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Infidélité et maladies sexuellement transmissibles
E
25 décembre 2014 20:49
Lien : [archive.sciencewatch.com]

[sante-guerir.notrefamille.com]

Citation. ;

Une étude conduite par le Docteur Keerti Shah (Johns Hopkins University) a porté sur 181 femmes atteintes de cancer du col de l'utérus.

L'étude a été comparative avec 171 femmes non atteintes du cancer du col.

Cette étude révèle que les épouses d'hommes infidèles ont un risque 5 à 11 fois plus grand de développer un cancer du col utérin que les femmes ayant un mari fidèle.

Les femmes mariées à un homme qui a 21 partenaires sexuels différents (ou plus) ont onze fois plus de risque de présenter un cancer du col utérin que celles qui ont un mari fidèle.

Les hommes fréquentant les prostituées augmentent ce risque de cancer du col utérin de leur épouse de 500%.

Cela est dû à la transmission du PAPILLOMAVIRUS qui est en cause.

Comme le souligne le Docteur Shah, l'homme infidèle apporte le virus au foyer conjugal.

L'étude du Docteur Shah laisse penser que peut-être le cancer du col utérin peut être comparé à une maladie sexuellement transmissible (MST - voir ce terme) .
Voir CANCER DU COL DE L'UTERUS VACCINATION

Rédigé et validé par le Dr Gérard Ammerich
Dernière modification le 18/10/2011 09:20:01
 
E
25 décembre 2014 21:14
Complément d'information ;

[m.youtube.com]
25 décembre 2014 23:31
ils me dégoutent ces sheytans d hommes la
27 décembre 2014 08:56
Salam

Un des facteurs de risque majeur cest:
-"Partenaires multiples" (cela augmente le risque d'attraper les papillomaV les plus virulents et potentialise aussi l'effet de chacun d'entre eux.)
L'homme qui a plusieurs partenaires contracte les papillomaV lors de ses ebats et en effet peut les transmettre à sa femme tout comme la femme libertine peut en attraper.

Cependant un homme fidèle mais porteur du type la plus cancérigène peut favoriser un cancer chez sa femme.

l'important n'est pas la vaccination ( qui dans ce cas n'apporte aucun bénéfice), mais plutôt les frottis réguliers (3 ans ou ts les 2 ans): ils permettent de détecter le stade hyperplasique précancer.
 
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