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L’amour de l’Envoyé de Dieu est l’anse la plus solide
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21 mars 2008 15:28
L’amour de l’Envoyé de Dieu est l’anse la plus solide

Al Qadi Iyad, que Dieu lui fasse miséricorde, a mentionné dans son « Chifa » (Guérison) que Malik, que Dieu lui fasse miséricorde, fut interrogé à propos de Ayyub Al-Sikhitianî et a dit à son propos : « Il a accompli deux pèlerinages durant lesquels je l’observais furtivement afin d’entendre ses paroles mais en vain. Sauf que, lorsqu’il évoquait le Prophète, il pleurait et ne s’arrêtait que lorsque je l’eusse prié de cesser ».

Iyad a dit : Mus’ab Ibn Abdellah a dit : « Dès que Malik ibn Anas évoquait le Prophète, son visage changeait de couleur, et tout son corps se courbait au point de gêner ceux qui faisaient partie de son assise. Comme on l’a interrogé un jour à ce sujet, il répondit : « Si vous aviez vu ce que j’ai vu, vous n’auriez certainement pas désapprouvé mon attitude ; Il m’arrivait de voir Muhammad ibn al Munkadir, qui était le maître des lecteurs du coran, se mettre à pleurer dès que nous l’interrogions sur un hadith jusqu’à ce que nous le prenions en miséricorde ; « J’ai vu également Ja’far ibn Mohammed ( qui est l’Imam Ja’far As-Sadiq de la famille de la maison prophétique) qui était quelqu’un de très souriant et qui plaisantait beaucoup, devenir pâle lorsque nous mentionnions le Prophète en sa présence. Je ne l’ai jamais vu parler du Prophète sans qu’il ne soit en état de purification. » « Et il fut une époque où j’allais souvent le voir, et je le trouvais toujours occupé par l’une des vertus suivantes : soit en prière, soit plongé dans un silence profond, soit lisant le coran. Aussi il ne parlait jamais de ce qui ne le regardait pas et faisait partie des savants dévots qui craignent Dieu. »

Malik a dit : « lorsque Abderrahman ibn Al Qassim mentionnait le Prophète, on voyait son visage blêmir comme s’il avait été vidé de son sang, et sa langue devenait sèche dans sa bouche, par révérence pour l’Envoyé de Dieu. » « Puis, lorsqu’il m’arrivait de rendre visite à Abdullah ibn Az-Zubayr et que le Prophète était mentionné en sa présence, il pleurait jusqu’à ce qu’il n’eût plus de larmes dans les yeux ; j’ai vu aussi Az-Zuhri, qui était parmi les gens les plus sympathiques et sociables ; lorsqu’on mentionnait le Prophète en sa présence, c’est comme s’il ne vous avez jamais connu et que vous ne le connaissiez pas ». « J’allais également chez Safwan ibn Sulaym, qui faisait partie des dévots et qui s’adonnait assidûment aux exercices d’adoration. Lorsqu’on mentionnait le nom du Prophète, il ne cessait de pleurer jusqu’à ce que les gens se lèvent et le quittent. »

L'article complet : [www.capislam.com]
s
8 avril 2008 15:08
Le fait de prendre le Prophète comme allié, de prier de façon permanente sur lui, l’amour de sa famille purifiée, et l’alliance avec ses Compagnons, est ce qui permet de rapprocher les distances pour le novice solliciteur.

Les savants ont divergé à propos de l’identification des gens de la Maison à propos desquels des hadiths authentiques nous ont ordonné de les aimer, de les prendre pour alliés en nous exhortant, au nom de Dieu, à leur sujet et au sujet du coran. Et il y a ceux qui les désignent comme étant la famille envers laquelle toute charité est interdite parmi les descendants de Hâchim. Et de ceux qui disent qu’il s’agit de sa descendance et de ses femmes. Et il y a ceux qui disent qu’il s’agit de sa Communauté générale. Et de ceux qui disent qu’il s’agit des pieux de sa Communauté en particulier. Le hadith de Tirmidi spécifie Ali, Fatima et les deux petits-fils Hassan et Houssein. Et chez Muslim, Zayd ibn Arqam, que Dieu soit satisfait de lui, a fait connaître les gens de la Maison comme étant : « ceux envers qui la charité a été interdite après lui (le Prophète), et ce sont la famille de Ali, la famille de Aqil, la famille de Ja’far et la famille de Abbas. »

Bienheureux est celui qui prend Dieu et Son Envoyé comme alliés ainsi que la Famille en particulier et en général, avec un lien d’amour inébranlable qui le relie d’un lien d’affection et de miséricorde à ceux que Dieu a aimés et dont Il a ordonné d’aimer.

« Cheikh al Islam », Ibn Taymiya, que Dieu lui fasse miséricorde, fut une personne singulière quant à l’approche de la question du tawassoul (le fait de supplier Dieu par l’entremise de quelqu’un) et du tabarrouk (recherche d’une bénédiction auprès de quelqu’un). Son souci était de purifier le rang de la divinité de tout associationnisme, et de mettre en évidence la place de la Révélation et de la Prophétie et les dissocier de la vénération des maîtres.

La suite : [www.capislam.com]
i
8 avril 2008 18:30
barakaAllah oufik srnit.
Allah me suffit. La ilaha illa houwa( Il n'y a de divinité digne d'adoration que lui); En lui je place ma confiance et Il est le Seigneur du Trône immense.
s
8 avril 2008 21:33
wa fik barakaAllah ihsen smiling smiley
 
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