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Un certain cupidon écrit ca sur métrofrance/courrierducoeur
1. La phase d'approche

Apprendre à aborder une inconnue, c'est comme la natation, ça s'apprend, ou plutôt, ça se réapprend. A 3 ans, il est probable qu'on se rapproche de n'importe qui pour lui demander un bonbon sans réfléchir (Ah ! Merveilleuse que la franchise d'un enfant !) et ce, sans réfléchir pendant 3 jours à la meilleure manière de tourner cela : c'est cette spontanéité qu'il convient de retrouver. Je pense que dans un lieu public, la séduction passe par la socialisation.

Il est donc possible, à titre d'exemple, de commencer, lorsque la fille de vos rêves montera dans la rame, à se socialiser avec quelqu'un de son environnement direct. Idéalement, son voisin de siège (dont on se fout royalement), sa voisine ou même une grand-mère au besoin. En d'autres termes, quiconque à sa portée visuelle. L'objectif étant de transmettre le message selon lequel vous n'êtes pas un dragueur, c'est-à-dire pas une menace. Il faut prévenir la crainte inhérente à la rencontre d'un inconnu en la désamorçant. Par exemple, demandez à ce "pivot" (le/la voisine) si il/elle est au courant de la nouvelle grève qui se profile ou bien si la station Y est toujours en travaux. Pendant ce temps, il faut guetter un signe d'intérêt de votre cible, comme un regard curieux, ou mieux, un début de sourire. Bref, un signe d'intérêt réel qu'il convient de savoir repérer (cf. la suite).

A cet instant, vous avez bien remarquez la cible : openez là. Un opener est un moyen d'entamer une conversation, et non une phrase d'accroche bateau comme on voit souvent dans les mauvaises bibles de séduction. Surtout : ne pas lui dire qu'on la croise tous les matins, vous auriez l'air d'un maniaque voire d'un vrai psychopathe. Evitez aussi : " je vous trouve charmante, j'aurai aimé faire plus ample connaissance....et patati et patata ". C'est éculé, lourdingue et ça lui arrive tous les jours. Etre toujours léger et drôle. Un exemple possible : pour ceux qui portent une cravate : refaire le noeud en se trompant (exprès évidemment) et demandez de l'aide auprès de votre cible : "je suis coincé : faut-il que je passe par dessus ou par dessous à cette étape ? ". On peut au moins obtenir un sourire, et si tel est le cas, on est en selle pour quelques minutes qui pourront nous conduire à son numéro de téléphone. Dans tous les cas, il faut sourire, gardez ses distances, n'initiez aucun contact physique, ne pas se penchez vers elle, ne pas la fixer ou la dévisager avec insistance (c’est très gênant) et la laissez répondre brièvement. Il faut apporter de la gaîté et de l'énergie à sa journée (tout comme elle le fait, bien malgré elle, pour vous).La glace étant brisée, vous pouvez enchaîner.

Toutefois,en cas d’incompatibilité notoire entre votre structure et l’art de séduire (si vous êtes du genre à suer à goutte froide et à vous figer lors de la présence de l’objet de votre désir, vous entrez de plein pied dans ce schéma), sachez qu’il existe une variante afin de ne pas avoir à effectuer le premier pas et pourtant, obtenir des résultats particulièrement concluant. Il s’agit de la technique de l’objet oublié.
En quoi consiste t-elle ? Rien de plus simple.
En effet, vous croisez tous les matins votre chère et tendre?De temps à autre, quelques batailles de regards égayent votre trajet ? (du moins vous le pensez).Alors cette méthode est faite pour vous…
Avancez à l’endroit habituel de la rame en attendant votre cible.Lors de l’arrivée du train, essayez de
vous placez en face d’elle, idéalement dans un carré de quatre : mettez bien en évidence l’objet que vous allez laisser, par inadvertance bien sûr, au niveau de votre place. L’objectif est que la jeune femme puisse VOIR l’objet en question quand vous le portez et quand vous le retirez (il peut s’agir d’une écharpe, de gants…). Arrivé au deux tiers du trajet, retirez l’objet tout en prenant soin de le laissez visible (à côté de vous), à sa portée. Dans la mesure du possible, mettez tout en œuvre afin qu’elle s’en rende compte.
Puis, arrivé à votre arrêt, partez rapidement, sans prendre la peine de vous retournez.

Deux résultats sont alors possibles:
1. La jeune femme ayant vu que vous aviez oublié cet objet et sachant qu’elle vous reverrait, le prend dans le but de vous le rendre. Ainsi, le lendemain, vous apercevant sur le quai, elle vous rend votre écharpe, gants… De fait, non seulement c’est elle qui aura effectué le premier pas mais de surcroît, vous lui êtes redevable pour sa bonne action du jour : empressez vous de lui proposer un café afin de lui rendre la pareille, vous tenez là une excuse en béton armé !!
2. Le lendemain, vous l’apercevez sur le quai mais elle ne vient pas vers vous, elle n’a pas votre objet : c’est foutu ! Elle n’a pas fait l’effort de saisir la perche qu’innocemment vous lui aviez tendue. Bien sûr, vous êtes déçu.
[suite]

Bien sûr, vous êtes déçu. Toutefois, restez positif : vous êtes au moins fixé…

Important : en cas d’échec cuisant, votre objet passe à la trappe alors choisissez le judicieusement (quelque chose que vous n’utilisez plus ou qui ne vaut rien mais qui en revanche est propre et sent particulièrement bon).

2. Les trois erreurs à ne surtout pas commettre

a. Vous avez ouvert la conversation avec une question légère et drôle. L'erreur consisterait maintenant à laisser peser un silence de mort jusqu'à sa réponse, puis à se contenter d'acquiescer pieusement et d'attendre. Erreur !! La passivité n'est pas une qualité dans cette course de fond. Règle n°1 : entamer une conversation avec une inconnue demande des efforts d'un des deux côtés, et ce n'est pas la fille qui les fera (logique : jusqu'à preuve du contraire, c'est vous qui êtes demandeurs). Il faut donc avoir dans sa musette plusieurs openers tout prêts à être utilisés en cas de trous dans les premières minutes surtout si vous n’arrivez pas à rebondir sur ses réponses. Mieux vaut instaurer un faux dialogue où vous posez des questions ouvertes tout en suggérant des pistes de réponses. Exemple : "Tiens, j'ai besoin d'un avis de fille : quel joueur de foot est le plus sexy : Beckham ou Henry ? Montre moi du goût, ne me dis pas Bekham ".

b. Vous avez eu le courage de dire quelque chose au lieu de rester en face d'elle les tripes nouées. C'est bien. Mais elle n'a pas à savoir que vous transpirez sous votre chemise afin d’y parvenir. Concentrez vous pour gommer toute trace de stress, parce que contrairement à ce que nous dise nos mamans à nous les hommes, le timide qui se lance : ça fait moyennement rêver (sauf quelques femmes semble t-il...). Apprenez à prendre vos distances, à ne pas vous tenir trop près (erreur classique), pas trop loin non plus, on pourrait croire que vous cachez quelque chose de louche et la distance renforce la malaise. De même, pas de mains dans les poches, pas de mouvements répétés et incontrôlés, pas de voix chevrotantes...

c. Contrairement à certaines légendes propagées par les mauvais dragueurs, ne creusez pas chaque réponse de votre dulcinée en allant bêtement dans son sens. Surtout si les sujets sont aussi éculés que : "Ah tu étais à Ibiza ? Je connais, j'adore. Tu pars où en vacances généralement ? ". D'abord, tout le monde sait (et elle la première) que l'on se fout complètement de savoir où elle part en vacances, donc ça sonne très faux. Ensuite, il s'agit d'openers millénaires, elle les a déjà entendus entre 100 et 200 fois selon la force de son charme. Ce genre de femmes, distinguées mais pas sophistiquées, cultivées mais pas imbues, drôles mais pas grossières (la femme parfaite en clair...), ne souhaitent pas être draguées : elles veulent rencontrer par hasard un homme charmant, différent et intéressant, qui les fera rire. Ce qui appelle deux remarques de notre part : savoir faire en sorte que la fille pense qu'il s'agit du hasard (bien évidemment, c'est très loin d'être le cas) et la seconde : parvenir à être ce type d'homme. Difficile...Mais pas désespéré !!

3. Savoir repérer ses signes d'intérêt

Après avoir réussi à ouvrir la conversation, à éviter le fatal : " Mademoiselle, vous êtes charmante, voulez-vous faire plus ample connaissance ? ", et à y substituer quelque chose de plus spontané et de moins banal, du type : " Honnêtement, avez-vous déjà compris le sens d'un seul des poèmes affichés au fond des rames de métro ? ". Bien, le body langage est contrôlé, votre parole mesurée.
Jusque là, les indicateurs sont tous au vert. Mais attention ! Avant d'aller plus loin, il va falloir développer une qualité primordiale en séduction, votre sauf-conduit contre toute possibilité de râteau : il va falloir apprendre à lire ses signes d'intérêt (ou " IOI " pour Indication Of Interest ; eh oui, les britishs sont en avance sur nous en la matière…). Et sur ce point, c’est papa qui vous a joué du pipeau : une fille intéressée ne passe pas (forcément) la langue sur ses lèvres en décroisant les jambes et en se passant les mains sur ses beaux cheveux certifiés " L'Oréal ". Tant mieux : cela signifie qu'elle le vaut bien !! (Elle est peut-être timide, a appris à se tenir en société...). Abordons ensemble ses différents signes :

a. Les questions de type personnelles

Ce signe est celui sans lequel rien n'est possible et on ne peut quitter la scène sans une arrière pensée. Si elle est intéressée, elle voudra (c’est instinctif) en savoir plus sur vous, à commencer par votre prénom. Ca vous paraît évident, hum ? Mais combien de fois avez vous donné votre prénom avant qu'elle ne vous le demande ? Vous privant ainsi de la possibilité de savoir si elle est véritablement intéressée ?


[suite]

Plus d'une fois à mon humble avis : c'est donc plutôt contre productif. Evitez de donner des renseignements vous concernant avant qu'elle ne vous les demande, tendez juste des perches...A minima, une fille intriguée voudra savoir votre prénom et où vous habitez (en fait, elle voudra en savoir beaucoup plus mais, en jeune femme parfaitement éduquée sans toutefois sortir du couvent, c'est tout ce qu'elle osera vous demandez). Et n'oublions pas : si au bout de 5 minutes, elle n'a toujours posé aucune question personnelle : PASSEZ VOTRE CHEMIN, C'EST TRES MAL BARRE !!

b. Elle vous facilite le boulot

Depuis des siècles, la littérature nous a convaincu qu'il était naturel de voir l'homme poursuivre la femme de ses assiduités jusqu'à ce qu'elle craque par dépit. Faux ! Si elle est intéressée, il n'y aura pas lieu de la harceler (juste à vaincre quelques résistances, simples confetties d'une éducation vertueuse, car bien entendu, comme vous, votre cible est des plus distinguée) car elle vous facilitera la partie. Aussi, si elle remplie les silences quand vous ramez un peu (ou même franchement pas mal) dans les prémisses de la conversation, si elle relance la conversation alors que vous faites mine de l'abréger, si elle vous écoute, concentrée et attentive, si elle rit à vos tentatives désespérées de blagues : Excellent ! Vous êtes sur la bonne voie ! En revanche, si elle laisse s'instaurer de longs blancs lourds de sens et n'esquisse pas le moindre rictus synonyme de début de sourire quant à vos blagues. Alors, bien que j’en sois désolé pour vous : NE VOUS ENFONCEZ PAS ! CHANGEZ D’HORAIRES DE RER ET PASSEZ DU STRAPONTIN AU DIVAN !!

c. Elle vous effleure

Demandez donc à une statue du musée Rodin ce que les gens font lorsqu'ils sont attirés : ils touchent !! Mais dans ce tout début de commencement de prémisses de tentative de connection : point d'empressement !! Si un contact physique est entamé, le risque de la mettre mal à l'aise est de 8 sur l'échelle de Richter. Ainsi, vous vous exposez à un violent séisme !! Attendez plutôt qu'elle vous décoche une petite tape " involontaire " (tu parles Charles, rien n'est jamais involontaire, à plus forte raison en matière de séduction). Plus elle se tient près de vous, plus elle vous effleure et meilleures sont vos chances de succès. De toute manière, si vous la dégoûtez, elle effectuera un subtil et léger recul stratégique et progressif que vous ne remarquerez pas forcément.
Si elle ne vous aide pas de ce côté là, soit vous avez clairement merdé, soit vous avez subi un échec au test de l'attraction physique (au demeurant primordial compte tenu de la nature de la rencontre). Dans ce cas, idem : PAS D’ALCHIMIE RECIPROQUE = PASSEZ VOTRE CHEMIN

4. Etablir un climat de confiance : la rassurer !

Arrivé à cette étape, vous êtes bien engagé sur la voie de la réussite.
En effet, vous n’avez plus à attendre le jour béni où elle croisera et décroisera les jambes version Basic Instinct et vous avez pu remarquer son petit rire qui égaye dès que vous essayer de faire de l'humour, son envie d'en savoir plus sur vous (questions personnelles) ainsi que son aptitude à remplir les blancs quand la conversation patine dans la semoule...Cerise sur le gâteau : vos épaules se touchent par le plus grand des hasards à plusieurs reprises.
Pouvez-vous pour autant l'enlacer comme le fameux baiser de l'hôtel de ville immortalisé par le cliché de Robert Doisneau ? Ou même prendre son numéro de téléphone comme on enverrais une lettre à la poste ??? Que nenni !!! Pas de suite ! La partie n'est pas jouée....
Vous n’êtes pas à l'abri d'un revers de fortune.
Dans ce que l'on peut estimez (à vue de nez) être à peu près le dernier tiers de la conversation, il convient de créer le confort suffisant pour qu'elle se sente suffisamment en confiance pour décrochez le téléphone quand vous la rappellerez, qu'elle ait de quoi se défendre (et vous défendre) face à ses copines lorsqu'elles tenteront de lui expliquer que ce n'est que pure folie de revoir un garçon croisé dans le métro, aussi séduisant fût-il !!
Pour ce faire, et ainsi optimiser vos chances de la revoir, vous devrez insérer dans la conversation quelques éléments dits " rassurants ". Exemple : si on a opené avec le " je cherche un endroit où emmener ma petite soeur et ses amies pour son anniversaire ", glissez par la suite quelques endroits que vous fréquentez habituellement, le coin où vous habitez, voire votre âge (s'il est manifestement similaire au sien), donnez lui quelques repères facilement mémorisables qui l'empêcheront d'imaginer le pire. Dans l'optique de la revoir, quel est le scénario le plus favorable ?

1. Elle ne sait rien de vous et ses copines la convainquent que vous habitez une banlieue peu recommandable, que vous avez 10 ans de plus qu'elle et que vous dealez de l'ecstasy dans des raves parties itinérantes. Bref, vous êtes très mal barré…
[suite]

2. Elle sait (parce que vous suivez ces conseils et, de fait, l’avez glissé innocemment) que vous habitez un quartier cool, que vous n’avez que 2 ans de plus qu'elle et que vous fréquentez des coins sympas.

5. L’étape ultime : le numéro de téléphone
Résumons donc : tout s’est bien passé, vous avez géré comme un chef et vous tenez la damoiselle au creux de votre main. Néanmoins, doucement cow-boy, il va falloir vous armer de délicatesse pour apprivoiser votre monture. Nous voici donc rendu à l’étape ultime, celle pour laquelle vous avez tant œuvré et besogné.
En effet, après avoir été drôle, décalé et énergique dans le premier tiers temps de votre rencontre, vous avez compris qu’il fallait dans le second créer un peu de confort et la rassurer dans la perspective d’un premier rendez-vous. Respirez un grand coup, le plus important est maintenant devant vous, comme disent les « djeunes » : Pécho le number.
Si vous êtes parvenu à lui faire intégrer le fait que vous correspondez parfaitement l’éventualité n°2, qu'elle est toujours ravie et désormais rassurée. Alors, C'EST GAGNE !! Le sésame est enfin à votre portée.
Vous pouvez enfin emprunter cette pente glissante et ardue qu'est la réquisition du numéro de téléphone.

Ainsi, quand on demandait à Mohamed Ali le secret de ses victoires, il répondait « la préparation. Dans la rue, dans les gymnases, dans les vestiaires, bien longtemps avant que je n’entre sous le feux de la rampe ».
Pensez-y pour ce qui peut vous paraître difficile dans la vie de tous les jours : négocier votre augmentation, faire un discours en public ou, bien entendu, demander les clés de Saint-Pierre à la femme de vos rêves…
N’oubliez jamais : les points, vous les marquez (ou non) avant. L’acquisition du numéro est la conclusion. En somme, ce n’est que la récolte du fruit de votre labeur, c’est donc le moment de se détendre (cas n°1), voire de s’amuser (cas n°2).

Cas n°1 : Vous avez tenu votre rôle avec brio, elle vous montre plus d’intérêt qu’un gosse devant une assiette de bonbons. La fin du trajet est en vue : annoncez simplement que vous devez partir (vous êtes à votre station), sortez votre téléphone de votre poche et dégainez : « je peux prendre ton numéro ? ». Bien entendu, en d’autres circonstances, vous vous seriez fait jeter comme un malpropre mais là…Facile me direz-vous ? Bien sûr, mais à ce stade, 90% d’entre nous ont la voix qui part dans les aigus, montrant ainsi d’évidents signes de nervosité. Calmez-vous : vous n’êtes pas en train de racketter un 6ème à la sortie d’un collège. Parlez naturellement et évacuez ce stress nauséabond. Au vu des paragraphes précédents : la partie est enfin gagnée !!

Cas n°2 : Vous hésitez encore quant à l’intérêt que la jeune femme vous porte ? Certains feux semblent au vert mais d’autres plutôt à l’orange ? Vous vous demandez si les arguments en faveur d’une tentative de « chopage » de numéro sont plus importants que ceux qui vous rappellent que vous pourriez tout aussi bien aller au crash ? Dans une telle situation, au demeurant inconfortable, ne faites pas de demande de but en blanc : vous vous exposez à un terrible courroux (voire pire encore : une crise de rire…). Il convient donc pour vous de « la jouer subtil » : vous allez devoir vous projeter dans l’avenir en lui faisant imaginer une scène en commun, scène qui nécessitera, pour se réaliser, qu’elle vous « lâche » son numéro.
Je m’explique : quelques minutes auparavant, elle vous aura glissé avoir fait son stage de master (comment ça quel master ? On s’en cogne !!) au Japon. En jeune bien né et mû d’une grande réflexion, vous aurez glissé une petite phrase du type : « Je n’ai jamais compris pourquoi tant d’hommes européens trouvent les asiatiques si belles alors qu’à contrario, les européennes n’ont pas souvent des chinois ou japonais pour icône ? ». Là, esquivez sa réponse car elle n’a que peu d’intérêt. L’objectif pour vous était de pouvoir embrayé en passant la seconde : demandez lui son restaurant japonais préféré à Paris et, quelque soit sa réponse : contredisez la ! Le vôtre doit l’écraser à plat de couture. Vous pouvez alors entamer la descente finale vers le bonheur : avec l’excitation d’un enfant amusé, faites lui comprendre qu’il faut départager vos deux restaurants de sushis, qu’un test s’impose….Puis demandez-lui comment faire. Si vous avez vu juste quant aux IOI (rappelez-vous : les signes d’intérêt : vous ne suivez pas ou bien !!), elle vous proposera d’elle-même son numéro pour organiser la rencontre, ne serait-ce que par le fait que aurez aiguisez sa curiosité : A vous de gérer le rencard, mais pour le number : c’est bonnard !!!
[suite]

A noter : après ce rapt en bon et due forme, il convient bien évidemment de se conformer à la règle des trois jours (attendre trois jours avant d’appeler). Pourquoi ? Une femme aime être désirée certes. Toutefois, il faut créer un léger manque, une envie. Pour ce faire et ainsi éviter de passer pour un rapace (que vous n’êtes pas puisque que vous me lisez), il faut se faire désirer un minimum, créer un phénomène de frustration (mais pas trop, tout est une question d’équilibre). Par ailleurs, cela renforcera votre image de gentleman et gendre idéal. Bref, c'est tout BONUS !

Voila !! Bien évidemment, j’écris tout ceci de manière malicieuse…Il ne faut pas le prendre au premier degré (de toute manière, vous risqueriez de vous emmêler les pinceaux et de finir par vous tirer une balle, mort de honte). Néanmoins, je pense qu’il y a quelques petits enseignements à tirer de tout cela.


Je souhaite à tous les amoureux d’une belle inconnue une pleine réussite dans leur tentative de rapprochement, en espérant qu’elle est sincère. Si tel est le cas, et que la femme dont vous êtes secrètement épris est normalement constituée, vous risquez au pire une fin de non recevoir plutôt cordiale (qui, en soit, n’est pas la fin du monde et vous permet d’être fixé sur vos chances de succès). Du reste, vous pourrez peut-être en faire une amie, n’ayant pas perdu tout votre fluide pour une cause perdue.

J’oubliais : quoi qu’il arrive, quelque soit vos dispositions, ayez le courage de rester sur la scène lorsque le rideau tombera.
Ainsi, comme disait Francois Ier : « tout est perdu fors l’honneur ». Donc même si les choses devaient tourner au vinaigre pour vous : préservez votre honneur. C’est là que doit se situer votre « virilité », et non en dessous de la ceinture. Mais puisque vous me lisez, vous, lecteur averti, raffiné, sensible et plein d’esprit, vous le savez déjà….
Et puis n’oubliez pas : vous n’êtes jamais que dans un métro…

Quelle lecture

Alors qu'en pensez vous? a t il raison ce cupidon94???

J'ai trouvé ca juste par hasard

salam

résume un peu tout ça VDM.....

je me sens pas concerné...............dans mon patelin on a que le mini-bus

désolé mais je n'ai vraiment pas le courage de lire tous ca
en résumé ca donne quoi, merci

MOI QUI D'HABITUDE PRENDS LE TEMPS DE LIRE

Salam,


P.... tu galère miss en vérité ou quoi.


ps : va voir ahmed au lieu de nous sortir ta pseudo philosophie

trop long à lire, j'ai pas le courage loool


résumes nous un peu tout ca lool

je reviens dans qq min ou heure (apres avoir tout lu ) vous répondre et faire un résumé. mais surtout vous répondre un a un

Citation
voldemodo a écrit:
je reviens dans qq min ou heure (apres avoir tout lu ) vous répondre et faire un résumé. mais surtout vous répondre un a un

lool merci

... Trop compliqué...

On ne drague pas dans le métro, c'est mal vu et il y'a trop de monde, et ca provoque des peurs évidemment...

Et sinon, il suffit de l'assommer et la trainer par les jambes jusqu'au lit...

Pourquoi vous me regardez comme ca? ca marche super bien

Citation
LeMask a écrit:
... Trop compliqué...

On ne drague pas dans le métro, c'est mal vu et il y'a trop de monde, et ca provoque des peurs évidemment...

Et sinon, il suffit de l'assommer et la trainer par les jambes jusqu'au lit...

Pourquoi vous me regardez comme ca? ca marche super bien

parce que t'aimes pas les marocaines

Au contraire soueïla, j'aime trop les Marocaines... c'est plutôt ca qui complique les choses...

tu aimes le belles marocaines n est ce pas, avec un beau decolleté

Sinon bah j'ai lu vite fait ce charabia, en gros nous autre les femmes n aimont pas les mecs lourds qui risquent de n ous faire peur en draguant comme des sauvages.
a retenir que les femmes soit disant preférent les mecs qui les fassent rire, qui soient particuliermeent sympa au premier abord, et de ce fait elle donne son numéro.

les timides a la trappe et les lourds a la guillotine! aucune chance!

on se fait désirer

Je n'ai pas eu le courage de lire, mais, vu le tas ça à l'air d'être compliqué la drague dans le métro lol

voldemodo, un décolleté = 2x de succés.

Fin de l'histoire...

Sinon, si je m'écoutais, je serais du genre à mettre une burka sur mes conquêtes...

Mais bon, je me soigne et je me contente du tee shirt "propriété privée"... Ben quoi? Quand on me dit "c'est pour toi tout seul." j'y crois à mort...

Citation
LeMask a écrit:
Au contraire soueïla, j'aime trop les Marocaines... c'est plutôt ca qui complique les choses...

ce n'est pas ce que tu disais hier ou avant hier je c plus

Citation
LeMask a écrit:
voldemodo, un décolleté = 2x de succés.

Fin de l'histoire...

Sinon, si je m'écoutais, je serais du genre à mettre une burka sur mes conquêtes...

Mais bon, je me soigne et je me contente du tee shirt "propriété privée"... Ben quoi? Quand on me dit "c'est pour toi tout seul." j'y crois à mort...

je fais la même chose avec les hommes...sauf que moi...je les entoure avec du gros scotch écrit dessus "à Détruire" en rouge pétant...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 23/02/10 23:06 par sofia59.