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Le Kenya lâche le polisario
m
20 octobre 2006 01:25
Le Kenya suspend ses relations diplomatiques avec la prétendue "RASD"
Nairobi, 19/10/06 - Le Kenya a suspendu ses relations diplomatiques avec la prétendue "RASD", apprend-on, jeudi soir, de source diplomatique à Nairobi.
Le ministre Kenyan des Affaires étrangères a reçu mercredi le soi-disant ambassadeur de la "RASD" à qui il a notifié la décision de son pays.
20 octobre 2006 02:00
SOURCE ??
a
20 octobre 2006 02:14
je viens de voire sa sur 2M moi aussi.
z
20 octobre 2006 03:27
Gardons ce poste ouvert pour tous les voltes faces que le Polisario va subir prochainement. Apres l'Argentine, le Perou, La Roumanie, le Kenya, maintenant le Ghana:

A son tour, le Ghana soutient Rabat sur le Sahara

19.10.2006 | 14h57
Croire que les pays africains et autres latino-américains sont des dupes, est un leurre. Ces pays commencent à se remettre à la raison en découvrant que les promesses algériennes formulées hier ne sont que de purs mensonges. Ce fait est devenu plus perceptible à l'occasion des missions dépêchées par S.M. le Roi Mohammed VI auprès des pays membres du Conseil de sécurité. Après le Pérou et l'Argentine, c'est au tour du Ghana de soutenir la démarche du Maroc.

Celle qui s'inspire de la nécessité de parvenir à un compromis politique en déléguant de larges compétences à la population concernée dans le respect des prérogatives de la souveraineté du Royaume.

Au cours d'un entretien à Accra avec le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Mohamed Nabil Benabdallah, le vice-ministre des Affaires étrangères du Ghana, Akwasi Osei Adjei, a jugé très positive l'approche marocaine et assuré que son pays soutiendra cette démarche au Conseil de sécurité de l'Onu. Il a également affirmé apprécier la proposition d'autonomie et le consensus très fort des partis politiques et des populations locales, saluant les avancées et les réformes accomplies par le Maroc et ses choix démocratiques.

Le Ghana est un des deux pays africains, siégeant au Conseil de sécurité, comme membres non permanents. Ce pays ami n'avait pas participé au dernier vote de la 4e commission, exprimant ainsi son soutien en faveur d'une solution à la question du Sahara, acceptable par toutes les parties. Position exprimée par tous les pays membres permanents et non permanents du Conseil de sécurité de l'Onu, visités jusqu'à présent par les délégations ministérielles marocaines envoyées par le Souverain.

Ces missions interviennent à la veille de la réunion du Conseil de sécurité, qui doit se prononcer avant fin octobre sur la question du Sahara, à la lumière du dernier rapport du secrétaire général de l'Organisation. Dans ce cadre, le ministre d'Etat, Abbas El Fassi, et le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Mohamed Benaïssa, se sont entretenus, mercredi à Moscou, avec le chef de la diplomatie russe, Serguei Lavrov, ainsi qu'avec le secrétaire du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, Igor Ivanov.

Jeudi, Mohamed El Yazghi, ministre de l'Aménagement du territoire, de l'eau et de l'environnement a également été reçu à Pékin par le ministre chinois des Affaires Etrangères, Li Zhaoxing. Il faut préciser que dans cette affaire, les rapports onusiens se ressemblent depuis le début des années 90 et n'aboutissent à aucun règlement pacifique de la question du Sahara.
L'expiration du mandat de la Minurso (forces de maintien de la paix au Sahara) relance aux Nations unies l'affrontement diplomatique qui oppose depuis plusieurs années le Maroc à l'Algérie.

Dans ce conflit, il revient à l'Onu de tirer la conséquence d'un tel blocage du moment que son origine est parfaitement identifiée. Le blocage vient évidemment de l'Algérie qui essaye, en vain, par tous les moyens de porter le coup fatal au Maroc.

Depuis la récupération du Sahara par le Maroc, conformément au droit international, notre voisin algérien n'a cessé de déployer tous les moyens pour envenimer les relations et contrarier le Maroc dans ses droits légitimes.

L'Algérie, qui a créé le polisario, a mis à la disposition de ce mouvement séparatiste notamment sa diplomatie, ses médias et des moyens faramineux pour soudoyer certains pays à reconnaître la prétendue «république sahraouie», qui ne dispose d'aucun des éléments constitutifs d'un Etat. Ce pays est revenu à la charge à l'occasion de la dernière réunion de la 4e commission des Nations unies, en procédant à un vote sur le plan «caduc» de règlement du conflit proposé par James Baker. Ce jour-là, le Maroc a remporté une victoire diplomatique sur l'Algérie.
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La Roumanie pour le projet d'autonomie au Sahara
Le projet d'autonomie des provinces du sud du Maroc, proposé par le Royaume, est "un espoir pour la paix dans la région" comme il est de nature à faire avancer le dossier du Sahara, a affirmé mercredi, à Rabat, l'ambassadeur de Roumanie au Maroc, Vasile Popovici.

Dans une déclaration à la presse, à l'issue de ses entretiens avec le président du Conseil Royal consultatif pour les Affaires sahariennes (Corcas), M. Khalihenna Ould Errachid, le diplomate roumain a souligné l'intérêt que porte son pays à la question du Sahara qui "préoccupe" aussi la communauté internationale.

Il a, à ce sujet, rappelé la position de son pays «qui n'a voulu être ni d'un côté ni de l'autre», mais qui reste «certainement à l'écoute des intérêts marocains».
n
20 octobre 2006 10:31
Le Kenya suspend ses relations diplomatiques avec la prétendue "RASD"
Nairobi, 19/10/06 - Le Kenya a suspendu ses relations diplomatiques avec la prétendue "RASD", apprend-on, jeudi soir, de source diplomatique à Nairobi.

Le ministre Kenyan des Affaires étrangères a reçu mercredi le soi-disant ambassadeur de la "RASD" à qui il a notifié la décision de son pays.

[www.map.ma]
n
20 octobre 2006 10:31
Le projet d'autonomie, "un espoir pour la paix dans la région" (ambassadeur de Roumanie)
Rabat, 18/10/06- Le projet d'autonomie des provinces du sud du Maroc, proposé par le Royaume, est "un espoir pour la paix dans la région" comme il est de nature à faire avancer le dossier du Sahara, a affirmé mercredi, à Rabat, l'ambassadeur de Roumanie au Maroc, M. Vasile Popovici.

Dans une déclaration à la presse, à l'issue de ses entretiens avec le Président du Conseil Royal Consultatif pour les Affaires Sahariennes (Corcas), M. Khalihenna Ould Errachid, le diplomate roumain a souligné l'intérêt que porte son pays à la question du Sahara qui "préoccupe" aussi la communauté internationale.

Il a, à ce sujet, rappelé la position de son pays "qui n'a voulu être ni d'un côté ni de l'autre", mais qui reste "certainement à l'écoute des intérêts marocains".

L'entrevue s'est déroulée en présence de membres du CORCAS et de proches collaborateurs de l'ambassadeur.

[www.map.ma]
D
20 octobre 2006 12:17
Salam,

En meme temps, ils sont en train de comprendre qu'il n'y a rien à tirer du polisario, et qu'il n'y a aucune perspective de bénéfices en les soutenant, bref l'histoire du polisario n'a été qu'un vulgaire mirage.
[hr] [b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color] [color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
t
20 octobre 2006 14:32
la fin du polisario s´ approche, inchaalah.
t
20 octobre 2006 15:20
Retraits, gel et suspensions des reconnaissances de la "Rasd", la cascade continue

-(Par Abdelkrim El Mouss)-. Rabat, 20/10/06- En juin 2005, il y a un peu plus d'une année, le Kenya reconnaissait la "rasd". En Algérie, la nouvelle a été fêtée comme un événement de taille servi par un jet médiatique outrancier, célébrant les performances de la diplomatie algérienne, et bien entendu, tirant à boulets rouges sur le voisin marocain accablé de tous les maux, deux axes classiques de ce jet médiatique que les auteurs et commanditaires ne peuvent concevoir l'un sans l'autre.

Aujourd'hui que le Kenya annonce officiellement avoir suspendu cette reconnaissance, se rangeant ainsi du côté de la légalité internationale, la logique veut que l'Algérie reconnaisse ce cinglant revers de sa diplomatie, et qu'elle se résolve enfin, à comprendre que le château de reconnaissance de la "rasd" qu'elle s'était résolue à construire à la faveur d'une conjoncture donnée, à coups d'argumentaire spécieux, de pétrodollars surtout, n'était bâti que de cartes, qui s'écroulent en ces temps-ci lamentablement l'une après l'autre.

Mieux encore, le haut responsable algérien qui, il y a encore quelques mois, s'enorgueillissait devant "l'organisation nationale des Moujahidines" réunie à Alger, de ce que les efforts de l'Algérie, entendre pour contrer le voisin marocain, aient récolté "soixante quatorze reconnaissances en faveur de la +rasd+", doit à présent prendre son courage à deux mains pour se déjuger.

A lui de faire le compte, un compte qui n'y est plus, balayé par une cascade de retraits, de gel et de suspensions desdites reconnaissances.

Et puisque sous certains cieux, dire la vérité ne paie pas politiquement, rien de tel ne se fera, et l'Algérie restera prisonnière de ces chiffres, les siens, alors qu'en la matière, le cursus a changé de lieu.

La diplomatie algérienne ne nous dira pas non plus la vérité sur la manière qui lui a permis de réaliser une telle "performance".

Pourtant, le procédé utilisé saute aux yeux par sa simplicité. Il a pour nom, le raccourci politique.

De fait, la diplomatie algérienne cible sa proie, une proie facile donc docile. Tend l'embuscade, et par braquage à main armée de pétrodollars, frappe à bout partout.

Dans ce scénario dont on a trop longtemps usé et abusé, on a toujours oublié ce qui ne doit jamais l'être, à savoir que la roue de l'histoire est faite pour aller de l'avant, pas en travers, jamais en arrière. On a surtout oublié, que l'échiquier politique international, n'est pas un engrenage que l'on peut, au gré des circonstances, régler et dérégler par un simple tournevis, à fortiori quand la marchandise soumise à vente est abîmée, et que sa traçabilité est viciée de la cave au grenier.

Les principes universels et la morale politique ont fini par brouiller le son des tambours de la désunion, de la querelle pour la querelle, des calculs établis au seul prorata des intérêts nationaux dans toute leur étroitesse.

L'heure est à la sérénité.

A l'analyse, on s'aperçoit bien que de ce point de vue, l'Algérie ne s'inscrit manifestement pas sur la carte mondiale de la sérénité, et que son aéronef diplomatique plane toujours au dessus du terrain vague de cette carte, dans un trou d'air qui semble illimité.
t
24 octobre 2006 09:41
Le Maroc salue la décision du Kenya de suspendre ses relations diplomatiques avec la pseudo "RASD"

Rabat, 22/10/06 - Le Gouvernement de SM le Roi "a accueilli avec satisfaction la récente décision de la République du Kenya de suspendre ses relations diplomatiques avec la pseudo +RASD+ après les avoir établies l'année écoulée", indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, parvenu dimanche à la MAP.

Le Maroc "salue cette décision qui procède de l'attachement du Kenya à la légalité internationale et à son souci de ne point préjuger de la solution de ce différend régional", poursuit le texte.

"Avec cette décision, le Kenya se rallie aux nombreux pays qui ont reconsidéré leur position sur cette question, en optant pour une démarche sage, crédible et positive", précise le communiqué.

"Par cette décision que le Royaume du Maroc apprécie à sa juste valeur, la République du Kenya apporte un appui ferme au processus onusien de règlement de ce différend", conclut le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération.
t
25 octobre 2006 10:16
La Grande-Bretagne soutient une solution politique, négociée et acceptable par toutes les parties

Londres, 24/10/06 - M. Kim Howells, ministre au Foreign Office chargé du Moyen-Orient et de l'Afrique du nord, a affirmé mardi que son pays soutient une solution politique négociée et acceptable par toutes les parties de la question du Sahara.

Prenant la parole lors d'un débat tenu à la chambre des Communes (chambre basse du parlement britannique) sur la question, M. Kim Howells a affirmé que son pays n'a jamais changé sa position concernant cette question, contrairement aux informations rapportées par certains organes de presse.

"Le Royaume-Uni soutient le Conseil de Sécurité et le Secrétaire général de l'Onu dans leurs efforts visant à aider les différentes parties à surmonter l'impasse et à avancer vers une solution négociée à ce conflit régional", a ajouté le responsable britannique, soulignant que l'Onu avait confirmé l'inapplicabilité du plan de paix de 1991.

M. Kim Howells a, d'autre part, tenu à souligner que son gouvernement "est en contact étroit avec le Maroc au sujet du projet d'autonomie que le Royaume compte présenter pour régler la question".

"Dans le cadre de ses efforts visant à finaliser ce projet, de larges consultations démocratiques sont déjà en cours au Maroc, avec la participation des représentants de la population marocaine", a poursuivi le ministre britannique, rappelant les entretiens qu'il a eus la semaine dernière à Londres avec une délégation marocaine comprenant MM. Mohand Laenser, ministre de l'Agriculture, du Développement rural et des Pêches maritimes, et Taieb Fassi Fihri, ministre délégué aux Affaires étrangères et à la coopération.

M. Kim Howells a, par ailleurs, réfuté les allégations de violations des droits humains, notamment dans les provinces du sud, relevant que le Secrétaire général de l'Onu n'a fait aucune mention, dans son dernier rapport, d'éventuelles violations des droits humains par le Maroc.

Le Maroc, pays signataires de toutes les principales conventions internationales, a fait des pas importants vers la consolidation des droits de l'homme, a-t-il affirmé lors de ce débat, tenu au Westrminster Hall du parlement britannique dans le cadre du "adjournment debate" en présence de l'ambassadeur du Maroc en Grande-Bretagne, M. Mohamed Belmahi.

Le débat, tenu à la demande des députés, David Drew et Jeremy Corbyne, s'est ainsi soldé par un échec palpable des adversaires de l'intégrité territoriale du Maroc, sortis bredouilles de cette rencontre.

Certains sympathisants des thèses séparatistes ont qualifié le débat de "pathétique", allant même jusqu'à protester auprès de M. Kim Howells à sa sortie de la salle des débats.

"Les points soulevés lors des discussions par les sympathisants du polisario sont dénués de toute substance", a confié à MAP-Londres, M. Dereck Conway, membre de la chambre des Communes, relevant que Kim howells a clairement indiqué que la Grande-Bretagne, qui n'a jamais changé de position concernant la question du Sahara, se félicite des efforts entrepris par le Maroc vers le règlement du problème à travers la présentation d'un projet d'autonomie élargie pour la région.

Mettant à l'index les adversaires du Maroc, soutenus, a-t-il dit, par le gouvernement algérien, M. Conway a souligné qu'"il s'agit des mêmes vieux arguments véhiculés par des gens qui se sentent dérangés par les progrès que le Maroc ne cesse de réaliser sous le leadership de SM le Roi Mohammed VI".
"Les arguments de ces personnes nostalgiques de la guerre froide n'impressionneront guerre aucun membre du parlement britannique", a encore dit M. Conway.
t
25 octobre 2006 12:18
Sahara: Madrid appuie des négociations en vue d'une "solution politique mutuellement acceptable"

Madrid, 25/10/06 - Le ministre espagnol des Affaires étrangères, M. Miguel Angel Moratinos, a souligné mardi la "nécessité" d'engager des négociations entre les parties en conflit pour trouver une "solution politique mutuellement acceptable" pour le problème du Sahara.

L'actuel gouvernement espagnol "a tenté, tente et tentera d'impulser la recherche d'une solution définitive au problème du Sahara qui soit juste, politique et mutuellement acceptable" par les parties en conflit, a dit M.Moratinos devant le Congrès des députés (chambre basse du parlement).

Il est nécessaire que "les parties aient la volonté de négocier et trouver une solution dans le cadre des Nations Unies et conforme aux principes et résolutions des Nations Unies", a ajouté le chef de la diplomatie espagnole.

La "solution politique" à laquelle parviendront les parties obtiendra "sûrement" un consensus à New York, a dit le ministre qui a relevé l'importance de "trouver un cadre pour impulser cette solution".
t
25 octobre 2006 14:12
Alger : Les déboires d’une diplomatie malveillante


En dépit de quelques dollars de plus provenant de la manne pétrolière, la diplomatie algérienne essuie de plus en plus de déboires.

Ayant longtemps fait du Maroc la cible de ses actions extérieures, via la question du Sahara, Alger ne pouvait longtemps tromper la communauté internationale sur ses véritables intentions. A la fin de la guerre froide, l’on commence à s’interroger sur son rôle, sa place et son degré d’implication dans l’un des plus anciens conflits du continent noir.

Plus de trente ans après, son discours sur sa neutralité, qui a longtemps nourri sa thèse, est vertement mis à nu. Un pays neutre qui dépêche des missions pour contrecarrer la thèse marocaine, distribue des «cadeaux» à quelques légers dirigeants africains, mène des campagnes pour le vote en faveur de rapports hostiles au Maroc, corrompt une nomenklatura avec les deniers du contribuable algérien et militarise sa région sud-est en troquant généreusement sa camelote contre des armes acquises notamment de Russie. Voilà du reste le comportement d’une «très neutre» partie.

Et pourtant, sa longue liste d’amis autrefois, commence à être dégarnie. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : pour la seule année 2005, 19 pays ont retiré leur reconnaissance de la pseudo "rasd" et sur près de 50 Etats africains qui devront voter le rapport de la 4ème commission de l'Assemblée générale de l'ONU, pas plus de 18 Etats ont soutenu l'Algérie. D’ailleurs, la suspension du Kenya de sa reconnaissance de la pseudo-rasd n’est qu’une étape sur la voie de rétablissement de la vérité dans un continent longtemps acquis aux allégations algériennes.

Il est judicieux de dire, d’ailleurs, que les premiers succès de la diplomatie algérienne en la matière, étaient imputés surtout à l’absence d’une stratégique diplomatique marocaine et à la faiblesse de ses actions, plutôt qu'à la force de conviction algérienne. Combien de personnalités influentes du voisin de l’Est se sont-elles repenties et ont-elles redécouvert la réalité avec d’autres lorgnettes que celles de la guerre froide ? Combien d’acteurs politiques algériens ont-ils délaissé la «sagesse» de la nécessité de créer un ennemi extérieur pour prendre en otage un peuple sous le joug du parti unique ?

Il est inutile de s’interroger, à la veille de 2007, sur les véritables raisons qui poussent les décideurs d’Alger à poursuivre leur politique hostile à l’intégrité territoriale marocaine. Alors que les pays du monde s’évertuent à se regrouper pour relever les challenges des mutations internationales survenues aux différents niveaux, Alger caresse encore cette obsolète idée d’hégémonie régionale ! Il est clair que dans son carnet d’alliance, la présidence veut démontrer qu’elle pourrait jouer le même rôle que celui de l’Afrique du Sud dans sa région et occuper la même place que s’ingénie à avoir le Nigeria au coeur de l'Afrique. Une alliance hégémonique qui veut faire fi du temps, des changements et de la réalité aussi.

Résultat : davantage de revers. Il n’y a pas plus éloquent en la matière que l'anecdote de Bujumbura. Avant que l’envoyé de la présidentielle à la capitale du Burundi n’ait le temps d’arriver chez lui à Alger, les autorités de ce pays s’étaient déjà déclarées pour le retrait de leur reconnaissance du polisario.

Nouri zyad
t
26 octobre 2006 10:44
Mais où est Mr Peace-and-love smiling smiley?
t
31 octobre 2006 09:10
le Paraguay respecte l´ integrité teritorial du Royaume du Maroc.




La proposition de l'autonomie, "la meilleure solution pour le règlement du conflit du Sahara"

Rabat, 30/10/06 - Le premier vice-président de la chambre des députés paraguayenne, M. Carlos Nelson Chavez, a affirmé que le projet d'autonomie proposé par le Maroc pour le règlement de la question du Sahara constitue "la meilleure solution à mettre en oeuvre pour le règlement de ce conflit ".

Le responsable paraguayen a précisé, dans une déclaration à la presse à l'issue des entretiens qu'il a eus, lundi, avec les présidents des Chambres des représentants et des conseillers, MM. Abdelouahed Radi et Mustapha Ocacha, que la visite au Maroc d'une délégation parlementaire paraguayenne vise à favoriser un échange d'informations et à prendre connaissance des derniers développements de la question du Sahara.

M. Chavez a ajouté que sa visite au Maroc a également pour objectif de renforcer les relations de coopération et les contacts entre les institutions législatives des deux pays, soulignant sa détermination à oeuvrer pour la consolidation des rapports entre le Maroc et le Paraguay dans l'intérêt commun des deux pays, de la paix, du développement et de la coopération internationale.

M. Radi a, de son côté, affirmé, dans une déclaration à la MAP, que ses entretiens avec la délégation parlementaire paraguayenne ont porté sur les questions bilatérales et internationales d'intérêt commun ainsi que sur les divers aspects de coopération entre les deux institutions parlementaires.

Le président de la Chambre des représentants a ajouté qu'il a informé la délégation paraguayenne de la genèse du conflit artificiel autour de la question de l'intégrité territoriale du Maroc et sur les man uvres ourdies, depuis plus de trente ans, par ses ennemis dans le but de faire durer le conflit, affirmant la disposition du Royaume à oeuvrer pour la résolution de ce problème dans le respect de sa souveraineté sur ses provinces du sud et de son intégrité territoriale.

M. Radi a également expliqué les fondements de la politique étrangère du Maroc qui reposent sur la défense de la paix et de la légalité internationales, la résolution des conflits et des différends internationaux par le dialogue. Il a rappelé à cet égard la volonté du Maroc d'établir des relations solides et multiformes avec les pays d'Amérique latine dans l'intérêt commun des deux parties et par fidélité à l'héritage historique et culturel commun ibéro-méditerranéen.

Il a par ailleurs passé en revue les grands chantiers politiques, économiques et sociaux lancés par le Maroc et exposé les principaux fondements du régime parlementaire marocain et le rôle dévolu à l'organe législatif dans la vie politique du pays.

Le premier vice-président de la chambre des députés paraguayenne a également eu des entretiens similaires avec le président du Conseil royal consultatif pour les affaires sahariennes (CORCAS), M. Khalihenna Ould Errachid, en présence du secrétaire général du Conseil, M. Maouelainin Ben Khelli henna et de plusieurs personnalités sahraouies.

Il a indiqué à cette occasion que le projet d'autonomie proposé par le Maroc pour le règlement du conflit du Sahara revêt une grande valeur. " Ce projet est en mesure de mettre fin définitivement à ce probléme, ce qui permettra à la région de s'atteler à l'oeuvre de développement économique, comme cela est le cas en Espagne et au Paraguay" où le processus de décentralisation est avancé.

M. Chavez a ajouté que les données fournies par le CORCAS seront transmises au parlement et aux responsables paraguayens qui ne disposent pas d'assez d'informations sur l'évolution de la question du Sahara. Le Paraguay avait, en juillet 2000, retiré sa reconnaissance de la soi-disant " RASD ", rappelle-t-on.
z
31 octobre 2006 10:16
Il est au Paraguay en mission "catastrophe" smiling smiley

Citation
telev a écrit:
Mais où est Mr Peace-and-love smiling smiley?
31 octobre 2006 11:11
Citation
zaki7 a écrit:
Il est au Paraguay en mission "catastrophe" smiling smiley

Citation
telev a écrit:
Mais où est Mr Peace-and-love smiling smiley?


Avec des "gazodollars" (puants) plein les poches ? evil
"Avec un H majuscule"
t
3 novembre 2006 08:45
Sahara : le président du Bundestag pour un compromis régional


Le président du Bundestag, Chambre basse du Parlement allemand, Robert Lammert, a souligné, hier mercredi à Rabat, le besoin de parvenir à un compromis régional sur la question du Sahara lequel servira de base pour un accord international. «Je pense qu'il ne servira à rien d'adopter des positions dogmatiques à ce stade du processus. A mon sens, il y a un besoin pour un compromis régional, lequel servira de base pour un accord international (au niveau des Nations Unies, ndlr)" pour aboutir à un règlement du conflit du Sahara», a précisé M. Lammert dans une déclaration à la presse à l'issue d'un entretien avec Driss Jettou.
Il a ajouté que «l'Allemagne est disposée à appuyer dans la mesure du possible» toute approche pouvant aboutir à une solution de ce conflit.

Le 2-11-2006
t
3 novembre 2006 14:38
Citation
Hamid a écrit:
Citation
zaki7 a écrit:
Il est au Paraguay en mission "catastrophe" smiling smiley

Citation
telev a écrit:
Mais où est Mr Peace-and-love smiling smiley?


Avec des "gazodollars" (puants) plein les poches ? evil

je crois qu´ il a changé de nickname smiling smiley)
l
3 novembre 2006 17:39
Salut telev, ça va? ty es actif en ce moment, c'est les mauvaise nouvelles du coté de l'ONU qui te mettent dans cet état? LOL

Sinon, je me demande combien le roi à donné au Kenya pourqu'elle change d'avis aussi rapidement? winking smiley
Il faut dire que le makhzen est un "expert" en la matière, il essaye même de faire son marché auprès des diplomates onusiens, sans gêne ni honte.
Mais j'avoue qu'il a une approche originale, il tatonne le terain avec une centaine de flacons de parfum. spinning smiley sticking its tongue out
L'ex ambassadeur français et le diplomate auprès de l'onu à toujours son appart au Maroc où il a vendu? Zaki doit savoir lol
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