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zen2 a écrit:
Un article du blog complot pacifrique:
" La loi de l’Histoire
Par Younes Fennich
Le 21.02.2011 à 22h30min
La politique de la force tranquille n’est pas une mauvaise politique. La force tranquille en elle-même en tant que réalité est la meilleure des situations dans laquelle peut se positionner un régime. Décider d’en faire une politique est une excellente chose lorsqu’un régime est en mauvaise posture d’une façon ou d’une autre. Dans la vie il y a des choses que l’on ne peut nier. L’adoption de l’attitude d’une force tranquille dans ce cas là ne peut aboutir à des résultats satisfaisants pour un régime que si elle est accompagnée, mine de rien, par des mesures satisfaisantes pour le peuple concerné.
Or lorsqu’un peuple ne demande pas la mer à boire, le régime a toute latitude pour s’en tirer de manière seigneuriale au moment propice. Lorsqu’un peuple de tradition ancestrale ne demande, par simples exemples, que la dissolution d’un parlement douteux, la destitution d’un premier ministre faible et ne faisant que dans le népotisme, l’éloignement de la vie publique d’un entourage encombrant et largement impliqué dans la corruption et dans certaines bassesses ou lorsqu’un peuple ne réclame que justice pour des innocents injustement embastillées, la solution est des plus simples : La concrétisation du vœu du peuple en question, mine de rien toujours. Mais il faut faire vite, très vite, dans les cas que l’on sait précis…Car le temps vaut de l’or dans ces cas précis…
Par ailleurs, il est ahurissant que des régimes tombent les uns après les autres dans le même scénario sans qu’aucun d’entre eux ne songe à changer de script pour une issue meilleure. Provoquer la panique avant, entre temps ou après la colère d’un peuple, traficoter les informations avant, pendant ou après la colère d’un peuple, s’entêter jusqu’au bout sans vouloir rien reconnaître avant, pendant ou après la colère d’un peuple, tomber dans le même panneau sans tirer profit d’aucune leçon, c’est bien être sous le coup de l’ordre divin. Dieu est le plus grand.
L’Histoire prend toujours son cours de chemin. L’Histoire est une véritable force tranquille qui ne rate jamais ses rendez-vous. Nous avons tous appris en tant que musulmans que Dieu le tout puissant n’ouvre les yeux que de ceux d’entre ses esclaves, pécheurs, qu’il aime parce que Dieu le tout puissant sait qu’ils ont bon cœur au fond. Dans ce cas et ce seul cas Dieu le tout puissant ouvre les voies de sa bénédiction à ses esclaves pécheurs en leur ouvrant les yeux, et les esclaves pécheurs s’en sortent alors à bon compte en prenant les bonnes décisions sincères humainement logiques promptement et efficacement en toute quiétude et en toute confiance dans l’intérêt général.
Mais qu’un régime, par exemple, veuille adopter l’attitude d’une force tranquille dans le bain d’une lassitude ancestrale comme s’il s’agissait de contenter des intellectuels tournesols, c’est provoquer la colère du peuple concerné. Il ne faut pas se fier à des peuples que l’on interviewe devant des caméras officielles, de même qu’il ne faut pas sous-estimer la mémoire ni la conscience ni le courage des peuples…C’est qu’il y en a de ces peuples dont la malice est raffinée. Oui, c’est la peur qui maintient tous les fins fils conducteurs de l’obéissance dans certaines sociétés mais il faut veiller à ce que ces fils conducteurs ne soient pas coupés.
Lorsque le salut d’un régime est tributaire, par simple exemple, du limogeage immédiat de quelque premier ministre, de quelque politicien impopulaire, d’un quelconque homme d’affaire vorace, ou de la dissolution d’un mauvais parlement sans que le régime en question ne fasse rien en temps opportun, il faut vraiment que ce soit l’ordre divin qui soit contre le régime concerné.
Par ailleurs, il est des moments dans la vie où il faut être à la hauteur de son existence en étant respectueux de tout un chacun et lavé de toute rancune en toute bonne foi. Avant, pendant ou après la colère d’un peuple, il faut toujours honorer ses propres couleurs. Lorsqu’on est contre la corruption, on l’est avant, pendant et après la colère du Peuple. Lorsqu’on n’est pas hypocrite on ne l’est pas avant, pendant et après la colère du Peuple. Et lorsqu’on est respectueux d’un chef, on l’est avant, pendant et après la colère du Peuple; parce que lorsqu’on est honnête, on l’est avant, pendant et après la colère du Peuple.
Il est des moments dans la vie où il faut être à la hauteur de son existence et dire la vérité pour pouvoir s’adresser au bon Dieu en ces termes : Mon Dieu j’ai informé. Mon Dieu soyez en témoin."
Qu'en pensez-vous? A vos claviers!
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ok a écrit:
j'apprécie ces deux passages.
"Provoquer la panique avant, entre temps ou après la colère d’un peuple, traficoter les informations avant, pendant ou après la colère d’un peuple, s’entêter jusqu’au bout sans vouloir rien reconnaître avant, pendant ou après la colère d’un peuple, tomber dans le même panneau sans tirer profit d’aucune leçon, c’est bien être sous le coup de l’ordre divin. Dieu est le plus grand."
"Par ailleurs, il est des moments dans la vie où il faut être à la hauteur de son existence en étant respectueux de tout un chacun et lavé de toute rancune en toute bonne foi. Avant, pendant ou après la colère d’un peuple, il faut toujours honorer ses propres couleurs. Lorsqu’on est contre la corruption, on l’est avant, pendant et après la colère du Peuple. Lorsqu’on n’est pas hypocrite on ne l’est pas avant, pendant et après la colère du Peuple. Et lorsqu’on est respectueux d’un chef, on l’est avant, pendant et après la colère du Peuple; parce que lorsqu’on est honnête, on l’est avant, pendant et après la colère du Peuple."
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zen2 a écrit:
Il y a ce message aussi :
"Il est des moments dans la vie où il faut être à la hauteur de son existence et dire la vérité pour pouvoir s’adresser au bon Dieu en ces termes : Mon Dieu j’ai informé. Mon Dieu soyez en témoin."