Lors de son dernier passage chez Ruquier, Bernard Kouchner (dit Kouchmerde) a une fois de plus fait étalage de sa vulgarité pour éviter de répondre à des questions embarrassantes.
Kouchmerde utilise toujours la même tactique d’intimidation lorsqu’on lui pose des questions sur les affaires plus que louches dans lesquelles il aurait trempé : il fait résonner son rire diabolique et satanique quand on tente de l’interroger sur son passé. Voici sa réaction à une question sur le trafic d’organe au Kosovo :