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gemia a écrit:
Alors pourquoi faire des enfants si on ne pense pas à leur laisser une place?
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118218 a écrit:
En même temps beaucoup d'employeurs ne trouvent pas de salariés.
Les jeunes veulent gagner du blé en ayant le cul posé toute la journée. C'est un leurre. La France manque d'ouvriers spécialisés dans le bâtiment, de pâtissiers, de soudeurs, des bouchers, de chaudronniers, de peintres, d'artisans, des commerciaux et j'en passe.
Je ne dis pas que tout le monde peut trouver un emploi, mais je pense que les candidats d'aujourd'hui ont un niveau très médiocre.
J'ai eu 2 stagiaires je les ai supporter dix jours pas plus et Dieu sait que je suis hyper hyper tranquille au travail. Ces 2 stagiaires pouvaient réellement avoir un avenir dans notre société.
On avait besoin d'une comptable donc on a laissé une école nous envoyé une stagiaire payée le SMIC un an puis CDI et salaire en conséquence. Franchement, elle était aussi médiocre que moi en comptabilité. Par contre pour répondre aux textos elle avait du doigtée.
A présent on a décidé de ne prendre que des gens qui ont 10 ans d'expérience. Les sans cervelles bouffent trop d'énergie.
Même si le travail manque, je pense qu'il reste encore pas mal de travail à qui veut s'en donner la peine.
La jeunesse se sacrifie toute seule. Encore aujourd'hui j'ai appris qu'une jeunette du coin, et que je connais, se lance dans des études d'histoire. Autrement dit future branleuse. C'est tellement bouché que je me demande si les jeunes réfléchissent un peu avant de choisir un métier.
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118218 a écrit:
En même temps beaucoup d'employeurs ne trouvent pas de salariés.
Les jeunes veulent gagner du blé en ayant le cul posé toute la journée. C'est un leurre. La France manque d'ouvriers spécialisés dans le bâtiment, de pâtissiers, de soudeurs, des bouchers, de chaudronniers, de peintres, d'artisans, des commerciaux et j'en passe.
Je ne dis pas que tout le monde peut trouver un emploi, mais je pense que les candidats d'aujourd'hui ont un niveau très médiocre.
J'ai eu 2 stagiaires je les ai supporter dix jours pas plus et Dieu sait que je suis hyper hyper tranquille au travail. Ces 2 stagiaires pouvaient réellement avoir un avenir dans notre société.
On avait besoin d'une comptable donc on a laissé une école nous envoyé une stagiaire payée le SMIC un an puis CDI et salaire en conséquence. Franchement, elle était aussi médiocre que moi en comptabilité. Par contre pour répondre aux textos elle avait du doigtée.
A présent on a décidé de ne prendre que des gens qui ont 10 ans d'expérience. Les sans cervelles bouffent trop d'énergie.
Même si le travail manque, je pense qu'il reste encore pas mal de travail à qui veut s'en donner la peine.
La jeunesse se sacrifie toute seule. Encore aujourd'hui j'ai appris qu'une jeunette du coin, et que je connais, se lance dans des études d'histoire. Autrement dit future branleuse. C'est tellement bouché que je me demande si les jeunes réfléchissent un peu avant de choisir un métier.
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louise a écrit:
Avant 25/30 ans pas assez d'expérience, après 35/40 ans trop vieux pour travailler....au final, si on a pas la chance de trouver un bon poste entre 30 et 35 ans et de le garder ensuite, on est d'office sacrifié sur le marché du travail actuel...il n'y a que ceux qui sont partis à la retraite ou qui vont partir avant la réforme qui échappent au sacrifice...
Concernant plus particulièrement les jeunes, je pense que les profs ne les aident pas à se confronter aux réalités du travail. Après des années de travail et un licenciement, j'ai fait une VAE suivie d'une année d'étude. J'ai pu constaté que certains profs (heureusement pas tous) avaient tendance à trop valoriser les étudiants en leur faisant croire qu'avec leur bac + 5 ils savaient tout et qu'ils étaient les meilleurs....d'où la désillusion lorsque ces étudiants retombent de leur nuage universitaire en découvrant les réalités du monde professionnel.
Le pire c'est qu'il n'y a pas que les profs de fac. Je suis tutrice d'une étudiante en contrat de professionnalisation (BTS professionnel). Lorsqu'après ces 3 premiers mois dans l'entreprise, je lui ai mis des notes entre 7 et 8 sur 10 (estimant que c'était déjà bien noté par rapport aux compétences et savoir être demandé par sa mission de travail ), sa professeur a trouvé que j'avais noté de façon trop dure et que ça en l'encouragerait pas....bref après 3 mois de travail, sa prof s'imaginait que l'étudiante n'avait plus rien à apprendre et méritait un 9 ou un 10....à côté de la plaque cette prof et bien d'autres.
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