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Le livre qui vous a le plus marqué ?
18 octobre 2011 19:17
Salam aleikoum,

Tous les livres sont bons, mais les meilleurs sont ceux que l'on a envie de relire.

Quel est ce livre qui vous a marqué et que vous avez relu ou reliserez volontiers ?

Consigne : vous commencerez par présenter le livre, son titre, son auteur, la date de sa publication puis, vous nous en faites un petit résumé et enfin, donnez-nous votre avis : vos remarques, ce qui vous a plu ou vous a surpris, peut-être même choqué dans ce livre...

Je ramasse les copies dans une heure ! Mais non je plaisante, le but c'est de partager des idées de lecture en exposant nos coups de coeur et livres cultes.

Merci à tous ceux et celles qui participeront à enrichir la liste...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/10/11 21:16 par INOF.
[color=#7B68EE]Lorsque vous craignez Allah, vous ne craignez personne d'autre, mais si vous ne craignez pas Allah, vous avez peur de votre ombre.[/color]
18 octobre 2011 19:29
Merci pour ce post, enfin quelque chose d’intéressant. J'ai trop de livres en tête. Je n'ai rien à présenter pour l'instant mais je le ferai de temps en temps. Puisque c'est ton idée , à toi l'honneur.....
18 octobre 2011 20:51
Merci et bienvenue à toi bouloulou dans ce post,

Me concernant, j'en ai aussi plusieurs mais pour commencer, aujourd'hui, je vais vous présenter un livre de Victor HUGO, je dis un livre parce qu'en fait, les critiques n'ont pas réussi à le classer dans un genre ( roman, récit, album épique ? ...) Il s'agit de

L'Homme qui rit 1866-1868

Au début, ce livre a souffert et n'a eu aucun succès et pourtant nombreux, sont ceux qui diront plus tard, qu'en réalité; on est là devant Le chef d'oeuvre du poète !

Je vous mets un bref résumé suivi d'un commentaire trouvés sur le net :

"L'homme qui rit est un impressionnant tableau de l'Angleterre aristocratique de l'orée du XVIIIe siècle, au temps de la reine Anne. C'est l'histoire d'un enfant, Gwynplaine, marqué par une cicatrice qui lui donne en permanence un rire affreux, recueilli avec Dea, jeune fille aveugle, par Ursus, curieux vagabond, philosophe misanthrope, trimbalant avec lui un loup à la discrétion d'un caniche. Ensemble, ils vont constituer une compagnie de mimes, jusqu'à ce que l'on reconnaisse, à Londres, en cet homme balafré, un pair du royaume, le baron Clancharlie. Retrouvant sa place à la Chambre des lords, il se fera l'ardent défenseur des humbles et des misérables...
C'est là une formidable épopée, mêlant l'idylle, l'apocalypse et la fantaisie, aux images et au vocabulaire éblouissants, partagée entre l'ombre et la lumière, le bien et le mal, l'ironie et l'humour noir. On a reproché à l'auteur d'y mettre trop de décors, trop de personnages, de prendre trop de libertés avec la réalité historique, d'aligner trop de bravoure et de coups de théâtre. C'est précisément dans cette exagération, dans ce foisonnement baroque que L'homme qui rit trouve sa richesse et sa superbe."

Avis personnel :

Lorsque j'ai découvert ce livre, j'ai verifié plusieurs fois le nom de l'auteur car je ne savais pas auparavant, qu'il avait un livre avec ce titre...Lorsque j'ai commencé la lecture, je me suis senti comme une petite Alice dans un pays de merveilles, sauf qu'ici les merveilles ne brillent pas par le luxe des personnages ni des objets décrits mais bien par la précision du mots, la richesse du style, la musicalité des phrases, un récit complexe certes, mais oh combien délicieux !...Même quand il décrit la misère, nous l'avons tous constaté dans ses autres oeuvres- V. Hugo distribue généreusement à ses mots une noblesse unique. C'est un récit qui ne se lit pas, mais qui se prend comme on prend un train ou un avion...

C'est une histoire captivante racontée dans un style qui foisonne de sagesse, de philosophie, de maximes, ...Bref c'est un plaidoyer poétique : un Oxymoron ? !
f
8 décembre 2011 14:05
le grand Meaulnes d Alain fournier,je l'avais lu j’étais au collège

on ressent de la nostalgie ,de la tristesse presque tout au long du livre

au début le narrateur fait ressentir une certaine monotonie dans sa vie,puis un nouveau personnage va casser cette monotonie: et en faite l histoire tourne autour de ce personnage et non plus du narrateur

une triste histoire d'amour inachevée,bref j'avais beaucoup aimé ce livre
8 décembre 2011 19:10
Salam aleikûm,

Très bon roman autobiographique, Le Grand Meaulnes est le récit d'une enfance à travers des souvenirs mêlant l'aventure, l'amour, la découverte de l'autre...Tout cela dans un monde assez féérique, intertextualité résultante -probablement- des lectures de l'enfant : souvent des prix scolaires

Lui-même fils d'instituteur, l'auteur narrateur décrit aisément ce cadre dont on est tous nostalgique qui est l'école, sa cour, les camarades et le bon vieux instituteur.

Voici une image de cette école où se passe l'histoire du roman :

[t1.gstatic.com]

École d'Epineuil-le-Fleuriel où la famille Fournier arrive en 1891.
B
9 décembre 2011 14:13
Salam,

Je n'ai pas beaucoup lu de livres,mais si il y en a un qui m'a marqué c'est bien " Le petit chose " d'Alphonse Daudet.Je l'ai lu il y a plus de 20 ans maintenant,je devais être en Cm1...C'était mon premier roman quoi!Qu'est ce que l'histoire était triste mon Dieu!Et ce " Petit chose" comment il était sensible!Un personnage si attachant,d'une douceur pathétique...Je ne me rapelle plus très bien de l'histoire,je serais incapable de vous faire un résumé,mais je n'ai pas oublié l'intensité émotionnelle qu'il m'a procuré...C'est d'ailleurs mon seul souvenir de ce livre:l'émotion...ainsi que les larmichettes et l'incessant reniflement de mon nez en le lisant lol.Un livre que l'auteur a écrit d'une manière à vous le faire lire par le coeur.

Tiens j'aimerais bien le relire...avec des yeux d'adultes!Quelle interprétation en aurais je aujourd'hui?
[i]Rose des Sables,Rose des Vents[/i].
9 décembre 2011 18:54
Wa aleikûm salam wa rahmate LAHI wa barakateh,

Le petit chose, est un livre que j'ai lu tardivement, en fac. je crois.

Voici un résumé de l'histoire ( il n'est pas de moi !) :

La première partie de ce récit écrit à la première personne raconte l’histoire de Daniel Eyssette, fils d’un riche industriel. Suite à la faillite de l’entreprise paternelle, la famille est forcée de quitter sa ville du Languedoc pour s’installer à Lyon, dans une maison plus qu’inconfortable. À l’école, à cause de sa petite taille et de sa blouse, il est surnommé « le petit Chose ». Six ans plus tard, comme la situation économique de sa famille empire, Daniel Eyssette doit quitter le collège. Il retourne alors à Sarlande, non loin de sa ville natale, pour y travailler comme maître d’étude dans un collège. Après avoir battu un élève insolent, il doit quitter le collège et va s’installer chez son frère Jacques, à Paris.

Dans la deuxième partie, après son renvoi de l’école, le jeune homme, accueilli à Paris par son frère, raconte ses débuts difficiles dans la vie littéraire. Il lit ses vers dans le salon des Pierrotte, commerçants dont la fille tombe amoureuse de lui. Il écrit son premier livre la Comédie pastorale, qui ne sera jamais vendu qu’à un seul exemplaire. Une histoire d’amour, de fourberies et de mensonges avec la « dame du premier » lui fait commencer une vie avec celle-ci comme comédien dans les banlieues de Paris. Au retour de son frère Jacques, qui était parti à Nice, le frère aimant ramène Daniel chez lui et éponge ses dettes peu avant de mourir d’une phtisie. Le commerçant Pierrotte lui propose d’épouser sa fille et de devenir son associé.
B
9 décembre 2011 22:09
Oui il s'appelait Daniel Eysette,il était petit de taille...La faillite de l'entreprise familiale,le déménagement,la pauvreté,l'humiliation et les moqueries à l'école...Jacques le grand frère très gentil,très bon..Sa maladie,suivi de sa mort...Avant lui,il y a un autre grand frère qui est mort aussi...Il surnommait Melle Pierotte " Les yeux noirs "... Ça me revient.
C'était vraiment trop triste,on éprouve une immense compassion pour le Petit chose.

Je triche un peu lol,mais voici une fiche intéressante sur ce livre écrite par un jeune lycéen étranger,un Allemand.Je la trouve extrêmement claire et précise.
[www.oszkim.de]
[i]Rose des Sables,Rose des Vents[/i].
10 décembre 2011 09:56
Poil de carotte grinning smiley est une longue nouvelle ou un roman autobiographique de Jules Renard publiée en 1894.

Resumé: L'enfer d'un enfant mal aimé qui fait tout mais avec maladresse pour se faire remarquer de sa mère qui lui préfère son grand frère et sa soeur.

Avis:
Ce que me rappelle Poil de Carotte: ce livre me fait chaud au coeur (petite pointe de nostalgie) car je l'ai lu lorsque j'étais au collège. Il a le pouvoir d'être interprété différemment en fonction du vécu et de la personnalité du lecteur. Pour ma part ça reste un livre trés émouvant.


crying(
10 décembre 2011 17:50
Anti-hipocrites est amoureuse de Poil de Carotte tongue sticking out smileyFootball

Dans le même style, tu as aussi Le Papa de Simon une nouvelle de G. de Maupassant qui raconte les misères d'un petit garçon : Simon victime des moqueries de ses camarades car il n'a pas de Papa. Un jour, il décide d'aller se jeter dans une rivière pour se noyer quand arriva un forgeron qui s'appelle Philippe Remy. Ce dernier va le sauver et l'accompagner chez sa maman qui l'élève seule.
L'histoire se termine d'une manière heureuse puisque Philippe va accepter de devenir le Papa de Simon et se mariera avec la Blanchotte.

Depuis, plus personne n'ose se moquer de Simon ni manquer de respect à sa maman...
f
10 décembre 2011 22:31
Citation
Anti_hypocrites999 a écrit:
Poil de carotte grinning smiley est une longue nouvelle ou un roman autobiographique de Jules Renard publiée en 1894.

Resumé: L'enfer d'un enfant mal aimé qui fait tout mais avec maladresse pour se faire remarquer de sa mère qui lui préfère son grand frère et sa soeur.

Avis:
Ce que me rappelle Poil de Carotte: ce livre me fait chaud au coeur (petite pointe de nostalgie) car je l'ai lu lorsque j'étais au collège. Il a le pouvoir d'être interprété différemment en fonction du vécu et de la personnalité du lecteur. Pour ma part ça reste un livre trés émouvant.


crying(


je me rappelle l'avoir lu en 5 ieme et une pauvre rousse dans une autre classe avait fais les frais des moqueries de certains après avoir lu le livre;

morale de l'histoire,ils se sont seulement rappelé du surnom poil de carotte ,rien à faire qu'il avait souffert à cause de sa rousseur;au contraire ça leur a donné l'idée d'aller taquiner la pov fille grinning smiley

un autre livre qui m'avait marqué au college:l'enfant de la haute mer de jules supervielle,il m'avait trop angoissé (pour ça d'ailleurs je l'ai relu y a pas longtemps):

c'est l histoire d'une jeune fille qui vit seule,elle est l'unique habitante d'un village,elle ouvre les volets des maisons,elle essaie de vivre normalement ,et guettant sans fin l'apparition d'un bateau qui pourrait naviguer jusqu'à elle. En vain!Parfois elle aperçoit au loin un bateau,elle fait signe,elle crie,et je me souviens qu'à travers les lignes j’espérais que ce bateau approche et qu 'il y ai un dénouement heureux. Tout au long du livre on se demande aussi comment elle est arrivée là !!Et à la fin on apprend que...!!!!

Pour les curieux j'ai mis l'extrait de la fin du livre qui explique comment cette fille s'est retrouvée seule au milieu de l'océan(meme si je sais qu il y en a qui s'en fiche:tongue sticking out smiley.)

comment s'était formée cette rue flottante ? Quels marins, avec l'aide de quels architectes, l'avaient construite dans le haut Atlantique à la surface de la mer, au-dessus d'un gouffre de six mille mètres? Cette longue rue aux maisons de briques rouges si décolorées qu'elles prenaient une teinte gris-de-France, ces toits d'ardoise,de tuile, ces humbles boutiques immuables? Et ce clocher très ajouré?

Ainsi commence le livre .


I

Voici les dernières lignes du conte :

"Marins qui rêvez en haute mer, les coudes appuyés sur la lisse, craignez de penser longtemps dans le noir de la nuit à un visage aimé. Vous risqueriez de donner naissance, dans des lieux essentiellement désertiques, à un être doué de toute la sensibilité humaine et qui ne peut pas vivre ni mourir, ni aimer, et souffre pourtant comme s'il vivait, aimait et se trouvait toujours sur le point de mourir, un être infiniment déshérité dans les solitudes aquatiques, comme cette enfant de l'Océan, née un jour du cerveau de Charles Liévens, de Steenvoorde, matelot de pont du quatre-mâts "Le Hardi", qui avait perdu sa fille âgée de douze ans, pendant un de ses voyages,et, une nuit, par 55 degrés de latitude Nord et 35 de longitude Ouest, pensa longuement à elle, avec une force terrible, pour le grand malheur de cette enfant."


Par contre quand je l'ai relu avec un cerveau d'adulte ça m'a rappelé lost et j’étais moins angoissée!grinning smiley
10 décembre 2011 22:40
Salam super ce post
[b][color=#FF0000][center]Se tromper une fois est une erreur Se tromper deux fois est un choix[/center][/color][/b]
X
24 décembre 2011 09:02
Je ne suis pas non plus un virtuose de la littérature mais parmi les livres qui m'ont laissé un bon souvenir :


-Les Lettres Persanes : style excellent.
-La Marre au Diable de George Sand. Livre très bien écrit.
-Le Chemin de La Mecque, de Muhammad Asad.
-Quelques fragments des ivres de Musset.

Je placerai cependant en tête les livre d'Amin Maalouf, avec à égalité Léon l'Africain et Samarcande, deux livres extra-ordinaires et Amin Maalouf est sans doute le seul ecrivain contemporain dont je lis les livres. Son style est assez simple, il ne peut donc pas être comparé aux auteurs de la littérature classique dont le style est beaucoup plus élaboré.
MK-
26 décembre 2011 00:17
J'ai beaucoup aimé Samarcande aussi, et Les Jardins de lumière d'Amin Maalouf.

Sinon :
-La vie devant soi de Romain Gary
-Où on va, papa? de Jean-Louis Fournier
-Le Misanthrope de Molière
-Le Petit prince!

Et le seul livre qui a réussi à me faire pleurer: Les Cerfs-Volants de Kaboul, de Khaled Hosseini...Magnifique.
b
1 janvier 2012 23:15
Les livres que j'ai lu et que j'ai vraiment apprécié:

Titre: Fatwa condamné à mort par les siens
Auteur: Jacky Trevane

RÉSUMÉ DU LIVRE
Parce qu'elle a fui l'Egypte sans l'autorisation de son mari musulman en emmenant avec elle ses deux petites filles, Jacky Trevane est accusée d'avoir commis un grave péché envers l'islam et vit aujourd'hui sous la menace d'une fatwa. Ce jugement rendu par un imam la condamne à la peine de mort si jamais elle est retrouvée par son mari. Jacky Trevane est donc vouée à vivre le restant de ses jours en se cachant. Tout avait pourtant commencé comme dans un conte des Mille et une nuits. Dix mois après son coup de foudre pour un bel Egyptien rencontré lors d'un séjour touristique, Jacky, 23 ans, mettait au monde leur premier enfant. Le début d'un enfer. Brimades, humiliations, violences physiques...

Titre: Mariée de force
Auteur: Leïla

Résumé du livre:

Leïla est fille d'immigrés marocains, française, mais élevée dans la plus pure tradition musulmane. Avec une mère effacée et dix frères, elle est sollicitée de toutes parts pour des tâches ingrates. Mais Leila refuse de se soumettre. Après plusieurs tentatives de suicide, elle cherche à se faire entendre. Mais tout s'effondre quand, lassé de la volonté d'émancipation de la jeune femme, son père décide de la marier. Anorexie, dépression... Leila crie son mal-être.
j
2 janvier 2012 22:55
Salut, je me rappelle bien un roman qui m'a bien attiré
ce roman intitulé par:
Wolfen
dieu ou diable

Auteur: Whitley Strieber
ce roman est vraiment fantastique, raconte une histoire sacrément horrible et misterieuse
de ce qu'il s'appelle : les loups groux à New york

[ecx.images-amazon.com]
3 janvier 2012 19:24
Citation
Soltanita♥♥♥ a écrit:
Salam super ce post

Wa aleikûm salam wa rahmate LAHI wa barakateh,

Merci
3 janvier 2012 19:38
Citation
Rastapopûlos II a écrit:
Je ne suis pas non plus un virtuose de la littérature mais parmi les livres qui m'ont laissé un bon souvenir :


-Les Lettres Persanes : style excellent.
-La Marre au Diable de George Sand. Livre très bien écrit.
-Le Chemin de La Mecque, de Muhammad Asad.
-Quelques fragments des ivres de Musset.

Je placerai cependant en tête les livre d'Amin Maalouf, avec à égalité Léon l'Africain et Samarcande, deux livres extra-ordinaires et Amin Maalouf est sans doute le seul ecrivain contemporain dont je lis les livres. Son style est assez simple, il ne peut donc pas être comparé aux auteurs de la littérature classique dont le style est beaucoup plus élaboré.

Salam aleikûm,

Les Lettres Persanes, roman épistolaire que j'ai étudié à l' université, aujourd'hui, ce livre fait partie des programmes de 4ème ! C'est par excellence le genre de roman que l'on a envie de relire aussitôt fermé. Et à chaque lecture c'est un autre livre que l'on y découvre. Des lettres à dominante descriptive véhiculant une vision philosophique autour de divers phénomènes sociaux dont la mode...
3 janvier 2012 19:44
Citation
Orientalementvotre a écrit:
J'ai beaucoup aimé Samarcande aussi, et Les Jardins de lumière d'Amin Maalouf.

Sinon :
-La vie devant soi de Romain Gary
-Où on va, papa? de Jean-Louis Fournier
-Le Misanthrope de Molière
-Le Petit prince!

Et le seul livre qui a réussi à me faire pleurer: Les Cerfs-Volants de Kaboul, de Khaled Hosseini...Magnifique.

Salam aleikûm,

Un autre livre d'Amin Maâlouf que je n'ai pas encore lu mais dont j'ai bcp entendu parlé : Le Dérèglement du Monde. D'ailleurs, quelqu'un sait-il quel est le proverbe amazigh à l'origine de ce livre ? Je sais qu'il y a une histoire d’œuf, mais pas encore trouvé l'histoire complète...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/01/12 19:45 par ريم.
3 janvier 2012 19:48
Salam aleikûm Lina et Jabsim : Merci pour votre participation
Emission spécial MRE
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