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Abdoulaye06 a écrit:
Oops ! J'avais pas vu que le message était posté dans "Islam & pensées religieuses"...
Donc en gros la question c'est : est-ce que Jeanne était réellement guidée par Dieu ?
A mon avis non... La France était catholique, et même l'Angleterre était encore catholique à cette époque. Quel aurait été l'intérêt de Dieu à prendre parti dans une guerre entre deux pays catholiques ?
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Abdoulaye06 a écrit:
Wa alaykoum salam wa rahmatoullah wa barakatouh,
J'en pense que dès que tu commences à entendre des voix c'est que "c'est cuit" !
Plus sérieusement, Jeanne d'Arc est importante pour l'Histoire de France puisque c'est un signe précurseur de la notion moderne de Nation, qui se construira surtout au XVIIIème siècle, et à travers d'autres étapes comme la Révolution française ou la Commune de Paris.
Avant Jeanne, il n'existait pas de "peuple français" ni de Nation. Les Rois de France ne représentaient que des familles, pas un pays. Une roturière, fille de laboureur, volant au secours du Roi de France, c'est pas commun pour l'époque.
C'est aussi un symbole fort, presque précurseur du féminisme. Une femme combattante, dirigeant des hommes lors des batailles...
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AbderahmanIskandar a écrit:
salam
mdrr vous croyez en l'histoire officielle
jeanne d arc n'était pas une bergère mais une noble...Jamais le roi aurait laissé une paysanne à un tel rôle voir le droit de votes des femmes en fr c'est récent alors à cette époque laisser une gueuse prendre le contrôle double mdrr
[www.lepoint.fr]
Bâtarde royale. Si le roi lui confie une armée, c'est que tous deux ont un secret commun : Jeanne serait en réalité sa demi-sœur, la fille cachée de la reine de France, Isabeau de Bavière, et son supposé amant le duc d'Orléans, frère du roi Charles VI. Elle aurait ainsi été préparée et entraînée par les proches du monarque pour rallier les populations et lancer la reconquête... Pour les historiens, il s'agit d'une fable inventée au début du XIXe siècle par le sous-préfet Caze, féru de littérature, et reprise régulièrement, en contradiction totale avec les faits connus.
Une pauvre bergère. Rien de plus faux : Jeanne est issue de la paysannerie aisée, son père est laboureur, il a été doyen du village (le maire), il possède des terres, une charrue, des animaux, une maison en pierre de quatre pièces et Jeanne dispose de son propre lit, une exception pour l'époque. Il lui est peut-être arrivé de garder le troupeau du village, mais avant ses 7 ans et avec les enfants du bourg, comme le voulait la coutume.
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