Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
ces livres qui ont bercé notre enfance...
p
7 octobre 2006 21:40
salam à tous!

vous souvenez-vous de tous ces livres que l'on a lus étant petits et auxquels on doit quelques instants d'évasion?

je vous propose d'en dresser une liste, en souvenir du bon vieux temps!

je commence:
- l'incontournable "Les contes de la rue broca" de Gripari... souvenez-vous de bachir et de nadia que la sorcière de la rue Mouffetard veut manger avec de la sauce tomate, hihihi

- "Ali Baba et les 40 voleurs"

- Mafalda et le géant (je ne me souviens plus du titre exact...)

...
à votre tour!
s
7 octobre 2006 22:24
charlie et la chocolaterie.....
c
7 octobre 2006 23:48
les series je bouquine , j'aime lire et puis les Tintin.


pour Les contes de la rue brocacrying( c'etait sur Canal J [celle de l'epoque]
s
8 octobre 2006 00:25
les livres de oui oui

peter pan

les aristochats

la belle au bois dormant

plusieurs contes


picsou


le petit prince In love

et tout une liste que j'ai oublié
s
8 octobre 2006 01:18
J'ai lu et relu :Le petit Poucet,Barbe Bleu,le petit chaperon rouge,les Martines ,les ALICE (bibliotheque verte) etc ..
PLEIN PLEIN PLEIN
b
8 octobre 2006 01:30
"les trois brigands" de tomi ungerer. un géant, une légende de la littérature de jeunesse... une histoire magnifique...
"Si les singes savaient s'ennuyer ils pourraient devenir des hommes." (Goëthe)
p
8 octobre 2006 12:50
ah oui, les bibliothèque verte c'était super!!! ils avaient une odeur particulière ces vieux livres, je kiffais trop...
je lisais le club des cinq
b
8 octobre 2006 14:14
Portraits
Grégoire Solotareff, 53 ans, auteur de livres pour enfants qui n'ennuient pas les adultes. Grandi dans une famille cosmopolite, il a abandonné la médecine pour devenir conteur.
Môme pas peur
Par Sabrina CHAMPENOIS
QUOTIDIEN : Samedi 7 octobre 2006 - 06:00

Au rayon littérature jeunesse, Grégoire Solotareff, c'est du lourd. Capable d'occuper à lui seul une bonne bibliothèque avec ses cent vingt-huit livres en l'espace de quinze ans, traduits partout. Mais surtout, un pilier de l'école des loisirs, adoubé par l'Education nationale qui le fait lire en classe, loué par la critique pour son absence de mièvrerie, et par les parents qui peuvent faire passer la bonne parole sans bailler. Car son oeuvre a entre autres de plaisant que les enfants, auxquels elle s'adresse n'y sont pas forcément aimables. Des gens, quoi. Cette Mona, par exemple, héroïne de U, son deuxième film d'animation. Au début, c'est une pauvrette, orpheline esclavagisée par un couple mère-fils dans un château sinistre. Eux ont des faces de rats, elle hésite entre le teckel et le beagle. Quand surgit U, une petite licorne qui va la réconforter, l'ouvrir au monde. Et la néo-Cendrillon de se faire liane, s'admirer à longueur de journée, glander au lit fascinée par ses ongles. Diction traînante et moues boudeuses, elle s'approprie sa vie dans un élan d'égocentrisme émancipateur. A elle le frisson de la découverte ­ altérité, amitié, éveil des sens, amour. Dommage collatéral : Mona n'en a pas forcément à cirer des autres, y compris U. Au total, un manifeste hédoniste qui réhabilite «l'âge ingrat».
On pense à la phrase de Truffaut : «L'adolescence ne laisse un bon souvenir qu'aux adultes ayant mauvaise mémoire.» On suggère une relecture commode de l'histoire, mais Grégoire Solotareff maintient : «Le souvenir d'une période incroyablement riche, où tout est possible, promesse, espoir.» Point d'orgue, précisément, les filles : «Les adolescentes me fascinent depuis ma propre adolescence. Cet alliage de grande timidité et d'arrogance inouïe...» Leur fréquentation s'est révélé source de «plein d'histoires malheureuses», il en conserve malgré tout, à 53 ans, un sourire rêveur. «Les garçons, c'est plus laborieux, et ça ne se finit que tardivement, vers 35 ans je dirais.» Grégoire Solotareff, lui, emploie des expressions comme «c'est naze», et ne fera pas de livre sur les vieux.
Le problème n'est pas la gravité. Plutôt que l' entertainment, Solotareff revendique la nécessité de «faire sens», n'hésite pas à parler de dimension «morale» : «Dès qu'on parle des choses de la vie, on fait passer l'idée et l'envie qu'on en a, de la vie.» L'admirateur des Saul Steinberg, Topor, Ungerer et Taniguchi, fait d'ailleurs remarquer que dans U , il ne se passe pas grand-chose, hormis le passage d'une fillette à l'adolescence. Un moment dont il suggère l'importance et l'impact plus qu'il ne les assène. Idem des «valeurs» amitié ­ tolérance ­ générosité. «Il évite les deux travers qu'ont souvent les adultes quand ils s'adressent aux enfants : le cliché et la bêtification», dit Arthur Hubschmid, son éditeur. Le dessin lui-même n'est pas joli-joli au sens classique, avec son bestiaire de longs nez et grandes oreilles, ses contours noirs, ses aplats de couleur. Hubschmid : «Je dirais qu'il est, sur le fond, un petit-fils de Benjamin Rabier [dessinateur, père de Gédéon le canard, ndlr] et de Toni Ungerer, et sur la forme, un fils d'expressionnistes allemands tardifs.»
Mon tout donne, au bout de vingt ans d'activité, une quasi-institution . L'intéressé hausse un sourcil ­ il les a très circonflexes, ce qui lui donne des airs de Romain Gary. «Si institutionnalisation il y a, c'est malgré moi.» On voit bien ce qui le dérange. Le côté installé, ponte, le risque rond de cuir. Or il a ça «en horreur, les choses cadrées, l'astreinte, la hiérarchie». D'ailleurs, quand il parle de son métier, il est comme le gamin devant le sapin de Noël : «J'ai une chance incroyable.» Il dresse un tableau idyllique : liberté totale dans son atelier du IVe arrondissement parisien, sur fond de musique (baroque, jazz, clavecin, Fela), plaisir constant, de l'écriture (phase 1) au dessin (phase 2). «Je ne fais pas grand-chose à part travailler, parce que j'adore ça.» Il voyage le moins possible car il y perd ses «repères» , ou alors il cherche des destinations où il pourrait plancher.
La hiérarchie, la contrainte, Grégoire Solotareff n'a connu ça que très tard. A 12 ans, quand il est allé pour la première fois à l'école. C'était au lycée international de Saint-Germain-en-Laye, un des premiers du genre en France. Jusque-là, il avait appris de sa mère, qui supervisait les cours par correspondance de ses quatre enfants. Olga Solotareff était une peintre et dessinatrice française d'origine russe, épouse d'Henri El Kayem, pédiatre et intellectuel, syrien d'origine libanaise, grand ami du poète Georges Schéhadé. Ils s'étaient rencontrés à Alexandrie où Grégoire, leur deuxième fils, est né en 1953. A l'arrivée de Nasser, départ pour Beyrouth. Monsieur se partage entre la fac de médecine où il enseigne et son cabinet. Madame s'occupe des enfants, dessine, invente des histoires... Vie cosmopolite, mi-bourgeoise mi-bohème, «une bulle» reproduite ensuite en France. 1960 : «Il n'y avait pas encore la guerre, mais ils considéraient la France comme leur pays.» Au point de franciser El Kayem en Lecaye, patronyme que prendra Olga quand elle sera à son tour publiée en littérature jeunesse (une soeur de Grégoire l'est aussi, sous son prénom, Nadja). On ne parle pas arabe chez les El Kayem, au premier chef le père, dans un refus de l'orientalité que son fils interprète a posteriori comme un réflexe quasi de caste : «Les chrétiens d'Alexandrie se comportaient alors en colons à l'égard des musulmans, et ne pas parler arabe y participait.» Lui n'est retourné en Egypte que 24 heures, jamais au Liban, mais il se sent proche de «cette façon d'aborder la vie, la dérision, la fatalité, le flegme.»
Grégoire Solotareff, qui vote à gauche mais hésite sur Royal à cause du «côté prof», a vite été viré du collège, pour indiscipline. Re-cours par correspondance, avant de réintégrer le lycée la veille du bac. Là-dessus, études de médecine : il envisage la pédopsychiatrie ou la chirurgie («pour le côté manuel, couture, réparation»). Mais ne supporte pas l'astreinte et le mandarinat. Il porte cinq ans la blouse blanche, mais aux urgences et au rapatriement sanitaire, histoire de ne pas s'installer, «de ne pas y aller vraiment». Et lâche tout au début des années 80, pour le dessin pourtant en jachère depuis l'enfance. Débuts au Herald Tribune , rubrique Style, où il illustre les défilés de mode : «Je dessinais comme un âne» (quand sa préférence va au loup).
En littérature jeunesse, il commencera par des photocopies, des collages, ses personnages seront des animaux «car plus faciles à dessiner». Il n'a pas été «un papa poule du genre à jouer au foot» et ses enfants à lui sont allés à l'école «classique». Son fils écrit des scénarios, sa fille étudiante s'apprête à publier un livre où elle reprend un travail inachevé d'Olga Lecaye, morte il y a deux ans. Ces temps-ci, Grégoire Solotareff adore la gouache. Qui permet de «revenir, recommencer, tout en mettant moins de temps à sécher que l'huile». Une matière qui tarde à se figer, on comprend que ça lui plaise. Lui que la mort glace. «C'est la vieillesse, en fait, que je ne supporte pas : l'éventualité d'une fin dégradante, la dépendance», et qui n'avoue qu'une difficulté dans son travail : «Terminer mes histoires.»
Ces jours-ci, il procède à son vingtième déménagement. En locataire : il se décrit plutôt en claqueur qu'en thésauriseur, qui se défait volontiers des choses «même les plus personnelles». Se défaire, refaire, ad libitum. Histoire de vérifier que tout reste «possible, promesse, espoir» ?


[www.liberation.fr]
"Si les singes savaient s'ennuyer ils pourraient devenir des hommes." (Goëthe)
N
8 octobre 2006 19:39
"l'incontournable "Les contes de la rue broca" de Gripari... souvenez-vous de bachir et de nadia que la sorcière de la rue Mouffetard veut manger avec de la sauce tomate, hihihi "

eye popping smileyeye popping smileyOhOhwaohhhhhhhhhhhhhh comment j'aiamais trop ces contesssssss!!!
tu viens de me déballer tte mon enfance lacrying(

grinning smileygrinning smileyj'ai trop aiméé!!tiens d'ailleurs jvais en racheter:bachirrrrrrrrrrrgrinning smiley
[color=#CC6666][b][center]Il y a, dans la création des cieux et de la terre et dans la succession de la nuit et du jour, des signes pour ceux qui sont doués d'intelligence _ sourate 3/verset 190[/center][/color][/b]
s
8 octobre 2006 21:37
Citation
salma26 a écrit:
les livres de oui oui

peter pan

les aristochats

la belle au bois dormant

plusieurs contes


picsou


le petit prince In love

et tout une liste que j'ai oublié

salma26,


j'ai adoré "plusieurs contes" un chef d'oeuvre.
n
13 octobre 2006 00:33
- Les livres "Martine......", j'adore même maintenant, les dessins sont si beau.
- La bibiothéque rose : OUI-OUI
- La biliothéque verte: Le club des 5
- bande dessinée "Stranges" (super héros: 4 fantastiques, xmen, dardeville...). Dés que j'avais terminé un strange j'allais au marché les échanger chez un gars qui vendait des BD, ça m'évitais de les acheter (maintenant il n'y a plus ça sur les marché - en tout cas ici).
- Les BD de Franck margerin (je me rappelle plus le nom du personnage "un rockeur)
- La BD "Les passagers du vent"
m
13 octobre 2006 06:00
le petit nicolas In love
13 octobre 2006 09:54
les series de Rajoul almousta7ile
[center][b]« Tout le monde pense à changer le monde mais personne ne songe à se changer lui-même. »[/b][/center] اكتُب مبادئك بقلمٍ جاف حيث الرسوخ و الثبات •• و اكتب آرائك بقلمِ رصاص حيث التعديل و التصحيح
p
14 octobre 2006 12:48
j'ai retouvé le titre: c'est le géant de Zéralda!!! le géant arrête de manger des nefants parce que zéralda lui cusine de bons petits plats!!!

trop cool le petit nicolas!!!

ts les bouquins de roal dahl aussi: Charlie et la chocolaterie, sacrées sorcières, mathilda...
L
18 octobre 2006 21:07
Mon bel oranger de José Mauro de Vasconcelos.

A pleurer tellement il est beau ce livre, une histoire magnifique





Le grand maulnes d'Alain Fournier
a
18 octobre 2006 22:58
ohhhhhhh que de souvenir Clap

un gentil petit diable (contes de la rue broca )

sacré sorciere de dahl


le prince des mots tordus

les petits nicolas
e
19 octobre 2006 15:13
JOHA wal 7imar

9isas el anbia2
J'ai demandé à ce qu'on me banisse, et on l'a fait , et je remerci celui qui l'a fait. si vous voulez me contacter cherchez ( elma3ti ) sur bladi.net
m
22 octobre 2006 10:50
Je ne savais pas que Nadja était la soeur de Solotareff. smiling smiley

Désolée d'apprendre à tous les fans de Gripari (qui a aussi bercé mon enfance) que ce dernier était un anti-juif de première classe. Un peu à la LF Céline.
(quoi que je suis sûre que les anti-juifs de ce site seront heureux!pff)

Lisez plutôt :

L’écrivain Pierre Gripari (1925-1990), anarchiste d’extrême droite qui fut proche d’Europe Action puis membre du GRECE (14), incarnait le type de l’antisémite classique reconverti en « antiraciste antijuif » (de droite) raisonnant selon la chaîne suivante d’amalgames : « judaïsme = racisme »,
« sionisme = racisme », « sionisme = colonialisme », « antisémitisme = contre-racisme » et
« anticolonialisme ». Comme Ménargues en 2004, Gripari postulait la permanence d’une identité raciste du comportement juif et du judaïsme, de l’époque biblique à l’État d’Israël. Sa définition de l’antisémitisme revient à justifier ce dernier comme mode d’autodéfense des victimes du
« colonialisme » et du « racisme » juifs :

L’antisémitisme n’est pas un « crime gratuit », résultat de la névrose d’un seul homme ni même d’un seul peuple. En fait, la Bible en fait foi, il est aussi vieux que la loi juive elle-même : c’est un contre-racisme, un réflexe de colonisé. (15)

Et de préciser sa pensée par cette boutade :

Il y a ceux qui sont contre Israël : ce sont les antisionistes. Il y a ceux qui sont pour Israël : ce sont les antisémites. (16)

Bref, être pour Israël, c’est pour Gripari être « raciste », tandis qu’être « antisioniste », c’est être antiraciste...

L’écrivain est connu en tant qu’auteur de contes pour enfants (Les contes de la rue Broca). L’essayiste politique l’est moins. Or, les écrits politiques de Gripari, collaborateur de Défense de l’Occident (mensuel dirigé par Maurice Bardèche, beau-frère de Robert Brasillach), sont marqués par une dénonciation obsessionnelle du « racisme juif » ou du « racisme de l’État d’Israël ». Gripari est direct : après avoir posé que « la Torah est raciste » (17) , il accuse :

Il y a un livre, un seul, qui prêche le génocide. Ce livre, ce n’est pas Mein Kampf, c’est l’Ancien Testament.

Jusqu’à esquisser cette vision délirante : la Bible étant « le premier manifeste écrit d’un racisme (...) intellectualisé » où se trouverait glorifié le « génocide rituel » que « Dieu lui-même (...) ordonne », elle serait la source cachée de l’inspiration d’Hitler et de la falsification communiste de l’histoire (19) !

Il ne cachait pas par ailleurs ses sympathies pour l’islam et le monde arabe, indissociables de sa nostalgie du fascisme :

Le fascisme n’a pas eu sa chance. (...) Cette formule mériterait d’être reprise et honnêtement essayée. (...) C’est encore le fascisme qui est le moindre mal.

D’où cette prophétie sur l’Europe libérée, déjudaïsée :

L’Europe survivra grâce à l’antiracisme, lequel lui permettra de s’unir, de s’allier aux Arabes, pendant que le judaïsme, lui, mourra, non parce qu’il est raciste, mais, plus précisément, parce qu’il est LE racisme. (20)

Enfin, Gripari, dans une filiation célinienne, dénonçait litaniquement la « guerre juive » à venir :

Tout le monde sait que, s’il y a une troisième guerre mondiale, elle sera, comme la deuxième, avant tout une guerre juive. (21)

C’est à la revue néo-fasciste Défense de l’Occident que Gripari, en 1975, a confié une courte et scandaleuse synthèse de ses idées sur le judaïsme et le sionisme :

Judaïsme et sionisme, c’est la même chose (...). Je crois que l’Europe sera antisémite, forcément, parce que anti-raciste : les idées juives ont été condamnées au procès de Nuremberg (...). L’antisémitisme est en train de renaître avec d’autant plus de virulence que le racisme juif essaie de se faire passer pour démocratie (...). Dans la Bible, à l’époque des Rois, la situation en Palestine était exactement la même que maintenant, c’est-à-dire que les Juifs n’y représentaient qu’une minorité et une minorité coloniale et raciste (...). Il viendra un temps où les synagogues seront fermées : elles ne peuvent pas ne pas l’être un jour ou l’autre pour propagande raciste. Où les organisations juives, qu’elles soient politiques ou religieuses, seront interdites comme criminelles. (22)

Les sources :

15. Pierre Gripari, « Judaïsme, racisme et sionisme », in P. Gripari, Critique et autocritique, Lausanne, L’Âge d’Homme, 1981, p. 89.
16. Pierre Gripari, Reflets et réflexes, Lausanne, L’Âge d’Homme, 1983, p. 95.
17. Ibid., p. 82.
18. Ibid., p. 92.
19. Pierre Gripari, Critique et autocritique, op. cit., pp. 86-88.
20. Pierre Gripari, Reflets et réflexes, op. cit., p. 95.
21. Pierre Gripari, Critique et autocritique, op. cit., p. 91.
22. Pierre Gripari, Défense de l’Occident, mars-avril 1975, pp. 54-55.
P
22 octobre 2006 11:08
¤ Babar
¤ Contes de fées de Charles Perrault (Le petit chaperon rouge, le chat botté, Peau d'Âne m'a toujours fait pleurer) ;ceux des frères Grimm
¤ 1001 Nuits
¤ 65 légendes et récits autour du Monde
¤ Les aventures de Tintin
¤ Boule et Bill
¤ La gloire de mon père et le château de ma mère (Pagnol)
¤ Les livres d'A. Christie
¤ Ceux d'Emile Zola
¤ Les chefs d'oeuvre de Walt Disney
In love

P.S je dois essayer de me trouver une compile de tous les contes de fées, les légendes les plus célèbres, car ceux sont des histoires qui se transmettent de génération en génération, et jamais elles seront déclassées, surtout que je peux les lire encore et encore In love



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/10/06 11:08 par Petite_flechette.
La vérité est comme le soleil. Elle fait tout voir et ne se laisse pas regarder :)
b
22 octobre 2006 13:22
Citation
musica a écrit:
Je ne savais pas que Nadja était la soeur de Solotareff. smiling smiley

Désolée d'apprendre à tous les fans de Gripari (qui a aussi bercé mon enfance) que ce dernier était un anti-juif de première classe. Un peu à la LF Céline.
(quoi que je suis sûre que les anti-juifs de ce site seront heureux!pff)


cela ne leur enlève pourtant pas leur talent d'écrivain smiling smiley. non pas que je me réjouisse, mais je crois qu'il faut aussi savoir dissocier l'artiste de l'oeuvre, surtout quand cette dernière n'est pas emprunte d'une haine quelconque smiling smiley.
"Si les singes savaient s'ennuyer ils pourraient devenir des hommes." (Goëthe)
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook