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Interrogations concernant la vaccination contre la grippe A/H1N1
a
17 septembre 2009 20:00
Envoyer un mail à tous ces sénateurs [www.senat.fr] avec le texte à copier-coller suivant (+ notre bloc signature) et le titre dans objet : Interrogations concernant la vaccination contre la grippe A/H1N1

Monsieur le Président de la République Française,

Monsieur le Premier Ministre,

Madame La Ministre de la Santé,

Mesdames et messieurs les Sénateurs,

Mesdames et messieurs les Députés,


En raison des éléments contradictoires qui circulent à travers le pays au sujet de la pandémie supposée du virus de la grippe A/H1N1, nous vous demandons instamment de bien vouloir répondre d'urgence aux questions légitimes que se posent les citoyens.


1) Comment justifiez-vous l'ampleur des mesures de sécurité mises en place contre la grippe A, considérant les chiffres et statistiques officiels suivants?

A la date du 12 Septembre 2009 et en trois mois de pandémie de grippe A, le nombre des décès dans le monde est de 3611. Donc 35 êtres humains par jour. Ce qui représente un taux de mortalité (par rapport au nombre de cas avérés) de 0,888%. Notez que la majorité des victimes souffrait déjà de pathologies graves.


En comparaison, chaque année, la grippe saisonnière ordinaire tue entre 250 000 et 500 000 personnes, soit plus de 1000 morts par jour (chiffres officiels de l'OMS). 4443 personnes ont trouvé la mort en 2008, à la suite d'un accident de la route dans la seule France métropolitaine, soit en moyenne 12 par jour.


Si le virus A/H1N1 ne mute pas vers une forme plus active, ce qui semble maintenant le scénario le plus probable, 8,4 millions de personnes mourront au maximum sur Terre des séquelles de cet "avertissement"? Soit 0,122% de la population mondiale. Ceci en tenant compte du dernier taux d'attaque de 14% enregistré en Nouvelle Calédonie.


A titre comparatif, et faute de traitement, 13 millions de personnes meurent chaque année dans le monde de diarrhées, malaria, rougeole, pneumonie et infirmités. 35 600 par jour. Plus d'un mort toutes les 3 secondes! Ces chiffres sont des minimums.

Dans le même temps, 7,3 millions sont victimes de famine (Ce chiffre aussi est un minimum. 75% sont des enfants!) Plus de 20 000 par jour. Un mort toutes les 4 secondes!


Tout confondu : 20,5 millions de morts par an. 56 164 par jour. Deux morts toutes les 3 secondes!


Pourquoi donc mettre tant d'ardeur à sauver -et ce sans certitude de guérison pour la plupart!- ces 8,4 millions de personnes, qui risquent potentiellement de subir les effets secondaires de la grippe A et du vaccin? Et pourquoi ne pas sauver les 20,5 millions d'autres qui, dans l'ignorance collective, meurent de faim et de maladies courantes? Alors qu'il suffirait de réquisitionner 10% des bénéfices des multinationales qui, au passage, redoreraient ainsi leur blason.


2) Pourquoi continuer à propager la peur chez nos concitoyens? Alors que M. Bernard Debré, Professeur de Médecine et Député déclarait le 26 juillet 2009 dans le Journal du Dimanche :

« La grippe A (H1N1) n'est pas dangereuse. On s'est rendu compte qu'elle était peut-être même moins dangereuse que la grippe saisonnière. Alors maintenant, il faut siffler la fin de la partie !» Ce n'est ni la peste, ni le choléra !

« Tout ce que nous faisons ne sert qu'à nous faire peur. [...] Oui cette grippe fuse très vite. Et après ? Un malade en contamine deux ou trois, contre un pour une grippe classique. Mais cela reste une « grippette », ce n'est ni Ebola, ni Marburg. » Plutôt un Big Flop! Cette grippe apporte maintenant la preuve qu'elle est bénigne.


« Sans le dire, les pouvoirs publics ont déjà commencé à réduire la voilure. Les malades, dont on ne vérifie d'ailleurs plus s'ils ont attrapé le A/H1N1 ou un simple rhume de cerveau, sont désormais invités à prendre du paracétamol. »


[...] Les gouvernements « n' avaient pas vraiment d'autre choix que de suivre » après que l'OMS eut, « de façon un peu rapide, commencé à gesticuler, avec des communiqués quotidiens et des conférences de presse à répétition. »


« Bien sûr, ce virus peut muter et devenir virulent. Pour l'instant ce n'est pas l'avis exprimé par la majorité des virologues... Admettons que le pire se produise. Est-on certain que les vaccins commandés seront efficaces ? Non » tranche Bernard Debré qui qualifie d' « erreur économique » le fait d'avoir commandé tous ces millions de doses fermes de vaccin contre un virus qui mute à tout bout de champ.


3) Pourquoi ne pas émettre des réserves sur la question des adjuvants du vaccin, tels que nanoparticules, squalène, mercure, aluminium, formaldéhyde, bêta-propiolactone, polysorbate 80... dont la toxicité a été reconnue par différentes études. Que faites-vous du principe de précaution?

A SUIVRE
a
17 septembre 2009 20:01
SUITE ET FIN

4) Que répondez-vous aux déclarations suivantes ?



"Il n'y a pas de raison de croire que le vaccin soit capable de prévenir ou de diminuer la grippe et ses complications. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu'il ne sert à rien contre un virus aussi instable, mais ils continuent à le vendre tout de même." Dr . Anthony Morris (anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des Etats-Unis) « Vouloir protéger la population mondiale contre une chose aussi inoffensive qu'un rhume ? C'est de la folie ! » Dr Thomas Jefferson, épidémiologiste qui après avoir compilé quarante ans de recherches, conclut que les vaccins antigrippaux sont d'une efficacité très limitée.





5) Pourriez-vous, au regard de ces déclarations (qui ne représentent qu'une infime partie de celles qui ont été publiées dans ce sens) nous justifier la décision de vos experts de suivre les recommandations de l'OMS en matière de « groupes à risques », à savoir les professionnels de santé, les femmes enceintes, les malades chroniques, asthmatiques, diabétiques, obèses, les malades du coeur et des poumons, les enfants etc. Ces groupes ne vont-ils pas servir de cobayes du vaccin et de ses adjuvants?





6) Sachant que les procédures d'autorisation de mise sur le marché seront accélérées et qu'il sera impossible d'évaluer les effets secondaires des produits injectés, comment pouvez-vous prendre le risque de vacciner la population dont vous êtes responsable ? Pourquoi -et pour qui- existe-il deux versions du vaccin, l'une avec adjuvants et l'autre sans ?





7) Comptez-vous vous baser sur les seules affirmations des laboratoires lorsque l'on sait qu'ils sont tenus à d'importants résultats financiers ?





8) Avez-vous l'intention de prévoir des procédures d'indemnisation en cas d'intoxication d'une partie de la population par le vaccin et ses adjuvants nocifs ? Les multinationales pharmaceutiques ont-elles en France l'immunité pénale ?



Nous vous rappelons, sur ce point, l'épisode de la vaccination massive de 46 millions d'Américains contre la grippe porcine en 1976, pour une pandémie qui n'a jamais eu lieu : celle-ci a généré 500 cas de paralysies de type Guillain-Barré et des milliers de plaintes introduites pour dommages à la santé. Ce n'est sans doute pas pour rien si ces milliers de victimes ont réclamé jusqu'à de 3,5 milliards de dollars à l'état en dédommagement du préjudice subi.





9) Comment justifiez-vous la quantité de doses de vaccin commandée par l'Etat aux frais du Trésor Public ? 96 millions de doses attendues pour l'automne, et 45 millions de plus réservées, 140 millions de doses pour 65 millions de Français ? Envisagez-vous de rendre ce vaccin expérimental obligatoire et de faire vacciner deux fois toute la population française ?





10) Refuser de se faire vacciner est un droit. Ne craignez-vous pas que la population applique l'article 35 de la Constitution des droits de l'Homme de 1793 ? Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.





En raison des précédents tels que l'accident de Tchernobyl, la vache folle, l'affaire du sang contaminé, l'intoxication par l'Amiante, pour ne citer qu'eux, nous comprenons votre vigilance, mais, en tant que citoyens responsables, nous vous demandons de clarifier de toute urgence une situation que nous ne pouvons tolérer.





Recevez, Monsieur le Président de la République française, Monsieur le Premier Ministre, Madame la Ministre de la Santé, Mesdames et messieurs les Sénateurs, Mesdames et messieurs les Députés, l'expression de notre profond respect.
 
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