Citation
Le Roi Rouge a écrit:
Wa alaykom salam
Très bonne remarque. D'ailleurs la question qui se pose c'est est ce que si ce sont les femmes qui ont le plus de pouvoir dans la société on observera le même genre de déviance ou des déviances comparables ?
La différence entre l'homme et la femme à ce niveau est que les hommes sont des brutes qui ne se cachent pas en général alors que les femmes sont plutôt fourbes... Je parle des agresseurs bien sûr.
Citation
Gandalf le gris a écrit:
En regardant sur le net les affaires d'agressions faites sur des hommes/garçons, je constate que la grande majorité de ces femmes prédatrices occupent un post avec du pouvoir (supérieur, enseignante..)
Un homme se plaignant d'agression sexuel envers une femme, reste encore tabou à notre époque, il est vu comme faible mais ces femmes agissent pas de manière physique mais elle
exercent une pression morale pour arriver à leur fin en faisant preuve de coercition, de pression, de manipulation..
Dans les cinquante prochaines années, le pourcentage d'hommes harcelés au travail devrait augmenter vu la nomination croissante de femmes à des postes élevés. Aux Etats-Unis, le pourcentage des hommes qui portent plainte pour harcèlement sexuel a doublé en 20 ans, passant de 8 à 16 % selon l'Equal Employment Opportunity Comission (EEOC, 2010). Des chiffres qui n'ont pas fini de croître.
Ces femmes agresseures sexuelles se divisent habituellement en trois catégories : celles qui abusent de très jeunes enfants , les femmes qui agressent les adolescents , la mère qui agresse sa fille qu’elle voit comme une rivale et les femmes qui agressent sexuellement avec un complice (souvent leur partenaire).
Citation
Petite-Lumière a écrit:
Quand l'homme fera preuve de violence directe, les femmes préféreront manipuler. Insinuations, rumeurs...
L'homme tue. La femme fait tuer par la main d'un autre.
Elle sait comment insuffler la haine dans le cœur d'un fils ou d'un mari. En cas de conflit armé, elles n'auront pas tenu le fusil.
Sont elles innocentes ? Non.
Elles veulent perpétuer la lignée, les gènes. Comme les hommes. Faire tuer les mâles d'un pays adverse, fussent ils des enfants, ne les gêne pas en temps de guerre.
En témoigne aussi l'attrait de la femme pour le guerrier à toute époque. Sa "virilité" étant symboliquement reliée à sa capacité à tuer (arme) et par extension sa capacité à prendre le bien d'autrui ( pour le bien de la lignée. Toujours, à ce qu'il paraît)
On est loin de la glorification du "paysan" ,cultivant la terre qui donne si elle veut. Pourquoi glorifier celui qui obtient peu en s'en remettant à Dieu quand un autre peut arriver avec une arme et dire "c'est à moi" ? Le guerrier fait alors la loi et sa femme ne se préoccupe pas du sort des vaincus.
La capacité d'indignation s'arrête là où commence la responsabilité.
Citation
mariamaria12*** a écrit:
Salam Grandalf le Gris,
Non, je suis désolée Grandalf, mais c’est pas vraiment ça la réalité du viol et des abus sexuels en France et de partout d’ailleurs…
Je te mets un extrait d’une étude menée conjointement par l’ IPSOS et l’association mémoires traumatiques et victimologie qui met vraiment en lumière ce fléau et les chiffres sont consternants, ça fait vraiment froid dans le dos…
les chiffres provenant des études de
victimation sont accablants et ne régressent
pas avec plus de 250 000 viols et tentatives de viols par an : les grandes enquêtes de victimation montrent qu’une femme sur 6 et 1 homme sur 20 ont subi au moins un viol ou une tentative de viol dans leur vie, dans plus de 60% des cas en tant que mineur.e.s. (la toute dernière enquête de victimation publiée en 2018, montre que 20% des femmes ont subi des viols et des tentatives de viols, dont la moitié avant 18 ans) ; 94 000 femmes et 130 000 filles subissent des viols et tentatives de viols chaque année, 20 000 hommes et 35 000 garçons (CSF, 2008, ONDRP 2010-2017), 27% des français connaissent au moins une victime d’inceste dans leur entourage. Au total 6% des Français déclarent avoir été victimes d’inceste, une proportion qui monte à 9% chez les femmes, soit 4 millions de français (sondage AIVI/Harris Interactive, 2015). Les enfants et plus particulièrement les filles sont les principales victimes, notre enquête a montré que pour les 1214 victimes qui y ont participé 81% des violences sexuelles ont commencé avant 18 ans, 51% avant 11 ans et 21% avant 6 ans (enquête IVSEA, 2015), l’enquête VIRAGE de 2016 montre que pour les femmes 54% des viols ont lieu avant 18 ans et 74% pour les hommes, et que les viols sont commis par des personnes connues de la victimes dans plus de 90% des cas, par un membre de la famille dans la moitié des cas pour les victimes mineures, et en dessous de 15 ans, par une personne de la famille dans 80% des cas (VIRAGE, 2016), par un conjoint ou partenaire dans la moitié des cas pour les victimes majeures, et ils sont répartis dans tous les secteurs socio-culturels de la société, n’épargnant aucune tranche d’âge, aucune origine ethnique (ENVEFF, 2000 ; CSF, 2008 ; Baromètre Santé 2016 Genre et Sexualité Santé Publique France, ONDRP 2015-2017 ; IVSEA, 2015 ; VIRAGE, 2016).
• L’immense majorité des viols ne font pas l’objet de plaintes et l’immense majorité des victimes ne sont pas protégées ; 17% seulement des victimes sont allées dans un commissariat ou une gendarmerie (CVS 2011-2017) mais seules 8% ont porté plainte (cela veut dire que sur les victimes étant allées dans un commissariat ou une gendarmerie 4 sur 10 retirent leur plainte, abandonnent leurs démarches ou déposent
une main courante). Il est très difficile pour les victimes de dénoncer les viols qu’elles ont subis, tout s’y oppose en raison de leur jeune âge ou de la vulnérabilité des victimes, des liens entre les victimes et les agresseurs (lien familial, conjugal, lien de d’autorité, de dépendance et d’emprise), des menaces et pressions de l’agresseur et de l’entourage, de la peur des victimes de ne pas être crues, d’être mises en cause et de ne pas être protégées, de la honte et de la culpabilité qu’on leur fait ressentir, et de l’importance de leurs troubles psychotraumatiques (état de choc, mémoire traumatique, évitement, dissociation et amnésie traumatique) très rarement identifiés et traités en raison de l’absence de formation de la plupart des professionnels de santé (état de choc, évitement, dissociation, amnésie traumatique) ; 83% des victimes de violences sexuelles rapportent n’avoir jamais été reconnues ni protégées (IVSEA, 2015). Depuis l’affaire Weinstein et #MeToo les plaintes pour viols et agressions sexuelles ont augmenté, de 17% en 2018 pour les viols et de 20% pour les agressions sexuelles (SSMSI - ONDRP 2018).
Le lien si tu souhaites la lire en entier : [www.memoiretraumatique.org]
Citation
Darrelia a écrit:
Je suis d accord
Le parole des hommes n est pas encore libéré
Beaucoup d hommes se font violé avec les mêmes modes opératoires que les femmes ( à la sortie des bars ...)
Ils ont déjà du mal à parlé des viols commis par d autres hommes alors ceux commis par des femmes n emparlons pas
Parce que l on considère que l homme est un creve la dalle niveau sexe et que si une femme le force , il doit être considéré comme chanceux..
Citation
Petite-Lumière a écrit:
Ce n'est pas un plaidoyer. Juste une mise en perspective.
L'homme et la femme sont guidés uniquement par leur intérêts ( immédiats ou à long terme ) si il ne croit pas en la notion de Loi.
[www.vie-publique.fr]
Loi impliquant les notions de droits et devoirs.
Loi impliquant les notions de faute et de punition pour celui où celle qui transgresse.
Voilà pour l'éclairsissement ?
Citation
Sun&Food a écrit:
Selem a’likom,
J’avoue que le post de sinda1988 m’a perturbée.
Déjà que je suis méfiante puissance 1000.
Et en mettant les choses bout à bout je me demande si les hommes = mâles ne sont pas des prédateurs pour les autres = femmes + enfants + les autres hommes.
La loi du plus fort tout ça tout ça.
C’est flippant parce que tu te dis que si on ne vivait pas dans une société avec des lois, même implicites, n’importe quel homme pourrait être (encore plus que dans la société actuelle) un danger.
Et du coup je me positionne en tant que femme.
Et maintenant je peux pas m’empêcher de me demander si un futur potentiel prétendant sera pas aussi un prédateur.
Voila voila. C’est pas vraiment fructifiant comme sujet… sorry
PS : les attaques perso c’est non merci.
Citation
Gandalf le gris a écrit:
Beaucoup d hommes se font violé avec les mêmes modes opératoires que les femmes ( à la sortie des bars ...)
"beaucoup" tu exagères un peu, ça fait beaucoup de bruit parce ce que c'est des histoires pas très banal mais je pense que c'est un phénomène qui va s'amplifier avec le temps car les femmes commencent à ressembler aux hommes dans leur comportement.
Citation
Gandalf le gris a écrit:
mes statistiques sont encore plus marquantes que les tiennes, puisque j'ai évoqué qu'une femme sur trois subissait une agressions sexuelle..( je sais plus ou j'ai trouvé cette stat mais je crois que c'est une statistique à l'échelle mondial)
si on part de la logique qu'un certain nombre d'hommes sont des prédateurs sexuels, les plus gros prédateurs sont ceux qui s'adaptent le mieux à leur environnement pour arriver à leur fin..
ce qui veut dire qu' il y a une forte corrélation entre soif de pouvoir et déviance sexuel.. ( pour moi une agression sexuel est une déviance)
Car plus on a du pouvoir, plus il est facile d'assouvir ses déviances sexuelles et psychologiquement leur comportement s'explique par le fait que ce sont des hommes qui tirent leur plaisir du mal qu'il font à leur victime, ça n'a plus rien à voir avec la simple addiction (envie sexuelle)
Et c'est pour ça qu'il existe tellement d'affaires dégueulasses dans les milieux politique/cinema/musical...
Citation
Ghost* a écrit:
« Les femmes sont les plus dangereuses »
courage aux hommes qui ont peur d’être agressé par des femmes de 50 kg
Citation
samijek a écrit:
faux s'il n'y avait pas des règles, les premiers à être violer seront les hommes comme sinda a dit puisqu'elle bouillone de l'intérieur puisque aucun homme ne s'intéresse à elle, elle croit que tout le monde est comme elle
donc, merci pour ces règles, ils protègent les pauvres hommes des femmes
Citation
Sabrina_marooc a écrit:
50 kg mouais pas pour toutes !
Comment j’aurai kiffé faire 50 kilos perso ! Loool
Citation
Petite-Lumière a écrit:
Le viol n'est pas une histoire de sexualité. L'autre est considéré comme un objet. Il y a absence de consentement.
Dans une relation tarifée, il y a une interaction codifiée entre deux individus consentants qui est de l'ordre de la transaction. Il y a aussi des règles tacites.
Celui qui peut payer des verres pourrait tout aussi bien aller directement vers un relation tarifée si c'était une question de sexe.
Pourquoi il ne le fait pas ? Il refuse le "non". Il a appris qu'il avait le droit de "se servir" sans demander quoique ce soit. Elle dit "non" mais j'ai le droit parce que..
Parce que : excuses diverses et variées, servant à minimiser l'horreur de l'acte pour soi-même et ses proches. (Elle a dansé avec moi, elle a accepté un verre, elle n'est pas de mon origine, elle n'a pas dit non, elle ne s'est pas défendue, elle portait une tenue indécente...)
chargement...
+ 
