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L’agence américaine AP change la définition du mot « islamiste »
A
10 avril 2013 16:16
Citation
a écrit:
L’une des agences de presse les plus anciennes et les plus réputées au monde, Associated Press (AP), vient de procéder à une modification qui ne sera pas sans conséquences : AP a en effet décidé de modifier la définition du terme « islamiste », s’enthousiasme le site musulman Al-Kanz.org.

Selon l’ancienne définition utilisée par les journalistes d’AP, « islamiste » désignait le musulman qui soutient les régimes politiques « en accord avec les lois de l’islam », celui qui considère « le Coran comme modèle politique ». Le terme désignait ainsi « un large éventail de musulmans, des politiciens traditionnels aux militants réputés djihadistes ».

Désormais, selon la nouvelle définition adoptée par AP, l’islamiste désigne le partisan d’un mouvement politique qui pense la société selon les règles islamiques. Le terme ne doit plus être employé par les journalistes d’AP comme synonyme de combattant islamiste, militant, extrémiste ou de radical. AP va plus loin en demandant à ses journalistes de préciser lorsque cela est possible l’affiliation à un groupe ou un mouvement : « lié à Al-Qaeda, Hezbollah, Taliban », etc.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 10/04/13 16:40 par Asad Solitaire.
c
10 avril 2013 17:42
on peut changer le vocabulaire, vilipender les médias, cela ne change pas la réalité.
l'islam a une image dégradée à cause des islamistes, qu'ils soient armés ou pas.
B
10 avril 2013 18:30
Associated Press?

Agence de menteurs sur ..........le rwanda!
B
10 avril 2013 22:50
Le monde est alors envahi d'islamiste
c
11 avril 2013 15:55
Citation
coldman a écrit:
on peut changer le vocabulaire, vilipender les médias, cela ne change pas la réalité.
l'islam a une image dégradée à cause des islamistes, qu'ils soient armés ou pas.


Tu es pas dégradé toi ?

La chute du grand rabbin Gilles Bernheim
ll a plagié des livres, usurpé son titre d’agrégé. Son autorité à la tête du judaïsme français s'était effondrée. Gilles Bernheim a fini par démissionner.


- Gilles Bernheim à l'Elysée en décembre 2011. REUTERS/Charles Platiau -
Gilles Bernheim a fini par rompre. Le grand rabbin de France a annoncé jeudi matin devant le Consistoire qu'il démissionnait, selon Le Figaro. Attaqué de toute part, il avait déjà reconnu la gravité de ses fautes. Il a usurpé au moins un titre d’agrégé de philosophie dont se prévalaient ses biographies et sa notice du Who’s who. Il a commis des plagiats pour la rédaction d’au moins deux de ses ouvrages les plus récents. Il avait plaidé coupable, dit qu'il «regrett(ait) profondément», mais, malgré la pression d’une partie de sa communauté qui l’encourageait à démissionner, il avait jusqu'à présent affirmé qu'il entendait rester fidèle au poste où il a été élu en juin 2008 pour sept ans. Ses fautes ne concernent pas l’exercice de ses fonctions: «Démissionner relèverait d'une désertion. Ce serait un acte d'orgueil, alors que je me dois d'agir aujourd'hui dans la plus grande humilité», avait-il plaidé mardi 9 avril sur Radio Shalom.

Le grand rabbin de France est la plus haute autorité morale du judaïsme. Il a en charge le respect de l’orthodoxie juive. Il rend les arbitrages religieux, visite les synagogues et les centres communautaires, édicte les règles alimentaires de la kashrout, livre un enseignement régulier par ses ouvrages et ses prédications, milite contre l’antisémitisme —on a vu Gilles Bernheim au premier plan dans l’affaire Merah. Il représente sa communauté auprès des autorités de la République et des autres religions présentes sur le sol de France.
 
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