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Histoires de Djeha
k
10 janvier 2009 21:12
Merci 2 casa, j’accepte avec plaisir ton prix, mon rêve serait que les mamans et les futurs mamans lectrices de ce post racontent ces histoires à leurs gosses au lieu des histoires des 3 petits cochons.
Ps ; J’ai bien noté ton 712khalid ; sans rancunes yawning smiley
Une autre :
Simple idiot et Super idiot

Un jour, Djeha alla au moulin pour faire moudre son blé. En attendant son tour, il s'est mis à prendre des poignées de grains d'autres sacs pour les mettre dans le sien. Le meunier remarqua le manège et se mit à crier après Djeha :
- Qu'est-ce que vous êtes en train de faire ?
- Je suis un simple idiot et je fais ce qui me vient à l'esprit, répondit Djeha.
- Vraiment, rétorqua le meunier. Alors pourquoi ne prenez-vous pas du blé de votre propre sac pour le mettre dans les autres.
- Voyez-vous, dit Djeha calmement, je ne suis qu'un simple idiot. Si je faisais cela, je serais un super idiot
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10 janvier 2009 23:04
Citation
khalid712 a écrit:
Merci 2 casa, j’accepte avec plaisir ton prix, mon rêve serait que les mamans et les futurs mamans lectrices de ce post racontent ces histoires à leurs gosses au lieu des histoires des 3 petits cochons.
Ps ; J’ai bien noté ton 712khalid ; sans rancunes yawning smiley
Une autre :
Simple idiot et Super idiot

Un jour, Djeha alla au moulin pour faire moudre son blé. En attendant son tour, il s'est mis à prendre des poignées de grains d'autres sacs pour les mettre dans le sien. Le meunier remarqua le manège et se mit à crier après Djeha :
- Qu'est-ce que vous êtes en train de faire ?
- Je suis un simple idiot et je fais ce qui me vient à l'esprit, répondit Djeha.
- Vraiment, rétorqua le meunier. Alors pourquoi ne prenez-vous pas du blé de votre propre sac pour le mettre dans les autres.
- Voyez-vous, dit Djeha calmement, je ne suis qu'un simple idiot. Si je faisais cela, je serais un super idiot


gratos mon ami

Et je te promets de réaliser ton rêve quand j’aurai des gosses inchaa lah et je leur dirai que c’est "3ammou" khalid qui m’a appris toutes ces histoires rien que pour vous

Ps : Mnt on est quitte khalid712 winking smiley
Drink Russian, Smoke Jamaican, Sniff Colombian, Kiss French, Wear Italian, Dream American, Eat Mexican, but [b]BE MOROCCAN.[/b]
k
13 janvier 2009 00:12
Encore merci 2 casa, j'espère que tu aura de magnifiques et adorables petits enfants.
Voici une histoire qui va certainement te plaire :
L'ordre des choses

Un jour d'été, Djeha était étendu sous un gros noyer. Il regardait, à côté de son jardin, un champ de pastèques. Il pensa :
- Comme c'est curieux, ces énormes pastèques poussent dans l'herbe alors que mon gros noyer produit des fruits minuscules.
A ce moment-là, une noix se détache de l'arbre et lui tombe sur la tête. Il leva les yeux au ciel et en se frottant le crâne, il dit :
- Pardonne-moi, mon Dieu, je ne me mêlerai plus de tes affaires. Heureusement que les pastèques ne poussent pas sur cet arbre.
b
13 janvier 2009 19:27
Tbark Allah3ella khalid ou jeha rak katmta3na behade les histoir smiling smiley
sdate madameLes douleurs légères s'expriment ; les grandes douleurs sont muettes.
k
16 janvier 2009 21:29
Chokrane bent lablade, encore une :
Un régime efficace contre l'obèsité :

Un homme obèse vient consulter Djeha.
- Vois-tu mon frère, je ne peux plus respirer, je marche avec difficulté avec ce ventre énorme. Djeha, stp, il faut me trouver un remède.
- Hélas pour toi, je ne peux rien, ta maladie n'a pas de remède efficace. Dans un mois, tu seras mort.
Rentrant chez lui désespéré et ne songeant plus qu'au repos de son âme, l'homme s'est tellement plongé dans la prière qu'il en oublia de s'alimenter. Au bout d'un mois, comme il ne se passait rien et qu'il était toujours vivant, il retourna voir Djeha, en colère cette fois-ci :
- Espèce de charlatan, à cause de toi, je viens de vivre un mois d'angoisse que je ne suis pas prêt d'oublier et cela pour rien !
- Comment pour rien, regarde ton ventre, il a disparu. Et surtout pense à me payer le prix de la consultation.
k
18 janvier 2009 01:12
Drôle de comptage

Durant le Ramadan, Djeha avait l'habitude, chaque matin, de mettre un caillou dans une cruche, pour compter les jours de jeûne. Chaque fois qu'il a voulu savoir quel le jour de Ramadan, il enlevait les cailloux et les comptait. Un jour son fils a vu la cruche de son père dans la cuisine et y a mis deux poignées de cailloux. Quelques jours plus tard, un ami s’est arrêté par bavarder avec Djeha..
- Djeha, lui dit-il, savez-vous à quel jour de Ramadan nous sommes ?
- Attends, dit Djeha, je les ai comptés avec des cailloux. Il alla à la cuisine, enleva tous les cailloux de la cruche et les compta. Il y avait 149.
Revenu au salon, il dit à son ami que c’était le 49ème jour de jeûne.
- Djeha, dit l'ami déconcerté, il est impossible que nous soyons au 49ème de Ramadan.
- Cher ami, il vaut mieux me croire, car si l’on se fie à la cruche, nous en sommes au 149ème.
k
18 janvier 2009 23:45
Djeha va avoir un enfant

Djeha n'était pas beau, il était plutôt laid. C'est pourquoi sa femme, à la veille d'accoucher de leur premier enfant, est prise de crainte qu'il puisse lui ressembler. La voyant soucieuse, Djeha la questionne, et elle finit par avouer ce qui la tourmente :
- Djeha, mon mari, Dieu ne t'a pas fait bien beau et tu le reconnais toi-même. J'ai peur que notre enfant soit tout ton portrait.
- Khadija, si cet enfant me ressemble, ce sera qu'un petit malheur. Ce qui sera un grand malheur, en revanche, c'est qu'il ait la tête de notre voisin.
k
20 janvier 2009 11:26
Djeha veut aller à la Mecque

Djeha va aller voir l'homme le plus riche du village :
-"Bonjour, Le Ghani (riche en arabe). Grâce à Dieu, tu vis dans l'abondance et tu as fait plusieurs fois le pèlerinage. Quant à moi, je suis pauvre, tu le sais, mais j'aimerais moi aussi me rendre à la Mecque avant de mourrir."
-"Je comprends, Djéha, mais tu sais comme moi que la religion n'impose pas le pèlerinage aux pauvres."
-"Ah, écoute ! réplique tout de suite Djeha, à chacun son rôle dans ce village. Pour l'interprétation de la religion, nous avons l'imam ; toi, tu donnes l'argent, c'est tout ! "
p
21 janvier 2009 13:25
Citation
khalid712 a écrit:
Djeha, son fils et l'âne

Le fils de Nasreddine s'enfermait toujours dans sa maison car on se moquait de son père qu'on traitait de fou.
Djeha dit un jour à son fils, alors qu'il atteignait sa douzième année :
- "Demain, tu viendras avec moi au marché."

Tôt le matin, ils quittèrent la maison. Djeha s'installa sur le dos de l'âne, son fils marchant à côté de lui. A l'entrée de la place du marché, Djeha et son fils furent l'objet de railleries acerbes:
- "Regardez-moi cet homme, il n'a aucune pitié ! Il est confortablement assis sur le dos de son âne et il laisse son jeune fils marcher à pied."

Djeha dit à son fils:
- "As-tu bien entendu? Demain tu viendras encore avec moi au marché!"

Le deuxième jour, Djeha et son fils firent le contraire de la veille: le fils monta sur le dos de l'âne et Djeha marcha à côté de lui. A l'entrée de la place, les mêmes hommes étaient là, qui s'écrièrent
- "Regardez cet enfant, il n'a aucune éducation, aucun respect envers ses parents. Il est assis tranquillement sur le dos de l'âne, alors que son père, le pauvre vieux, est obligé de marcher à pied!"

Djeha dit à son fils :
- "As-tu bien entendu ? Demain tu viendras de nouveau avec moi au marché!"

Le troisième jour, Djeha et son fils sortirent de la maison à pied en tirant l'âne derrière eux, et c'est ainsi qu'ils arrivèrent sur la place. Les hommes se moquèrent d'eux :
- "Regardez ces deux idiots, ils ont un âne et ils n'en profitent même pas. Ils marchent à pied sans savoir que l'âne est fait pour porter des hommes."

Djeha dit à son fils :
- "As-tu bien entendu? Demain tu viendras avec moi au marché!"

Le quatrième jour, lorsque Djeha et son fils quittèrent la maison, ils étaient tous les deux juchés sur le dos de l'âne. A l'entrée de la place, les hommes laissèrent éclater leur indignation :
- "Regardez ces deux-là, ils n'ont aucune pitié pour cette pauvre bête!"

Djeha dit à son fils :
- "As-tu bien entendu? Demain tu viendras avec moi au marché!"

Le cinquième jour, Djeha et son fils arrivèrent au marché portant l'âne sur leurs épaules. Les hommes éclatèrent de rire :
- "Regardez ces deux fous, il faut les enfermer. Ce sont eux qui portent l'âne au lieu de monter sur son dos."

Et Djeha-Hoja dit à son fils:
- "As-tu bien entendu ? Quoi que tu fasses dans ta vie, les gens trouveront toujours à redire et à critiquer."

J'ai corrigé en rouge ce que tu as oublié !
k
21 janvier 2009 23:39
Merci pour ta précision psychédélique,

Djeha parle chinois

Djeha prétend qu'il a fait jadis un voyage en Chine et que, là-bas, il a appris le chinois. Quelqu'un, qui doit s'y rendre prochainement pour affaires, lui demanda de lui enseigner quelques mots courants.
- Par exemple, dit-il, comment dit-on "éléphant" ?
- Pourquoi choisir un mot qui ne te servira à rien ? Ils n'ont pas d'éléphants.
- Alors, comment dire "moustique" ?
- "éléphant", "moustique", tu as le sens de la démesure ! L'animal que tu choisis est soit trop grand, soit trop petit. Là-bas, on n'aime pas beaucoup les gens qui n'ont pas le sens de la mesure. Tu ne pourrais pas choisir un animal de taille raisonnable ?
- Alors, si je veux acheter un veau, comment dire ?
- Quand j'ai quitté la Chine, les veaux venaient juste de naître. Ils n'ont pas eu le temps de leur donner un nom.
b
21 janvier 2009 23:46
kahlid712 choukrane thumbs up

ou Allah mt3tina be hade les histoires de jeha
sdate madameLes douleurs légères s'expriment ; les grandes douleurs sont muettes.
k
22 janvier 2009 23:39
Encore merci, Bent Lablade, ici une histoire de Djeha qui nous apprend ce que c'est la politique.

Qui a raison ?

Une grande controverse avait divisé le village en deux. On en appela à Djeha pour résoudre le problème. Sa femme l'avertit que cela pourrait se retourner contre lui.
Conscient de ses responsabilités, Djeha ne pouvait se dérober. Il alla à la place du marché et fit face aux villageois réunis en deux clans opposés. Le leader et quelques voix du premier groupe lui crièrent de s'assurer qu'il avait bien compris leur point de vue. Après les avoir écoutés, il leur dit :
- Vous avez raison.
Les partisans du second groupe le menacèrent de leur poing pour le convaincre de la validité de leur point de vue. Il les écouta et leur dit :
- Vous avez raison aussi.
Sa femme le tira par la manche et lui souffla qu'ils ne pouvaient pas avoir raison tous les deux.
- Tu as raison toi aussi, lui répondit-il.
k
23 janvier 2009 21:43
La gestation de sept jours

La première femme de Djeha étant morte récemment, il décida de se remarier. Exactement sept jours après le mariage, sa femme donna naissance à un bébé. Djeha courut au marché, acheta du papier, des crayons, des livres et revint mettre ces objets à côté du nouveau-né. Etonnée, sa femme lui demanda :
- Mais Djeha, le bébé n'aura aucune utilisation de ces objets pour un certain temps encore! Pourquoi cette précipitation ?
- Détrompez-vous ma chère, répondit Djeha. Un bébé qui arrive en sept jours au lieu de neuf mois, est sûr d’avoir besoin de ces choses d’ici à deux semaines au maximum.
k
25 janvier 2009 23:09
Les riches et les pauvres

A une sécheresse de plusieurs mois avait succédé la famine. Mais tout le monde n’avait pas faim pour autant : Les riches avaient pris soin de faire d’amples réserves de blé, d’huile, de légumes sec et de viande séchée.
Khadija dit alors à son mari :
-Djeha, toute la ville te tient pour un homme de poids. Ne reste pas les bras croisés ; va sur la place, rassemble tout le monde, et tente de convaicre les riches de donner à manger aux pauvres.
Djeha trouve pour une fois que sa femme a raison. Il fait comme elle dit et deux heures après, rentre, la mine réjouie.
-Ma femme, rendons grâce à Allah le Miséricordieux !
-Ah ! Tu as donc réussi ?
-Ce n’était pas une mission facile. A moitié.
-Comment cela, à moitié ?
-Oui, j’ai réussi à convaincre les pauvres.
k
26 janvier 2009 17:40
Comment faire pour se souvenir

Voyant s’approcher Djeha, six garnements qui traînent dans la rue décident de lui jouer un bon tour. Cette fois-ci, il ne va pas s’en tirer auusi facilement que d’habitude.
Ils s’assoient par terre en cercle, mêlant de façon inextricable leurs jambes et leurs pieds.
- Djeha, c’est Allah qui t’envoie ! Nous sommes tombés tout enchevêtrés, et nous ne savons plus quel pied est à qui et à qui est quelle jambe. Nous ne rappelons plus nous-mêmes.
Aussitôt Djeha se met à taper dans le tas avec sa canne. Les enfants se relèvent précipitamment et s’enfuient en poussant des cris de douleur.
- N’oubliez pas une chose, leur jette de loin Djeha : on a toujours plus de mémoire qu-on ne croit.
p
26 janvier 2009 19:06
Le Mariage de Djeha


Quand Djeha fut en âge de se marier, il choisit une belle femme, attentive et délicate, et organisa un mariage somptueux.
Ali, son cousin voulut s'y rendre, mais à cause de sa grande avarice, se présenta les mais vides.
Il tomba devant deux portes :

1)ICI ENTRENT LES MARIES

2)ICI ENTRENT LES INVITES

Il choisit la 2ème porte. Puis il tomba devant deux autres portes :

1)ICI ENTRENT LES AMIS

2)ICI ENTRE LA FAMILLE

Il choisit la 2ème, et re-belote, encore deux portes :

1)ICI ENTRENT CEUX QUI ONT UN PRESENT

2)ICI ENTRENT CEUX QUI N'ONT RIEN

Ali prit la 2ème porte. Et il se retrouva ...




















































DANS LA RUE !

[center]8-)...[color=#FF0000]A[/color][color=#FF0099]p[/color][color=#9933FF]P[/color][color=#336699]r[/color][color=#0066FF]e[/color][color=#99CC00]N[/color][color=#0066CC]d[/color][color=#33FF66]S[/color] [color=#FF3300]A[/color] [color=#336600]G[/color][color=#006666]r[/color][color=#CC6666]A[/color][color=#CC0099]v[/color][color=#CC0099]E[/color][color=#0000FF]r[/color] [color=#FF9900]T[/color][color=#CC00FF]e[/color][color=#993300]S[/color] [color=#FF0033]J[/color][color=#FF4500]o[/color][color=#6A5ACD]I[/color][color=#A0522D]e[/color][color=#6633CC]S[/color] [color=#CC3399]D[/color][color=#6633CC]a[/color][color=#3333FF]N[/color][color=#66CC33]s[/color] [color=#66FFCC]L[/color][color=#9933CC]e[/color] [color=#228B22]R[/color][color=#FFC0CB]o[/color][color=#DDA0DD]C[/color] [color=#FF4500]E[/color][color=#7FFFD4]t[/color] [color=#2E8B57]t[/color][color=#4169E1]E[/color][color=#ADFF2F]s[/color] [color=#993300]D[/color][color=#0000FF]o[/color][color=#7FFF00]U[/color][color=#4B0082]l[/color][color=#FF0000]E[/color][color=#8B008B]u[/color][color=#333300]R[/color][color=#FF9900]s[/color] [color=#FF6600]D[/color][color=#ADD8E6]a[/color][color=#008080]N[/color][color=#191970]s[/color] [color=#C0C0C0]L[/color][color=#9370D8]e[/color] [color=#F08080]S[/color][color=#9370D8]a[/color][color=#CC6699]B[/color][color=#FF9933]l[/color][color=#CC3300]e[/color]....8-)[/center] [center];) [b]Petite précision : Je suis un garçon ![/b];)[/center]
k
27 janvier 2009 22:11
Merci psychédélique, je ne la connaissais pas, n'hésite pas à en mettre d'autres, je vais écrire un livre et prendre ma retraite.Ill

Conversation

Passant devant une maison de thé, Djeha y voit un homme habillé de la même façon que lui, portant le même turban, il entre et engage la conversation.
Il parle de tout et rien, après quoi, Djeha se lève pour se retirer, mais l’homme lui demande alors :
« Excuse la question l’ami, mais qui est tu ? »
« Qui je suis, ça je n’en sait rien. Mais ce que je peux te dire, c’est que je souhaitais aavoir une petite conversation avec moi-même »
k
28 janvier 2009 22:34
Djeha commerçant ambulant

Djeha fit l'acquisition d'un étal de marchand ambulant et se mit à parcourir les rues du village, en criant :
- Qui veut mes belles tomates rouges ! Qui veut mes belles salades ! Qui veut mon persil frais !
Le premier client qui se présente découvre que, dans le panier de Djeha, il n'y avait aucun légume mais de la viande de chèvre, uniquement de la viande.
- Que se passe t-il, Djeha ? Tu ne vendras rien si tu ne dis pas réellement ce que tu vends.
- Je sais ! Je sais ! Rétorqua Djeha. Mais si je crie "qui veut ma belle viande de chèvre", j'aurai tous les chats et tous les chiens errants du village à mes trousses.
k
29 janvier 2009 21:01
Djeha fait des économies :

Un jour, Djeha se rend dans un magasin de chaussures, le vendeur, en lui remettant des chaussures, lui donne un conseil :
- Pour éviter de les user, tu devrais faire de grands pas; si en marchant, tu fait des pas de 1 mètre, tu porteras tes chaussures deux fois plus longtemps.
Djeha, très content de ce conseil, s'exécuta de suite. Dans la rue, tout le monde s'amusait en le regardant passer...
Le lendemain, il retourne au magasin, et dit au vendeur :
- Pour économiser des chaussures à 75 dirhams, j'ai déchiré un pantalon à 200 dirhams.
k
30 janvier 2009 21:04
Les bons et les mauvais

Un jour, un élève de Djeha lui dit :
- Djeha, chacun s'accorde à dire que vous êtes bon. Cela veut-il dire que vous êtes réellement bon ?
Djeha répondit qu'il n'en était pas nécessairement ainsi. Le garçon demanda alors si le fait que chacun dise que Djeha était mauvais signifiait qu'il était réellement mauvais. Djeha-Hodja Nasreddin répondit négativement. Le garçon demanda à Djeha de s'expliquer.
- Si des gens bons disent que je suis bon, alors je le suis vraiment et si des gens mauvais disent que je suis mauvais, alors je suis bon. Il fit une pause, le temps de lisser sa barbe et continua :
- Mais vous savez combien il est difficile de dire quels sont les gens qui sont bons et quels sont ceux qui sont mauvais.
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