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104 licenciments secs à la RAM
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23 mars 2006 19:34
le nouveau boss de la RAM driss Benhima entame sa reprise en main de la RAM

104 licenciements secs chez les mécaniciens anciens grévistes du STAM
À peine arrivé à la tête de Royal Air Maroc, M. Driss Benhima, connu pour sa fougue et sa détermination, a pris en main le délicat dossier des mécaniciens aéronautiques membres du STAM, une organisation syndicale non reconnue à ce jour, qui avaient observé une grève aussi longue qu’infructueuse entre juillet et la fin décembre 2005....

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source: la nouvelle tribune


[www.lanouvelletribune.com]
b
23 mars 2006 19:51
Salam

C'est Benhima qui aurait du etre dégagé
k
23 mars 2006 19:52
kana allah fi 3awni la RAM...

TERIKT BENHIMA ....KROUCH LEHRAM.

les ventres de ce lobby ne veut s exploser un jour??
c
23 mars 2006 20:01
benhim bhima
z
23 mars 2006 20:13
Benhima entame sa reprise en main de la RAM : 104 licenciements secs chez les mécaniciens anciens grévistes du STAM

À peine arrivé à la tête de Royal Air Maroc, M. Driss Benhima, connu pour sa fougue et sa détermination, a pris en main le délicat dossier des mécaniciens aéronautiques membres du STAM, une organisation syndicale non reconnue à ce jour, qui avaient observé une grève aussi longue qu’infructueuse entre juillet et la fin décembre 2005.

Prise en main résolue et prompte parce qu’au lendemain de la grève, alors que la centaine de grévistes revenait sur les lieux de travail aigrie et affaiblie par six mois d’un conflit fait d’entêtement et de surenchère, était découvert un acte délibéré de sabotage sur l’un des appareils de la compagnie Royal Air Maroc. L’affaire, qui fut révélée au public le jour même de la nomination de M. Driss Benhima à la présidence de RAM, mais qui était survenue trois jours auparavant en réalité, n’a point manqué d’interpeller très profondément l’opinion publique, alors que les principaux responsables des services de sécurité se rendaient sur place pour procéder à l’indispensable enquête qu’imposait un acte aussi monstrueux.
Cette tentative de sabotage de câbles d’un Boeing 737-800, même s’il devait s’avérer qu’elle n’était pas préjudiciable à la sécurité de l’appareil et qui aurait de toute façon été découverte à la première check-list du commandant de bord précédant obligatoirement tout décollage, fut rapidement portée à l’actif des grévistes, aux yeux du moins d’une grande partie de l’opinion qui appliqua en l’affaire l’adage " à qui profite le crime "…
Et si aujourd’hui on peut affirmer de source sûre que les techniciens aéronautiques interpellés dans le cadre de l’enquête ont quasiment tous été remis en liberté, il n’en est pas moins vrai, selon les mêmes sources, qu’un acte de sabotage a effectivement et délibérément été commis, non pour mettre en péril la sécurité et la vie des passagers et de l’équipage de l’avion en question, mais par volonté de vengeance et de rancœur d’un mécanicien à l’issue d’un conflit social artificiellement créé par un groupe de techniciens aéronautiques aux idées et pratiques qui relèvent plus d’une secte que d’une organisation syndicale responsable et structurée.
En effet, à ce stade des informations en notre possession, il apparaîtrait que l’auteur de la tentative de sabotage est celui-là même qui a dénoncé la faille technique aux responsables, voulant ainsi prouver que le climat délétère qui régnait au sein du STAM était susceptible de causer des perturbations fortes dans la marche des activités de RAM.
Cette situation a donc amené M. Driss Benhima à prendre des mesures conservatoires aussi radicales que sévères et Royal Air Maroc a pris la décision irréversible de procéder au licenciement de 104 techniciens aéronautiques engagés dans le conflit de l’année dernière, tout en appliquant dans leur totalité, les dispositions légales en matière d’indemnisation et de compensation à leur endroit. Cette décision, qui a été portée officiellement à la connaissance des intéressés et des représentants du personnel, n’a point été rendue publique à ce jour par le management de la compagnie aérienne nationale tandis que les organisations syndicales, mais aussi l’écrasante majorité des techniciens aéronautiques, adoptaient une attitude de réserve, refusant visiblement d’exprimer leur solidarité avec des individus au comportement aventuriste. Il faut dire, pour la décharge des corporations professionnelles opérant au sein de RAM, qu’elles se méfient désormais fortement du STAM, largement considéré par certains comme " une secte de barbus " aux idées extrémistes, comme le prouve d’ailleurs leur mouvement de grève kamikaze de l’année dernière.
Bénéficiant d’un salaire net mensuel moyen supérieur à
17 000 dirhams, agrémenté de nombreuses primes et avantages sociaux, la majorité d’entre eux excipant d’une formation secondaire à peine équivalente à la 5ème AS, les techniciens aéronautiques, ou du moins une partie d’entre eux, ont depuis longtemps fait montre d’un activisme et de prétentions outrancières au sein de RAM.
En 1999 déjà, ils avaient mené une grève particulièrement dure et longue, close par l’intervention personnelle du ministre de l’Intérieur, Driss Basri, lequel avait tranché en leur faveur, au détriment de la position du management qui avait été contraint à des concessions léonines. À l’époque, d’ailleurs, des rumeurs de sabotage avaient déjà couru dans les ateliers de maintenance de la compagnie…
Considérant désormais que l’indispensable relation de confiance, qui doit exister entre les opérateurs de maintenance et d’entretien des appareils et la compagnie, est rompue de la manière la plus directe par cette longue grève et l’acte de sabotage qui l’a suivie, la Direction générale de RAM a donc pris cette décision. Elle devra peut-être la défendre devant la Justice, mais avec comme atout indiscutable le caractère absolument indispensable de cette confiance pour garantir la sécurité des appareils, du personnel navigant et des passagers.
RAM débarque donc une centaine de techniciens du STAM (sur les 800 que compte la compagnie), sans craindre la reprise d’un mouvement de grève, alors que les anciens activistes, désemparés et parmi lesquels figureraient des hommes aux idées islamistes bien trempées, ont vainement essayé de prendre attache avec les syndicats qu’ils rejetaient lors de leur grève de l’été 2005. Une situation qui a poussé certains d’entre eux à chercher quelque réconfort auprès de l’organisation syndicale proche du FFD de M. Thami Khiari.
Quand le vin est tiré, il faut le boire …
l
23 mars 2006 21:52
Simple réflexion: Quant un administratif fait grève ça ne fait que dispenser les citoyens de paperasses nécessaires..mais quand ce sont les techniciens de la RAM qui fond grève ce sont des vie humaines que nous risquons de perdre...
 
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