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lejdd.fr " Mohamed VI, roi d'Afrique"
a
16 février 2014 15:32
Analyse du JDD de ce jour sur la diplomatie du Roi en Afrique à la veille d'une nouvelle tournee africaine de Mohamed. VI :


[www.lejdd.fr]
16 février 2014 15:38
Merci pour cette super vidéo à conserver
16 février 2014 17:22
C'est un juste retour des choses à la normal. Ce n'est pas une choses nouvelles.
16 février 2014 18:09
wow il ne se passe que de choses magnifique dans ton pays thumbs up , je suis verte de jalousie
17 février 2014 08:26
C'est dans le prolongement de l'histoire du Maroc. Ibn Battouta fut le premier "Arabe" à décrire Tombouctou, avant son intégration à l'Empire du Maroc par Ahmad AL Mansour Addahbi.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 17/02/14 13:59 par Hamid002.
a
17 février 2014 14:36
Salam,

Ibn Battouta fut le premier "Arabe" à décrire Tombouctou, avant son intégration à l'Empire du Maroc par Ahmad AL Mansour Addahbi.

Guillemets ok, mais le terme existe : Amazigh ou selon le lexique désinvolte des "super" ethnologues omeyyades : "des Barbares" ! Devenant "berbère" comme "phéromone" devenant "phiroumoune"... Ne riez pas, c'est la phonétique retenue pour les textes scientifiques en arabe, d’Égypte à l'Arabie Saoudite ! Je crois que la Syrie n'adhère pas à cette démarche de fainéant bricoleur. L'Irak de l'ancien président Saddam Hussein, lui, c'était certain. D'où les difficultés qu'on eu les Américains a traduire les documents scientifiques trouvés dans les unités de recherche irakienne... Ils ont engagé en plus des traducteurs traditionnels, des linguistes spécialisés dans les considérations étymologiques [presque introuvables mais les Ricains "en ont trouvés" ! Un miracle...]. Un seul a été montré aux médias, mais de dos ! - on trouve des hadith qui les [Berbères] citent avec la même phonétique, tant du côté chiite que du côté sunnite. Leur contenu dépendait des tournures de la situation conflictuelle avec eux. Bien entendu, flatteurs ou exprimant un ressentiment de vaincu rageux, ces hadith sont faux. La première génération des musulmans et bien avant eux, avait un terme bien arabe pour désigner le "barbare", et le Prophète lui-même PEBDASL l'utilisait pour parler des Perses et de leur Chosroès (voir Sira).



Modifié 1 fois. Dernière modification le 17/02/14 14:40 par abde12.
17 février 2014 18:13
Puisqu'on parle de Ibn battouta, j'ai lu le récit de ses voyages.
Il a certainement été dans les pays qu'il décrit, mais on peut se poser des questions s'il a vraiment visité tous les lieux...
Surtout quand, au Caire, il décrit les pyramides comme ayant une base circulaire !!!
Je ne suis pas vraiment sûr qu'il s'est donné la peine d'aller les voire.
D
17 février 2014 19:07
Bah avec tout ce que le Maroc fait pour la France, ça mérite bien un petit coup de pouce par le biais d'un article bien élogieux. On appelle ça un échange de bons procédés.

Sinon, y aurait pas une petite caricature sympa dans vos journaux à nous faire partager ? Ah non, c'est vrai qu'il vous est interdit de caricaturer le roi. Dommage...
17 février 2014 20:24
Une "pyramide" avec une base circulaire c'est un cône :-) Tu peux citer le texte exact écrit par lui ?. Peut-être s'agissait-il du phare d'Al-Iskandariya (Alexandrie) ?



Citation
piducas a écrit:
Puisqu'on parle de Ibn battouta, j'ai lu le récit de ses voyages.
Il a certainement été dans les pays qu'il décrit, mais on peut se poser des questions s'il a vraiment visité tous les lieux...
Surtout quand, au Caire, il décrit les pyramides comme ayant une base circulaire !!!
Je ne suis pas vraiment sûr qu'il s'est donné la peine d'aller les voire.
o
18 février 2014 12:46
Citation
Djemila75 a écrit:
Bah avec tout ce que le Maroc fait pour la France, ça mérite bien un petit coup de pouce par le biais d'un article bien élogieux. On appelle ça un échange de bons procédés.

Sinon, y aurait pas une petite caricature sympa dans vos journaux à nous faire partager ? Ah non, c'est vrai qu'il vous est interdit de caricaturer le roi. Dommage...
On dirait que nos bonnes relations avec la France te dérangent. Il faut voir aussi ce que la France fait pour le Maroc, sa position honorable dans le dossier du Sahara marocain contrairement à d'autres en fait un ami de choix et vu aussi que c'est notre premier partenaire économique elle mérite le tapis rouge.
Quant à caricaturer Mohamed 6 on peut le faire par contre on ne peut pas caricaturer Bouteflika car c'est déja une caricature, un guignol vivant.
a
18 février 2014 14:47
Le journal algérien el watan met en parrallèle la diplomatie du Roi et celle du pouvoir agérien :



[www.elwatan.com]

Mohammed VI ira au Mali, en Guinée, en Côte d’Ivoire et au Gabon
Le safari africain du roi


le 18.02.14 |

Le souverain marocain posera ses valises à Bamako où il séjournera jusqu’au 23 février.

Le Mali, en proie à une crise politique depuis deux ans, constitue une sublime porte d’accès au leadership africain pour Mohammed VI, qui aura à cœur de montrer qu’être en dehors de l’UA n’est pas forcément un obstacle pour (re)tisser des liens et gagner des zones d’influence. Un calcul ingénieux pour le monarque, sachant que s’il ne gagne pas grand-chose, il n’y perdra pas non plus. Au Mali, où il a déjà été à l’investiture du président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) il y a six mois, le roi du Maroc tentera de dicter une «solution politique» pour contrer une médiation algérienne qui, faut-il le souligner, n’a pas reçu l’écho escompté.

Sans doute que le roi fera d’une pierre deux coups, à savoir défendre la vision marocaine de la crise malienne qui serait aussi conforme à l’agenda de certains pays occidentaux amis, à l’image de la France. Cette incursion de Mohammed VI dans les sables mouvants du Mali serait donc forcément encouragée, bien que le Maroc ne soit pas un pays du Sahel ni du Sahara d’ailleurs. Mais ne faisant pas partie du Comité d’état-major opérationnel conjoint (Cemoc) basé à Tamanrasset, impulsé par Alger, Rabat tente opportunément d’investir d’autres créneaux de manière à montrer qu’il est, lui aussi, incontournable dans la recherche de la solution à la crise malienne.

Dans un discours adressé au sommet de la Cédéao, à Yamoussoukro, il y a une année, Mohammed VI s’était d’ailleurs moqué de l’efficacité du Cemoc. «La crise aiguë qui secoue le Mali frère apporte la preuve éclatante de l’inefficacité des approches partielles, des démarches sélectives, ou encore des ripostes parcellaires face aux risques criminels et extrémistes», avait écrit le roi. Et de poser son diagnostic : «A contrario, cette crise illustre la pertinence de la stratégie globale et de l’action collective auxquelles le Maroc n’a cessé d’appeler depuis des années.» Il ne faut pas sortir de Saint-Cyr pour comprendre que cette charge s’adressait à l’Algérie.

Ce message traduit cette guerre de position entre l’Algérie, qui s’oppose à l’incursion marocaine dans le Sahel, et Rabat, qui ne perd pas espoir d’y poser ses pieds au-delà de la géographie. Mais au-delà de cette approche duale, on ne peut reprocher au roi de travailler pour les intérêts géopolitiques de son pays. La nature ayant horreur du vide, le monarque apparaît comme une exception nord-africaine en termes d’engagement en Afrique subsaharienne et plus encore vers le Sud. Parce que Mohammed VI va juste après enchaîner avec un voyage en Guinée, drapé de la «abayya» du «commandeur des croyants» dans ce pays où les voix des zaouïas sont très porteuses.

Depuis Zeroual… rien

Après Conakry, le souverain fera escale en Côte d’Ivoire, puis finira son safari au Gabon à partir du 2 mars. Pour réussir son périple, Mohammed VI comptera sur son activisme au sein de la Communauté des Etats sahélo-sahariens (CEN-SAD), dont son pays a accueilli une conférence en novembre dernier. Il pourra aussi compter sur ses amitiés avec les pays francophones de la Cédéao traditionnellement pro-marocains pour booster son image, en injectant quelques investissements, dont il attend forcément une plus-value diplomatique.

S’agissant de la cause sahraouie, force est de constater que le lobbysme marocain en dehors de l’Union africaine depuis 1984 est jusque-là payant. Seuls 17 pays reconnaissent la RASD après le retrait de la Zambie (2011) et du Burundi (2010). On ne peut dire dès lors que l’absence du royaume au sein de l’Union africaine a été un échec sur toute la ligne. Bien au contraire. Quand on observe qu’aucun président algérien ne s’est rendu en visite officielle dans un pays africain en dehors des rendez-vous «mondains» du fameux Nepad ou des sommets de l’UA, il ne faut pas s’étonner de voir le roi jouer le VRP de son pays sur le continent noir.

Depuis la tournée de Liamine Zeroual en 1996 au Sahel, l’Algérie s’est contentée d’un smig diplomatique en Afrique, en misant sur un ministre délégué dont on a du mal à voir les résultats de ses longues pérégrinations. Il faut se féliciter de ce que le nouveau chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, ait retrouvé le «sens de la boussole». Il sera d’ailleurs demain à Niamey pour convaincre que l’Algérie compte bien réinvestir le terrain perdu.
Hassan Moali



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/02/14 14:48 par axis7.
a
18 février 2014 14:53
Citation
omar625 a écrit:
Citation
Djemila75 a écrit:
Bah avec tout ce que le Maroc fait pour la France, ça mérite bien un petit coup de pouce par le biais d'un article bien élogieux. On appelle ça un échange de bons procédés.

Sinon, y aurait pas une petite caricature sympa dans vos journaux à nous faire partager ? Ah non, c'est vrai qu'il vous est interdit de caricaturer le roi. Dommage...
On dirait que nos bonnes relations avec la France te dérangent. Il faut voir aussi ce que la France fait pour le Maroc, sa position honorable dans le dossier du Sahara marocain contrairement à d'autres en fait un ami de choix et vu aussi que c'est notre premier partenaire économique elle mérite le tapis rouge.
Quant à caricaturer Mohamed 6 on peut le faire par contre on ne peut pas caricaturer Bouteflika car c'est déja une caricature, un guignol vivant.

Tout absolument tout les derange car ils sont simplement.... derangés. Un cas psychiatrique.
Le Figaro de ce jour dans un long article parle de la paranoïa aigue de Toufik Mediène l'autre patron grabataire qui dirige le pouvoir algérien.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 18/02/14 14:59 par axis7.
18 février 2014 17:52
Citation
Djemila75 a écrit:
Bah avec tout ce que le Maroc fait pour la France, ça mérite bien un petit coup de pouce par le biais d'un article bien élogieux. On appelle ça un échange de bons procédés.

Sinon, y aurait pas une petite caricature sympa dans vos journaux à nous faire partager ? Ah non, c'est vrai qu'il vous est interdit de caricaturer le roi. Dommage...

alors Djemila, tu cherches la petite bête ??
la vie est éphémère, mieux vaut bien la vivre avant de la perdre.
A
18 février 2014 18:25
Il y a beaucoup d'argent à se faire là-bas ils ont pas tord si ont veut prospérer économiquement c'est là bas que ça se passe ça commence à porté ses fruits donc il faut enfoncé le clou Angel
D
18 février 2014 18:34
Citation
omar625 a écrit:
Citation
Djemila75 a écrit:
Bah avec tout ce que le Maroc fait pour la France, ça mérite bien un petit coup de pouce par le biais d'un article bien élogieux. On appelle ça un échange de bons procédés.

Sinon, y aurait pas une petite caricature sympa dans vos journaux à nous faire partager ? Ah non, c'est vrai qu'il vous est interdit de caricaturer le roi. Dommage...
On dirait que nos bonnes relations avec la France te dérangent. Il faut voir aussi ce que la France fait pour le Maroc, sa position honorable dans le dossier du Sahara marocain contrairement à d'autres en fait un ami de choix et vu aussi que c'est notre premier partenaire économique elle mérite le tapis rouge.
Quant à caricaturer Mohamed 6 on peut le faire par contre on ne peut pas caricaturer Bouteflika car c'est déja une caricature, un guignol vivant.

Ah Ah Ah qu'est-ce que tu es drôle.
Encore une fois, pour moi tu es juif et sioniste d'abord, donc aucunement légitime pour dire "nous" en parlant du Maroc. Je dis bien "pour moi"...
a
19 février 2014 10:20
Radio France International est revenue longuement ce matin avec plusieurs reportages radio sur l'offensive du Roi en Afrique Noire et surtout au Mali.
Pour rappel des unités des Forces Armées Royales sont en Centrafrique où des musulmans se font chasser pendant que l'armée du pouvoir algérien tire courageusement sur de simples douaniers marocains.


[www.rfi.fr]

Mali / Maroc

Publié le 18-02-2014 Modifié le 19-02-2014 à 03:18
Visite en grande pompe de Mohammed VI au Mali
par RFI



Mohamed VI est arrivé ce mardi 18 février à Bamako pour une visite d’Etat qui va durer cinq jours. A son arrivée, le souverain a été accueilli par le président Ibrahim Boubacar Keïta, qui a personnellement invité le roi du Maroc. Depuis l’élection d’IBK, l’été dernier, les deux pays ont amorcé un rapide et important rapprochement.

Ambiance de fête à l’aéroport de Bamako lors de l’arrivée du roi du Maroc. Salve de 21 coups de canons ! Véritable bain de foule, spectacle offert par des danseurs Dogons, grande bousculade, il n’empêche l’hôte du jour et le président malien avaient le sourire aux lèvres. Ensuite, le cortège s’est dirigé vers le centre-ville de Bamako. Des milliers de personnes amassées le long de la route, scandaient « vive le roi », « vive notre roi ». Drapé dans une tenue traditionnelle, le roi du Maroc a tour à tour répondu de la main ou sourit.

Ce mercredi sera consacré aux opérateurs économiques marocains et maliens. Il s'agira de renforcer les coopérations entre les deux pays dans ce domaine. Jeudi, un entretien officiel aura lieu entre les président Ibrahim Boubacar Keïta et le roi Mohammed VI.

Les enjeux de cette visite sont nombreux et très différents. Ils sont d’abord économiques : services aériens, élevage, hôpitaux, électrification, aménagements hydrauliques… Au moins neuf conventions et protocoles d’accord seront signés pendant ce séjour. Ils permettront de renforcer les échanges et la coopération entre le Maroc et le Mali.

Mohamed VI n’arrive donc pas à Bamako les mains vides. Il arrive d’ailleurs très entouré, avec une délégation d’une centaine de personnes, ministres et chefs d’entreprises. Le Maroc compte se positionner sur le marché de la reconstruction du Mali, pour laquelle les bailleurs ont promis plus de trois milliards d’euros.

Les enjeux sont également diplomatiques, avec un objectif très clair : supplanter l’Algérie en devenant le nouveau partenaire privilégié du Mali au Maghreb. Pour cela, Mohamed VI entend jouer sur la fibre religieuse, en mettant en avant l’islam malékite, partagé par les deux alliés et qui se veut particulièrement tolérant. En novembre dernier, un accord avait d’ailleurs déjà été signé pour la formation de 500 imams maliens au Maroc.

Enfin, le Mali qui soutenait la RASD (République arabe sahraouie démocratique), s'est aujourd'hui rangé du côté du processus de l'ONU en faveur d'une solution consensuelle concernant l'avenir du Sahara occidental.

De plus, alors que le processus de paix dans le nord du Mali vient d’être relancé, Mohamed VI pourrait tenter de jouer un rôle nouveau, celui de médiateur entre l’Etat malien et les groupes rebelles.

On sait que Mohamed VI entretient d’excellents rapports avec le président malien IBK, et qu’il a par ailleurs déjà pris langue avec les rebelles touaregs du MNLA. Le rôle du Maroc dans les discussions sur le nord du Mali pourrait donc être amené à prendre de l’importance, même si cet objectif n’est évidemment pas mentionné dans le programme officiel.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 19/02/14 10:22 par axis7.
a
19 février 2014 15:18
Jeune Afrique 19/2/14




Diplomatie : le Maroc, de Laayoune à Tombouctou

19/02/2014 à 13:18
Par François Soudan


La politique étrangère marocaine n'a jamais fait bon ménage avec les effets de manche, ni avec les déclarations tonitruantes. La réception très médiatisée du chef des Touaregs maliens du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) au palais royal de Marrakech, le 31 janvier, et la mission de bons offices menée par Mohammed VI entre ce mouvement autonomiste et les autorités de Bamako ont donc surpris les observateurs, qui ont aussitôt inscrit cette initiative dans le cadre de la rivalité algéro-marocaine. À tort ? Disons que cette approche n'est pas fausse, mais qu'elle est réductrice. Il existe en effet une vraie politique sahélienne du Maroc, dont la caractéristique est d'être multidimensionnelle, à la différence de celle menée par l'Algérie, avant tout sécuritaire.

Voulu et décliné par le roi lui-même, l'engagement marocain au sud de La Gouera s'articule autour de quatre axes.

Militaire. C'est l'un des non-dits de l'opération Serval au Mali, mais l'appui apporté par Rabat aux troupes franco-tchadiennes en guerre contre les jihadistes en 2013 n'a pas été que diplomatique. Il a été, aussi, opérationnel. Dans la plus grande discrétion, des forces spéciales marocaines ont été engagées sur le terrain. Et le Maroc a intensifié ses programmes de formation, dans les écoles militaires, des cadres issus des armées de plusieurs pays de la région.

Spirituel. L'Afrique de l'Ouest est une plateforme religieuse de 190 millions de musulmans, auprès desquels l'islamisme radical fait volontiers son marché. Dans ce contexte volatile, l'islam malékite et le référentiel soufi prônés par le Maroc constituent un vrai contrepoids et un vrai levier d'influence. Le programme de formation de 500 imams maliens au Maroc et celui visant à construire et à rénover plusieurs dizaines de mosquées au Mali, en Guinée, au Sénégal et au Bénin sont deux des applications de cette politique.

C'est à la demande du MNLA et avec l'accord d'Ibrahim Boubacar Keïta que Mohammed VI a reçu le secrétaire général du mouvement touareg.

Social. La grande pauvreté étant l'un des principaux pourvoyeurs de munitions dans l'arsenal dont disposent les jihadistes, la coopération marocaine a beaucoup investi depuis quinze ans dans des projets de sécurité alimentaire et sanitaire, où son expertise est reconnue : gestion de l'eau, élevage, création de centres de soins. Pays cibles, le Niger et le Burkina. En préparation, par ailleurs : un vaste programme opérationnel de remise à niveau, au Maroc, de plusieurs centaines de hauts fonctionnaires et responsables administratifs sahéliens.

Politique. C'est à la demande du MNLA, qui a en quelque sorte rompu avec l'Algérie, et avec l'accord d'Ibrahim Boubacar Keïta que Mohammed VI a reçu le secrétaire général du mouvement touareg. L'objectif est également de rapprocher IBK de Blaise Compaoré, dont la médiation est rejetée par Bamako depuis quelques mois.

L'inclusion du Maroc dans la crise sahélienne, en particulier malienne, s'appuie donc sur une politique à long terme. Souhaitée par tous les acteurs (à l'exception de l'Algérie), y compris par la France et les États-Unis, elle met un terme à une anomalie. Longtemps, Alger a tenu Rabat à l'écart de tout processus de règlement des conflits dans la zone sahélo-saharienne, allant jusqu'à chercher à lui disputer le leadership religieux dans cette région (on se souvient du congrès de la confrérie Tidjaniya organisé fin 2005 en Algérie). C'était oublier un peu vite que la sécurité du royaume, dans toute sa partie méridionale, est directement concernée par cette situation. En intervenant à Tombouctou, Mohammed VI défend aussi Laayoune

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o
19 février 2014 17:28
Citation
Djemila75 a écrit:
Citation
omar625 a écrit:
Citation
Djemila75 a écrit:
Bah avec tout ce que le Maroc fait pour la France, ça mérite bien un petit coup de pouce par le biais d'un article bien élogieux. On appelle ça un échange de bons procédés.

Sinon, y aurait pas une petite caricature sympa dans vos journaux à nous faire partager ? Ah non, c'est vrai qu'il vous est interdit de caricaturer le roi. Dommage...
On dirait que nos bonnes relations avec la France te dérangent. Il faut voir aussi ce que la France fait pour le Maroc, sa position honorable dans le dossier du Sahara marocain contrairement à d'autres en fait un ami de choix et vu aussi que c'est notre premier partenaire économique elle mérite le tapis rouge.
Quant à caricaturer Mohamed 6 on peut le faire par contre on ne peut pas caricaturer Bouteflika car c'est déja une caricature, un guignol vivant.

Ah Ah Ah qu'est-ce que tu es drôle.
Encore une fois, pour moi tu es juif et sioniste d'abord, donc aucunement légitime pour dire "nous" en parlant du Maroc. Je dis bien "pour moi"...
Dis plutot que tu manques d'arguments pour débattre. Tu fais comme le régime algérien c'est lui qui pense détenir le pouvoir d'accorder la légitimité à qui doit parler au nom du Maroc
D
19 février 2014 19:29
Citation
omar625 a écrit:
Citation
Djemila75 a écrit:
Citation
omar625 a écrit:
Citation
Djemila75 a écrit:
Bah avec tout ce que le Maroc fait pour la France, ça mérite bien un petit coup de pouce par le biais d'un article bien élogieux. On appelle ça un échange de bons procédés.

Sinon, y aurait pas une petite caricature sympa dans vos journaux à nous faire partager ? Ah non, c'est vrai qu'il vous est interdit de caricaturer le roi. Dommage...
On dirait que nos bonnes relations avec la France te dérangent. Il faut voir aussi ce que la France fait pour le Maroc, sa position honorable dans le dossier du Sahara marocain contrairement à d'autres en fait un ami de choix et vu aussi que c'est notre premier partenaire économique elle mérite le tapis rouge.
Quant à caricaturer Mohamed 6 on peut le faire par contre on ne peut pas caricaturer Bouteflika car c'est déja une caricature, un guignol vivant.

Ah Ah Ah qu'est-ce que tu es drôle.
Encore une fois, pour moi tu es juif et sioniste d'abord, donc aucunement légitime pour dire "nous" en parlant du Maroc. Je dis bien "pour moi"...
Dis plutot que tu manques d'arguments pour débattre. Tu fais comme le régime algérien c'est lui qui pense détenir le pouvoir d'accorder la légitimité à qui doit parler au nom du Maroc

Hein ? Mais qu'est-ce que tu racontes ?! Va apprendre à lire va...
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