Salut tout le monde, le joueur tunsien SANTOS a été controlé a son retour de la tunisie à sochaux,positivement ( un produit dopant). C'est pour cela qu'in n'a pas joué contre l'inter. L'enquete suit son cours.
je ne veux pas lancer de polemik ni de rumeur un peu comme l'on fait certains fennec, mais voila ce que nous pouvons lire dans la presse
Santos écarté provisoirement
Sochaux a décidé de se passer provisoirement de son attaquant Santos en raison de cinq injections de corticoïdes qu'il a reçues durant la CAN 2004. Et le club ne peut pas encore prouver que ce traitement a été administré dans les règles.
L'administration de ces anti-inflammatoires n'est autorisée que par voie locale, avec une justification thérapeutique. «Nous ne sommes pas capables de fournir la moindre justification du traitement. Dès qu'on l'aura, il pourra jouer», a déclaré le président de Sochaux, Jean-Claude Plessis.
Santos a été écarté au dernier moment du groupe qui a affronté l'Inter Milan (2-2) jeudi en Coupe de l'UEFA, officiellement pour une gastro-entérite. Il ne figurait pas non plus dans les 16 retenus pour affronter Bastia dimanche lors de la 26e journée de L1.
C'est avec l'accord de l'attaquant que Sochaux a évoqué cette gastro-entérite après avoir reçu jeudi après-midi des résultats d'examens révélant la trace de corticoïdes dans les urines de Santos. Car, d'un commun accord avec les joueurs, Sochaux avait décidé de faire un bilan de santé des trois finalistes de la CAN - Santos, son compatriote Adel Chedli et le Marocain Jaouad Zaïri - à leur retour d'Afrique mi-février, a-t-il ajouté.
«Dans la foulée, Santos a immédiatement subi un nouveau contrôle et nous avons contacté la Fédération tunisienne pour avoir les détails du traitement qui lui a été administré», a expliqué M. Plessis, qui espère obtenir les justificatifs en début de semaine afin de pouvoir aligner son attaquant lors du 16e de finale retour de Coupe de l'UEFA contre l'Inter Milan mercredi.
Le président de la Fédération tunisienne, Hamouda Ben Ammar, s'est étonné lundi dans la presse de la décision de Sochaux d'écarter son attaquant Santos dans l'attente de justificatifs thérapeutiques estimant qu'il n'avait rien à se reprocher.
Sochaux a annoncé dimanche sa décision de se passer provisoirement de Santos car l'international tunisien a été soigné récemment avec des corticoïdes et le club franc-comtois ne peut pas encore prouver que ce traitement a été dministré dans les règles.
«Après la finale de la CAN, trois joueurs de chaque équipe, tirés au sort, se sont soumis au contrôle antidopage, a rappelé le président de la Fédération tunisienne. Et côté tunisien, Santos faisait partie du lot, il est reparti le lendemain de la finale, rejoindre son club, Sochaux, et par la suite nous sont parvenus les résultats des tests, négatifs pour l'ensemble des joueurs qui s'y sont soumis.»
«Nous ne voulons aucune polémique avec quiconque et notamment Sochaux, car l'avenir et la carrière de Santos priment avant tout autre considération», a-t-il poursuivi.
«J'ai donc contacté personnellement les dirigeants sochaliens pour leur faire part des résultats des tests antidopage subis par Santos après la finale de la CAN, et aussi Santos, qui m'a déclaré être surpris par ce qu'on lui reproche, a indiqué Ben Ammar. Suite à un problème à un tendon, il affirme avoir eu recours à un médicament autorisé qui ne figure en aucun cas dans la liste des produits prohibés.»
Hamed Kammoun, médecin de l'équipe nationale, va envoyer une copie de tout le dossier médical de Santos et les résultats des tests antidopage, selon Ben Ammar.
«Quant à la fameuse molécule incriminée et décriée et qu'on colle à Santos, je peux vous certifier qu'elle ne fait pas partie de la nomenclature des produits que compte la pharmacie de notre football», a-t-il encore indiqué.
Certains journaux tunisiens se sont montrés par ailleurs très critiques lundi envers la direction du club sochalien, comme Le Temps qui, sous le titre «Mauvaise foi», a écrit «Le président de Sochaux n'a jamais digéré que Santos ait rejoint l'équipe nationale» pour la CAN.»
Le Temps a cité également le Dr Hamed Kammoun pour qui la molécule trouvée dans l'analyse du footballeur «ne correspond pas à la nomenclature des corticoïdes existants en Tunisie».
M. Plessis, président du FC Sochaux, affirme que son club a exagéré le cas Santos, qui n'a jamais été en situation d'être contrôlé positif et pourra donc jouer mercredi en Coupe de l'UEFA contre l'Inter Milan.
«Le problème Santos est réglé. Nous l'avons déclaré positif alors qu'il ne l'était pas. Même s'il avait été contrôlé après Strasbourg (match de la 25e journée de L1 remporté par Sochaux 2-0 le 21 février), il n'aurait pas été positif.»
Ce sont en fait des traces de corticostérone et non de corticoïdes qui ont été retrouvées dans ses urines. «Le taux a été amplifié par le stress et la naissance de sa fille à Montbéliard qui est finalement survenue hier (dimanche)», a ajouté M. Plessis.
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