Je ne sais combien d'entre nous, les yabiladiens, ecoutent ou regardent les seances du forum d'Instance Equité et Réconciliation, mais tout simplement je prie dieu que c'est la derniere fois que ca se passe au Maroc ces choses la. Je n'ai pas pus arreter les larmes quand j'ai vus le temoignage de cette femme, Khadija El Malki, je vous prie d'aller le voir pour comprendre de quoi je parle. je pense que nous devant tous et toutes voir tout ces temoignages, vous pouvez les trouver sur le site MAP, www.map.co.ma/mapara/ara.htm et puis cliquez en haut sur HAYAT AL INSSAF WALMOSAALAHA, juste au milieu en haut de la page. c'est une bonne chose car ce va nous permettre de ne plus vouloir repetter ce que ces pauvres ont vecus. Salut,
Modifié 1 fois. Dernière modification le 06/02/05 10:45 par almotanabi.
Auditions sur les années de plomb: une "opération de marketing", selon Driss Basri MAROC - 10 février 2005 - AFP Les auditions télévisées de victimes des années de plomb (1960-1990) au Maroc sont "une opération de marketing et de publicité", a déclaré jeudi au Figaro l'ex homme fort de l'ancien roi du Maroc Hassan II, Driss Basri. "Il s'agit tout simplement d'une opération de marketing et de publicité", a déclaré Driss Basri, ancien ministre de l'Intérieur (1974-1999), installé à Paris, dans un entretien au quotidien français.
"Elles permettent au gouvernement actuel de masquer une réalité politique et économique dégradée et à certains responsables d'essayer de se laver les mains à bon compte sur le dos de feu Hassan II", a poursuivi Driss Basri.
Driss Basri a nié une nouvelle fois qu'il y ait eu au Maroc "une politique de répression systématique de l'opposition". "Le régime de Hassan II se défendait légitimement contre les menaces de déstabilisation d'origines diverses", a-t-il affirmé.
L'ancien ministre précise par ailleurs qu'il est actuellement sans papiers à Paris. "Mon titre de voyage a expiré en mars 2004 et je me suis adressé au consulat du Maroc à Paris, mais on a refusé de me le renouveler", a-t-il expliqué.
Les auditions publiques de victimes des années de plomb, organisées au Maroc pour tourner la page du passé, ont été critiquées lundi à Rabat par des ONG qui craignent qu'elles ne permettent pas de dévoiler la vérité sur les disparus.
Ces témoignages sont présentés depuis le 21 décembre sous l'égide de l'Instance Equité et réconciliation (IER, publique), dans plusieurs villes du royaume, illustrant les violations graves des droits de l'Homme commises jusqu'en 1999. L'intelligent