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L'Histoire reste subjective comme toute verité historique.
i
10 avril 2007 17:04
Bonjour,


Dernièrement il y avait une certaine tentative de la lecture de l'histoire du Maroc. Certaine personne ont défendu l'idée que nous avons une histoire erronée, une histoire déplacée de sa vraie jarre. De prétendre cette réalité sans donner et exposer des vérités historiques, relève de la calomnie.

Qu'on sache, que toute personne qui parle, se volatilise et volatilise ses vérités qui n'existent que dans le subjectif. Toute l'histoire de l'humanité en soi même est sinueuses, de la civilisation Mésopotamie en passant par toute les civilisations qui a connue la terre, nous ne savons et nous n'avons aucune certitude sur la vraie réalité sur ce qui est passé, sur ce qui est arrivé.. C'est pour dire, que chaque histoire reste relative et aucune interprétation ne peut être considérée comme une stricte vérité, sinon on déroge du lemme générale qui dit que toute chose qui ne débusque pas avec le temps reste une vérité intelligible.

l'historie du Maroc, bien évidement c'est une histoire qui il faut la lire tout en prenant en compte les
détailles de la sociologie politique de la région du Maghreb et surtout du Maroc. Le Maroc a connu des moments très difficiles, il y avait les motivations colonialiste de certaine puissances impérialistes. On doit pas oublier que le Maroc, stratégiquement parlant, était dans une situation ou tous les impérialistes étaient dans la course pour le conquérir. Nous devons prendre en considération les spécificités culturelles du Maroc de d'antan. Pour comprendre comment nous pensons, on doit comprendre toute l'histoire du Maroc, du l'époque phénicienne qui a été succedé par l'époque punique (Carthaginois), l'époque mauritanienne, l'époque romaine, l'époque des berbères, idrisside, wattasside ainsi de suite jusqu'au qu'on arrive à la dynastie alaouite.


Les grandes démocraties de la 20 siècles prétendent une vérité, mais est ce que on enseigne dans les écoles c'est la stricte vérité ou bien c'est une authenticité falsifiée. Ce qui important dans l'histoire de chaque nation c'est en soi même cette histoire qui continue d'exister. Le passéisme c'est le fatalisme déplacé. Nous Devrions avoir une perception pragmatiques pour faire briller cette histoire qui est la notre dont on fait partie maintenant. De rester figer sur ce qui est passé, c'est de la Bakouninisme qui une secte hostile à toute entreprise de planification et de structuration du futur. C'est ça que nous n'avons pas besoin pour fonder un état ou les valeurs du droit qui prônent.

Le Maroc a besoin des gens qui des réflexions pour sortir le pays de le pétrin économique dont il s'enlise. De contribuer ainsi c'est de restaurer une histoire parmi celles des des grandes, de dépister tous les escamotages de la liberté qui menacent les hommes. Avec ce genre de lecture, ou bien disant ce genre d'agitation provoquerai une fébrilité qui entretenait une certain agilité et mobilité des groupuscules extrémiste.

Le Maroc est dans la bonne route, un bon train ou il y a les hommes de volonté, des hommes et femmes qui ont cru à l'édification. La mondialisation est un animal qui dévore celui qui n'a pas de force, qui n'a pas une détermination de s'inscrire son histoire. C'est pourquoi qui il ne faut pas subir ses lois dictées, ses principes imposées par celui qui croit à l'instauration de son mythe.
l
10 avril 2007 17:32
bonjour tout le monde,
Quelqu'un pour qui j'ai beaucoup de respect avait écrit :
"l'histoire a toujours été écrite par le plus fort, j'aimerais connaitre la version du plus faible".
cordialement
i
10 avril 2007 19:42
l'histoire n'est que la projection de celle de notre entourage.
On te racontera jamais le néfase de ton père mais ce qu'il a réalisé de bon, et ce afin de,soi-disant, bien te construire.
georges orwell
 
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