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L'enquête de l'Obs. Mohammed VI, l'intouchable ?
1 août 2011 16:39
L'enquête de l'Obs. Mohammed VI, l'intouchable ?

Publié le 28-07-11 à 13:44 Modifié à 22:02 par Le Nouvel Observateur 11 réactions

Le 30 juillet, malgré la contestation qui a agité le pays, les dignitaires du régime feront allégeance au roi comme à chaque fête du Trône. Par Sara Daniel

"Vous n'allez pas écrire que le roi aime le risotto ?", supplie le cuisinier du restaurant italien d'un grand hôtel de Marrakech, éperdu d'avoir laissé échapper ce secret défense devant une journaliste. Et cet habitué du palais qui regrette d'en avoir trop dit : dans un moment d'exaltation, il vient en effet de louer la bonté de Mohammed VI, qui fait la lecture tous les jours à un ami malade. Mais surtout, qu'on ne le cite pas : "Sa Majesté pourrait me soupçonner de flagornerie..." A l'heure où les faits et gestes de la plupart des têtes couronnées sont aussi médiatisés que ceux des stars de cinéma, il est interdit de parler du monarque marocain, même pour en dire du bien.

Dans son royaume, il est l'objet d'une étrange vénération

Qui est cet homme de 48 ans qui règne depuis près de douze ans sur le royaume chérifien ? Regard noir, cheveux ras, toujours l'ombre d'une barbe sur un visage impénétrable. Alors que le Maroc est à son tour gagné par la fièvre démocratique qui s'empare du monde arabe, il sera peut-être le seul dirigeant de la région à avoir su désamorcer la révolte à temps. En Occident, il incarne la modernité et l'ouverture. Mais, dans son royaume, il est l'objet d'une étrange vénération. "Faire un portrait du roi, vous n'y pensez pas '.C'est impossible. Le rencontrer ? Il serait plus facile de voir Dieu...", s'exclame un diplomate proche du palais. Le roi est le secret le mieux gardé du royaume. Le sujet tabou par excellence, l'une des dernières lignes blanches - avec la question du Sahara occidental - que la presse ne doit franchir sous aucun prétexte. Il y a deux ans, l'hebdomadaire "Tel Quel" a été interdit pour avoir osé évaluer le bilan du monarque. Le sondage montrait pourtant que 91% des Marocains le jugeaient positif ou très positif !

Pourquoi ce respect qui semble s'imposer à tous ?

Comme le Seigneur des Ténèbres dans "Harry Potter", Mohammed VI est celui dont on ose à peine prononcer le nom. Pourquoi tant de mystère ? Pourquoi ce respect qui semble s'imposer à tous ? Bien sûr, "le peuple l'aime". Le 1er juillet, les Marocains ont plébiscité par référendum son projet de révision constitutionnelle, avec un enthousiasme et un score (98%) qu'un Ben Ali ou un Kadhafi n'obtenaient qu'en bourrant les urnes et en achetant les voix. Mais cette popularité n'explique pas à elle seule la "sanctuarisation" de celui que l'on surnomme ici "M6". Le roi lui-même entend se protéger. Surtout, sa cour et la classe dirigeante marocaine travaillent de concert pour le soustraire aux curiosités. Plus encore aujourd'hui, en ces temps troubles de printemps arabe aux révoltes contagieuses, il faut gommer l'homme pour consolider le mythe.

Magique aux yeux de ses sujets

"Sous Hassan II, on avait peur du roi, aujourd'hui, on a peur pour lui", avaient coutume de dire les Marocains au début du règne de Mohammed VI. Désormais, face au pays qui gronde, l'élite marocaine a aussi peur pour ses privilèges et se retranche derrière la monarchie consensuelle, ses rites et ses fastes. La hiba, ce sentiment de crainte et de déférence qui faisait courber l'échine aux sujets de Hassan II, a rejailli sur son fils parce que le makhzen, l'"Etat" marocain, y trouve son compte. Il suffit pour s'en convaincre d'observer ces directeurs d'entreprise qui, recevant un coup de fil du palais, se dressent soudain au garde-à-vous alors que leur interlocuteur ne peut pas les voir... Dans ce pays où l'identité nationale s'est construite autour de la monarchie, M6 a beau avoir abdiqué son caractère sacré, il reste magique aux yeux de ses sujets. Après le résultat du référendum, malgré la chaleur de l'été, l'aristocratie respire. C'est la monarchie et la vénération qu'elle suscite chez les Marocains qui retarde l'heure des comptes.

M6 a toujours détesté parler en public

Voilà pourquoi, dès qu'on pose la question la plus anodine sur Sa Majesté, on vous regarde comme si vous aviez commis la pire des inconvenances. Il ne faut pas donner un "corps au roi". L'homme, pourtant, a une histoire, lourde et pleine de secrets. Il fallait le voir le 17 juin dernier. C'était le jour le plus important de son règne. Mais, comme souvent, il donnait l'impression de vouloir être ailleurs... Ce soir-là, vers 20 heures, le Commandeur des Croyants s'engage à limiter ses pouvoirs et à instaurer une monarchie parlementaire. Un discours historique. Mais le roi avale péniblement sa salive et se lance dans une récitation fastidieuse des articles de loi, les yeux rivés sur ses papiers. "Cher peuple, je m'adresse à toi pour renouveler notre pacte par une nouvelle Constitution..." M6 a toujours détesté parler en public. Son premier discours, il l'a prononcé en tremblant à l'âge de 7 ans devant des agriculteurs, sous le regard impitoyable de son père.

Ce trône démesuré se profilant derrière lui comme une menace

L'ombre d'Hassan II est toujours là, écrasante. Et chaque péroraison ravive le souvenir de ces moments solennels où l'effroi le disputait à l'ennui quand le petit Mohammed n'était que le figurant de son célèbre géniteur. En 1974, à 10 ans, il avait été chargé de le représenter à l'enterrement de Georges Pompidou. Un enfant habillé d'une djellaba blanche et coiffé d'un tarbouch grenat, l'air perdu sur les bancs de Notre-Dame. "J'avais l'impression d'être une petite virgule rouge dans la cathédrale...", dira plus tard Mohammed VI. Ce 17 juin 2011 aussi, devant les caméras qui filment ses promesses de "révolution tranquille", il a l'air au supplice. Engoncé dans un costume trop ajusté, flanqué pour symboliser la pérennité de la monarchie des deux héritiers du trône, son fils, le prince Moulay el-Hassan, et son frère, le prince Moulay Rachid, aussi raide que lui. Et puis il y a ce trône démesuré, rose et doré, qui se profile derrière lui, comme une menace. Avant d'y accéder, Mohammed VI a beaucoup enduré.

Convoqué à 5 h du matin par son père pour être sermonné

Son père Hassan II n'a jamais vu en Mohammed un fils, mais un successeur. Dès sa plus tendre enfance, il l'oblige à assister à toutes les audiences royales, tout en lui interdisant d'y prononcer un mot. Lorsque le prince a un accident de voiture à l'âge de 22 ans, il lâche : "L'inquiétude du roi a été supérieure à celle du père... Je voyais vingt années d'éducation, de formation complètement anéanties." Pour le former au métier de roi, Hassan II a appliqué les méthodes héritées de son père, Mohammed V. Contrôle serré des résultats scolaires, sélection sévère de ses camarades de classe - qui sont aujourd'hui devenus ses conseillers -, surveillance étouffante de ses loisirs... Mais Hassan II y a ajouté une dose de cruauté. Il convoque son fils à 5 heures du matin pour le sermonner, l'humilie publiquement. Sur les photos d'époque, on voit le jeune Mohammed, petit garçon tendre et rêveur, qui se tient craintif aux côtés de son père, avec ce rictus d'inconfort qui ne le quittera plus, comme s'il redoutait toujours de recevoir une correction. "Dans la société marocaine, Freud, nous ne connaissons pas, a dit un jour Hassan II dans une interview au "Figaro". On manipule ses enfants directement, même si ça fait mal à une jointure..."

Une violence qui a façonné le futur roi et son rapport au pouvoir

C'est cette violence, exercée par un père à la fois haï et admiré, qui a façonné le futur roi et son rapport au pouvoir. "Comme si Hassan II avait voulu faire payer à son fils le fait qu'un jour il allait lui succéder", explique un proche. La perversité du monarque est inépuisable. Ainsi il laisse entendre au prince héritier qu'il pourrait bien céder le trône à son cousin, le prince Moulay Hicham, un brillant jeune homme qu'il élève comme son fils depuis la mort de son père, et qui se montre passionné par cette chose publique qui assomme tant le petit Mohammed. Dans ces rivalités d'enfance vont naître les prémices d'une dissidence qui sera d'autant plus nocive pour le futur roi qu'elle vient du cercle le plus intime du palais. Plus tard, Moulay Hicham, qui appelle de ses voeux une réforme de la monarchie, ne ménagera pas ses critiques contre Mohammed VI. La presse, qu'il aime autant que son cousin la fuit, l'appellera "le prince rouge".

Sara Daniel – Le Nouvel Observateur

Retrouver l'intégralité de cet article dans Le Nouvel Observateur du 28 juillet 2011

Source : [tempsreel.nouvelobs.com]
2 août 2011 14:41
Le nouvel Observateur a eu accès à des sources proches du palais pour mener son enquête sur Mohammed VI. Pas tendre pour la monarchie et pour les élites du pays. Extraits. (Les intertitres sont de la rédaction de Lakome)

Mohammed VI et son image

…En Occident il incarne la modernité et l’ouverture. Mais dans son royaume, il est l’objet d’une étrange vénération. « Faire un portrait du roi, vous n’y pensez pas! C’est impossible. Le rencontrer ? Il serait plus facile de rencontrer Dieu.. » s’exclame un diplomate proche du palais ..

..Mohammed VI et C’était le jour le plus important de son règne. Mais, comme souvent, il donnait l’impression de vouloir être ailleurs…Ce soir là, vers 20 heures, le commandeur des croyants s’engage à limiter ses pouvoirs et à instaurer une monarchie parlementaire. Un discours historique. Mais le roi avale péniblement sa salive et se lance dans une récitation fastidieuse des articles de loi, les yeux rivés sur ses papiers…

..Comme le seigneur des ténèbres dans « Harry Potter », Mohammed VI est celui dont on ose à peine prononcer le nom..

Mohammed VI, Hassan II et Moulay Hicham

..Pour le former au métier de roi, Hassan II a appliqué les méthodes héritées de son père Mohammed V…Mais Hassan II y a ajouté une dose de cruauté. Il convoque son fils à cinq heures du matin pour le sermonner, l’humilie publiquement...

…C’est cette violence exercée par le père à la fois haï et admiré, qui a façonné le futur roi et son rapport au pouvoir. « Comme si Hassan II avait voulu faire payer à son fils le fait qu’un jour il allait lui succéder », explique un proche. La perversité du monarque est inépuisable. Ainsi il laisse entendre au prince héritier qu’il pourrait bien céder le trône à son cousin, le prince Moulay Hicham.... Dans cette rivalité d’enfance vont naître les prémices d’une dissidence d’autant plus nocive pour le futur roi qu’elle vient du cercle le plus intime du palais. Plus tard Moulay Hicham qui appelle de ses vœux une réforme de la monarchie, ne ménagera pas ses critiques contre Mohammed VI…

Les pièges du Pouvoir et les mœurs du Makhzen

…M6 rattrapé par le fantôme d’Hassan II. Les lourdeurs de la monarchie et d’une courtisanerie d’un autre âge. Comment résister lorsque vos anciens amis se prosternent devant vous, que vous vivez dans un monde où l’on dore à l’or fin les sabots de vos chevaux et que vous pouvez d’un froncement de sourcils décider des fortunes ou du malheur de vos sujets ?..

…« Mais le pire, c’est quand vous n’êtes même pas congédié. Vous l’apercevez encore, mais lui ne vous voit plus. Vous faites anti-chambre en vous gavant de clubs-sandwichs au homard, vous prenez du poids, malheureux en espérant regagner ses faveurs. Cela peut durer des mois » un membre du sérail qui a fait les frais des bouderies royales. Ces disgraciés, on les croise, mal peignés, presque en deuil, dans les salons de la haute bougeoisie marocaine. Il y a même une série de noms pour désigner leur triste condition : Le Moharem, le roi ne le voit plus ; le Penek, il ne lui parle plus…les bannis sont privés de fêtes nomades et de voyages officiels…

Le roi et l’argent

…Le roi des pauvres qui voulait pourtant rompre avec les habitudes de son père grand amateur de bijoux et de Rolls, ne cache désormais plus ses goûts de luxe. Il a ses habitudes dans les boutiques de la rue Saint Honoré à Paris et de Madison Avenue à New York...

…Sa dernière folie ? La construction du magnifique hôtel Royal Mansour à Marrakech, qu’il a supervisée lui-même jusqu’aux plus infimes détails. Les suites les plus luxueuses, vitrines des chefs-d’œuvre de l’artisanat marocain, abritent souvent la famille royale et sont facturées plusieurs dizaines de milliers d’euros la nuit…

...« Hassan II se servait de son argent pour consolider son pouvoir, M6 maximise ses richesses, il est de son temps » selon un grand banquier marocain...

...Selon les calculs de Forbes, l’entretien et la maintenance des palais royaux coûteraient 1 million de dollars par jour...

Mohammed VI et la bourgeoisie marocaine

..Cette captation des richesses par le palais a exaspéré « le makhzen économique », autrement dit la grande bourgeoisie marocaine. L’un de ses représentants enrage : « Les nouveaux conseillers bling-bling du roi ont pété les plombs. Nous au moins, nous avons l’argent discret. Un peu comme la bourgeoisie lyonnaise, si vous voulez. Et ils nous ont fait honte. ».

...Pour l'instant, "son peuple" lui a fait la politesse de croire que seuls ses deux conseillers (Majidi, El Himma) étaient responsables des maux dont souffre le Maroc. Jusqu'à quand? Et l'Homme d'affaires de la vieille école de paraphraser Giuseppe Tomasi, qui décrit dans "le guépard" une Sicile aux prises avec les tourments de la révolution: « Aujourd’hui, au Maroc, pour que rien ne change, ce que nous voulons tous, il faut que tout change. La constitution, mais surtout la redistribution des richesses »…

Mis à jour ( Jeudi, 28 Juillet 2011 14:38 )

Source : [fr.lakome.com]
2 août 2011 15:35
on peut comprendre le point de vue de M6


it's good to be the king



on ne lui souhaite pas de finir comme ça , notre M6 national



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/08/11 19:35 par mohammed06.
H
2 août 2011 18:06
Tout est bon pour vendre un torchon de nos jours . Du n'importe quoi sous forme de roman.
3 août 2011 14:45
Citation
Hamza a écrit:
Tout est bon pour vendre un torchon de nos jours . Du n'importe quoi sous forme de roman.

Même pas, la censure a encore frappé la presse au Maroc!!! Si s'était un torchon où on racontait n'importe quoi, il n'aurait pas gêné au point de le censurer...



Le Nouvel Observateur censuré au Maroc ?
2 août 2011

L’édition du vendredi 29 juillet de l’hebdomadaire français Le Nouvel Observateur était introuvable dans les kiosques au Maroc, d’où des informations qui faisaient état de son interdiction au Maroc. Le Nouvel Obs a en effet publié une enquête sur le Roi Mohammed VI, intitulée "Mohammed VI, l’intouchable ?"

En juillet dernier, l’hebdomadaire français Courrier International a été interdit au Maroc, pour une caricature représentant le Roi Mohammed VI "partageant les pouvoirs" avec le Premier ministre.

Le quotidien français, Le Figaro avait également été interdit d’entrée u Maroc le 2 juin dernier, en raison d’un dossier jugé comme portant atteinte au Prophète Mohammed.

Conformément au code de la presse marocain, les supports de presse étrangers portant atteinte à l’institution monarchique, à la religion musulmane et à l’intégrité territoriale du pays, sont interdits de distribution au Royaume.

Source : [www.bladi.net]



Vive la nouvelle constitution et ses changements grinning smiley
H
3 août 2011 16:33
La France et beaucoup de pays européens " démocratiques " on interdits la chaine libanaise " al manar", une chaine pourtant sattélitaire, parce qu elle les génait. Même si j ai aucune affinité avec les idées de al manar et celle du hezbollah , il n empêche qu'ils symbôlise la resisance contre les agressions isréaliennes .
m
10 août 2011 22:05
Une journaliste de nouvel observateur dont le nom est inconnu parmi ceux qui comptent et qui fait du récit de vie des années 90 à la sauce JC Combessie a l'IRESCO ( sans la qualité du sociologue !) au lieu de faire un article à la hauteur de son intitulé. Intouchable ? Pardon mais je l'ai deja touché....

C'est pathétique cette revolte pseudo angélique !! qui est ce journaliste ? reflexe wikipedia ?
Une bibliographie commence par grand reporter !!! ecrite par elle certainement ? Et oui, Il ne suffit de faire trois voyages dans les pays en guerre ds le monde arabo musulman pour marquer une génération Meme celle de harry Potter. Aucun intérêt sinon jouer sur la curiosité et la vagu du printemps arabe pour se faire une ligne sur son CV de journaliste.

Une journaliste veut une heure de gloire ds son parcours pour se faire une place ds le microcosme parisien . D'autres s'y sont frotté en abordant le Maroc et sa monarchie de haut. Les faits divers et aucune analyse du parcours... Juste des M& M pour attirer le lectorat. Mais c'est un creux...

Les arguments les témoignages ? C du journaliste son risotto ? un secret défense ??? N'importe quoi pour racoler du lecteur.
et cette émotion qu'elle découvre la peur du pouvoir, Faut aller faire un tour à la Défense et causer avec le personnel de la Société Générale; je ne parle même pas de l'Élysée.
La peur de perdre son poste, ses avances pour une phrase ds un papier, quelle decouverte !!

une journaliste qui n'a jamais fait le portrait d'un chef d'Etat, même pas européen se fait la main sur le Maroc ... Même pas le portrait d'un leader, d'une quelconque personnalité digne d'interet ?

Par contre, un article signé de Jean Daniel OUI, il suscite l'intérêt du lecteur averti, oui avec plaisir je le lirai ou d'une ou d'un journaliste né dans cette région du monde l'Afrique du Nord qui a vécu de près des décennies de promesses et belles paroles tenues aux uns et aux autres par la 5è Republique à des générations de marocains qui ont pu se préserver grâce aux attaches ancestrales
et se liberer de cette ecriture gauche caviar donneuse de leçon sur le pouvoir et la redistributions des richesses n'ayant jamais lu de livre d'Adam Smith, incapable de prendre le temps de comprendre "la main invisible" et s'autorisant avec des bribes de savoir de disserter sur l'Autre, ignorant les fondateur de Sa propre économie libérale et s'arrêtant sur des propos d'une grande banalité
" les anciens discrets riches et les jeunes riches blin blin comme si c'est un élément unique ou rare sur la planète Terre . Faut relire les classiques sur les anciens et les jeunes loups, c'est tellement bien écrit chez Seneque.

C'est pathétique comme approche.... un canada dry. Cela ressemble a du journalisme mais ce n'est pas du journalisme. Un travail d'étudiant érudit serait mieux structuré ; il aurait trouvé des personnalités françaises ou des autres régions du monde pour faire des interviews.

Mais ramasser le bois mort et en faire un tas ne donne pas du charbon de bois.... te dit une marocaine


Bsala ou safi Narri Wallou garga7a khaouia







.
m
13 août 2011 13:18
c
14 août 2011 20:09
Aucun journaliste marocain n'a le courage d'écrire quoi que ce soit sur Sarkozy et le système français, pourquoi donc?
e
18 août 2011 03:32
je suis pour la censure
q
18 août 2011 09:33
Citation
cit.2 a écrit:
Aucun journaliste marocain n'a le courage d'écrire quoi que ce soit sur Sarkozy et le système français, pourquoi donc?


Pose toi la question dans l autre sens , pourquoi écrire sur le système Français ou bien Sarkozy ? y a assez d écris en France à ce sujet , parfois trop !
 
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