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La laïcité a été toujours pratiqué par les marocains: AZERF
M
23 août 2005 14:53
La laïcité, un choix nécessaire pour la construction d’un État démocratique au Maroc ou La nécessité de constitutionnaliser le principe de la laïcité

Cet article se propose de donner des réponses à des questions largement posées chaque fois que le débat sur la laïcité est ouvert, soit entre les Amazighs ou avec d’autres mouvances de la société. Il s’agit entre autres des questions suivantes :
Qu’est-ce que la laïcité ?
Pourquoi la laïcité dans la constitution marocaine ?
Quel type de laïcité proposent les Amazighs ?
Préambule
La charte amazighe pour la révision du texte de la constitution, dans ses objectifs, met l’accent sur le principe de la laïcité comme un atout pour la construction d’un État de droit. Ce principe est loin d’être accepté par tout le monde. Toutes les dynasties qui se sont succédées au Maroc ont utilisé la religion comme idéologie pour arriver au pouvoir. L’affiliation au prophète ou à sa fille était monnaie courante chez les dirigeants de ces dynasties, même celles, paraît-il, qualifiées de « berbères », comme les Almoravides, les Almohades et les Mérinides.
Depuis l’arrivée des Français, issus d’une culture laïque (Ya hsra) – la loi sur la laïcité a été votée en France en 1905 – et l’émergence de l’État Nation nommée « Maroc », les nouveaux tenants du pouvoir à coté du Sultan n’ont fait que renforcer, curieusement, le caractère religieux de l’État. Les écoles françaises réservées aux élèves marocains obligeaient les enfants à faire la prière ensemble dans les cours d’école.
En 1914, un décret légalise « les coutumes » dans les territoires dits « berbères » sans aucune réaction des oulémas ou des salafistes, dont le leader à l’époque était vizir de la justice « Ya hsra ». Ce n’est qu’en 1930, suite à la promulgation du Dahir organisant les tribunaux dans les territoires dits « berbères », que la machine arabo-islamiste a commencé son travail d’acharnement contre les Amazighs. Cette politique, non-déclarée d’ailleurs, a été encouragée par les autorités coloniales françaises. Aucune école « berbère » de l’époque française n’a enseigné la culture amazighe, contrairement aux écoles franco-arabes et franco-musulmanes qui ont fait de l’arabo-islamisme le cursus des « indigènes évolués », ceux devenus « nationalistes ».
La constitution marocaine de 1962, bien qu’elle soit inspirée, Ya hsra, de la constitution française de 1958, a fait de l’islam la religion de l’État, et des Marocains des musulmans par défaut. Cette décision a été à l’origine de l’instauration du principe du commandeur des croyants pour la première fois dans l’histoire de l’écrit. Quant à nos concitoyens de confession juive, ils n’avaient qu’à aller voir ailleurs leur citoyenneté, comme le font nos harraga d’aujourd’hui.
Au Maroc, l’enfant est né, de facto, musulman. Le code de la famille est basé sur la chariâ humaine, qui conditionnait la vie des habitants de l’Arabie au temps du prophète, il y a plus de 15 siècles, alors que les Arabes de l’époque enterraient vivants les bébés de sexe féminin. Ces même principes ont été repris dans le code de la famille marocain. Le Ramadan est une obligation par force de la Loi, le jeûne doit être observé en public. La liberté de croyance n’a pas de cité dans notre pays. L’islam fait partie des trois lignes rouges à ne pas franchir au Maroc, on peut parler de tout sauf de la religion musulmane. Choisir sa religion au Maroc est considéré comme un crime. La changer par une autre, c’est encore pire. Droits de l’Homme ?
Qu’est-ce que la laïcité ?
Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, l’idée même de laïcité est presque impensable en Europe : Le pouvoir politique, qui est supposé émaner de Dieu, ne peut se passer de l’appui du clergé, même si à partir du XVIe siècle, les rois de France et d’ailleurs ont cherché à développer l’autonomie du pouvoir temporel. Les philosophes du XVIIIe siècle, en remettant en question les fondements de la société au nom de l’esprit critique, contribuèrent à ébranler les liens qui unissent la religion, l’État et la société.

Au XIXe siècle, l’héritage de la Révolution française conduit à l’affirmation d’une société laïque dans laquelle la religion devient une affaire purement privée, disjointe de l’autorité politique. Le courant anticlérical, porté par les idées rationalistes et positivistes de la seconde moitié du XIXe siècle, conduit même à une pratique militante de la laïcité, dont la France constitue le meilleur exemple. Cette pratique s’illustre tout particulièrement dans l’institution de l’école laïque par laquelle les fondateurs de la IIIe République entendent affranchir le système d’éducation de la tutelle du clergé.
Après la lutte acharnée, le combat en faveur de la laïcité aboutit en 1905 à la loi de séparation des églises et de l’État, à l’exception des colonies. Au lendemain de ce triomphe, l’apaisement du conflit place la France dans la situation de la plupart des grands pays de démocratie libérale. La pratique de la laïcité s’accorde aux principes fondamentaux du droit : égalité des cultes, liberté religieuse et séparation complète des domaines spirituel et temporel, ce qui implique le caractère non confessionnel de l’État et son incompétence dans le domaine religieux. Si elle a cessé d’être un enjeu aussi crucial qu’au siècle dernier, la laïcité continue toutefois de susciter des polémiques, notamment dans le domaine scolaire. L’immigration de populations de cultures différentes notamment nord-africaine, souvent mal attachées à leurs cultures d’origine (ne sont-ils pas arabes pour la France ?), pose ainsi une question délicate : Comment concilier la citoyenneté avec la fidélité à des croyances ? Si les démocraties garantissent l’exercice de tout culte dans la sphère privée, elles observent toutefois des attitudes différentes, suivant leur histoire et leur conception de la citoyenneté, devant l’ostentation d’insignes religieux dans les espaces publics ou le prosélytisme de certains groupes extrémistes. Alors, que savons-nous sur les Amazighs et la laïcité ? Comment peut-on expliquer l’existence d’un droit positif, Azerf, dans nos sociétés pré-coloniales aux cotés des institutions religieuses ? Azerf que la tradition juridique coloniale a réduit en « coutumes » ?
Pourquoi la laïcité?
Le développement spectaculaire de nouvelles sectes musulmanes et le caractère transfrontalier de leurs structurations, nous interpelle pour protéger notre pays par un arsenal juridique approprié, qui permet à l’État et au citoyen de vivre leur religion et leur vie sociale en toute tranquillité.
Le crime perpétré contre la nation le 16 mai 2003 à Casablanca est la suite naturelle de la politique religieuse suivie par l’État depuis des décennies. En fait, pour contrecarrer les idées gauchistes et des panarabistes, les services de l’État, services secrets et non secrets, ont nourri une nouvelle idéologie aussi étrangère à notre histoire que celle qu’ils voulaient combattre : le wahabisme, idéologie terroriste gérée et financée de l’extérieur par les barons du pétrole.
Ce n’est qu’à partir de cette date que les Marocains ont vu le danger que représente cette idéologie au Maroc. Les islamistes ont créé des mosquées un peu partout, tout endroit libre est une mosquée potentielle. Les pancartes se sont multipliées sur toutes les artères des villes et villages pour demander des dons aux bienfaisants pour construire une mosquée. Les associations d’islamistes n’ont délaissé aucun domaine, elles occupent tout le champ social et se substituent à l’État. Pourquoi ne pas faire des collectes pour construire des hôpitaux, des crèches, des internats, des maisons du peuple, des écoles, des maisons de cultures et autres infrastructures sociales ? Sidi Rbbi reconnaîtra sûrement les siens.
Depuis son émergence sur la scène politique et sociale, le mouvement amazigh a fait de la laïcité un principe fondamental pour un État de droit et de démocratie. Cependant des âmes mal-intentionnées, panarabistes et soit disant gauchistes ont mis ce mouvement dans leur point de mire. Le mouvement est ainsi qualifié de francophile et de sioniste, qui vise à diviser la nation. Étrange gaucherie à la sauce marocaine…
Le régime marocain, qui par bonne ou mauvaise foi a favorisé le développement de la religiosité dans le pays, s’est trouvé face à sa propre création, le 16 mai 2003, alors que le Maroc était considéré comme une exception dans le monde musulman. Les officiels ont compris que ce mouvement doit être contrôlé. Des voix démocratiques et le mouvement amazigh ont demandé de déclarer le caractère laïc de l’État marocain dans le texte constitutionnel. Sans cette décision, aucune force ne peut actuellement combattre l’offensive régressive menée par les porteurs du discours anti démocratique et anti-moderniste.
Les personnalités amazighes qui n’ont cessé de revendiquer ce principe pour le véritable éveil démocratique dans notre pays n’ont jamais été entendues. Lors de la révision constitutionnelle de 1996, le mouvement amazigh a fait savoir que ce principe est important si le Maroc veut se démocratiser. Sauf que toutes les propositions du mouvement sont restées sans réponses !
Actuellement, et en vue de la révision attendue par tous, le mouvement amazigh revient à la charge avec des propositions qui permettront au Maroc de se concilier avec lui-même. La proposition de la laïcité n’est pas nouvelle ou importée de l’extérieur. En fait, chez les tribus amazighes, le spirituel et le profane sont séparés. L’amghar ou l’amqran sont élus pour gérer les choses d’ici bas, le culte est assuré par ceux qui gèrent l’au-delà. À chacun son métier et son rôle.
Quel type de laïcité proposent les Amazighs ?
Cette question peut paraître énigmatique. L’analyse du mariage entre l’État et la religion est due à l’usage de la légitimité religieuse dans un pays caractérisé par la supposée dominance du religieux dans la vie des gens. Toutes les dynasties ont utilisé la religion comme cheval de bataille pour arriver au pouvoir. Les zawiya et les saints sont omniprésent sur tout le territoire marocain. Cependant, la religion dans les tribus n’a jamais été un fait de société mais plutôt une affaire personnelle entre l’être humaine et son dieu. L’imam de la mosquée était toujours étranger à la tribu, il ne siège jamais dans l’assemblée annuelle, il exerce ces fonctions d’imam dans un cadre contractuel connu sous le nom de Chart. À vrai dire, c’est un fonctionnaire de la tribu. En cas de désaccord, la tribu peut recruter un autre imam selon d’autres conditions. Les zawiya et les saints marquent bien la séparation des sphères.
Cet état de fait démontre que la société marocaine était toujours une société laïque. Comme avancé auparavant, les Français ont fait du sultan le détenteur du pouvoir religieux, législatif et exécutif. Mystère est cette République laïque venue nous avancer… vers la catastrophe institutionnelle !
Ces vérités nous conduisent à proposer l’adoption du principe de la laïcité dans la constitution marocaine. Ces mêmes vérités historiques et sociales ont été à l’origine de l’intégration de la constitutionnalisation de la laïcité comme l’une des revendications de la charte amazighe sur la révision de la constitution.
La constitutionnalisation de la laïcité doit donner aux citoyens marocains les droits suivants :
• Liberté de croyance : le citoyen a le droit inaliénable de choisir sa religion.
• Le citoyen a le total droit d’exercer sa religiosité comme il le veut en toute liberté.
• Innocence des nouveau-nés : les nouveau-nés naissent innocents et sans religion. Leurs parents ont le droit absolu de leur choisir le prénom de leur choix, en toute liberté.
• Égalité des citoyens, quelles que soient leurs croyances, devant la loi, y compris pour l’héritage. La constitution n’est-elle pas le Coran suprême de la citoyenneté ?
• L’État, étant un percepteur des impôts payés par les citoyens, s’interdit le financement ou la construction d’édifices religieux de toute nature. Il garde seulement le droit de contrôle sur les groupements religieux et sectes pour éviter tout débordement. La France et l’Espagne nous ont bien laissé une administration des Habous, bien modernisés et suffisamment riche (merci nos ancêtres) pour rendre aux édifices religieux ce qui leur appartient.
Ces droits doivent se traduire dans la législation marocaine par le changement, l’amendement ou l’abrogation pure et simple des textes qui sont en contradiction avec ces droits.

Par MA
a
23 août 2005 15:01
et le revoila avec autre chose

au depart on a eu droit une attaque en regle contre l'islam
et maintenet sous couvert de laicité vous ressortez la chanson des arabes mechants et des amazighs laiques anti-islamistes
ca prendra pas

je sais pas a quel jeu vous jouer ? c pas de la paranoia mais je sais pas ce que vous chercher ds ce site j'aimerai bien le savoir
b
23 août 2005 15:36
quand quelqu'un milite pour la laicite our se met carrement contre l'islam sur le background d'une *ideologie* berberiste il manque automatiquement de credibilite a mes yeux et me parait directement programme et (trop) previsible.

c'est dommage.



rifton75 a écrit:
-------------------------------------------------------
> et le revoila avec autre chose
>
> au depart on a eu droit une attaque en regle
> contre l'islam
> et maintenet sous couvert de laicité vous
> ressortez la chanson des arabes mechants et des
> amazighs laiques anti-islamistes
> ca prendra pas
>
> je sais pas a quel jeu vous jouer ? c pas de la
> paranoia mais je sais pas ce que vous chercher ds
> ce site j'aimerai bien le savoir






Modifié 1 fois. Dernière modification le 23/08/05 15:37 par bikhir.
M
23 août 2005 15:42
Ce site est pour tous les marocains et il n'est pas un site des islamistes. Avez-vous des arguments où seulement vous êtes en train d'attaquer tout qui ne colle pas à votre idéologie.

Le topic est sur la pratique millénaire de la laicité par les marocains. Nos anêtres l'ont appliqué avant les Français. Les écrits des erudits imazighen le temoignent largement: Saint Augustin et Benrochd. C'est cela qui fait la tolerance des marocains: le fanatisme religieux est étranger aux marocains, il est importé de la peninsule arabique.
b
23 août 2005 15:49
bonjour murakuch,

je n'avais pas l'intention de t'attaquer.
nos ancertes ovaient leurs pratiques avant l'islam mais il ont decide depuis l'histoire de se convertir a l'islam allant dans ce processus jusqu'a s'arabiser.
d'un point de vue purement historique c'est certainnement interessant de se pencher sur le passe de notre peuple. si on veut militer pour la laicite ca me parait un chemin faux.



Murakuch a écrit:
-------------------------------------------------------
> Ce site est pour tous les marocains et il n'est
> pas un site des islamistes. Avez-vous des
> arguments où seulement vous êtes en train
> d'attaquer tout qui ne colle pas à votre
> idéologie.
>
> Le topic est sur la pratique millénaire de la
> laicité par les marocains. Nos anêtres l'ont
> appliqué avant les Français. Les écrits des
> erudits imazighen le temoignent largement: Saint
> Augustin et Benrochd. C'est cela qui fait la
> tolerance des marocains: le fanatisme religieux
> est étranger aux marocains, il est importé de la
> peninsule arabique.


a
23 août 2005 15:57
tous ceux qui vont pas ton ton sens ce sont des islamistes on se croirait en face de sharon


vous dites: "le fanatisme religieux est étranger aux marocains, il est importé de la peninsule arabique."


c l'adage de tous les extremistes du monde les conspirateurs viennent de l'etranger


les radicaux s'il en existe au maroc c du d'abord a la spoliation des biens du peuple par hassan2 et sa bande qui ont privé sciemment la majeur partie des marocains de leur droit le plus elementaire : l'instruction
t'as dit aussi :

"la machine arabo-islamiste a commencé son travail d’acharnement contre les Amazighs"

t pas un cousin de fienclkraut smiling smiley
M
23 août 2005 15:58
Re-bonjour Bikhir: Ma reponse etait pour Rifton95. Desolé pour ce malentendu
M
23 août 2005 16:01
Rifton95: n'essaie surtout pas de noyer le topic dans des attaques et insultes personnelles. Restons dans le sujet STP.
a
23 août 2005 16:01
Murakuch (IP enregistrée)
Date: le 19 août 2005 à 10h58


Re-bonjour Bikhir: Ma reponse etait pour Rifton95. Desolé pour ce malentendu



c rifton75 pas 95 j'ai pas envie de demanager moi je suis bien la ou je suis
a
23 août 2005 16:04
pkoi tu parles d'insultes je t'ai pas insultes si tu parles de fienkcraut
c parcequ'il utilise la meme ethymologie que toi a savoir islamiste obscurantiste arabo-islamistes
I
23 août 2005 16:14
murakuch:


"il est importé de la peninsule arabique"





Et cet article est importé d un site bébériste raciste.


B
23 août 2005 16:31
Moha Arehal n a rien d un raciste ou d un séparatiste

c est un ingenieur marocain qui vit à Rabat et qui milite démocratiquement pour le droits des imazighen

je ne parle pas du site dont est issu cet article mais de l auteur de celui ci

un seul mot : Srebrenica
i
23 août 2005 16:34
Quelle inculture et quel vide argumentaire, il n'a d'équivalent que que l'effronterie de faire avancer des arguments pour te déjuger.L'aurai-je voulu alors que l'argumentaire de ton texte tombent comme un château de sable au fur à mesure que je le parcoure.
Le plus dangeureux, monsieur murakuch,est que chaque phrase prononcée ou écrite permet à autrui de juger notre intellecte et le votre malheureusemnt s'est absenté durant ta rédaction (si intellecte il y a)
Je n'ai pas malheureusemnt beaucoup de temps pour ton texte, dont la longeur n'égale que son vide.mais je ferai un effort, vu le degré de ton ignorance, pour t'apporter certains éclaisissemnt .


Vous dites:
». Ce n’est qu’en 1930, suite à la promulgation du Dahir organisant les tribunaux dans les territoires dits « berbères », que la machine arabo-islamiste a commencé son travail d’acharnement contre les Amazighs. Cette politique, non-déclarée d’ailleurs, a été encouragée par les autorités coloniales françaises. Aucune école « berbère » de l’époque française n’a enseigné la culture amazighe, contrairement aux écoles franco-arabes et franco-musulmanes qui ont fait de l’arabo-islamisme le cursus des « indigènes évolués », ceux devenus « nationalistes ».

Je dois comprendre qu'une entité appelé, à votre avis , arabo-islamiste s'est acharnée contre la culture amazigh suite au decrêt berbere, suivant une politique encouragée par les francais.
J'arrive même pas à trouver des mots devant une telle ignorance et je suis sincère.Dois-je déduire q'une entité arabo-amazigh et la france étaient en cheville pour anéantir une culture amazigh.Comment veut-tu que je puisse répondre à cela.

Vous dites:
La constitution marocaine de 1962, bien qu’elle soit inspirée, Ya hsra, de la constitution française de 1958, a fait de l’islam la religion de l’État, et des Marocains des musulmans par défaut. Cette décision a été à l’origine de l’instauration du principe du commandeur des croyants pour la première fois dans l’histoire de l’écrit. Quant à nos concitoyens de confession juive, ils n’avaient qu’à aller voir ailleurs leur citoyenneté, comme le font nos harraga d’aujourd’hui.
Au Maroc, l’enfant est né, de facto, musulman. Le code de la famille est basé sur la chariâ humaine, qui conditionnait la vie des habitants de l’Arabie au temps du prophète, il y a plus de 15 siècles, alors que les Arabes de l’époque enterraient vivants les bébés de sexe féminin. Ces même principes ont été repris dans le code de la famille marocain. Le Ramadan est une obligation par force de la Loi, le jeûne doit être observé en public. La liberté de croyance n’a pas de cité dans notre pays. L’islam fait partie des trois lignes rouges à ne pas franchir au Maroc, on peut parler de tout sauf de la religion musulmane. Choisir sa religion au Maroc est considéré comme un crime. La changer par une autre, c’est encore pire. Droits de l’Homme ?


Comment veux-tu que je réponde à cela:
Avant toute constitution, et tu l'avais bien signalé avant( à moins que kadkhoul et kadkhrouj fi lhadra), le maroc est un des rares pays à exporter l' islam, d'où la relation intrinséque entre lui et cette religion. on peut dés lors avancer que le maroc est un pays musulman, en vue de cela une constitution qui l'adment ne commet aucun paritaire à ce que je sache, sauf pour des incultes comme toi, et pour de ton inculture, l'islam à certes conditionnée l'avis en arabie saoudite mais pour ne plus enterrer les bébés de sexe feminin et non l'inverse.

Je m'arrête là parce que j'ai des choses à faire.

Et pourtant, ma journée a bien commencé, j'avais pu enfin parler avec une amie que j'aime beaucoup (lol)
georges orwell
M
23 août 2005 16:34
Tanemirt aguma ino: stit lli tinit
B
23 août 2005 16:39
foumia, foumia ...
un seul mot : Srebrenica
M
23 août 2005 16:43
Re à Ibn Hazm: qund l'igonrance et lárrogance somt combinées: c'est la grande stupidité. Vous avez rien pondu que des insultes... rien à ajouter
i
23 août 2005 16:47
Tu me deçois beaucoup, murakuch, tu n' a rien appris aujourd'hui.Et ce qui me désole encore plus c'est que je croyais que tu étais seul (sans frére).
georges orwell
B
23 août 2005 16:53
lol Ibn Hazm
n importe quoi !


allez je vais t apprendre quelque chose va, tu ne seras pas venu pour rien


amur akouch litteralement la Terre de Yakouch (divinité amazigh) a donné son nom à la ville de Marrakech et au Maroc



un seul mot : Srebrenica
V
23 août 2005 16:54
ibn hazm a écrit:
-------------------------------------------------------
> le votre
> malheureusemnt s'est absenté durant ta rédaction
> (si intellecte il y a)


tu crois vraiment que c'est lui qui a ecrit tous ca

c'est du copier coller , c'est tout
B
23 août 2005 16:55
heu... un petit rappel

laicité ne signifie pas atheisme ou haine des religions

un seul mot : Srebrenica
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