le dérapage des sujets et des avis poussent certains à un manque de respect à tout le monde: le seul moyen, c'est de ne pas répondre et continuer le débat par l'ignorance; c'est la seule leçon que j'ai tiré depuis que je suis sur ces forums amicalement et sans rancune
eh bien mon cher monsieur c un sujet qui me tiens vraiment à cœur, pq pas loin qu’hier j’ai été disons « maltraité » par une personne!!! d'ailleurs dès le premier jour où j’ai découvert ce site et j’ai intervenu, je me suis vu mêlé à des histoires habracadabrantes et les messages d’insultes tombèrent comme la pluie sur ma boite, je suis pas sorti de chez moi durant tout un week-end pour essayer de calmer tout le monde, j’ai passé des heures et des heures au téléphone pour m’expliquer… (la facture était lourde!!!) Mais il faut voir le bon côté des choses, j’ai été mis vite devant la réalité des choses et j connu presque tout le monde en 2 jours, j’ai en outre gardé contact avec des personnes très intéressante et d’autres peu recommandables, d’ailleurs la dernière de ses personnes (les pêu recommandables bien sûr : )) m’a sorti des grossiértés hier et je me suis senti si triste ! ! je le suis toujours. mais bon donc voilà ça fé très mal quand on t’insulte, c pas l’insulte elle même qui fait mal mais c’est le sentiment de déception qui nous saisi à ce moment là, de tristesse aussi, mais pour l’autre car on en arrive là que si on est vraiment malheureux, et la personne qui insulte les autres sans les connaître est forcément une personne qui a de graves troubles liés le plus souvent à un travail de deuil mal accomplit ! ! ! Mais bon un conseil dans ces cas là ne jamais répondre sauf pour dire à la personne que c bien dommage et lui souhaiter une bonne continuation et lui faire un bisou.
idi, tu sais si je suis mechant avec toi bein je le suis et cest ma nature jy peux rien !
Message edité (09-04-04 06:38)
"Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois."
moi je n'ai jamais été insulter dans ce forum, et je ne serais jamais insulter...
vous savez pourquoi ???
j'ai le nom et l'adresse de tous les intervenants de ce site alors celui qui m'insulte, il faudra qu'il fasse attention le matin, avant de "démarrer" sa voiture
"Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois."
salut, moi j'ai été insulté une fois, traitée de raciste si ça m'a atteint ? pas du tout, parce que dans ce forum j'essaie de tirer le meilleur : lire les bonnes idées que certains lancent, et faire des pauses, alors gacher mes pauses ? pas question.
Dominique Lagorgette, chercheuse en linguistique à Chambéry (Savoie). Spécialisée dans l'étude des insultes, elle a organisé, le 14 mars, un congrès international sur ce thème. «Dire une insulte, ce n'est pas forcément insulter, prévient-elle. Et insulter, ce n'est pas forcément dire une insulte.» «Bachi-bouzouk», par exemple, signifie à l'origine «soldat irrégulier de l'ancienne armée ottomane» et n'a donc rien d'une insulte. Mais il le devient dans la bouche du Capitaine Haddock, pour le bonheur des tintinophiles. Bref, «selon le contexte, on peut faire flèche de tout bois», résume Evelyne Larguèche, sociologue au laboratoire d'anthropologie sociale du CNRS. «L'expression de Rumsfeld est de ce point de vue exemplaire. “Vieille Europe”, en soi, ça n'est pas une injure. Mais, dans le contexte, ça le devient.» En fait, l'insulte n'existe que si la cible de l'attaque verbale se sent blessée. A la différence du juron, qui est de l'ordre de l'exclamation solitaire, l'insulte et l'injure ne se conçoivent qu'en présence d'un injurié ou d'un témoin susceptible de rapporter le propos. Cette experte, qui creuse le sujet depuis près de trente ans et insiste sur l'aspect relationnel (Injure et sexualité, PUF), distingue deux types de situation: la «relation symétrique», où les mots «doux» sont adressés à un pair, et la «relation dissymétrique», lorsque l'insulte intervient au sein d'une relation de pouvoir ou d'autorité.
Une stratégie de repli identitaire Dans le premier cas, on trouve ce que Dominique Lagorgette nomme les «insultes de solidarité». Une sorte de parodie qui marque la proximité. Exemple: «T'es c.o.n!» (et toutes ses variantes: grand, vieux, petit, et autres gros) se dit à une personne que l'on connaît sans pour autant l'injurier. Il existe un phénomène de réappropriation. Ainsi, des homosexuels s'affublent entre eux d'un «p.é.dé!» sans que cela soit blessant - petit jeu interdit aux hétéros. Idem pour les jeunes issus de l'immigration qui se traitent entre eux de «blédard» ou de «négro».
En Côte d'Ivoire, un «moins que rien» se verra affublé d'un poétique «diarrhée de phacochère»
Cet usage à contre-courant des mots salés contribue à leur banalisation, jusqu'à faire oublier à leurs utilisateurs leur sens premier. Qui se souvient que le mot «co.n» - «L'insulte la plus courante de France», selon le linguiste Jacques Cellard - renvoie au sexe de la femme? Différence culturelle notable avec les Italiens, lesquels se jettent à la figure un «cazzo» viril, qui signifie à la fois «i.mbé.cile» et «p.én.is». A chaque culture ses insultes. Si les Latins les préfèrent à connotation sexuelle, les Japonais sont très sensibles à l'esthétique. Rien n'est plus offensant pour eux que de s'entendre dire: «Ta mère n'a pas le nombril bien fait.» En Côte d'Ivoire, un «moins que rien» se verra affublé d'un poétique «diarrhée de phacochère». Les insultes francophones, elles, se classent en six catégories: les animaux («blaireau», «morpion»), l'apparence physique («face de c.ul» ou, pour une bouche négroïde, «matelas plié» en Côte d'Ivoire), les traits moraux («feignasse»), les métiers («***»), les noms propres («marie-couche-toi-là») et la scatologie («chiure de moineau», «bouse de vache»).
Ce type d'insultes, plus ludiques que blessantes, varient au gré de la mode. Coluche a ressorti l' «e.nfoiré» du placard de Frédéric Dard. Les Guignols ont eu leur heure de gloire avec «i.spice di co.unasse». Aujourd'hui, dans les cours de récréation, on se lance des: «T'es un coincé du zi.zi sexuel», inspiré de Titeuf, le personnage de BD, ou encore «T'es un Chouchou» - entendez «pé.dé» - du film de Gad Elmaleh. Reste qu' «en.culé», «****» et «****» tiennent encore le haut du pavé dans le palmarès des insultes. «Ni.que ta mè.re» est aussi une nouvelle valeur sûre. Surtout sous sa forme contractée «Ta mère». Traduction littérale d'une injure maghrébine, cette expression, qui ponctue désormais la majorité des phrases des jeunes de banlieue, est loin d'être passée dans le langage familier de M. Tout-le-Monde. L'insulte est donc également un marqueur social. «Les insultes "prolétariennes" renvoient davantage au corps et à ses orifices, souligne Jean-Pierre Goudaillier, professeur de linguistique à Paris V (Comment tu tchatches!, Maisonneuve et Larose). Les classes "bourgeoises", elles, jouent plutôt à fleuret moucheté. C'est toute la différence entre un "Tu m'embêtes" et un "Tu m'emmerdes".»
Pour certains sociologues, comme Dominique Baillet, l'usage de l'insulte entre dans une stratégie de repli identitaire. Chaque cité possède ses propres expressions, mélange de cultures des populations immigrées, d'influences anglo-saxonnes véhiculées par les films ou la musique et de paysage local. A la manière des battles des rappeurs américains issus des ghettos noirs, ils ont érigé la «vanne» en contre-culture et organisent entre eux des sortes de joutes verbales. «Ils se lancent des défis et cherchent à montrer leur dextérité, explique le sociologue. Mais, vu de l'extérieur, cela peut ressembler à de la violence verbale et les jeunes sont stigmatisés par cette culture.» Des rituels plus traditionnels qu'on ne le croit: «On trouve déjà ces joutes chez Rutebeuf, au XIIIe siècle», rappelle Dominique Lagorgette.
Comme au temps de Rutebeuf, il existe des règles et des interdits dans les cités. Animateur sur Skyrock, David Massard, alias Difool, confirme: «On n'hésite pas à s'envoyer des "en.culé" entre nous ou à relancer les auditeurs. Mais cela reste un jeu. En revanche, malgré les apparences, les vannes sur la mère sont interdites.» Exception faite donc du célèbre «Ni.que ta mère», il existe des tabous dont la transgression est la meilleure des insultes. «Au Moyen Age, souligne Jacques Cellard, les Anglais et toute la civilisation arabo-musulmane avaient une injure suprême: "bâ.tard". On retrouve, implicitement, l'allusion à la mère.» Même son de cloche en France avec «fils de ***». L'injure, reflet de la société, mais aussi de nos propres angoisses. «L'insulte nous éclaire sur la personnalité de l'insulteur, qui fait peser sur l'autre la honte qu'il porte en lui, explique Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste. On utilise toujours l'insulte qui serait pour nous la plus intolérable à entendre.»
Très codée, l'injure sert aussi collectivement à contester les ennemis intangibles, l'étranger, l'ordre établi. Pour la verve «fleurie» des cités, David Lepoutre (Cœur de banlieue, Odile Jacob) parle de «contre-légitimité linguistique» en opposition à la «belle langue française, académique et scolaire». Voilà peut-être pourquoi les premiers touchés par les salves d'insultes ne sont autres que ceux qui incarnent l'autorité et la loi: les profs, les magistrats et les flics. La «ni.que» a encore de beaux jours devant elle...
(L'Express) ajouté le 29/03/2003
ps:attention yabiladiens ne dites plus le mot "raid" qui pourra blessé notre chér Moustique qui va se sentir visé car "RAID" c le produit qui tue les insectes Je vs souhaite une excelente journée
nan jamais vu d'insulte envers personne sur ce forum sachant ke pour moi une insulte C P..., C...., B... enfin bref, ya des petites vanes et des sujets ki partent en sucettes ms rien de bien méchant
mdrrr moustike: oui mais les insecticides du bled les moustikes ne peuvent rien y faire koike C aussi nocif pour les Hommes ma grand mère bombe une chambre et met un gros barrage a l'entrée! apres ca t'a pas une poussière ki ose s'aventurer ds la piece!