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Keskonrix1? a écrit:
Juste pour infos
Benkirane veut dire : fils de cars ( car , le bus)
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Variant marocain a écrit:
De grâce laissez le ou il est. Ou mieux partez tous. Le PJD n'est pas le parti des enjeux actuels dans lesquels est engagé le Maroc.
Benkirane est contre la légalisation du cannabis thérapeutique alors que de grands pays comme la France, l'Allemagne, les Etats Unis s'y engoufrent et trouvent leur intérêts économique, thérapeutique (douleurs, cancers, sclérose en plaque, maladies neurologiques etc...), industriel (cordage, tissus, construction...) dans cette plante dans un marché en plein boum.
Cela donnera du travail à des milliers de personnes et fera rentrer des milliards pour le pays.
Le Maroc a l'avantage des connaissances ancestrales dans la culture du cannabis.
Benkirane confond certainement avec le cannabis récréatif psychédélique...
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Sarrazin a écrit:
Culture ancestrale...
Seuls les bergers s'intéressaient jadis au kif ...
Comme pour l'opium, la culture du kif est un sous produit de la colonisation au même titre que la vigne et les caves (production d'alcool).
Avant de citer les bienfaits il faut s'arrêter sur les risques et les méfaits.
D'après un ami, dans l'état actuel, avec la législation en vigueur, les photos satellitaires témoignent de l'extension de cette culture, par ailleurs les hôpitaux psychiatriques attestent du grand nombre de jeunes en détresse.
Le coût social, humain (échecs scolaires, délinquance, etc ...) est déjà considérable.
Enfin, il est impossible de contrôler la production, les rendements à l'hectare, la commercialisation supposée réservée uniquement à des fins thérapeutiques, la contrebande, la vente au noir sur des circuits et marchés parallèles.
C'est une question sérieuse de santé publique avant d'être purement économique. J'ai visionné une vidéo réalisée par un fils d'agriculteur de Ketama, opposé au projet, qui selon lui créera un monopole de fait comme engendrera un chômage des acteurs actuels.
Enfin, cette culture est fortement demandeuse d'eau pour irriguer les plans contribuant au stress hydrique et à l'épuisement des nappes phréatiques.
La solution passe par le développement de nouvelles cultures à forte valeur ajoutée (fruits rouges, safran, etc...) comme par le désenclavement nécessaire au transport inter-régional des productions agricoles.
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Sarrazin a écrit:
Culture ancestrale...
Seuls les bergers s'intéressaient jadis au kif ...
Comme pour l'opium, la culture du kif est un sous produit de la colonisation au même titre que la vigne et les caves (production d'alcool).
Avant de citer les bienfaits il faut s'arrêter sur les risques et les méfaits.
D'après un ami, dans l'état actuel, avec la législation en vigueur, les photos satellitaires témoignent de l'extension de cette culture, par ailleurs les hôpitaux psychiatriques attestent du grand nombre de jeunes en détresse.
Le coût social, humain (échecs scolaires, délinquance, etc ...) est déjà considérable.
Enfin, il est impossible de contrôler la production, les rendements à l'hectare, la commercialisation supposée réservée uniquement à des fins thérapeutiques, la contrebande, la vente au noir sur des circuits et marchés parallèles.
C'est une question sérieuse de santé publique avant d'être purement économique. J'ai visionné une vidéo réalisée par un fils d'agriculteur de Ketama, opposé au projet, qui selon lui créera un monopole de fait comme engendrera un chômage des acteurs actuels.
Enfin, cette culture est fortement demandeuse d'eau pour irriguer les plans contribuant au stress hydrique et à l'épuisement des nappes phréatiques.
La solution passe par le développement de nouvelles cultures à forte valeur ajoutée (fruits rouges, safran, etc...) comme par le désenclavement nécessaire au transport inter-régional des productions agricoles.
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Sarrazin a écrit:
Culture ancestrale...
Seuls les bergers s'intéressaient jadis au kif ...
Comme pour l'opium, la culture du kif est un sous produit de la colonisation au même titre que la vigne et les caves (production d'alcool).
Avant de citer les bienfaits il faut s'arrêter sur les risques et les méfaits.
D'après un ami, dans l'état actuel, avec la législation en vigueur, les photos satellitaires témoignent de l'extension de cette culture, par ailleurs les hôpitaux psychiatriques attestent du grand nombre de jeunes en détresse.
Le coût social, humain (échecs scolaires, délinquance, etc ...) est déjà considérable.
Enfin, il est impossible de contrôler la production, les rendements à l'hectare, la commercialisation supposée réservée uniquement à des fins thérapeutiques, la contrebande, la vente au noir sur des circuits et marchés parallèles.
C'est une question sérieuse de santé publique avant d'être purement économique. J'ai visionné une vidéo réalisée par un fils d'agriculteur de Ketama, opposé au projet, qui selon lui créera un monopole de fait comme engendrera un chômage des acteurs actuels.
Enfin, cette culture est fortement demandeuse d'eau pour irriguer les plans contribuant au stress hydrique et à l'épuisement des nappes phréatiques.
La solution passe par le développement de nouvelles cultures à forte valeur ajoutée (fruits rouges, safran, etc...) comme par le désenclavement nécessaire au transport inter-régional des productions agricoles.
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Sarrazin a écrit:
Culture ancestrale...
Seuls les bergers s'intéressaient jadis au kif ...
Comme pour l'opium, la culture du kif est un sous produit de la colonisation au même titre que la vigne et les caves (production d'alcool).
Avant de citer les bienfaits il faut s'arrêter sur les risques et les méfaits.
D'après un ami, dans l'état actuel, avec la législation en vigueur, les photos satellitaires témoignent de l'extension de cette culture, par ailleurs les hôpitaux psychiatriques attestent du grand nombre de jeunes en détresse.
Le coût social, humain (échecs scolaires, délinquance, etc ...) est déjà considérable.
Enfin, il est impossible de contrôler la production, les rendements à l'hectare, la commercialisation supposée réservée uniquement à des fins thérapeutiques, la contrebande, la vente au noir sur des circuits et marchés parallèles.
C'est une question sérieuse de santé publique avant d'être purement économique. J'ai visionné une vidéo réalisée par un fils d'agriculteur de Ketama, opposé au projet, qui selon lui créera un monopole de fait comme engendrera un chômage des acteurs actuels.
Enfin, cette culture est fortement demandeuse d'eau pour irriguer les plans contribuant au stress hydrique et à l'épuisement des nappes phréatiques.
La solution passe par le développement de nouvelles cultures à forte valeur ajoutée (fruits rouges, safran, etc...) comme par le désenclavement nécessaire au transport inter-régional des productions agricoles.
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Variant marocain a écrit:
Vous parlez des méfaits du cannabis du des jeunes en détresse, ce sont des faits actuels dus aux plants actuels.
Ce n'est pas qu'un nteret économique, mais bien de santé publique aussi.
Le cannabis dont il est question est une plante totalement différente qui contient que très peu de THC la substance psychoactive et contient surtout du cannabidiol, qui pourrait aider justement dans les traitements en psychiatrie.
Ensuite vous évoquez certains agriculteurs qui seraient contre le projet. Ce sont ceux qui trouvent leur comptes dans le trafic mafieux actuel.
La majorité des cultivateurs de cette plante sont pour le projet qui leur permettra de vivre dans la légalité et avec des revenus convenables.
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Variant marocain a écrit:
Vous dénoncez des situations actuelles avec des exemples précis qui ne relatent pas forcément la réalité.
Alors vous voulez laisser les choses en l'état. Pourquoi tous les grands pays (France, Israël,etc....) qui ont combattu durement le trafic mafieux, s'y mettent au cannabis thérapeutique, ils ont tord ? ou alors nous ne sommes pas capables ?
Si on devait suivre votre exemple on ne ferait jamais rien et on n'avancerait pas. Il faut être audacieux et optimiste sinon c'est la situation actuelle qui va demeurer et là je suis d'accord avec vous elle est catastrophique
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Variant marocain a écrit:
Cher Sarrazin,
Je ne vous suis plus dans votre raisonnement. Vous faites état de la situation actuelle des ravages du trafic de stupéfiants, alors je ne vois pas le rapport avec la légalisation du cannabis thérapeutique (acté par l'ONU )