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blagueur** a écrit:
Le terme inflation au sens national comme international ne veut plus rien dire actuellement du fait de l'absence de tout référentiel, vu que tous les pays sans exception en sont concernés et touchés.
Aussi, il faudrait revenir à l'idée de la monnaie qui est dévalorisée, en ce sens, que le pouvoir d'achat d'une monnaie diminue indépendamment de la plus ou moins grande quantité de monnaie circulante : ce n'est plus la planche à billet qui est la cause de l'inflation ou encore le volume de papier en circulation, mais bien la révision de la contre-valeur des biens estimée en monnaie.
Avec la mondialisation, la guerre de la valorisation des biens, des pouvoirs d'achat bat son plein. Chaque pays exporte son surplus de papier-devise, en espérant dévaloriser les biens des pays sous-développés qui peinent à suivre tout en devant pratiquer la nécessaire réindexation des valeurs d'échange, pour maintenir les équilibres .
La stratégie face à l'inflation réside dans la résilience : réviser la valeur des biens à l'export, ne pas acheter à l'import, ni vendre à vil prix, se serrer la ceinture, éviter l'acquisition du superflu, du survalorisé (produits dits de luxe).
Bref, gérer le budget de manière réfléchie et efficiente.
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Karim599 a écrit:
Moi hamdulillah je ne regarde pas Les prix.
Car le pourcentage du salaire qui va ala bouffe est vraiment faible.
.
Entre 5 et 10%
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Dystopia23 a écrit:
Moi aussi je consacre moins de 10 % de mon salaire à la nourriture mais si tu fais régulièrement les courses même sans faire particulièrement attention, tu ne peux que constater que tout augmente.
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SalutToiVirgule a écrit:
sauf que c'est pas que la nourriture qui augmente
le loyer, les loisirs, les dépenses de tout ordre
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Dystopia23 a écrit:
"Vous n'aurez rien et vous serez heureux"
Et en plus, on nous spoile !
Sinon, l'inflation et l'augmentation des prix (pour partie liée à l'augmentation des coûts de l'énergie) s'inscrit dans un contexte plus global et généralisé de "redistribution"/concentration des richesses dont on parle peu dans les médias.
Bref, si on est bel et bien arrivé à la fin de l'ère de "l'énergie pas cher" et des "ressources bon marché", ce n'est sans doute que le début d'un changement profond qui s'inscrira sur la durée.
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