclaré apostat, il n’était plus musulman) n’a pas le droit d’être marié à une musulmane.

Si le mariage civil a eu lieu en France, une jeune femme musulmane qui voyage dans un pays musulman avec son mari peut a priori être accusée selon l’angle d’analyse de fornication ou d’apostasie au regard de la doctrine.


source: [islametoccident.fr]



Modifié 2 fois. Dernière modification le 28/08/18 08:35 par akker.
28 août 2018 09:20
Wa alaikoum salam.

Tu as 100% mon très cher frère en Dieu.

Le jour où les musulmans parviendront à avoir plus de crainte en Allah plutôt qu'en Ses créatures ... la terre commencera peut-être a gouté aux fruits délicieux de l'islam.
Citation
akker a écrit:
Salam juridiquement parlant les lois peuvent être facilement contournées , faux certificat de conversion ou bien l'homme fait semblant de se convertir ( sa femme est au courante bien sur )

Entant que musulman c'est le jugement de dieu qui doit nous préoccuper et non pas le jugement des humains , on peut facilement tromper les humains( son entourage , ses amis ect ...) comme je l'est souligné plus haut mais on ne peut pas tromper allah

un musulman qui se marie avec une personne non-musulmane doit savoir qu'aux yeux d'allah son mariage est illicite et de ce fait il est dans le haram , c'est comme si il était dans une relation hors mariage .

nous on est là pour l'informer car on se dit que peut-être il est dans l'ignorance et qu'il ne connait pas cela ou peut-être qu'il a succombé à ses tentations et que nos paroles puissent le réveiller , après libre à lui de faire ses choix et de les assumer devant le créateur
p
28 août 2018 12:26
Salam et bonjour,
Petites anecdotes que vous devez tous avpir vue au cours de vos vie.
Je suis non musulmans marié avec une française d'origine marocaine depuis 15 ans, j'ai donc été a de nombreux mariages musulmans crs dernières années. Et bien, je trouve tout cela bien hypocrite lorsque à chaque fois, les gars se retrouvent derrière les voitures a siroter leur alcool et les femmes a faire la queue aux toilettes pour aller fumer sans que personne ne les voient...
A un moment faut faire des choix et surtout arrêter de faore la moral aux autres....
28 août 2018 13:37
c'est vraiment beau ça! smiling smiley
L'effort est fait des deux bords, tous le monde s'entend bien grinning smiley

Je veux dire, tout le monde devrait être capable de se mettre dans la peau de l'autre et pouvoir comprendre pourquoi ci ou pourquoi ça smiling smiley

Certaines personnes exagère en disant que c'est un sacrifice...ptdr
manger halal et boire peu quand vous êtes présents ou vous asseoir plus loin de ceux qui boivent, ne pas toucher les verres d'alcool... c'est un suuupper sacrifice lol!

Ce que je veux dire, c'est qu'un mariage mixte peut parfaitement bien se passer si les gens sont ''assez ouvert'' comme votre couple smiling smiley
Je ne dis pas que les autres ne le sont pas, ceux qui refuse catégoriquement de faire/aller dans un mariage mixte. C'est votre droit, votre opinion smiling smiley

Citation
sanaa2010 a écrit:
Salam
Étant marié avec un européen musulman notre mariage s'est déroulé au Maroc et n avait que du soda , dans ma ville on ne sépare pas les femmes et les hommes c'est uniquement au nord (Tanger Tétouan...) qu'il y a cette tradition. Il y avait un grand chanteur et j ai fais un grand mariage hamdoulah , je garde un très bon souvenir. Pour l'alcool, la famille de mon mari qui n'est pas musulmane a Noël par exemple il y a du Champagne , on essaye de s'assoir le plus loin possible des bouteilles et des verres sachant que sa famille n'est pas des alcooliques nn plus ils boivent un verre. Quand j aide ma belle mère a débarassé la table je prend toute la vaisselle sauf les verres a alcool et bouteille. Je ne peux pas leur imposer de ne pas boire , c de leur coutume et je peux pas refuser d'aller faire le repas de Noël non plus c important pour mon mari ce repas avec sa famille. Deja qu'ils font un effort de faire que viande halal et mange plus de sanglier ce jour là. Donc j'essaye de passer cette journée, je fais bcp d'istighfar après en rentrant,le Dieu sait ma bonne foie chacun sa religion ( lakoum dinokom walia dîne). Après je peux vous assurer que j' ai assisté a pleiiiiin de mariage au bled et il y a la mixité, musique a donf et des cousins souls qui prennent même du 9ar9oubi, pire qu'ici
[i]J'ai fermé les yeux... Je les entendais pleurer, mais je ne pouvais rien faire. Mes yeux sont fermés et mes mains sont en feux[/i]
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