Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
L'affaire Marc Dutroux
L
26 février 2004 20:38
Si vous êtes pour ou contre la peine de mort (dans le monde)....

Si vous étiez juge,jurés,un citoyen Belge,ou un citoyen du monde,quel sort

décideriez vous pour ce 'monstre' Marc Dutroux?

Juste votre avis ....la semaine prochaine commence son procès.

Ce soir reportage sur France deux.

Merci pour vos post .
a
26 février 2004 21:12
5 millions d'€ pour ce ### , il vont en faire un heros comme jack l'eventreur ou le bossu d'esmeralda .

La peine de mort serai une justice , sinon il va couter encore trop chère au contribuable . Pour bonne conduite il pourra etre libre dans pas longtemps .

Ils sont tous fautif , il laisse faire les pédophiles , d'apres des etudes ils se disent une minorité et qui reconnaisse jamais leur mal , ils disent qu'ils ont jouer un role de protecteur pour les gosses .
C'est comme ca que les enfants tobent dans le piège , il se font manipuler .

La peine de mort "oui" pkoi pas , oeil pour oeil disent les livres saint .
pkoi pas l'appliquer a des énergumènes de la sorte .
B
26 février 2004 21:20
Le castré et le jeter au trou et le laisser mourir de faim... Je ne dirai pas comme un animal.

Ben quoi 0-°
v
26 février 2004 21:33
pour moi la peine de mort ne suffit pas pour ce monstre il fau se vanger en lui fesan des choses kil nen pui plus il fodrais le castrer et plein d'autre chose il faudrais même une salle de torture pour lui car ce kil a fait c'est immonde c'est affreux horrible inimaginable je ne comprend pas pk des personnes pense a faire sa
en tout cas c'est bien den parler

"o Bios kalkos estine " proverbe grec
p
26 février 2004 22:27



C'est degeulasse ce qu'il a fait c'est catastrophik meme 6 fillettes c'est lundi son jugement !!!

imane
L
26 février 2004 22:58
Princess

Son procès débute le 1er Mars 2004.

On dit d'une durée de 2 mois,voir plus.

p
26 février 2004 23:19


merci la vie est belle !!

@++++ imane
c
27 février 2004 09:18

Je suis fondamentalement contre la peine de mort. Alors........................... je le castre (aïe aïe aïe, mais c'est tout ce qu'il mérite) et je l'enferme à vie (prison ou asile psychiatrique) !

J'ai vu un reportage sur lui sur ARTE mardi soir et franchement, ça m'a fait froid dans le dos ! Comme peux-tu faire ça à ses semblables, qui plus est à des enfants ????? La nature humaine est parfois affligeante ! Même les animaux se comportent mieux que nous !!!!! sad smiley

I
Ima
27 février 2004 12:03
Salam Aleikoum,

Une Lapidation serait la bienvenue pour un homme pareil:@ Mais je suis contre la peine de mort aussi car c'est mourir trop vite et la souffrance ne dure pas. ( en tous cas pas ici bas)

Le castré ça c'est sur et le mettre en taule! Pas les taules 5 étoiles avec tv salle de jeu et tutti quanti nonnnn celle qui ressemblerais plutôt a Al catraz ou Tazmamart ou pire encore... que chaque jour lui serve a ruminer ses actes!

wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
w
27 février 2004 12:26
salam**

J'ai entendus ce qu'il avais fait a ces petites fillettes c vraiment horrible il les a torturer, violer, droguer, elles ont dus subir de grandes affrosités, il merite la mort c clair!!

Femme, tu es l’éducatrice d’une communauté, tu représentes une école qui formera les générations à venir. Pour vous les femmes :)wanasa
27 février 2004 14:08
moi je propose, de le mettre entre les mains des parents, des petites filles en question, eux seuls savent ce qu'ils peuvent faire de lui, et eux seuls ont besoin de se venger, de ce qu'il a fait à leurs enfants.

La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
s
27 février 2004 15:52
moi je di la prison à vie mais pas dans les pays développés où être en prison c' du "luxe" mais dans un bled où la prison est un "enfer"

ex : en thailand, russie, ... dans c' pays où il repensera à son acte toute sa vie........

la peine de mort n'est pas la solution "parfaite", le fait de savoir qu'il va souffrir tout le reste de sa misérable vie serai un soulagement pour les familles des victimes ( même si ce n'é pas vraiment un soulagement)

salam halikoum
m
27 février 2004 16:40
la peine de mort c le jugement le plus parfait si on veux appliquer la charîa
sinon il faut appliquer la loi tel quel est donc toute façon c la peine de mort
on virra ça lundi prochain !!!!!
a
27 février 2004 16:49

La peine de mort , c'est une délivrance pour lui et pour ceux qu'il a torturer.

Le chatrer vous dite , oui a condition qu'il est tout les doigts couper , ainsi que la langue .lolllllllll

Des enuques ont vecu des histoires d'amour fou dans les harems des sultans . Alors coupons lui tout ... mdrrrrrrrrrrrrr

Vous savez il y a de part le monde bcp de crapuleux , ils font des voyages organiser ...
L
28 février 2004 18:51
Il doit payer pour les crimes qu'il a commis,je pense qu'il y a sur terre des personnes qui ne devraient pas être de ce monde 'des parasites' pire que des sauvages.
Ont t'ils une conscience des gens comme Dutroux?

Il aurait dû moisir dans un trou Dutroux..... j'espère que les juges seront 'juste et ferme' en mèmoire des pauvres filles,les victimes et les parents de ceux çi....qui ont vécu un calvaire depuis 8 ans !!!

......Lundi,commence son jugement à ce maudit 'parasite'.

28 février 2004 19:00
Si j'étais juge: réclusion criminelle à perpétuité INCOMPRESSIBLE avec obligation de soins, et pas dans une prison 5 étoiles.
Sinon, je trouve la castration chimique assez "limite" et pas efficace à 100%, mais pourquoi pas.

Le reste c'est de la barbarie à l'état pur (de la part des juges je veux dire... pour une mère, vouloir le torturer et le mettre à mort est compréhensible).

De toute façon dites-vous bien que ces mecs là quand ils sont en prison, sont haïs par les autres prisonniers, et que le traitement qu'ils subissent dans les douches n'est pas beau à voir. Ce mec sera persécuté et violé jusqu'à sa mort en prison, ne vous inquiétez pas pour ça. Je ne trouve pas ça très humain, mais là mon côté scandalisé prend le dessus.



Message edité (28-02-04 19:02)
L
1 mars 2004 19:22
Première audience du procès Dutroux


Après huit années d'instruction, le procès du pédophile Marc Dutroux et de ses trois complices présumés s'est ouvert ce matin devant la cour d'assises d'Arlon. Le président de la cour, Stéphane Goux, a pris place dans la salle d'audience à 9h40 avec une quarantaine de minutes de retard sur l'horaire prévu en raison des mesures de sécurité. Marc Dutroux, 47 ans, a refusé d'être filmé ou photographié au début de l'audience. Invité à décliner son identité, le pédophile a laconiquement répondu: "Je m'appelle Marc Dutroux". "Quelle est votre profession?", a enchaîné le président. "Je n'en ai pas". Quelques instants plus tard le président a rappelé à l'ordre Marc Dutroux parce qu'il sommeillait. "Marc Dutroux dort très mal pendant la nuit. Quand il ne se passe rien de tactique à l'audience, il est normal qu'il récupère. Pour moi, il ne s'agit pas du tout d'un manque de respect envers la cour", a justifié Me Magnée l'un des conseils de Marc Dutroux à la sortie de la salle d'audience.

La première matinée s'est terminée à 14h25. A la sortie, la plupart des avocats se sont déclarés satisfaits par le déroulement de la matinée. "Tout se déroule très normalement. Le président est positif et l'ambiance est sereine. Tout est très bien organisé", se réjouit Me Xavier Magnée, l'un des conseils de Marc Dutroux. L'audience a repris à 15h30. Les jurés ont prêté serment, le président leur a ensuite expliqué leur rôle. Cette première confrontation avec Dutroux a été difficile pour la famille Marchal, qui assistait à l'audience. "C'est très pénible pour eux de se retrouver face à Dutroux. C'est très dur", a expliqué Me Quirynen. Le père d'Eefje Lambrecks était également présent à l'audience. Les parents de Julie et Melissa ont décidé de bouder le procès. Les débats ont pris fin à 17h30.

La lecture de l'acte d'accusation résumant les 440.000 pages du dossier sera effectuée demain. Les conseils de Marc Dutroux et de Michel Nihoul ont d'ores et déjà annoncé qu'ils déposeraient un acte de défense. Les débats ne devraient entrer dans le vif du sujet qu'à partir de mercredi, avec les premiers interrogatoires publics de Marc Dutroux et ses complices présumés.

Marc Dutroux encourt la prison à vie pour, entre autres crimes, l'enlèvement et le viol de six fillettes et adolescentes, dont quatre avaient été retrouvées mortes : Julie Lejeune, Melissa Russo, An Marchal et Eefje Lambrecks. A ses côtés on retrouve son épouse Michelle Martin, un de ses hommes de main, Michel Lelièvre, et un ancien homme d'affaires bruxellois condamné à plusieurs reprises pour escroquerie, Michel Nihoul. Ce dernier comparaît libre. Il est soupçonné d'avoir pu faire le lien entre Dutroux et un éventuel réseau pédophile ayant bénéficié de protections.

La découverte en août 1996 des crimes imputés à Marc Dutroux avait soulevé l'émotion dans le monde et fait vaciller pendant de longs mois la Belgique. Les corps de Julie et Melissa, enlevées en juin 1995, avaient été exhumés le 17 août 1996 dans le jardin du domicile de Dutroux à Sars-la-Buissière (sud), en même temps que le cadavre d'un acolyte du pédophile, le truand français Bernard Weinstein. Les dépouilles d'An et Eefje, deux jeunes Flamandes de 17 et 19 ans disparues le 22 août 1995 près d'Ostende (nord) avaient été découvertes le 3 septembre 1996, dans le sous-sol d'une maison que Dutroux louait à Weinstein à Jumet, dans la banlieue de Charleroi (sud). Deux autres jeunes filles, Sabine Dardenne (12 ans) et Laetitia Delhez (14 ans), avaient pour leur part été libérées vivantes le 15 août 1996, deux jours après l'arrestation de Dutroux, de la cave de Marcinelle, un faubourg industriel de Charleroi, où elles étaient séquestrées.
L
1 mars 2004 19:24
Le portrait de Marc Dutroux

Marc Dutroux est né le 6 novembre 1956 à Ixelles. Sa mère, Jeanine, et son père, Victor, sont tous les deux instituteurs. Peu après la naissance de Marc Dutroux, la famille part pour le Burundi mais revient en Belgique en 1960, avec un deuxième enfant, Johan. La famille s'installe à Obaix, près de Pont-à-Celles. En 1967, les parents de Marc Dutroux divorcent alors que Marc a trois frères et une petite sœur, tous plus jeunes. Il poursuit ses études primaires à l'école du centre de Roux, près de Charleroi. Il n'est pas considéré comme un garçon turbulent et n'a aucun problème de discipline.

En 1968, il entre en première année à l'athénée de Morlanwez et fera ensuite trois écoles professionnelles, à Fleurus, Charleroi et Nivelles. Marc Dutroux commence alors à trafiquer des mobylettes qu'il revend. En 1974, il obtient son diplôme A3 d'électricien et s'installe à Monceau-sur-Sambre, rue Emile Vandervelde. Il commence à travailler dans l'usine Glaverbel, d'abord comme tourneur, puis comme électricien. Il échappe au service militaire, réformé pour "raisons médicales".

En 1976, à l'âge de vingt ans, Marc Dutroux épouse Françoise, à Watermael-Boitsfort. Ils s'installent à Onoz, près de Spy, dans une maison appartenant à son grand-père maternel. Sa femme donne naissance à un fils un an plus tard. Ils déménagent ensuite à La Louvière, rue de l'Hotel de Ville, où ils resteront de 1978 à 1982. Ils changeront trois fois de maison dans cette même rue. Un deuxième enfant voit le jour, trois ans après le premier. La famille déménage à Goutroux et en 1983, après des disputes de plus en plus fréquentes, le couple se sépare. Françoise a la garde des enfants.

Dutroux croise alors une jeune fille originaire de Waterloo, Michelle Martin, qui veut devenir institutrice primaire. Ils vivent en concubinage à Marcinelle, avenue de Philippeville. En 1984, un petit garçon voit le jour.

En 1985, Marc Dutroux est arrêté une première fois et est inculpé de viol et vol qualifié. Faute de preuves, il est libéré un mois plus tard. En 1986, il est arrêté une seconde fois pour vol avec violence et torture sur une femme de cinquante ans et enlèvements, séquestrations et viols de cinq jeunes filles entre douze et dix-neuf ans. Il est condamné en 1989 à treize ans et six mois de prison. En 1988, alors qu'il est en prison, il épouse Michelle Martin, condamnée à trois ans pour complicité dans l'affaire du viol des filles par Marc Dutroux.

En 1992, Marc Dutroux bénéficie d'une libération conditionnelle, signée par l'ancien ministre de la Justice Melchior Wathelet. Michelle Martin est également libérée. Ils habitent à Jemeppe-sur-Sambre, avec la mère de Marc Dutroux. Le couple retourne ensuite habiter à Marcinelle et ont encore deux enfants, un garçon en 1993 et une fille en 1995. Alors qu'il est chômeur et père de cinq enfants, Marc Dutroux possède pourtant six maisons, achetées presque toutes comptant. Il reste cependant domicilié chez le plus grand de ses enfants à Sars-la-Buissière, où les corps de Julie et Mélissa seront retrouvés. Michelle Martin est domiciliée dans la commune voisine de Lobbes.

Le 13 août 1996, Marc Dutroux est arrêté à Sars-la-Buissière avec sa femme, Michèle Martin. Il est inculpé d'association de malfaiteurs, d'enlèvements d'enfants avec la circonstance aggravante que quatre d'entre-elles sont mortes, de l'assassinat d'An et Eefje, des viols de Laetitia, Sabine, An et Eefje et de l'assassinat de Bernard Weinstein. Il est incarcéré à la prison d'Arlon. Il nie toujours l'enlèvement de Julie et Mélissa et prétend que ce sont Bernard Weinstein et Michel Lelièvre qui les ont enlevées.

Le 30 avril 2003, la chambre des mises en accusation renvoie Dutroux, Martin, Lelièvre et Nihoul devant les assises.

Sa mère, Jeannine, qui ne l'a pas revu depuis 1993, l'appelle désormais "Dutroux". Elle est écœurée de ce qu'a fait son fils, qu'elle considère comme un "manipulateur". Son père vit aujourd'hui reclus près de Gand
L
1 mars 2004 19:27
Les enlèvements d'enfants

Julie et Mélissa

Le 24 juin 1995, Julie Lejeune et Mélissa Russo, huit ans, disparaissent sur un pont d'autoroute à Grâce-Hollogne. Le jour des l'enlèvement, après avoir joué toutes les deux dans la maison de Mélissa, les deux fillettes décident en fin d'après-midi de se rendre sur le pont d'autoroute tout proche, afin de faire des signes aux voitures. C'est à ce moment-là que les deux fillettes disparaissent. Les parents de Julie, Jean-Denis et Louisa Lejeune ainsi que ceux de Mélissa, Gino et Carine Russo, préviennent la gendarmerie de Seraing. Des recherches sont effectuées dans toute la région, mais ne donnent rien. Deux jours après la disparition, l'ASBL Marc et Corinne, spécialisée dans l'aide aux parents d'enfants disparus, diffuse des affichettes avec les signalements des deux fillettes dans les lieux très fréquentés de la région. La juge liégeoise Martine Doutrèwe est saisie du dossier au début de l'été. Les corps de Julie et Mélissa seront retrouvés le 17 août 1996, dans le jardin de Marc Dutroux, à Sars-la-Buissière, plus d'un an après la disparition des deux fillettes.

An et Eefje

Le 22 août 1995, deux mois après la disparition de Julie et Mélissa, An Marchal, dix-sept ans et Eefje Lambrecks, dix-neuf ans, sont enlevées à Ostende. Les deux jeunes Limbourgeoises, originaires de Hasselt, étaient en vacances à la mer, dans la commune de Westende. La nuit de leur disparition, elles se rendent à un spectacle de magie, au casino de Blankenberge. A la fin du spectacle, peu après minuit, les deux jeunes filles reprennent le tram pour rentrer à Westende. Seulement, il s'arrête à son terminus d'Ostende. Le conducteur du tram confirme les avoir déposé à la gare d'Ostende, vers 1 h 30 du matin. Depuis, il n'y a plus aucune trace des deux jeunes filles. La police judiciaire de Bruges mène l'enquête. Les parents Marchal, qui parle mieux le français que les parents Lambrecks, sont aidés par l'association "Marc et Corinne", qui s'occupe déjà de la disparition de Julie et Mélissa. Pour leurs parts, les parents Lambrecks sont aidés par l'association "Hulpdienst voor ontvoerde en vermiste kinderen", l'équivalent flamand de l'ASBL "Marc et Corinne". Les corps d'An et Eefje seront retrouvés le 3 septembre 1996, rue Daubresse, à Jumet, dans le jardin du chalet d'un complice de Marc Dutroux du nom de Bernard Weinstein.

Sabine et Laetitia

Le 28 mai 1996, onze mois après l'enlèvement de Julie et Mélissa, Sabine Dardenne, douze ans, est enlevée à Kain, près de Tournai. Ce jour-là, vers 7h20, Sabine prend son vélo et quitte le domicile de ses parents. Elle se rend alors à l'école, un établissement situé à quelques centaines de mètres de la maison familiale. Mais elle n'arrivera jamais à son école, qui signale aussitôt son absence à ses parents. Des battues sont organisées, des affiches distribuées, et une cellule de crise est mise sur pied le 3 juin. Aucun indice n'est cependant découvert. Ce n'est que le 15 août 1996 que Sabine sera retrouvée vivante dans la cave de Marc Dutroux.

Enfin, le 9 août 1996, une dizaine de jours après l'enlèvement de Sabine, Laetita Delhez, quatorze ans, disparaît à Bertrix. Au moment de quitter la piscine communale avec une amie, Laetitia lui dit qu'elle rentre directement chez elle, dans sa maison située dans le centre de Bertrix, tout comme la piscine. Sa famille ne la verra jamais rentrer. L'ASBL "Marc et Corinne", dont l'antenne bertrigeoise a été inaugurée trois mois plus tôt, place directement des affichettes dans tous les lieux publics environnants. Malgré les recherches effectuées pour retrouver l'adolescente, celle-ci reste introuvable. Le lendemain, le 10 août 1996, une cellule de crise se crée autour du juge d'instruction de Neufchâteau, Jean-Marc Connerotte et du procureur du Roi, Michel Bourlet. Six jours plus tard, le 15 août 1996, Laetitia est retrouvée dans la cave de Marc Dutroux, en même temps que Sabine Dardenne
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook