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L'armée des Etats-Unis lutte contre le sida au kenya.
a
23 février 2005 20:02
Washington - Grâce à la coopération entre l'armée des États-Unis et le
gouvernement et les hôpitaux locaux du Kenya, des Kényans aux prises
avec
le virus mortel du sida reçoivent des traitements et des soins
salutaires.

Selon la colonelle Deborah Birx, directrice du Programme de recherche
sur
le sida de l'armée des États-Unis (USMHRP), des essais de vaccins
contre
le sida ont commencé au Kenya l'année dernière. Son service a également
mis en œuvre des programmes de prévention, de traitement et de soins
dans
divers dispensaires du pays. Ces programmes sont devenus des atouts
précieux dans un pays frappé par un taux d'infection au VIH estimé à
14 %.

Aujourd'hui, plus de 1.500 Kényans, dont 700 soldats et leur famille,
sont
soignés, a affirmé Mme Birx, le 11 février, lors d'un colloque organisé
à
Washington au sujet des programmes d'aide à la lutte contre le sida mis
en
œuvre par l'armée des États-Unis. Le programme de lutte contre le sida
au
Kenya est cogéré par l'unité de recherche médicale de l'armée des
États-Unis au Kenya et les ministères kényans de la santé et de la
défense. Cette action est en partie financée par le Plan d'aide
d'urgence
à la lutte contre le sida dans le monde lancé par le président Bush.

En avril 2004, a précisé Mme Birx, le programme financé par les
États-Unis
a commencé à fournir des médicaments antirétroviraux à quatre centres
médicaux.

Selon elle, le programme est un succès du fait des connaissances
accumulées par l'armée des États-Unis pendant les 18 années durant
lesquelles elle a été aux prises avec cette maladie dans ses propres
rangs. L'armée a également à son acquis 30 ans d'expérience de
collaboration avec l'armée kényane dans la lutte contre le paludisme,
la
tuberculose et le sida.

Les efforts de l'armée des États-Unis ont en outre permis de soigner
2.500
malades affectés de maladies opportunes qui accompagnent souvent le
sida ;
de donner des conseils et d'offrir des tests de dépistage à 10.000
patients, et de traiter 4.000 femmes après l'accouchement afin d'éviter
la
transmission du VIH de la mère à l'enfant. « Nous avons lancé un
programme
semblable avec l'armée et le ministère de la santé de la Tanzanie », a
précisé Mme Birx.

Le Nigeria, qui compte de 120 à 138 millions d'habitants et 80.000
hommes
en service militaire actif, a également signé un engagement de
partenariat
médical avec l'armée des États-Unis, a précisé Mme Birx. Étant donné
que
le Nigeria joue un rôle de plus en plus important dans le maintien de
la
paix en Afrique de l'Ouest, ce partenariat ne pouvait mieux tomber.

Les autorités nigérianes, a-t-elle expliqué, ont hâte de participer au
plan d'urgence du président afin de réduire leur taux d'infection au
VIH
qui tourne autour de 5 %. L'armée des États-Unis est en train d'étudier
les actions et le développement infrastructurel nécessaires.

L'objectif principal pour cette année sera de multiplier les
installations
de conseils, de dépistage, de traitement et de soins dans plusieurs
hôpitaux militaires de Lagos. Il s'agit de traiter 1.200 patients avec
des
antirétroviraux d'ici à la fin 2005.

En outre, a précisé Mme Birx, son service a l'intention de consacrer
l'année prochaine de 50 à 60 millions de dollars au financement de
programmes d'aide aux armées de l'Afrique, ainsi que du Vietnam et de
la
Thaïlande.
signé :moulay abdellah bouskraoui.
B
23 février 2005 20:03
Salam aalikoum

peut etre qu'ils testent des vaccinseye rolling smiley

oua Allah ou3rlem
[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
h
23 février 2005 20:10
1 goutte dans un océan...les usa recoltent depuis des dizaines d'années avec le refus de mettre des génériques pour les medicaments HIV des milliards et des milliards...il n'y a qu'un an que les africains ont gagné des procès contre les firmes américaines qui sont donc obligées de fournir des génériques aux africains mais pas encore dans tous les pays, tant que celà leur rapporte, ils continueront jusqu'au procès encore....


l'afrique meurt mais tout le monde s'en fou, ils ont pas de pétrole...
 
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