Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
L'ex-PDG de L'Oréal, gêné par les odeurs de frites
2 février 2012 22:48
L'ancien PDG de L'Oréal, Lindsay Owen-Jones, propriétaire d'un appartement à Val d'Isère (Savoie) a assigné devant le tribunal d'Albertville la gérante d'une baraque à frites pour "troubles au voisinage"

L'homme d'affaires, propriétaire d'un appartement situé au pied des pistes de ski, ainsi que trois autres copropriétaires ont déposé en octobre dernier une assignation, dans laquelle ils demandent la fermeture de l'établissement en raison de nuisances olfactives, sonores et visuelles.

"Pour des personnes fortunées, c'est sûr qu'une cabane à frites devant chez soi cela dérange, mais nous, nous sommes obligés de travailler pour gagner notre vie", proteste Valérie Maertens poursuivie devant le tribunal d'Albertville par l'ex-PDG de L'Oréal (1988-2006).

"Ils se plaignent du bruit et des odeurs de frites, mais si vous voulez être tranquilles vous n'achetez pas un appartement sur le front de neige", déplore la gestionnaire de ce chalet de 5m2 devant lequel une quarantaine de transats ont été installés pour accueillir la clientèle.

Les copropriétaires reprochent à la commerçante le non-respect du code de l'urbanisme, faisant valoir que le chalet technique n'avait pas vocation à devenir un local à usage commercial, ainsi que la violation des règles d'hygiène, demandent en cas de non-fermeture du chalet une compensation financière liée à la perte de valeur de leur bien.



scandaleux
[www.ledauphine.com]
Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
3 février 2012 10:07
Citation
akacht a écrit:
L'ancien PDG de L'Oréal, Lindsay Owen-Jones, propriétaire d'un appartement à Val d'Isère (Savoie) a assigné devant le tribunal d'Albertville la gérante d'une baraque à frites pour "troubles au voisinage"

L'homme d'affaires, propriétaire d'un appartement situé au pied des pistes de ski, ainsi que trois autres copropriétaires ont déposé en octobre dernier une assignation, dans laquelle ils demandent la fermeture de l'établissement en raison de nuisances olfactives, sonores et visuelles.

"Pour des personnes fortunées, c'est sûr qu'une cabane à frites devant chez soi cela dérange, mais nous, nous sommes obligés de travailler pour gagner notre vie", proteste Valérie Maertens poursuivie devant le tribunal d'Albertville par l'ex-PDG de L'Oréal (1988-2006).

"Ils se plaignent du bruit et des odeurs de frites, mais si vous voulez être tranquilles vous n'achetez pas un appartement sur le front de neige", déplore la gestionnaire de ce chalet de 5m2 devant lequel une quarantaine de transats ont été installés pour accueillir la clientèle.

Les copropriétaires reprochent à la commerçante le non-respect du code de l'urbanisme, faisant valoir que le chalet technique n'avait pas vocation à devenir un local à usage commercial, ainsi que la violation des règles d'hygiène, demandent en cas de non-fermeture du chalet une compensation financière liée à la perte de valeur de leur bien.



scandaleux
[www.ledauphine.com]

oui,mais quel rapport avec le monde dans lequel nous vivons?
o
3 février 2012 16:52
Citation
akacht a écrit:
scandaleux
[www.ledauphine.com]

Je ne vois pas ce qu'il y a de scandaleux.

Si tu achètes un appartement et que 2 mois plus tard un snack ouvre en bas de chez toi et que ta maison empeste le Kebab en permanence tu ferais la même chose.
3 février 2012 17:52
tout les immeubles il y a des magasins,des restaurants et autre il faut s'attendre a tout
tu as vue au maroc c'est plus l'odeur des poulets en bas des immeubles et a coté des bars moi je préfaire santir les frites si non avec l'argents qu'il posséde il peut acheté une maison seul loin des odeurs et de commerçant
Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
3 février 2012 20:38
Sentir les frites à longueur de journée , ça doit être répugnant , il faut comprendre ces gens qui ne sont pas habitués à une constante d'odeur.
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook