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Ça y est, je l'est grillé,
b
7 juin 2018 22:45
Par ce que chaque soir elle me reveillait en plein sommeil pour me dire que je ronfle,
Du coup pour la laisser dormir, je partais sur le canapé,
Et de fil en aiguille, je la voyait pas dormir mais surfer sur son portable.
Coupable de quoi?
De nya avec celle pour qui je considerais du bien et du respect?
U
7 juin 2018 22:49
Sincèrement,
N’allez pas au rdv avec le notaire. Le notaire ne peut pas vous imposer de venir (sauf si il y a une décision de justice, ce qui n’est pas le cas).
Il faut porter plainte pour usage de faux et peut-être usurpation d’identité (elle n’a pas le droit d’imiter votre signature même marié) ...et entamer la démarche de divorce pour faute ex. Adultère (je vous conseille de garder les traces des sms et la photo de l’homme en question). Dernière chose avertir les parents de la situation.
Je te souhaite de trouver une solution à ton problème, vivre en couple ne veut pas dire subir.
En ce qui concerne son bien, c’est à elle.

Lah y hdyna
b
7 juin 2018 22:54
Barak'ALLAH ou fik ma soeur en ALLAH
7 juin 2018 22:54
Salam posteur,

Ton histoire est bien triste...comment une femme et mère peut elle en arriver là...Mais bon essaye de te trouver un petit studio meublé rapidement ou une chambre en coloc provisoirement et tu peux en trouver sur le bon coin par exemple.
Si tu travailles tu vas vite remonter la pente...
C'est vrai qu'une séparation ou divorce c'est pas facile..de plus qu'il y a un enfant...
Et elle si elle vend son appart elle devra aussi trouver à se loger?

Courage à toi...dis toi que c'est un mal pour un bien...et en plein ramadan c'est vraiment dur...
remet toi à Allah...et inchallah que tout s'arrange très vite.
I
7 juin 2018 22:55
Ah mais désolée, j'ai lu un peu vite votre post sans faire attention à l'histoire du chantage. Je dois avouer qu'elle a fait très fort tout de même. Dans ce cas, il est tout à fait légitime de vous défendre et de porter plainte à son encontre.
7 juin 2018 22:59
Qu'Allah te facilite
Le faux ne perdure jamais
Le vrai gagne toujours
De l'endurance
Allah n'aime pas les injustes
Subban'Allah-alhamdulilah-la ilaha ila Allah-Allah akbar
Y
7 juin 2018 23:20
Salam

Pour la vente de l appartement effectivement tu ne peux pas faire marche arrière sauf si l annulation vient de l acheteur car il n a pas obtenu le crédit.

Tu vas voir ses parents tu leur dit toute la vérité.
Concernant le commissaire tu porte plainte contre elle pour imitation de la signature.

Cherche un bonne avocat et prépare ta défense , la prochaine fois qu elle te parle tu enregistre la conversation.

Si ton histoire est vrai demande justice auprès d Allah swt
a
8 juin 2018 00:52
salam
tu te trompe
meme si.le logement appartient a madame avant le marige
le fait que le logement est un domicile conjugale il faut l accord du conjoint pour la vente

meme avec un contrat de mariage
confirmé par mon notaire lors de la signature
Citation
Frizou a écrit:
Bonsoir,

Effectivement c’est bien son bien, donc elle est libre de le vendre, louer etc comme elle veut. Elle l’a acquis avant le mariage et pas pendant le mariage ce qui change tout. Vous ne pouvez pas vous y opposer.
Elle n’a aucun intérêt à imiter votre signature, ni vous faire du chantage. Vous avez le droit de porter plainte mais je ne vois pas en quoi cela bloquera la vente.
Dans ce cas là, il faut jouer carte sur table, soit vous vous arrangez pour sauver votre couple ou soit vous divorcez.

Bon courage
U
8 juin 2018 12:56
Bonjour,

C’est un domicile conjugal... mais il n’y a pas de contrat de location, il n’y a aucun contrat, en droit c’est considéré comme un hébergement à titre gratuit. Il n’a aucun droit, ni obligation sur le logement (pas de possession et pas de dette).
C’est triste pour lui mais il n’a aucune possibilité de bloquer la vente. Même chronologiquement, elle a acquis le bien avant de se marier avec lui. Elle est la seule à avoir le droit de l’usufruit.
Je suis très étonnée par ce que dit ton notaire. Je te conseille de t’informer auprès des juristes en droit immobilier. Et je serais encore plus étonnée si le droit immobilier ne respecterait pas le droit des obligations ( droit commun)
a
8 juin 2018 13:36
tu es etonné comme moi je l ai etais devant le notaire
quand il me la dit
je t assure
j ai meme fais ses yeux moody smiley mdr
on parle pas dans le cas de divorce biensur
mais dans le cas de la vie de tous les jours
si je decide de vendre ma maison
je dois avoir l autorisation de mon epoux


Citation
Frizou a écrit:
Bonjour,

C’est un domicile conjugal... mais il n’y a pas de contrat de location, il n’y a aucun contrat, en droit c’est considéré comme un hébergement à titre gratuit. Il n’a aucun droit, ni obligation sur le logement (pas de possession et pas de dette).
C’est triste pour lui mais il n’a aucune possibilité de bloquer la vente. Même chronologiquement, elle a acquis le bien avant de se marier avec lui. Elle est la seule à avoir le droit de l’usufruit.
Je suis très étonnée par ce que dit ton notaire. Je te conseille de t’informer auprès des juristes en droit immobilier. Et je serais encore plus étonnée si le droit immobilier ne respecterait pas le droit des obligations ( droit commun)
P
8 juin 2018 13:46
Le notaire a raison.

Les notaires connaissent en général très bien le droit immobilier et matrimonial.
Le domicile familiale fait l'objet d'un statut particulier en droit, d'où les propos du notaire. Ce n'est pas le même régime que les autres biens des époux.

Si demain, tu divorçais et que ton époux avait la garde, le juge pourrait même octroyé le domicile familiale à ton époux alors même qu'il est ce que l'on appel un bien propre (acquis avant le mariage alors que vous êtes placé sous le régime légal dans ton cas).


Il s'agit d'une protection du droit accordé au logement de la famille, ça ne concerne donc pas en soi le droit immobilier mais bien le droit de la famille et des régimes matrimoniaux. Même les meubles situés dans le domicile familiale sont protégés et font l'objet d'un statut particulier.

C'est le droit de la famille qui impose la cogestion pour le domicile familiale afin de protéger la jouissance de ce logement. C'est pour cela qu'il faut l'accord des deux en cas de vente.
Si pas d'accord des deux, c'est devant le juge aux affaires familiale que l'on fait un recours (et non devant les juridictions de droit commun comme TGI).

Citation
arcacy a écrit:
tu es etonné comme moi je l ai etais devant le notaire
quand il me la dit
je t assure
j ai meme fais ses yeux moody smiley mdr
on parle pas dans le cas de divorce biensur
mais dans le cas de la vie de tous les jours
si je decide de vendre ma maison
je dois avoir l autorisation de mon epoux



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/06/18 15:05 par AntiEre.
P
8 juin 2018 13:50
Il s'agit du logement familiale, il fait donc l'objet d'une protection particulière, il s'agit de droit de la famille et non de droit immobilier.
Inutile de voir un avocat spécialisé en droit de l'immobilier, c'est plutôt du domaine d'un avocat en droit de la famille et régime mat.

Je n'ai pas lu le post, juste la dernière page, mais je ne pense pas que le bien ait fait l'objet d'un démembrement de propriété pour que l'on puisse dire qui a ou non l'usufruit.
Et même si elle a la pleine propriété du bien, concernant sa jouissance, elle est réglementée par le droit de la famille vu que c'est un domicile familiale et qu'il s'agit d'une résidence principale et non secondaire. A ce titre, pour les actes de disposition, l'accord des deux époux est requis.
Citation
Frizou a écrit:
Bonjour,

C’est un domicile conjugal... mais il n’y a pas de contrat de location, il n’y a aucun contrat, en droit c’est considéré comme un hébergement à titre gratuit. Il n’a aucun droit, ni obligation sur le logement (pas de possession et pas de dette).
C’est triste pour lui mais il n’a aucune possibilité de bloquer la vente. Même chronologiquement, elle a acquis le bien avant de se marier avec lui. Elle est la seule à avoir le droit de l’usufruit.
Je suis très étonnée par ce que dit ton notaire. Je te conseille de t’informer auprès des juristes en droit immobilier. Et je serais encore plus étonnée si le droit immobilier ne respecterait pas le droit des obligations ( droit commun)
U
8 juin 2018 16:57
Bonjour,
Concernant le bien il est à elle :
« 

Quant aux biens que chacun possédait avant le mariage ou ceux qu'il a reçus depuis par donation ou héritage, y compris les liquidités, ils lui appartiennent personnellement – on parle aussi de biens propres de l'époux – et ne sont donc pas visés dans le partage. "Pensez à mettre de tels biens en lieu sûr dès le début de la procédure, conseille cependant Michel Milan. Surtout lorsque votre conjoint doit avoir la jouissance du logement pendant l'instance. Cela pourra vous éviter d'avoir à vous battre ensuite pour prouver vos droits sur les meubles et objets qui vous appartiennent en propre."

Source : [leparticulier.lefigaro.fr]

Pour ce qui est du logement : [maprocedure.fr]

Il peut s’y opposer en refusant d’aller chez le notaire pour signer, il pourra encore vivre de dans, soyons honnête... il y vivera pas indéfiniment... la démarche de la femme annonce clairement une séparation de long terme voire un divorce & ça m'étonnerais que le concerné accepte la position de cocu. Au final, même après le divorce son bien restera son bien en attendant qu’il trouve un autre logement.

Cdlt
P
8 juin 2018 17:20
Je te réponds à ton commentaire à Arcacy selon lequel le consentement de l'autre époux n'est pas nécessaire pour la vente de la maison familiale vu que tu t'étonnes de ce que lui a dit son notaire.
En plus, tu lui dis de voir un avocat en droit immo, alors qu'il y a absolument rien de faux dans les propos du notaire qu'elle a reporté.

Ce que dit le notaire est juste, si elle veut vendre, son mari interviendra à l'acte. De plus, les notaires ont un monopôle en ce qui concerne la vente de bien immobilier donc en général, il maîtrise cette question.

Comme, je te l'ai dit, la maison familiale fait l'objet d'un statut particulier, c'est pour cela qu'il faut la signature des deux époux pour les actes de disposition.
Et ceci qu'importe s'il s'agit d'un bien propre ou pas. Je l'ai pourtant indiqué dans mon commentaire. La règle s'applique aussi au logement familiale qui est un bien propre.
Sinon, l'époux qui n'est pas intervenu peut solliciter l'annulation de la vente devant le JAF.

J'ignore pas la législation applicable en matière d'effet du divorce sur le patrimoine, et je connais les règles applicables en fonction de chaque régime mat.

Les articles de presse que tu cites ne traite pas de la question de la maison familiale et d'un acte de disposition dessus par un couple marié.

Et plutôt que de lire des articles de presse sur la question, il est préférable de lire directement la loi et dans ce cas, les articles du code civil que tu trouveras ici : [www.legifrance.gouv.fr]

Donc une fois de plus, son notaire a raison, nul besoin d'aller consulter un avocat en droit immobilier qui lui confirmera que le logement familiale fait l'objet de règle particulière.
Ces règles se retrouvent dans le code civil.

Citation
Frizou a écrit:
Bonjour,
Concernant le bien il est à elle :
« 

Quant aux biens que chacun possédait avant le mariage ou ceux qu'il a reçus depuis par donation ou héritage, y compris les liquidités, ils lui appartiennent personnellement – on parle aussi de biens propres de l'époux – et ne sont donc pas visés dans le partage. "Pensez à mettre de tels biens en lieu sûr dès le début de la procédure, conseille cependant Michel Milan. Surtout lorsque votre conjoint doit avoir la jouissance du logement pendant l'instance. Cela pourra vous éviter d'avoir à vous battre ensuite pour prouver vos droits sur les meubles et objets qui vous appartiennent en propre."

Source : [leparticulier.lefigaro.fr]

Pour ce qui est du logement : [maprocedure.fr]

Il peut s’y opposer en refusant d’aller chez le notaire pour signer, il pourra encore vivre de dans, soyons honnête... il y vivera pas indéfiniment... la démarche de la femme annonce clairement une séparation de long terme voire un divorce & ça m'étonnerais que le concerné accepte la position de cocu. Au final, même après le divorce son bien restera son bien en attendant qu’il trouve un autre logement.

Cdlt



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/06/18 17:23 par AntiEre.
U
8 juin 2018 17:35
Je suis d’accord avec tes propos mais il a le droit de ne pas signer et de ne pas se rendre au rdv pour encore y vivre.
Mais après la procédure de divorce, elle récupère son bien.
Le domicile familial permet juste de protéger les enfants et le conjoint de ne pas être à la rue, éviter la précarité. Le droit familial c’est pendant qu’ils sont encore marié après ça passe à autre chose. Ps : droit familial c’est du droit commun -> dont la racine est le droit civil.
Merci, legifrance je connais winking smiley

Je lui souhaite de trouver une solution Insh’Allah.
P
8 juin 2018 18:02
Comme je l'ai déjà écrit, et bien que je me répète, je répondais à ta remarque sur le notaire.
Je n'ai même pas lu le post ce que j'ai également indiqué.

Vu que bien que tu sois d'accord avec mes propos, tu te sois tout de même montrée "étonnée" par les propos du notaire qui étaient justes au point de conseiller de voir un avocat.
Citation
Frizou a écrit:
Je suis d’accord avec tes propos mais il a le droit de ne pas signer et de ne pas se rendre au rdv pour encore y vivre.
Mais après la procédure de divorce, elle récupère son bien.
Le domicile familial permet juste de protéger les enfants et le conjoint de ne pas être à la rue, éviter la précarité. Le droit familial c’est pendant qu’ils sont encore marié après ça passe à autre chose. Ps : droit familial c’est du droit commun -> dont la racine est le droit civil.
Merci, legifrance je connais winking smiley

Je lui souhaite de trouver une solution Insh’Allah.
U
8 juin 2018 18:55
Un avocat ?
J’ai dit un juriste et y’en à dans des associations (la consultation est gratuite).

Un avocat est un juriste mais tous les juristes ne sont pas des avocats grinning smiley


Après pour la démarche d’un du divorce oui, il faut un avocat. La démarche de sa femme est claire et précise : elle est en phase de liquidation avant le divorce comme ça c’est plus rapide (après allah ou halem, les êtres humains sont complexes).

Voilà voilà... bon week.
P
8 juin 2018 19:04
Il fallait le préciser quand on dit à quelqu'un de prendre conseil auprès d'un juriste, en principe, on parle d'un avocat vu qu'ils ont le monopôle du conseil juridique. C'est parce que c'est dans une association et que c'est gratuit qu'ils peuvent donner des conseils juridiques, mais sinon en soit c'est les avocats pour les conseils juridiques, c'est encore une prof réglementée.

Une personne n'a pas le droit d'ouvrir une office de conseil en droit immo si elle n'est pas avocate.
Citation
Frizou a écrit:
Un avocat ?
J’ai dit un juriste et y’en à dans des associations (la consultation est gratuite).

Un avocat est un juriste mais tous les juristes ne sont pas des avocats grinning smiley


Après pour la démarche d’un du divorce oui, il faut un avocat. La démarche de sa femme est claire et précise : elle est en phase de liquidation avant le divorce comme ça c’est plus rapide (après allah ou halem, les êtres humains sont complexes).

Voilà voilà... bon week.
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