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homosexualité: au maroc on se cache pour s'aimer
4 mars 2014 19:45
Trollman

Citation
a écrit:
paradoxalement, le puritanisme religieux, en empêchant peu ou prou les relations entre garçons et filles, en fabriquant des régiments de frustrés, fait augmenter l'homosexualité.
c'est pour cette raison qu'il y a plus d'homosexuels dans ces pays.

Le faits religieux est dans la plupart des cas uniquement un prétexte pour légitimer le machisme ambiant au Maroc
Nadafa minal imane wal imane minal islam... il est temps de subsidier les panneaux solaires
D
4 mars 2014 20:12
Citation
Mr deltoides a écrit:
Citation
Djemila75 a écrit:
Citation
LeMask a écrit:
Si tu es homo, tout le monde te fout la paix, par contre, va voir les couples non mariés pour voir comment ils galérent les pauvres.

C'est vrai. Mais il faut dire que les homos ne dérangent personne et n'ont aucune incidence sur la société, contrairement aux couples hétéros. Ils ne risquent pas de faire des enfants hors mariage, d'avorter, d'avoir des relations extraconjugales, des enfants dont on n'est pas sûr de qui est le père etc etc. Vouloir éviter que ce genre de comportements se généralise, perso je le comprends. C'est un choix de société.

paradoxalement, le puritanisme religieux, en empêchant peu ou prou les relations entre garçons et filles, en fabriquant des régiments de frustrés, fait augmenter l'homosexualité.
c'est pour cette raison qu'il y a plus d'homosexuels dans ces pays.

Tu veux dire que l'homosexualité est une dérive causée par la frustration ?
5 mars 2014 01:02
Citation
Djemila75 a écrit:
Citation
Mr deltoides a écrit:
Citation
Djemila75 a écrit:
Citation
LeMask a écrit:
Si tu es homo, tout le monde te fout la paix, par contre, va voir les couples non mariés pour voir comment ils galérent les pauvres.

C'est vrai. Mais il faut dire que les homos ne dérangent personne et n'ont aucune incidence sur la société, contrairement aux couples hétéros. Ils ne risquent pas de faire des enfants hors mariage, d'avorter, d'avoir des relations extraconjugales, des enfants dont on n'est pas sûr de qui est le père etc etc. Vouloir éviter que ce genre de comportements se généralise, perso je le comprends. C'est un choix de société.

paradoxalement, le puritanisme religieux, en empêchant peu ou prou les relations entre garçons et filles, en fabriquant des régiments de frustrés, fait augmenter l'homosexualité.
c'est pour cette raison qu'il y a plus d'homosexuels dans ces pays.

Tu veux dire que l'homosexualité est une dérive causée par la frustration ?

L'homosexualité prend ses racines dans l'environnement familial et le contexte psychologique de celui-ci. On ne naît pas homo, on le devient.
M
5 mars 2014 06:00
Citation
Djemila75 a écrit:

Tu veux dire que l'homosexualité est une dérive causée par la frustration ?


non. l'homosexualité, c'est comme l'hétérosexualité. ça te prend quand tu es ado sans que tu puisses y faire quoi que ce soit.
mais tu peux la faire augmenter sensiblement par la promiscuité (prison) et/ou les frustrations (incapacité des jeunes hommes et femmes à se côtoyer, se rencontrer, avoir des relations). faute de grives, on mange des merles.
B
5 mars 2014 10:31
Lettre d'un père moins hypocrite, que la majorité des posteurs:


J'ai tué mon gosse ! me racheter. Et encore...

S'il y a une vie après, je doute qu'il puisse me pardonner.

Maxime aimait les garçons, oui ! Mais, il aimait, et c'est tout Oui,

c'est dur à dire... Je pourrais dire que je ne suis pas fier de moi,

que j'ai honte, que je ne suis pas bien dans ma peau...

Je ne vois qu'une chose à dire ! J'ai mal, affreusement mal !

Je pleure chaque jour depuis l'été dernier, je pleure encore à cet instant

et je continuerais tant que mon corps pourra m'aider à pleurer.

J'ai détruit ce que j'avais de plus précieux, j'ai anéanti ma famille...

J'ai ôté la vie de mon fils à cause de ma connerie, et si je n'avais encore

quelque espoir de retrouver la paix, je serais prêt à aller le rejoindre.

Ce n'est pas encore exclu... Je m'appelle Eddy. J'avais le bonheur d'avoir

une petite famille merveilleuse.

Une femme adorable (qui me hait aujourd'hui !), deux filles délicieuses

et un petit mec... LE fils parfait... Mon garçon faisait beaucoup de sport,

trop peut-être.

À 16 ans, il avait tout ce qu'il fallait pour tomber toutes les

filles du quartier. Je me voyais déjà batailler pour calmer les notes de

téléphone, les scooters devant la maison. J'ai été con, aveugle, le dernier

des imbéciles... Oui, j'ai vu des engins ! Oui, j'ai gueulé parce qu'ils

faisaient un peu de bruit en rentrant...

Je ne voyais que les copains de mon gamin qui

pétaradaient discrètement... Je n'avais pas remarqué qu'ils faisaient

tout, au contraire, pour être discrets, pour ne pas réveiller

la maisonnée...

Je n'avais pas vu, pas fait attention à ce moment,

que mon petit bonhomme

et celui qui le raccompagnait faisaient tout pour faire le moins de

bruit possible... J'étais enfermé dans ma bulle de gros blaireau borné

et je ne me suis pas intéressé à sa vie...

J'ai attendu, comme le père standard, qu'il me parle de ses

copines, qu'il m'émoustille de ses petites histoires... Mais rien !

Mon gamin a eu 17 ans, puis 18, mais jamais de confidences,

jamais de complicité avec son père qui l'adorait...

Jamais, il ne m'a fait partager les instants privilégiés

de sa vie.

Mais c'est ma faute ! Je ne lui ai jamais demandé.

Je n'ai jamais posé la moindre question sauf balancer de temps

à autre une allusion que je découvre

maintenant comme complètement stupide. Pour son bac, en juin,

je voulais lui payer son permis. Il n'a pas voulu.

Il m'a simplement dit qu'il se le paierait avec son job d'été.

Puis un soir de juillet, il faisait terriblement chaud.

Il était près de 2 heures du mat,

je m'en souviens, j'étais dehors à fumer ma clope.

Ma femme nous a toujours interdit à mon gamin et à moi de fumer

dans la maison.

Je sais que mes filles fument, mais c'est en cachette !

Je venais d'écraser mon mégot,

je profitais d'un dernier moment de la douceur du soir.

Les scooters sont arrivés.

J'étais dans le noir mais je ne cherchais pas à espionner.

Mon gosse a garé son scoot

devant la porte de la remise.

Celui qui le suivait a éteint le sien aussitôt.

Je me préparais à aller les trouver, leur proposer une bière,

une cigarette...

Mais j'ai vu ! J'ai vu ce que je n'aurais jamais du voir ! Pas comme ça !

Pourquoi je n'ai pas fait de bruit ! Pourquoi je ne me suis pas manifesté

pour indiquer ma présence !!!

Non ! J'ai fermé ma gueule, je suis resté dans l'ombre et j'ai vu !

Mon bébé, mon petit garçon était en train de se bécoter avec un mec.

Mon fils embrassait un garçon presque sous les fenêtres de ses parents !!!

Et moi, gros connard, je me suis levé de mon siège,

j'ai poussé ma gueulante et j'ai viré l'autre.

J'ai hurlé sur mon gamin, sans même m'apercevoir qu'il pleurait.

Le cendrier est passé à quelques centimètres de sa tête.

Pour gueuler, oh oui, j'ai gueulé...

Je n'ose même pas répéter les mots que j'ai utilisés.

Pédé, tantouse, tapette, tout mon vocabulaire y est passé.

Je n'en avais rien à foutre des voisins. J'ai braillé comme un âne.

Et, pendant tout le temps que je criais sur lui, mon gosse pleurait...

Il a simplement dit « papa, laisse moi t'expliquer... ».

« Y a rien à expliquer, j'ai compris »

C'est tout ce que j'ai eu à lui répondre... J'avais rien compris !

Je n'ai pas vu que mon gosse était différent de moi,

différent de ma conception de la famille...

Je n'ai pas voulu en reparler le lendemain.

Pour moi, ma famille devrait se contenter de deux filles, point barre.

Je me suis dit qu'il allait changer.

Mais que pour l'heure, je n'avais plus de fils en attendant

qu'il revienne dans le droit chemin.

Pourtant, je n'y croyais pas, et je lui ai dit.

Je lui tout simplement dit que je ne voulais pas d'un fils pédé

( c'est le mot que j'ai utilisé )

et qu'après l'été, il allait bosser et se prendre un appartement en ville.

Là encore je n'ai pas vu qu'il pleurait.

Si ! J'ai vu ! Mais j'ai pas voulu ! Il a pris son scooter et il est parti.

Maxime n'est pas revenu.

La gendarmerie a téléphoné. On devait venir à l'hôpital.

Il avait voulu faire l'avion avec son scooter du haut du pont.

Le gendarme m'a simplement dit qu'il avait pris le soin de poser

son casque sur la chaussée avant de prendre son élan...

Je suis le dernier des salauds.

J'essaie de tenir depuis cet été, mais c'est dur.

J'ai mal, très mal. Là encore, en confiant mon chagrin sur cet écran,

j'ai à nouveau l'envie de me foutre en l'air.

J'ai la chance d'avoir deux filles qui m'aident.

Ma femme me hait depuis cette horrible journée.

Je la comprends, je me hais moi-même...

Comment puis-je demander pardon à mon gamin ?

Je l'ai tué, il n'y a rien de plus à dire.

Sauf de le rejoindre, je ne sais comment .

Pardon mille fois mon garçon, mon cœur est en miettes

mais rien ne peut réparer mon imbécillité.

A tous ces garçons qui se tournent vers d'autres garçons,

je ne voudrais dire qu'une chose :

ne laissez pas votre père en dehors de votre vie.

Parlez dès que vous vous en sentez la force !

Et, dernier point : regardez-le en face...

Toujours ! Que ne voudrais-je maintenant pouvoir parler.
a
5 mars 2014 11:25
Citation
Bengi a écrit:
Lettre d'un père moins hypocrite, que la majorité des posteurs:


J'ai tué mon gosse ! me racheter. Et encore...

S'il y a une vie après, je doute qu'il puisse me pardonner.

Maxime aimait les garçons, oui ! Mais, il aimait, et c'est tout Oui,

c'est dur à dire... Je pourrais dire que je ne suis pas fier de moi,

que j'ai honte, que je ne suis pas bien dans ma peau...

Je ne vois qu'une chose à dire ! J'ai mal, affreusement mal !

Je pleure chaque jour depuis l'été dernier, je pleure encore à cet instant

et je continuerais tant que mon corps pourra m'aider à pleurer.

J'ai détruit ce que j'avais de plus précieux, j'ai anéanti ma famille...

J'ai ôté la vie de mon fils à cause de ma connerie, et si je n'avais encore

quelque espoir de retrouver la paix, je serais prêt à aller le rejoindre.

Ce n'est pas encore exclu... Je m'appelle Eddy. J'avais le bonheur d'avoir

une petite famille merveilleuse.

Une femme adorable (qui me hait aujourd'hui !), deux filles délicieuses

et un petit mec... LE fils parfait... Mon garçon faisait beaucoup de sport,

trop peut-être.

À 16 ans, il avait tout ce qu'il fallait pour tomber toutes les

filles du quartier. Je me voyais déjà batailler pour calmer les notes de

téléphone, les scooters devant la maison. J'ai été con, aveugle, le dernier

des imbéciles... Oui, j'ai vu des engins ! Oui, j'ai gueulé parce qu'ils

faisaient un peu de bruit en rentrant...

Je ne voyais que les copains de mon gamin qui

pétaradaient discrètement... Je n'avais pas remarqué qu'ils faisaient

tout, au contraire, pour être discrets, pour ne pas réveiller

la maisonnée...

Je n'avais pas vu, pas fait attention à ce moment,

que mon petit bonhomme

et celui qui le raccompagnait faisaient tout pour faire le moins de

bruit possible... J'étais enfermé dans ma bulle de gros blaireau borné

et je ne me suis pas intéressé à sa vie...

J'ai attendu, comme le père standard, qu'il me parle de ses

copines, qu'il m'émoustille de ses petites histoires... Mais rien !

Mon gamin a eu 17 ans, puis 18, mais jamais de confidences,

jamais de complicité avec son père qui l'adorait...

Jamais, il ne m'a fait partager les instants privilégiés

de sa vie.

Mais c'est ma faute ! Je ne lui ai jamais demandé.

Je n'ai jamais posé la moindre question sauf balancer de temps

à autre une allusion que je découvre

maintenant comme complètement stupide. Pour son bac, en juin,

je voulais lui payer son permis. Il n'a pas voulu.

Il m'a simplement dit qu'il se le paierait avec son job d'été.

Puis un soir de juillet, il faisait terriblement chaud.

Il était près de 2 heures du mat,

je m'en souviens, j'étais dehors à fumer ma clope.

Ma femme nous a toujours interdit à mon gamin et à moi de fumer

dans la maison.

Je sais que mes filles fument, mais c'est en cachette !

Je venais d'écraser mon mégot,

je profitais d'un dernier moment de la douceur du soir.

Les scooters sont arrivés.

J'étais dans le noir mais je ne cherchais pas à espionner.

Mon gosse a garé son scoot

devant la porte de la remise.

Celui qui le suivait a éteint le sien aussitôt.

Je me préparais à aller les trouver, leur proposer une bière,

une cigarette...

Mais j'ai vu ! J'ai vu ce que je n'aurais jamais du voir ! Pas comme ça !

Pourquoi je n'ai pas fait de bruit ! Pourquoi je ne me suis pas manifesté

pour indiquer ma présence !!!

Non ! J'ai fermé ma gueule, je suis resté dans l'ombre et j'ai vu !

Mon bébé, mon petit garçon était en train de se bécoter avec un mec.

Mon fils embrassait un garçon presque sous les fenêtres de ses parents !!!

Et moi, gros connard, je me suis levé de mon siège,

j'ai poussé ma gueulante et j'ai viré l'autre.

J'ai hurlé sur mon gamin, sans même m'apercevoir qu'il pleurait.

Le cendrier est passé à quelques centimètres de sa tête.

Pour gueuler, oh oui, j'ai gueulé...

Je n'ose même pas répéter les mots que j'ai utilisés.

Pédé, tantouse, tapette, tout mon vocabulaire y est passé.

Je n'en avais rien à foutre des voisins. J'ai braillé comme un âne.

Et, pendant tout le temps que je criais sur lui, mon gosse pleurait...

Il a simplement dit « papa, laisse moi t'expliquer... ».

« Y a rien à expliquer, j'ai compris »

C'est tout ce que j'ai eu à lui répondre... J'avais rien compris !

Je n'ai pas vu que mon gosse était différent de moi,

différent de ma conception de la famille...

Je n'ai pas voulu en reparler le lendemain.

Pour moi, ma famille devrait se contenter de deux filles, point barre.

Je me suis dit qu'il allait changer.

Mais que pour l'heure, je n'avais plus de fils en attendant

qu'il revienne dans le droit chemin.

Pourtant, je n'y croyais pas, et je lui ai dit.

Je lui tout simplement dit que je ne voulais pas d'un fils pédé

( c'est le mot que j'ai utilisé )

et qu'après l'été, il allait bosser et se prendre un appartement en ville.

Là encore je n'ai pas vu qu'il pleurait.

Si ! J'ai vu ! Mais j'ai pas voulu ! Il a pris son scooter et il est parti.

Maxime n'est pas revenu.

La gendarmerie a téléphoné. On devait venir à l'hôpital.

Il avait voulu faire l'avion avec son scooter du haut du pont.

Le gendarme m'a simplement dit qu'il avait pris le soin de poser

son casque sur la chaussée avant de prendre son élan...

Je suis le dernier des salauds.

J'essaie de tenir depuis cet été, mais c'est dur.

J'ai mal, très mal. Là encore, en confiant mon chagrin sur cet écran,

j'ai à nouveau l'envie de me foutre en l'air.

J'ai la chance d'avoir deux filles qui m'aident.

Ma femme me hait depuis cette horrible journée.

Je la comprends, je me hais moi-même...

Comment puis-je demander pardon à mon gamin ?

Je l'ai tué, il n'y a rien de plus à dire.

Sauf de le rejoindre, je ne sais comment .

Pardon mille fois mon garçon, mon cœur est en miettes

mais rien ne peut réparer mon imbécillité.

A tous ces garçons qui se tournent vers d'autres garçons,

je ne voudrais dire qu'une chose :

ne laissez pas votre père en dehors de votre vie.

Parlez dès que vous vous en sentez la force !

Et, dernier point : regardez-le en face...

Toujours ! Que ne voudrais-je maintenant pouvoir parler.


Merci pour ce texte touchant. J'espère qu'il fera refléchir car l'homophobie tue et par suicide et par la violence idiote que les gays subissent de la part de ceux qui se sont simplement donnés la peine de naître heteros.
5 mars 2014 17:39
Oh la manipulation, la prise d'otage...

Je dois tolérer les gays sinon, je suis un vilain homophobe qui provoque des suicides... Je dois vite accepter le mariage pour tous, les gays prides, les drags queens transgenre, les changements de sexe à la demande etc...

Au diable tout cela. C'est pas juste de l'intolérance devant la différence... Les gens sont vraiment dérangés par l'homosexualité. Moi je vais pas venir les chercher, je ne cherche pas à comprendre... Je veux juste qu'on me laisse tranquille.

Et pour le moment, je dis que les homos au Maroc sont vraiment de gros pleurnichard. Et ils sont arrogants ces ptits malins, ils savent que l'Occident est derriére eux pour les couvrir. Et je vois cette "promotion de l'homosexualité" d'un trés mauvais oeil.

Déjà que les homos marocains te draguent quand tu leur montre peu d'hostilité. Genre si tu dis rien, c'est que tu approuves... Il faut leur casser des doigts pour qu'ils pigent que tu es pas intéressé. Des p***** de vaches sacrées ces mecs...
D
5 mars 2014 18:19
Citation
fwine a écrit:
Citation
Djemila75 a écrit:
Citation
Mr deltoides a écrit:
Citation
Djemila75 a écrit:
Citation
LeMask a écrit:
Si tu es homo, tout le monde te fout la paix, par contre, va voir les couples non mariés pour voir comment ils galérent les pauvres.

C'est vrai. Mais il faut dire que les homos ne dérangent personne et n'ont aucune incidence sur la société, contrairement aux couples hétéros. Ils ne risquent pas de faire des enfants hors mariage, d'avorter, d'avoir des relations extraconjugales, des enfants dont on n'est pas sûr de qui est le père etc etc. Vouloir éviter que ce genre de comportements se généralise, perso je le comprends. C'est un choix de société.

paradoxalement, le puritanisme religieux, en empêchant peu ou prou les relations entre garçons et filles, en fabriquant des régiments de frustrés, fait augmenter l'homosexualité.
c'est pour cette raison qu'il y a plus d'homosexuels dans ces pays.

Tu veux dire que l'homosexualité est une dérive causée par la frustration ?

L'homosexualité prend ses racines dans l'environnement familial et le contexte psychologique de celui-ci. On ne naît pas homo, on le devient.

On peut en dire autant des hétéros, tu crois pas ?
D
5 mars 2014 18:24
Citation
Mr deltoides a écrit:
Citation
Djemila75 a écrit:

Tu veux dire que l'homosexualité est une dérive causée par la frustration ?


non. l'homosexualité, c'est comme l'hétérosexualité. ça te prend quand tu es ado sans que tu puisses y faire quoi que ce soit.
mais tu peux la faire augmenter sensiblement par la promiscuité (prison) et/ou les frustrations (incapacité des jeunes hommes et femmes à se côtoyer, se rencontrer, avoir des relations). faute de grives, on mange des merles.

Mouais. Je suis pas convaincue de ça, sinon tu vas me dire aussi que les pédophiles, c'est faute de mieux...
Si on peut se laisser aller à ce genre de relations, c'est qu'on est quand même ouvert à la chose, au minimum bi donc.
Un/une vraie hétéro trouvera toujours un moyen d'assouvir ses frustrations autre que l'homosexualité.
B
5 mars 2014 18:26
Quand un sujet me dérange, je n'y participe pas.
D
5 mars 2014 18:27
Citation
LeMask a écrit:
Oh la manipulation, la prise d'otage...

Je dois tolérer les gays sinon, je suis un vilain homophobe qui provoque des suicides... Je dois vite accepter le mariage pour tous, les gays prides, les drags queens transgenre, les changements de sexe à la demande etc...

Au diable tout cela. C'est pas juste de l'intolérance devant la différence... Les gens sont vraiment dérangés par l'homosexualité. Moi je vais pas venir les chercher, je ne cherche pas à comprendre... Je veux juste qu'on me laisse tranquille.

Et pour le moment, je dis que les homos au Maroc sont vraiment de gros pleurnichard. Et ils sont arrogants ces ptits malins, ils savent que l'Occident est derriére eux pour les couvrir. Et je vois cette "promotion de l'homosexualité" d'un trés mauvais oeil.

Déjà que les homos marocains te draguent quand tu leur montre peu d'hostilité. Genre si tu dis rien, c'est que tu approuves... Il faut leur casser des doigts pour qu'ils pigent que tu es pas intéressé. Des p***** de vaches sacrées ces mecs...

Lol on sent que tu t'es fait draguer toi grinning smiley
Sur le fond, je suis d'accord avec toi, y a un matraquage qui devient usant. La mode est aux homos, ils sont partout et deviennent des intouchables. Ca m'en rappelle d'autres...
D
5 mars 2014 19:08
Citation
Bengi a écrit:
Lettre d'un père moins hypocrite, que la majorité des posteurs:


J'ai tué mon gosse ! me racheter. Et encore...
[....]
je ne voudrais dire qu'une chose :

ne laissez pas votre père en dehors de votre vie.

Parlez dès que vous vous en sentez la force !

Et, dernier point : regardez-le en face...

Toujours ! Que ne voudrais-je maintenant pouvoir parler.

Merci pour cette touchante histoire. Néanmoins, la morale ne concerne pas seulement l'homosexualité, il s'agit surtout du manque de communication entre enfants et parents. Des non-dits, des incompréhensions qui parfois, trop souvent mènent à des drames.
a
19 avril 2014 13:16
bravo ces vrai l hypocrisis existe au maroc et dans tout les pays arabe au sujet de l homosexualite ces haram de toucher une fille avant le marige ces haram de ce toucher entre homme alor les ado les frustre les en manque d amour il font comment il viol ,? non ces pas bien de violer donc on met la capote et avec consentement mutuel on fait ce que l on aime sans faire de mal a personne DIEU nous atous fabriquer il sais comment on fonctionne moi je suis gay et jai etait frustre par le mariage traditionnel marocain avec le drap blanc j ai mal vecu cette histoire je suis papa mais je suis pd aussi bisous a tous seux qui pensse comme moi au autre venai me parler et arraiton l hypocrisie sil vous plais
M
19 avril 2014 14:07
Si les jeunes femme et les jeunes hommes du pays avaient la possibilité d'échanger d'avoir des relations amoureuses n'ont pas pour s'afficher mais pour se découvrir et assouvir un besoin naturelle (sexuelle en l'occurence) il y aurait moins de frustrations moins d'homosexualité et moins de pratiques prostitutionelles.

Je sais bien que dans l'Islam toute pratique sexuelle (chez l'homme et la femme) en dehors du mariage est formellement proscrit.Dans le contexte de 630 après JC en Arabie où règner le chaos absence de civilisation oké on se devait d'imposer un cadre stricte mais aujourd'hui le progrès la science et la réalité socio culturelle font que ces règles paraissent obsolètes et puis on sait que le sexe est un besoin naturelle comme se nourrir ou dormir !!!

Je tiens à rappeler que je ne cautionne absolument pas les boites de nuit la prostitution l'alcool la drogue(tabac cannabis ...ects) les magasins de sextoys au Maroc.
c
21 avril 2014 19:51
Citation
fwine a écrit:
Citation
Chamalman a écrit:
Il y'a plein de chose que l'on est pas prêt de découvrir en algerie.

Les Algériens leur cas est désespéré. Parlons plutôt de ce qui élève, pas de ce qui rabaisse.

Ne t'inquiète pas si on en vient à parler d'élévation tu ne seras pas cité grinning smiley
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