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baliygh75 a écrit:
Salam
Avant de faire des Raccourcis ! Il faut déjà consulter des Spécialistes médicaux sur le Sujet, Ensuite tenter autre Chose. Mais dans l’immédiat rester dans la Rationalité. Ne Cherchez Pas que le côté le plus facile, lorsqu’on est soit même qu’Observateur, n’est pas suffisant ! La médecine a des réponses semblables à des pathologies qui se manifestent comme des «Ensorcellements». Et qui sont de l’ordre scientifique. Avancez avec vôtre Temps et éloignez-vous des Superstitions. Vous serez plus positif. Quand ce sera Nécessaire.
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Khalid15 a écrit:
les blancs que tu admires touchent à la sorcellerie cela n'a rien à voir avec les pratiques moyen ageuses .
[www.lepoint.fr]
Les sorciers sont parmi nous !
Un Français sur trois reconnaît avoir consulté un guérisseur, un magnétiseur ou encore un conjureur de sorts. Un ethnologue consacre une étude au phénomène. Propos recueillis par Baudouin Eschapasse
Vos origines bretonnes ont-elles pesé dans votre vocation ? La Bretagne est-elle une région où se pratique davantage qu'ailleurs la magie ?
Pas du tout. C'est un cliché qui a la vie dure. En réalité, aucune région de France n'est épargnée. Si j'ai prioritairement étudié les pratiques magiques dans l'ouest de la France, c'est par commodité, parce que j'habitais dans cette région. Mais j'ai pu constater que celles qui ont cours dans le Jura, par exemple, sont tout aussi nombreuses.
Ces pratiques sont-elles réservées à un milieu socioprofessionnel particulier ?
Là encore, il faut tordre le cou aux idées reçues. Tous les milieux sociaux sont concernés. Le niveau d'études, le niveau de richesses n'influent aucunement sur la croyance en l'existence d'une alternative à la médecine traditionnelle. J'ai même découvert, avec surprise, qu'une pratique religieuse n'empêchait pas d'adhérer à ce système de croyances. On peut faire partie d'une Église et recourir à la magie.
Que recherchent les personnes qui y recourent, justement ?
Les attentes des « clients » de sorciers sont variées. Certains cherchent un accroissement de leur capital économique. Ce sont des agriculteurs qui convoitent un terrain, qui veulent voir leur exploitation fructifier ou encore prémunir leurs récoltes des intempéries. Mais cela peut aussi être des professions libérales (médecins ou avocats) qui souhaitent développer leur activité. D'autres « clients » cherchent à élargir leur « capital relationnel » : ils forment des attentes sur le plan affectif, amical ou amoureux. On compte aussi des politiques à la recherche de moyens de s'attirer les bonnes grâces des électeurs en se rendant sympathiques auprès du plus grand nombre. Un dernier cas de figure concerne les personnes qui souhaitent assouvir un désir de vengeance : régler des comptes, écarter un envoûtement ou y riposter.
A-t-on une idée du nombre d'adeptes de sorcellerie en France ?
On estimait, à la fin des années 90, à plus de 50 000 le nombre de guérisseurs, magnétiseurs, radiesthésistes, conjureurs de sorts, diseuses de bonne aventure ou encore rebouteux à travers l'Hexagone... Ce qui mélange des activités qui n'ont rien à voir les unes avec les autres. Quand on regarde les déclarations fiscales établies par ces personnes, du moins celles qui déclarent une activité professionnelle liée à ce que l'on désigne traditionnellement sous le terme de sorcellerie, on constate que leur chiffre d'affaires est supérieur à celui des médecins généralistes ! Toutes les études d'opinion convergent. Un Français sur trois reconnaît avoir eu, un jour, recours à une forme de médecine « parallèle ». On ne peut donc pas balayer cela d'un revers de main.
Diriez-vous que l'univers technologique dans lequel nous évoluons fait refluer ces croyances ?
Pas du tout. Ce n'est pas parce que nous n'en parlons plus qu'elles n'existent plus.
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mehdi bou3 a écrit:
salamou 3alaykoum wa rahmattoLlahi wa barakatouh, je voudrais connaître votre avis sur cette question : si une personne est touchée par un sihr et que ça impacte dans sa vie de tous les jours, est il raisonnable selon vous qu'elle se marie ? si c'est non, alors malheureusement elle devra endurer sa maladie et le célibat ce qui est d'autant plus difficile, et si c'est oui, elle devra faire subir à son conjoint l'impact de la sorcellerie dans un couple, ce qui est très compliqué. Que doit elle faire selon vous, et si mariage il doit y avoir, la personne doit elle prévenir la ou le prétendant, qu'elle est atteinte par un sihr?
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Mouhammad1900 a écrit:
Donc si les blancs comme vous dites touchent à la sorcellerie , on est obligés d’y croire aussi?