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mamanelle a écrit:
la suite ya belle maman qui raplique , bouchra court a la chambre porté quelque chose de plus simple, belle maman qui critique le plat qu'elle a préparé avec amour pour son mari et non pour elle qui s'incruste, quand belle maman part bouchra dit a son mari que sa maman est dure avec elle et il lui repond que c'est sa mére et qu'elle na plus intéré a lui reparlé de se ton.
Il finisse la nuit chacun de son coté dos a dos.
l'erreur fatale c'est de trop donné d'importance a son mari alors que face a sa mére elle n'en aura jamais.
LOL
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musica a écrit:
Elle est mal écrite l'histoire, en plus c'est même pas réaliste
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Matrix Gamma a écrit:
Presque un an de vie commune sans brouille, sans bisbille. La semaine, elle joue éperdument le rôle de l’épouse bénie n’ayant comme désir qu’enthousiasmer sa moitié chérie et le week end, c’est celui de l’amante accordant du piment à sa magnifique liaison avec son héros exquis.
Bouchra est une jeune femme attentionnée avec un fort caractère. Elle a toujours su ce qu’elle voulait et pu à l’aide du grand Dieu (swt) aboutir à ses desseins. La plupart de ses démarches s’entamait avec conviction et dilection.
Elle se rappela du premier jour où elle croisa son Ahmed. Ce fut pendant les fiançailles de sa cousine Nisma. Pendant que sa grande famille (y compris ses propres parents, tantes, oncles, cousins, cousines) poireautait avidement la venue des invités, Bouchra se trouvait dans la petite chambre de Nisma pour lui apporter de l’aide.
Nisma investissait son temps à réussir sa carrière n’accordant point d’intérêt à son apparence bien que séduisante en son ensemble. Ayant été de retour de chez le coiffeur, elle avait énormément besoin de quelques touches. Bouchra l’artiste innovatrice depuis son enfance qui maitrise plusieurs arts tel broderie, cuisine, esthétique, couture, peinture et photographie était avec plaisir sous sa compagnie.
- Je te vois trembler belle 3rossa
- Ah si tu entends le boumboum de mon cœur, il va s’exploser, il me semble. J’ai peur, j’ai peur
Bouchra souriait devant l’innocence de sa cousine
- C’est ton grand jour voyons. Ton souhait se réalise finalement et bi idhni’Llah, tout ira bien, décontractes toi stp.
- Inchaa Allah khti. Mon Mustapha vient de m’appeler. Il se sent de même incommodé après tous les préparatifs des fiançailles qu’il a dû effectuer.
- Inchaa Allah le tout se passera en merveille. Penses positivement Allah ikhallik pour éviter la panique sinon ça va se refléter sur ton visage et c’est la misère, la laideur en personne. Tu ne veux pas choquer tes beaux parents, je pense ?
Avec un grand sourire aux lèvres, Nisma répliqua :
- Ah non, ce serait une catastrophe. Ah non et non !!!
Elle ajouta :
- Heureusement qu’Ahmed est avec lui. Il lui apporte certainement soutien.
- C’est qui Ahmed ?
- Un ami d’enfance, bien sage machaa Allah. Les deux sont toujours soudés, et dans le bon et dans le pire. Mustapha l’apprécie énormément et le conçoit comme un frère.
Bouchra se vit sourire toute seule en remémorant cette scène.
Daka lmarrakchiya commença ses chants. Les youyous des voisins et des fêtards assourdissaient les oreilles, les enfants sautaient ici et là croyant que les différents cadeaux extraordinairement emballés, posées à l'entrée de la grande maison, étaient destinés à eux.
Bouchra saisit son appareil vidéo et courut au portail pour filmer le chaleureux accueil à la belle famille. Tout d’un coup, ses yeux tombèrent sur une silhouette masculine. Un jeune homme qui portait un blazer noir tellement chic assorti avec une chemise blanche et une cravate bordeaux, la couleur qu’elle aime tant. Elle le contempla brièvement et déduit combien il était affriandant sous son tailleur. Un beau visage aux traits orientaux : yeux noirs, sourcils volumineux, petite barbe très bien soignée dégageant une posture d’homme fier et bien posé.
Durant la fête, le destin ait voulu qu’ils se heurtent dans la foule de danse et c’était leur coup de foudre. C’était le début de leur histoire.
- C’est froid ?
Ce fut la question qui mit fin à son imagination. Ahmed est enfin là pour savourer la délicatesse qu’elle lui a préparée.
- Non mon amour. Je viens de servir. Attends, je te donne la soupe tout d’abord. Bismillah
La suite par la suite (sourire)