Citation
AL MASSIRA a écrit:
La personne de Ghali lui-même n'a aucune importance politique sauf pour les victimes présumées. Pour le Maroc qu'il soit libéré, prisonnier ou mort cela ne change rien. C'est l'Espagne et son attitude le nœud du problème. Il y aura du changement de toute façon. Soit dans sa politique soit dans son image.Ils gagnent du temps mais une semaine, deux ou même trois c'est vite passé. Et après ? Et s'appuyer sur l'Algérie est une impasse. C'est vrai aussi pour l'Allemagne.
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AL MASSIRA a écrit:
La personne de Ghali lui-même n'a aucune importance politique sauf pour les victimes présumées. Pour le Maroc qu'il soit libéré, prisonnier ou mort cela ne change rien. C'est l'Espagne et son attitude le nœud du problème. Il y aura du changement de toute façon. Soit dans sa politique soit dans son image.Ils gagnent du temps mais une semaine, deux ou même trois c'est vite passé. Et après ? Et s'appuyer sur l'Algérie est une impasse. C'est vrai aussi pour l'Allemagne.
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graffitis a écrit:
D'après le journal الجزائر تايمز Algerie Times , Chengriha aurait ordonné à l'équipe médicale qui accompagnait ghali en espagne ,de supprimer ce dernier pour éviter une humiliation aux dirigeants algeriens.
Donc,si tout se passe bien, Mohamed Benbetouche devrait mourir avant sa comparaison devant le juge espagnol.
APS nous dira que Brahim ghali n'a pas survécu à sa maladie.
Et d'après ce même journal, feu Mohamed abdellaziz aurait été liquidé par les services secrets algériens, car il était sur le point s'accepter l'autonomie interne sous souveraineté marocaine.
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graffitis a écrit:
D'après le journal الجزائر تايمز Algerie Times , Chengriha aurait ordonné à l'équipe médicale qui accompagnait ghali en espagne ,de supprimer ce dernier pour éviter une humiliation aux dirigeants algeriens.
Donc,si tout se passe bien, Mohamed Benbetouche devrait mourir avant sa comparaison devant le juge espagnol.
APS nous dira que Brahim ghali n'a pas survécu à sa maladie.
Et d'après ce même journal, feu Mohamed abdellaziz aurait été liquidé par les services secrets algériens, car il était sur le point s'accepter l'autonomie interne sous souveraineté marocaine.