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Des juifs ont ils tué un marocain dans le canal de st denis ?
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4 avril 2010 13:21
4 personnes ont été déférées au parquet après la découverte dans un canal du corps du vigile d'un magasin de Bobigny
Le vigile d'un magasin de Bobigny, porté disparu mardi soir, avait été retrouvé mort mercredi dans un canal parisien.
La piste raciste ou antisémite n'était pas privilégiée, selon une source proche de l'enquête. Les suspects auraient invoqués des insultes antisémites pour expliquer le drame.
Le vigile était un homme de 36 ans d'origine marocaine, habitant Saint-Denis. Il travaillait depuis un an et demi ou deux ans pour une société de sécurité employée par le magasin de bricolage où il officiait, selon son frère. Il était marié et avait des enfants qui vivaient à Dijon, selon ces proches.

Les faits
Mardi, vers 19H30, un jeune homme s'est présenté dans un magasin de bricolage qui était en train de fermer, se heurtant au refus du vigile qui l'a empêché d'entrer. Il est revenu avec des proches. Une altercation aurait ensuite eu lieu, avec des insultes et des échanges de coups.

Voulant échapper à ses agresseurs, le vigile se serait jeté dans le canal de l'Ourcq, qui passe derrière le magasin, a d'abord indiqué une source policière au tout début de l'enquête. Mais dans l'après-midi, les enquêteurs cherchaient à déterminer s'il avait été, ou non, poussé dans le canal, ce que laissent entendre des proches.

Les gardés à vue assurent de leur côté qu'on ne les a pas laissé entrer dans le magasin parce qu'ils sont juifs et affirment avoir été victimes d'insultes à caractère antisémite, a-t-on appris de source judiciaire, ce que nient des témoins. Les suspects ne reconnaissent ni avoir porté des coups à la victime ni l'avoir poussée dans le canal.

Un employé du magasin, ayant requis l'anonymat et qui dit avoir été présent au moment des faits mardi soir, a affirmé avoir "vu des coups" et "entendu beaucoup d'insultes, mais pas d'insultes racistes". Il a affirmé que le vigile avait réussi à asperger les agresseurs avec sa bombe lacrymogène et a insisté sur la violence de l'agression.

"Pour moi, c'est juste un groupe de voyous qui s'est attaqué à une personne sans problème; ça aurait pu être moi ou n'importe qui", a-t-il dit. "ça arrive souvent dans ce magasin de voir des clients excités", a poursuivi l'employé, précisant que le magasin avait été victime d'un vol il y a environ un mois.


source [info.france2.fr]


Mort d'un vigile à Bobigny :
les circonstances se précisent

Après avoir auditionné les quatre personnes soupçonnées d'être impliquées dans la mort du vigile d'un magasin, retrouvé dans le canal de l'Ourcq, la procureure de Bobigny requiert leur mise en examen.

Après les auditions et le défèrement devant le magistrat du parquet de Bobigny, de quatre hommes, âgés de 19 à 27 ans et de plusieurs témoins, les circonstances de la mort du vigile du magasin Batkor, dont le corps a été retrouvé dans le canal de l'Ourcq, en Seine-Saint-Denis, le 1er avril, sont plus claires.

Alors que le maître-chien de la société Isis protection refermait la grille du parking du magasin, il est interpellé par un homme et sa compagne, désireux de faire un ultime achat. Le vigile refuse de rouvrir le portail, il est 19h30. Selon la version du client, le vigile, lors de cette première algarade, lui aurait dit, alors qu'il insistait pour entrer dans le magasin : «J'ai pas trois minutes pour ta race». Aucun témoin ne déclare avoir entendu d'injures à caractère antisémite.

Des traces d'ecchymose

Des coups sont ensuite échangés. Le client n'ayant pas eu le dessus, il appelle ses frères à l'aide d'un portable. Quatre hommes arrivent dans une Renault Mégane. Ensemble, ils s'attaquent au vigile qui lâche son chien sur ses agresseurs. Acculée contre la porte du magasin, la victime utilise une bombe de gaz lacrimogène pour faire fuir ses assaillants. Le client se dirige alors vers son propre véhicule, ouvre le coffre et s'arme d'un cric. Après avoir essuyé des coups de cric, le vigile prend la fuite le long du canal de l'Ourcq poursuivis par ses agresseurs qui ll'insultent. La victime, se rendant compte qu'il ne peut échapper à ses agresseurs, retire son blouson, se déleste de sa bombe lacrimogène et se jette à l'eau. Son corps a été retrouvé dans l'eau le lendemain après-midi. L'autopsie a permis d'établir que le vigile était mort par noyade. «Des traces d'ecchymose ont été constatées au niveau du menton, du dos et des épaules», d'après des sources judiciaires.

Le parquet de Bobigny a requis la mise en examen des quatre hommes pour «violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner, avec usage ou menace d'une arme»et demandé leur placement en détention provisoire. Aucun enregistrement vidéo de l'altercation n'est exploitable car les caméras de surveillance du magasin n'étaient pas branchées.

Source [www.lefigaro.fr]


Des caméras surveillance qui ne sont pas branchées c'est quand même bizarre...

Un homme qui en appelle 4 autres en "renfort" alors que c'est lui qui agresse c'est douteux quant à ses réelles intentions.

Un homme qui se jette à l'eau pour fuir la violence je suppose qu'à la base il doit quand même savoir nager, surtout qu'il a eu le réflexe de retirer son blouson...

Dans un autre article j'ai lu que les suspects avaient affirmé avoir vu le vigile "se débattre dans l'eau"...On appelle ça de la Non assistance à personne en dangerangry smiley

Pourquoi donc avec tous ces éléments on nous balance une accusation de "violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner, avec usage ou menace d'une arme".??? eye popping smiley

Trop d'incohérences dans cette histoire...et le plus étrange c'est qu'on a un silence radio sur les agresseurs...à part leur âge on ne sait rien,personne n'a précisé s'ils avaient un passé judiciaire ou pas alors que pour le vigile on n'a pas manqué de dire qu'il n'en avait pas.thumbs down
l
6 avril 2010 11:41
Honnettement tu t'attendais à quoi?

bien sur qu'il c'est jeté tout seul dans le canal il avait que 3 enfants rien à perdre.( bien évidemment c'est irronique)
ça aurais été des jeunes musulmans la chanson n'aurait pas été la même et vous pouvez dire encore arrêter de victimisier mais il faut arreter un peu et ouvrir vos yeux brefffff

je préfère m'arrêter là car ce que j'ai envie de dire va forcément être retiré.
6 avril 2010 13:17
ça me dégoute cette histoire!!!il aurait dû enlever la muselière de son chien!!! c tellement triste!!!!!crying(crying(
c vrai que pour l'histoire d'ilan cela n' a pas été la même musique!!!!bref ALLAH y rahmo!!!!!!!! sad smiley
S
6 avril 2010 13:17
Il est évident qu'il y a deux poids deux mesures, si la victime avait été juive et les agresseurs musulmans, la presse écrite et médiatique, les intellectuels, les politiques en aurait fait tout un flanc et sarko se serait déplacé...

Mais force est de constater qu'en france les musulmans peuvent être des cibles vivante et ont peut les tuer sans aucun problème.
S
6 avril 2010 13:30
j'entends des gens dire ici ou là que cette affaire ne doit en aucun cas prendre des dimensions politiques, ethniques ou religieuses. Moi je me permet de leur dire que pour éviter que cela rentre dans ce genre de considération il faut impérativement que la justice française soit précise dans son enquête et surtout qu'elle agisse sans aucune complaisances envers les coupables. Ces gens ne sont que de minables agresseurs et doivent être condamnés à hauteur de leur violence gratuite, qui a entrainée la mort de ce monsieur qui ne faisait que le travail pour lequel il était payé.

Aujourd'hui ont pense que ce sont des juifs qui ont agresser et tuer "Saïd" et c'est à la justice française de confirmer ou infirmer cette information et de nous dire rapidement dans quel circonstance il à trouver la mort...
S
7 avril 2010 06:56
Le corps d’un vigile repêché après une altercation à Bobigny

Par MARWAN CHAHINE

Un homme de 36 ans a été retrouvé mort, hier, dans le canal de l’Ourcq. Ce maître-chien travaillant pour un magasin de bricolage à Bobigny (Seine-Saint-Denis) était porté disparu depuis la veille. Mardi, vers 19 h 20, une altercation l’avait opposé à cinq clients qui souhaitaient entrer malgré la fermeture du magasin. De source policière, ces derniers s’en seraient violemment pris au véhicule du vigile dans lequel se trouvait le chien. Ensuite, des insultes et des coups auraient été échangés avant que le vigile ne se retrouve dans le canal, vraisemblablement poussé par ses agresseurs, à 200 mètres du magasin. Contrairement à ce qui avait été affirmé dans un premier temps par une source judiciaire, des témoins démentent que les insultes portaient un caractère raciste ou antisémite. L’alerte a été donnée aussitôt et six personnes âgées de 19 à 27 ans ont été rapidement interpellées et placées en garde à vue.

Selon la police, elles auraient été identifiées grâce à un passeport israélien retrouvé dans une voiture abandonnée près des lieux. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Paris.

[www.liberation.fr]
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