KABOUL (AP) - L'armée américaine a assuré samedi qu'elle traitait ses prisonniers en Afghanistan "de manière humaine", au lendemain de l'audition par le Congrès du secrétaire américain à la Défense Donald Rumsfeld au sujet des sévices infligés à des détenus irakiens.
Une enquête a été ouverte après la mort de trois Afghans détenus par les Américains et les associations de défense des droits de l'homme soulignent la persistance de rumeurs faisant état d'actes de tortures infligés à des prisonniers.
Le lieutenant-colonel Tucker Mansager, porte-parole de l'armée américaine, a affirmé samedi que les prisonniers afghans étaient détenus "dans l'esprit des conventions de Genève", mais si leurs conditions d'enfermement ne relevaient pas légalement de ces règles internationales.
Pour Washington, les Talibans et membres d'Al Qaïda sont des "combattants illégaux" et les autorités américaines retiennent quelque 600 prisonniers sur la base de Guantanamo (Cuba) sans inculpation formelle ni accès à un avocat.
Selon le lieutenant-colonel Mansager, l'inspection générale de l'armée américaine a mené en mars une enquête "en profondeur" de la principale prison américaine en Afghanistan, à Bagram, au nord de Kaboul.
Les conclusions de cette inspection n'ont pas encore été rendues publiques, mais, pour le porte-parole, les prisonniers sont traités dignement en Afghanistan. "Les personnes placées sous notre contrôle sont traités de manière humaine et détenus dans des conditions humanitaires dignes", a-t-il assuré.
L'armée américaine affirme avoir modifié ses procédures à la prison de Bagram après la mort de deux détenus en décembre 2002, sans toutefois préciser la nature de ces changements.
Les autorités militaires ont conclu à deux homicides mais doivent encore compléter leur enquête. Un troisième Afghan est mort en juin dernier dans une prison de la province de Kunar, dans l'est du pays, et l'enquête a été placée sous la direction de la CIA. AP
Message edité (09-05-04 01:43)
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
oui C sure k'a Guantanamo , zone de non droit, les afghans sont bienn traité!!!!!!!!! aussi bien kes les irakiens ds leur propre pays. mensonge, mensonge...tout n'est ke supercherie.....
c'est sur tachilhite78 de toutes les façons Irakiens ou Afghans c'est kif-kif pour les américains, leurs but c'est le pétrole les prisonniers ils ont n'on rien à foutre à part les tortuter.
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
After the surrender of the fortress of Kunduz, at the tail end of the Afghan war in November 2001, hundreds of Taliban prisoners -- "young men who had expected the protection of the Geneva conventions" after surrendering to U.S. and U.S.-backed forces -- "instead died horribly" at the hands of the U.S.'s Northern Alliance surrogates, either by suffocation in the container trucks used to transport them towards the Shebarghan prison, or by outright execution in killings fields around Shebarghan. So wrote Jamie Doran, producer of a television documentary titled Afghan Massacre: The Convoy of Death, in the respected French journal Le Monde diplomatique (September 2002). Thousands more prisoners were still missing, according to Doran. "A few may have escaped ... But according to to a number of eyewitnesses found during a six-month investigation, most lie [buried] in the sand" at Dasht-e Leili, a site only ten minutes' drive from Shebarghan. . . . Doran went further still. He claimed that U.S. soldiers were present when the containers were opened, and ordered the destruction of the ghastly evidence inside. "When the containers were finally opened, a mess of urine, blood, faeces, vomit and rotting flesh was all that remained ... As the containers were lined up outside the prison, a [U.S.] soldier accompanying the convoy was present when the prison commanders received orders to dispose of the evidence quickly." He cites witness testimony to the effect that "In each container maybe 150-160 [prisoners] had been killed. ... The Americans told the Shebarghan people to get them outside the city before they were filmed by satellite."
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