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histoires....
n
14 mars 2008 00:51
salam alaykom

j'ouvre ce poste pour tous ceux et celles qui connaissent des bonnes histoires qui ont une relation avec notre religion et qui peuvent nous donner des leçons utiles dans notre vie quotidienne .



bon je commence avec une petite histoire:

Un homme s'est réveillé Tôt pour faire la priére d'al fajr à la mosquée. Après s'être habillé et avoir fait ses ablutions, il se mis en marche vers la mosquée. Une fois rendu à la moitié du chemin ,il trébucha, salissant ainsi ses vêtements. Il rebroussa chemin vers sa maison, refit ses ablutions et pris une seconde fois le chemin de la mosquée. Au même endroit, il trébucha salissant une seconde fois ses vêtements et s'en retourna chez lui pour refaire ses ablutions et changer de vêtements. Sur le chemin de la mosquée, un homme éclairant la route d'une lanterne l'aborda:

-qui es-tu? demanda l'homme à l'inconnu,
- je t'ai vu tomber deux fois, alors j'ai décidé de t'aider en
t'éclairant le chemin.
À la porte de la mosquée, l'homme demanda à l'inconnu d'entrer pour prier avec lui; une offre qu'il déclina vigouresement. L'homme lui demanda la raison de son refus d'entrer à la mosquée:

-Je suis Satan, répondit l'inconnu. Je t'ai fait tomber la première fois pour t'empêcher de prier, mais quand tu es revenu après avoir refais tes ablutions et changé tes vêtements, Allah t'avait pardonné tous tes péchés. La seconde fois que je t'ai fais tomber, Allah pardonna à ta famille. J'ai eu peur qu'Allah pardonne à tout ton village si tu tombais une troisième fois!


Qu'Allah nous guide vers Sa lumière, amine

a vos clavierssmiling smiley
j
14 mars 2008 02:03
Un jour apparut un petit trou dans un cocon; un homme qui passait à tout hasard, s'arrêta de longues heures à observer le papillon qui s'éfforçait de sortir par ce petit trou.

Après un long moment, c'était comme si le papillon avait abandonné, et le trou demeurait toujours aussi petit. On aurait dit que le papillon avait fait tout ce qu'il pouvait et qu'il ne pouvait plus rien faire d'autre.

Alors, l'homme décida d'aider le papillon, il prit un canif et ouvrit le cocon. Le papillon sortit aussitôt. Mais son corps était maigre et engourdit; ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine. L'homme continua à observer pensant que d'un moment à l'autre les ailes du papillon s'ouvriraient et seraient capables de supporter le corps du papillon pour qu'il prenne son envol.

Il n'en fut rien ! Le papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais il ne put voler.

Ce que l'homme, avec son geste de gentillesse et son intention d'aider, ne comprenait pas, c'est que le passage par le trou étroit de cocon était l'effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre le liquide de son corps à ses ailes de manière à pouvoir voler.


C'était le moule à travers lequel Dieu (Exalté Soit-Il) le faisait passer pour grandir et se développer. Parfois l'éffort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie.
Si Dieu (Exalté Soit-Il) nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d'obstacles, nous serionslimités. Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le sommes. Nous ne pourrions jamais voler ...
[center]:A:[color=#CC0000][b]Celui qui guide une personne à faire le bien est semblable à celui qui le fait lui même[/b][/color]:A:[/center]
a
14 mars 2008 10:32
Salam alikoum smiling smiley


Deux amis marchaient dans le désert.
À un moment, ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à l'autre. Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable :

« Aujourd'hui mon meilleur ami m'a donné une gifle ».

Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner...
Mais celui qui avait été giflé a failli se noyer et son ami le sauva.
Quand il a repris ses esprits, il écrivit sur une pierre :

«Aujourd'hui mon meilleur ami m'a sauvé la vie ».

Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda :
« Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre . Pourquoi? »

L'autre ami répondit:
« Quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre , où aucun vent ne peut l'effacer ».

AngelApprends à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierreAngel
g
14 mars 2008 11:01
MAGNIFIQUE...

BarakAllah ou fik pour ces rappels
g
14 mars 2008 11:03
Voici une petite histoire...


L'Amour d'un père

Un jeune homme s'apprêtait à obtenir son diplôme de fin d'étude.

Pendant plusieurs mois il avait admiré une belle voiture de sport exposée dans un showroom, et sachant que son père pouvait bien la lui offrir, il lui avait déjà dit que c'est ça qu'il voulait comme cadeau.

Comme le jour de la remise des diplômes s'approchait, le jeune homme s'attendait à voir des signes que son père lui avait déjà acheté la voiture. Finalement, au matin du " jour J ", son père l'appela dans son bureau et il lui dit comment il était fier d'avoir un fils aussi intelligent et formidable, et comment il l'aimait beaucoup. Le père tendit à son fils une boite dans un emballage cadeau, curieux mais aussi déçu le jeune homme ouvrit la boite et découvrit un beau Coran avec une couverture en cuir.

Furieux, il éleva la voix sur son père et lui dit :
"Avec tout ton argent, tu ne m'offres qu'un Coran ??? " et claquant la porte, il sortit de la maison en laissant derrière lui le Saint Coran.

Plusieurs années sont passées et le jeune homme se trouva couronné de succès dans le monde des affaires, il s'acheta une grande et belle maison et il fonda une famille merveilleuse.

Un jour, il se souvint de son père qui était devenu très vieux et se dit qu'il devait aller le voir, car il ne l'avait plus revu depuis le jour qu'il avait obtenu son diplôme.
Juste avant de partir, il reçut un télégramme lui disant que son vieux père venait de mourir et qu'il avait cédé tous ses biens à son fils. Il devait donc partir immédiatement pour s'occuper de son héritage.

Quand il arriva dans la maison de son père, soudain, son cœur fut rempli de tristesse et de regret... il se mit à fouiller dans les dossiers importants de son père et il tomba sur ce Coran à l'endroit même où il l'avait laissé il y a plusieurs années...

il éclata en sanglots, ouvrit le Coran et se mit à tourner les pages.

Et comme il lisait ces paroles, une clé de voiture tomba d'une enveloppe qui était collée à la couverture à l'arrière du Coran.

La clé avait une étiquette avec le nom du concessionnaire du showroom, le même concessionnaire qui vendait la belle voiture de sport qu'il désirait tant avoir et sur l'étiquette figurait la date du jour de la remise de son diplôme, et ces mots...

TOUT A ETE PAYE

Combien de fois ne sommes-nous pas passés à coté des bénédictions d'Allah, simplement parce qu'elles ne viennent pas de la manière que nous le voulons ?

Allah n'est pas tel que nous Le représentons mais Il est tel qu'Il S'est présenté à nous !
g
14 mars 2008 11:04
AIME POUR TON FRERE CE QUE T'AIME POUR TOI-MÊME

Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les secrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.

Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait son temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits……. parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par la. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.

Les jours et les semaines passèrent. Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

Des qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul. Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or tout ce qu'il vit, fut... un mur !

L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.

L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. " Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager. " commenta-t-elle.

Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
g
14 mars 2008 11:04
Le bol en bois


Un vieil homme fragile s'en alla demeurer avec son fils, sa belle-fille, et son petit-fils de quatre ans. Les mains du vieil homme tremblaient, sa vue était embrouillée et sa démarche chancelante.

La famille était attablée ensemble pour le repas. Mais la main tremblante de grand-père et sa mauvaise vue rendait le repas peu agréable. Les pois roulaient par terre, lorsqu'il prenait son verre, le lait se renversait sur la nappe.

Ce qui vint à tomber sur les nerfs du fils et de la belle-fille. "On doit faire quelque chose avec grand-père" dit le fils. Nous en avons assez du lait renversé, des bruits lorsqu'il mange et de ramasser la nourriture sur le plancher" Alors, le fils et sa femme montèrent une petite table dans le coin.

C'est là que grand-père ira manger pendant que le reste de la famille sera à la grande table. De plus, puisque que grand-père a cassé quelques assiettes, dorénavant il mangera dans un bol en bois.

Lorsque la famille regardait dans le coin, quelques fois ils pouvaient voir une larme sur les joues de grand-père qui était assis tout seul. En dépit de cela, les seuls mots que le couple avaient pour grand-père exprimaient la colère et les reproches lorsqu'il échappait une fourchette ou renversait sa nourriture par terre. Le jeune de quatre ans regardait tout cela en silence.

Un soir avant le souper, le père remarqua son fils qui jouait dans son atelier et il nota des copeaux de bois sur le plancher. Il demanda gentiment: "Qu'est tu en train de fabriquer ?" Aussi gentiment le fils répondit : "Ah ! Je fais un bol en bois pour toi et maman pour manger lorsque je serai grand !"

Les parents furent tellement surpris par ces paroles qu’ils étaient incapables de parler. Et puis, quelques larmes coulèrent sur leurs joues. Ils ne disaient rien mais ils savaient quoi faire.
Ce soir là, le fils pris grand-père par la main et l'amena gentiment à la table familiale. Pour le reste de ces jours, il mangea ses repas avec la famille et le fils et sa femme ne se troublaient plus lorsque grand-père échappait une fourchette, renversait son lait ou salissait la nappe.


Et ALLAH a dit :
et ton Seigneur a décrété :"N'adorez que Lui et marquez de la bonté envers les père et mère : si l'un d'eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprès de toi; alors ne leur dis point : "Fi !"* et ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses."
[ Sourate 17 - Verset 23 ]



Allah a dit :
"et par miséricorde; abaisse pour eux l'aile de l'humilité; et dis : mon Seigneur, fais-leur; à tous deux; miséricorde comme ils m'ont élevé tout petit”. ( sorate Al-Isra', verset 24)


* "Fi" : On ne doit faire aucune remarque à ses parents, pas même en état de colère!! En somme, les remarques du genre : "Mais oui, c'est ça!!", "Mais oui, mais oui" ou un geste désobligeant sont inacceptables pour ALLAH!! Le respect pour les parents est indissociable du comportement d'un musulman!! Celui qui ne respecte pas ses parents à 100% ne peut pas se prétendre musulman!!
g
14 mars 2008 11:05
Retenez Vos Larmes !!!

Voici une petite histoire suivie de quelques versets très émouvants .
Retenez vos larmes, qui peuvent être des larmes de tristesse, d'amour, d'émotion et d'admiration.

Un jour, l'épouse de Abdoul-lah Ibn Hirâm rendit l'âme, lui laissant la charge de leurs neufs filles et leur garçon unique (Jâber). Le père dut alors faire face et élever seul ses dix enfants qui constituaient une lourde responsabilité. Cependant, ce devoir de père ne l’empêchait pas de combattre dans le sentier d'Allah. En effet, Abdoul-lah participa à la bataille de Badr. Jâber, son fils, demanda à combattre aussi, mais le père refusa en raison de son jeune âge.
Plus tard, à l'aube de la bataille d’Ohod, Jâber ayant acquis une certaine maturité et un certain âge, était fin prêt à combattre au côté des Musulmans. Malheureusement père et fils ne purent partir à l'expédition côte à côte et laisser les filles vouées à elles-mêmes sans tuteur à Médine. Ils étaient animés d'une grande ferveur, tous deux voulurent plus que tout participer au combat, mais l'un des deux devait impérativement rester pour veiller sur les filles. Ils n'eurent d'autre alternative que le tirage au sort.


Le père fut sorti vainqueur du tirage. C’est alors que Jâber se mit à pleurer, des larmes d’amour pour Allah, l’Islam et le Paradis.
Le père voyant son fils triste le réconforta en ces termes : « Mon fils, par Allah, si c’était autre chose que le Paradis, je te l’aurais laissé… ».

Le fils continua à pleurer et le père s’approcha de lui et poursuivit : « Jâber, je me vois mort en Chahid aujourd’hui ; même le premier des Chahids. Par Allah, la personne que j’aime le plus, après le Messager d’Allah, c’est toi mon fils. Sache aussi que j’ai des dettes, je te charge des les régler. Je te confie tes sœurs ; soit bon envers elles. »

Le père partit alors au combat et mourut effectivement en Chahid ; il fut même le premier des Chahids de la bataille.

Le jour même, on informa Jâber : « Jâber, ton père est mort ! » Bouleversé, celui-ci courut sur le champ de bataille à la recherche du cadavre de son père, mais les mécréants, après avoir tué ce dernier, l’avaient mutilé si cruellement, que la vue de son corps fut insoutenable, si bien que les compagnons n'autorisèrent pas Jâber à le voir.

Jâber raconte :
« Je voulais voir mon père ; mais les compagnons du Prophète me repoussaient ! Je leur disais de me laisser le voir ! Le Prophète leur donna l'ordre de me laisser m'approcher. J’ai donc regardé mon père, puis j’ai caché mes yeux remplit de larmes dans ma manche… Le Prophète m’a regardé et m’a dit « Mon fils, pleure-le ou ne le pleure pas ; les anges le recouvrent quand même de leurs ailes d’ici jusqu’au Ciel. Sois content, ô Jâber ! ». J’ai répondu :
- content de quoi, ô Messager d’Allah ?
- Jâber, tu sais quoi ?
- Oui, ô Messager d’Allah ?
- Allah ne parle au gens que derrière un voile. Cependant, il a parlé à ton père sans voile ! Allah lui a dit : « oh serviteur, que souhaites-tu ? » Ton père a répondu : « Je souhaite revenir sur le champ de bataille, combattre aux cotés de ton Prophète et mourir sur Ton sentier, parce que j’ai trouvé cette mort magnifique ! » Allah lui a dit : « J’ai déjà affirmé qu’il n’y a de retour vers le bas monde, ô serviteur, souhaite autre chose. » Ton père a donc répondu : « Je souhaite que Tu informes mes frères combien je suis heureux ! »

Des versets ont alors été révélés au Prophète, paix et salut sur lui

« _Wala tahsabanna allatheenaqutiloo fee sabeeli Allahi amwatan bal ahyaonAAinda rabbihim yurzaqoona. »
Ne pense pas que ceux qui ont été tués dans le sentier d'Allah, soient morts. Au contraire, ils sont vivants, auprès de leur Seigneur, bien pourvus

« _Fariheena bima atahumuAllahu min fadlihi wayastabshiroona biallatheenalam yalhaqoo bihim min khalfihim alla khawfunAAalayhim wala hum yahzanoona. »
et soyez joyeux de la faveur qu'Allah leur a accordée, et ravis que ceux qui sont restés derrière eux et ne les ont pas encore rejoints, ne connaîtront aucune crainte et ne seront point affligés.

« _Yastabshiroona biniAAmatin mina Allahiwafadlin waanna Allaha la yudeeAAuajra almu/mineena »
Ils sont ravis d'un bienfait d'Allah et d'une faveur, et du fait qu'Allah ne laisse pas perdre la récompense des croyants.


Qu'Allah nous accorde une mort sur Son sentier. Amine.
g
14 mars 2008 11:05
Les 3 filtres

Il était une fois, à l’époque des califes abbassides, dans la capitale musulmane Bagdad, un grand savant connu pour sa sagesse. Cet homme avait passé sa vie à étudier le Coran et les paroles du Prophète, et il était très pieux.

Jamais on ne l’entendait dire du mal de quelqu’un, se moquer des autres ni répéter des paroles inutiles.
Tout le monde l’aimait, car il avait toujours une parole gentille ou un sourire pour les gens qu’il rencontrait, et il était toujours prêt à aider les autres.

Un jour, l’un de ses voisins vint le trouver :

As-salamou alaykoum !

Wa alaykoum as-salam wa-rahmatou llahi wa-barakatouhou, répondit le savant.

Sais-tu ce qu’on vient de me dire à propos de ton ami Abdallah ? poursuivit le voisin.

Attends un peu, répliqua le savant. Je vois que tu brûles d’envie de me dire quelque chose. Mais avant que tu me le dises, j’aimerais te faire passer un petit test. Cela s’appelle le test des trois filtres.

Des trois filtres ? S’étonna le voisin.

Exactement, poursuivit le savant. Avant que tu ne me parles de mon ami, ce serait une bonne idée de prendre le temps de filtrer ce que tu comptes me dire. Nous allons faire passer ce que tu voulais me dire dans trois filtres : ce qui en restera, tu pourras me le dire. C’est pourquoi j’appelle cela le test des trois filtres. Tu es prêt ?

Oui, répondit l’homme, de plus en plus étonné. (En effet, quand il bavardait avec ses voisins, il n’avait pas l’habitude de prendre tant de précautions).

Allons-y donc, dit le savant ? Le premier filtre est celui de la vérité. As-tu bien vérifié que ce que tu veux me dire est vrai ?

Non, répondit l’homme. En fait on vient juste de me le raconter et…

Bon, dit le savant. Donc, tu n’es pas du tout sûr que ce soit vrai. Le filtre de la vérité n’a pas gardé ce que tu voulais me dire. Essayons maintenant le second filtre, celui du bien. Est-ce que ce que tu voulais me dire sur mon ami est quelque chose de bien ?

Euh, non, au contraire…

Ah, poursuivit le savant. Donc tu voulais me dire quelque chose de mal sur mon ami, mais tu n’es pas certain que ce soit vrai. Je ne sais pas si je vais pouvoir t’écouter…Mais peut être que tu réussiras quand même le test, car il reste encore un filtre : le filtre de l’utilité. Si tu me dis ce que tu voulais me dire sur mon ami, est-ce que cela me sera utile ?

Euh bien…non, pas vraiment.

Alors, conclut le savant, si ce que tu voulais me dire n’est pas vrai, n’est pas bien et n’est même pas utile, ce n’est pas la peine de me le dire, tu ne crois pas ? Les paroles peuvent faire beaucoup de mal, et il ne faut pas les répandre n’importe comment. Une parole qui n’est ni vraie, ni bonne ni utile ne vaut pas la peine d’être dite. Alors avant de te dire quelque chose, ou de répéter ce qu’on t’a raconté, n’oublie pas de soumettre tes paroles au test des trois filtres ! Cela t’évitera certainement des péchés.

Allah nous dit dans le Coran :

« Oh vous qui croyez ! Ne vous moquez pas les uns des autres, car il se peut que ceux-ci soient meilleurs que ceux-là. Que les femmes ne se moquent pas les unes des autres, car il se peut que celles-ci soient meilleures que celles-là. Ne vous calomniez pas les uns les autres, et ne vous donnez pas de sobriquets injurieux. Quel vilain mot que « perversion », quand on a déjà la foi. Ceux qui ne se repentent pas, voilà les injustes. »
(Sourate 49, verset 11)

Le voisin, un peu confus, rentra chez lui et réfléchit longuement aux paroles du savant. Depuis ce jour, il étonna ses voisins en cessant d’écouter les bavardages inutiles.
g
14 mars 2008 11:06
Le nuage qui arrose le jardin

Abou Hourayra (DAS) rapporte qu’il a entendu le Messager de Dieu (SAW) raconter :

Un homme marchait dans une terre aride lorsqu’il entendit tout à coup une voix s’adressant à un nuage : « Arrose le jardin d’untel ! ».
Aussitôt le nuage se déplaça et déversa son eau dans un terrain couvert de pierres noires.

Une rigole recueillit toute cette eau. L’homme suivit le parcours de la rigole et trouva un homme debout dans son jardin, détournant l’eau avec sa houe.
Il lui demanda :

« Ô esclave de Dieu ! Quel est ton nom ?

L’homme lui répondit : Untel. Puis il lui dit : Pourquoi me demandes-tu mon nom ?

J’ai entendu une voix dans le nuage dont voici l’eau dire : « Arrose le jardin d’untel (ton nom) », répondit le premier homme. Je me demande alors comment gères-tu ton jardin ?

Le propriétaire du jardin répondit : Maintenant que tu m’as dit cela, sache que j’attends ce qui pousse de cette terre, je fais aumône de son tiers, je mange le deuxième tiers et je remets en terre le reste. »

Ce hadith est rapporté est authentique.

Ce récit nous montre que la générosité est récompensée et encouragée.

Cet homme qui possède un jardin donne le tiers de sa récolte en aumône et garde un tiers pour lui. Son acte de bien est agréé par Allah, si bien qu’un nuage est envoyé pour l’aider dans sa tâche !

Ce genre de récit doit t’encourager à partager ce que tu possèdes en aidant ceux qui sont dans le besoin.
g
14 mars 2008 11:07
Qui choisis-tu ?


Une femme arrosait son jardin quand elle vit trois vieillards étrangers s'approcher de l'entrée de sa maison. Ils lui paraissaient venir de très loin.

_ Je ne vous connais pas, mais vous devez avoir faim
S'il vous plait rentrez chez moi pour manger un morceau.
_ Votre mari est-il à la maison?, lui demandent-ils.
_ Non, il n'y est pas, répondit-elle
_ Alors, nous ne pouvons rentrer, avouèrent-ils.

Quand arrive enfin le mari, la dame lui fait état de la situation. En regardant à l'exterieur, il aperçoit les trois vieillards toujours près de la maison.
_ Alors, qu'ils rentrent maintenant puisque je suis arrivé! dit le mari à son épouse.
La femme sortit pour inviter les vieillards de nouveau à sa table:
_ Nous ne pouvons pas entrer ensemble.
_ Mais pourquoi? leur demanda t-elle toute étonnée
L'un des trois s'avança donc pour lui expliquer en commençant par se désigner: " Je suis la Richesse" lui dit il; " Celui ci, c'est Bonheur, et celui-là c'est Amour" lui présenta ces deux autres compagnons de route.
_ Maintenant, retourne pour choisir avec ton mari lequel de nous trois devrait rentrer et dîner avec vous.

La femme rentre à la maison et rapporte à son mari ce que les vieux viennent de lui raconter. L'homme s'éclate de contentement et dit: "Que de chance avons-nous. Que vienne la Richesse, ainsi à jamais, nous aurons tout ce que nous voulons."
L'épouse, qui n'était pas de l'avis de son mari, rouspéta: "Et pourquoi pas le bonheur de préférence?" dit elle.
Leur petite fille qui dans un coin écoutait la conversation de ses parents, arriva tout en courant: " Ne serait-il pas mieux d'inviter l'Amour? De cette façon, notre foyer serait toujours rempli d'Amour"
Les deux époux se regardèrent un instant: "Ecoutons ce que propose notre fille, dit le mari à sa femme. Va voir ces trois vieillards et invite l'Amour à se joindre à nous."
La femme sortit et demande: " Lequel d'entre vous est Amour? Qu'il vienne et dîne avec nous"
Amour s'avança en direction de la maison et ces deux autres compagnons se mirent à le suivre. Surprise, la femme demanda à Richesse et Bonheur: " Je n'ai invité que Amour. Pourquoi venez-vous aussi?"

Et, les trois vieillards répondirent à l'unisson: "Si vous aviez invité Richesse ou Bonheur, les deux autres seraient restés l'attendre dehors. Mais vous avez invitez Amour...
***** Partout où va l'Amour *****
nous devons y aller, nous aussi
S’il y a l'amour alors il y a aussi le bonheur la richesse.
g
14 mars 2008 11:08
Un agent de police

Un agent de police vivant dans un pays musulman a écrit la lettre qui va suivre à un Cheikh. Cette lettre décrit les événements qui ont mené à son retour à Allah...:
Les accidents et victimes de la route faisaient partie de mon quotidien au travail, mais un jour un incident différent s’est produit.
Mon partenaire et moi nous étions garés sur la bande d’arrêt de l'autoroute et avions commencé à discuter. Mais en une fraction de seconde, tout a changé lorsque nous avons entendu le bruit horrible de corps et de métal fusionner. Nous nous sommes aussitôt retourné pour voir ce qui venait de se passer : une collision de front, résultat d'un véhicule qui venait de glisser sur la route en plein milieu de la circulation.

Impossible de vous décrire le carnage. Deux jeunes hommes étaient étendus dans la première voiture, tous les deux se trouvaient dans un état critique. Avec précaution nous les avons portés puis éloignés de la voiture avant de les reposer au sol.
Nous sommes très vite repartis pour secourir le conducteur de la deuxième voiture. Mais il était mort. Nous sommes alors retournés vers les deux jeunes hommes couchés côte à côte sur le trottoir.

Mon partenaire commença alors à leur réciter la Shahadah. “Dites: La iIaha illAllah, La iIaha illAllah…”
... mais leurs langues refusèrent de témoigner. Ils commencèrent plutôt à murmurer, comme sous hypnose, les paroles d’une chanson. J’étais horrifié. Mais mon partenaire, qui avait de l'expérience, continua à leur répéter son instruction.

J'étais debout et j’observais, sans faire le moindre mouvement, le regard fermé. De toute ma vie jamais je n’avais vu pareille chose. En fait, je n'avais jamais vu quelqu'un mourir devant moi, et encore moins d’une façon aussi satanique.

Mon partenaire continuait à leur dire de réciter la Shahadah mais cela ne servait à rien. Le murmure de leur chanson finit par prendre fin, laissant lentement place au silence. Le premier se tut, puis ce fut au tour du deuxième. Pas le moindre mouvement. Ils étaient morts.

Nous les avons alors emmenés jusqu’à notre voiture de patrouille, mon partenaire ne ne dit pas un mot. Nous n’échangeâmes pas même un soupir sur le trajet transportant les cadavres à l'hôpital le plus proche.

L'officier de police retomba de nouveau dans la routine, raconte-t-il, et commença à s’éloigner du chemin d'Allah. Mais un autre événement particulier eut lieu dans sa vie et scella cette fois-ci son retour à Allah. Il poursuit ainsi son récit :
Quel drôle de monde. Après quelque temps, environ six mois, un accident étrange eut lieu. Un jeune homme conduisait normalement sur la route, mais dans un des tunnels menant à la ville, il fut mutilé à cause d’un pneu crevé.

Il s'était garé sur le côté dans le tunnel et était sorti chercher une roue de secours à l’arrière du véhicule. Le bruit sifflant d'une voiture roulant à toute vitesse arrivait derrière. Une seconde après, elle entrait en collision avec la voiture stationnée, le jeune homme se trouvant entre les deux véhicules. Il tomba au sol gravement blessé.

Je me précipitai alors sur les lieux, accompagné d’un autre partenaire différent de celui de l’accident précédemment mentionné. Nous transportâmes ensemble le corps du jeune homme jusqu’à notre voiture de patrouille et téléphonâmes à l'hôpital pour qu’ils se tiennent prêts pour son arrivée.

C'était un jeune adulte dans la fleur de l'âge. On devinait qu’il était religieux par son apparence. On l'entendait chuchoter des paroles en le portant, mais dans notre hâte, nous n'avions pas prêté attention à ce qu'il disait.

Cependant, lorsque nous l'avons placé sur le dos dans la voiture de patrouille nous avons fini par comprendre ce qu’il disait. Malgré la douleur, son cœur récitait le Coran ! Il était tellement absorbé dans sa récitation.. Subhan Allah, nul n'aurait pu croire que cette personne souffrait de douleurs atroces.

Trempés de sang, ses vêtements avaient viré au rouge cramoisi, ses os avaient certainement éclatés en plusieurs endroits. Pour dire la vérité, il avait le regard fixe de celui qui venait de voir la mort.

Il continuait à réciter de sa voix unique et tendre. Récitant chaque verset dans un rythme posé. De toute ma vie, je n'avais jamais entendu une telle récitation. Je me dis alors, je vais.. je vais lui dire de réciter la Shahadah tout comme l’avait fait mon ami; surtout maintenant que j'avais appris de ma précédente expérience.

Mon partenaire et moi écoutions attentivement cette voix douce. J’en eus des frissons dans le dos et le haut du bras, j’en avais vraiment la chair de poule.
Soudain, il cessa sa récitation. Je le regardai silencieusement lorsqu’il leva légèrement la main. Il avait l'index pointé vers les cieux, récitant la Shahadah (La ilaha illa Allah). Puis... sa tête retomba. Et plus rien.
g
14 mars 2008 11:09
Un agent de police (suite)


Je sautai alors sur le siège arrière pour sentir son pouls sur sa main, son cœur, et sa respiration. Il était mort !

Je ne pouvais cesser de le regarder. Je laissai couler une larme mais honteux je la cachai aussitôt. Je me retournai vers mon partenaire et lui dit que la vie du garçon s’était arrêtée là - il a éclata alors en sanglots. En voyant cet homme pleurer ainsi devant moi, je n'ai pas pu me contrôler et mon partenaire disparut alors de ma vue du fait de mes propres larmes. Le voiture de patrouille elle-même était à peine visible du fait de l’émotion que j’éprouvais.

Nous arrivâmes à l'hôpital. Tout en traversant les couloirs avec précipitation, nous racontâmes à tous les médecins, les infirmières, et les personnes présentes ce qui était arrivé.
Tant de personnes furent touchées par notre récit, certains en restèrent immobiles et muets, les yeux pleins de larmes.

Aucun d’eux ne voulut quitter le jeune garçon avant de s’assurer de l’heure et du lieu de son enterrement.

Un membre du personnel de l'hôpital téléphona à son domicile. Son frère répondit et fut informé de l'accident.

Voici ce que son frère nous raconta à son sujet : Il avait pour habitude de sortir tous les lundis visiter son unique grand-mère qui habitait en dehors de la ville. Chaque fois qu’il lui rendait visite il prenait soin de passer du temps avec les enfants pauvres qui erraient dans les rues et les orphelins.

Le village le connaissait bien - il était pour eux celui qui leur apportait des livres et des k7 sur l’Islam. Son Mazda poussiéreux était toujours plein de riz et de sucre et même des sucreries ; jamais il n’oubliait d'apporter des sucreries aux familles qui étaient dans le besoin.


Personne ne pouvait le décourager de prendre le long voyage qui conduisait jusqu’à ce village. Il répondait toujours poliment que ce long trajet lui permettait de revoir le Coran et d’écouter des cassettes de lectures islamiques.


Et... et que grâce à chaque étape conduisant à la ville il espérait trouver une récompense auprès d’Allah.
g
14 mars 2008 11:10
A Méditer !!!

C'est un homme qui prend sa voiture et fais un long trajet.

Sur son chemin, il voit une personne faire du STOP.
Il s'arrête et lui demande : qui es tu ?
L'homme lui répondit : Je suis le DOLLAR
L'automobiliste tout content lui dit monte, tu es le bienvenu.

Il continua à rouler et vit une autre personne faire du STOP.
Il s'arrêta et lui dit: Qui es tu ?
L'homme lui répondit : je suis l'Euro.
L'automobiliste tout ému, et tout content, lui dit monte, tu es le bienvenu.

Il continua à rouler et vit une troisième personne faire du STOP.
Il s'arrête de nouveau, et lui dit: Qui es tu ?
L'homme lui répondit : je suis le "DOUNIA". (Tout le bas-monde)
L'homme sauta de joie, et lui dit monte, tu es le bienvenue.

Il continua à rouler, tout content, possédant le DOLLAR, l'EURO et DOUNIA
Il vit une autre personne faire du STOP
Il lui posa la même question que les précédents: Qui es tu ?
L'Homme lui répondit : je suis le "DINE".
L'automobiliste lui dit, j'ai déjà tout: le DOLLAR, l'EURO et le DOUNIA. Je n'ai pas besoin de toi. Plus tard peut- être répondit-il.

L'automobiliste laissa le DINE, et reparti sur sa route.
Il vit encore une autre personne faire du stop.
Il s'arrêta, et comme tous les autres, lui demanda : Qui es tu ?
L'homme lui répondit : je suis l'ange de la mort (Malyk Al moute).
L'automobiliste lui dit : Attends, je vais faire demi tour, et ramené le DINE avec moi, je t’en supplie.
L'ange de la mort lui dit que c'était trop tard, qu'il a déjà eu sa chance, et qu'il fallait la saisir au bon moment, lorsque le DINE s'est présenté à lui. Et l'ange de la mort prit son âme.

Ce qu'il faut retenir dans cette histoire, c'est qu'il faut toujours rester dans le droit chemin,
et laisser un peu DOUNIA de côté... Et faire un maximum de bonnes œuvres.

Lorsque l'ange de la mort passe, il n'y a plus moyen de faire demi-tour. Il te prend ton âme, ton cœur et tes actions (bonnes et mauvaises)...
g
14 mars 2008 11:11
l'islam n'est pas a vendre!!!

Voici une petite histoire à méditer:

Un nouveau imam a été affecté à une mosquée de Londres. Pour se rendre en ville, il prenait toujours le même bus, et souvent avec le même conducteur.

Un jour, en achetant son ticket le conducteur se trompe et lui rend 20 centimes de monnaie en trop.

L'imam se rend compte de l'erreur une fois assis lorsqu'il a recompté sa monnaie. Il s'est dit qu'il devait rendre les 20 centimes au conducteur, puis il sei dit que c'est une somme
ridicule et que le conducteur s'en moque! L'entreprise des transports en commun gagne beaucoup d'argent et ce ne sont pas ces 20 centimes qui affecteront leurs comptes. Il s'est dit qu'il pouvait les garder et les considérer comme un cadeau du ciel.

Arrivé à son arrêt, l'imam se lève et change d'avis, et avant de descendre il va voir le conducteur et lui rend les 20 centimes en disant: "Vous m'avez rendu en trop".

Le conducteur sourit et lui dit: "Vous êtes le nouveau imam de la mosquée n'est-ce pas?
En fait, ça fait quelque temps que je pense rendre visite à votre mosquée pour apprendre l'Islam, et j'ai fait exprès de vous rendre de la monnaie en trop pour voir votre réaction."

En descendant, l'imam a senti ses jambes flancher et a faillit s'effondrer.
Il se ressaisit en s'appuyant à un poteau, puis il regarda le ciel les yeux en larmes:
"Ô Allah! J'ai faillit vendre l'Islam pour 20 centimes!!! "


La morale:

Les musulmans, hors de la terre d'Islam, vous êtes en première ligne. Des ambassadeurs de l'Islam! Peut-être que vous êtes la seule, et la première, image concrète de l'Islam pour beaucoup de non-musulmans. Soyez à la hauteur! Ne déshonorez pas la Oumma de Mohammed !

N'oubliez jamais qu'à travers vous, on fera, malheureusement, le procès de l'Islam!
g
14 mars 2008 11:11
Où se cacher ?

Dans une salle de classe d’une école islamique, le professeur lance un défi à ses élèves :
"Qui d’entre vous est capable de trouver une cachette ?"
Les élèves, amusés, relèvent le défi en pensant à la simplicité de la tâche. Mais le professeur précise un point essentiel à cette épreuve :
"Il y a une condition : Cette cachette ne devra être découverte par personne."

Les élèves ne se laissent pas perturber pour autant et assurent qu’ils réussiront à trouver une cachette à l’abri de tout regard.
Quelque temps après, les élèves reviennent les uns après les autres, certifiant avoir bien trouvé une cachette... sauf un petit garçon qui arrive en pleurs.
Le professeur lui demande alors la raison de ces pleurs, et le petit garçon répond :

"Je n’ai pas pu relever le défi : S’il s’agit de trouver une cachette, j’en ai trouvé plusieurs, mais à chaque fois que je me souvenais de la condition à respecter, je me disais que cette cachette est impossible à découvrir, car je sais qu’il y a toujours une présence."

"Une présence ? Mais quelle présence ?" interroge le professeur.

L’élève éclata en sanglots et dit : "Allah ! ! Comment faire pour me cacher d’Allah ? Lui Qui voit et entend tout !"

Le professeur lui demanda de sécher ses larmes et le félicita car c’est exactement ce qu’il attendait de ses élèves.
En effet cet enfant avait atteint ce qu’on appelle : "Le bel agir" (al-ihsan) qui consiste à adorer Allah comme si on Le voyait, car si on le voit pas, Allah, Lui nous voit. Cet enfant avait toujours à l’esprit le verset 7 de la sourate 58, Al-Moujâdala, La discussion :

« Ne vois-tu pas qu’Allah sait ce qui est dans les cieux et sur la terre ? Pas de conversation secrète entre trois sans qu’Il ne soit leur quatrième, ni entre cinq sans qu’Il n’y ne soit leur sixième, ni moins ni plus que cela sans qu’Il ne soit avec eux, là où ils se trouvent. Ensuite, Il les informera, au Jour de la Résurrection, de ce qu’ils faisaient, car Allah est Omniscient. »

Ainsi, si nous avions toujours en tête ce verset, nous éviterions de commettre des péchés.
g
14 mars 2008 11:12
La patience

On raconte que dans une ville d'entre les villes, où l'on enseignait toutes les sciences, vivait un jeune homme beau et studieux. Bien que rien ne lui manquât, il était possédé du désir de toujours apprendre d'avantage. Il lui fut un jour révélé, grâce au récit d'un marchand voyageur, qu'il existait dans un pays fort éloigné, un savant qui était l'homme le plus saint de l'Islam et qui possédait à lui seul autant de science, de sagesse et de vertu, que tous les savants du siècle réunis. Malgré sa renommée, ce savant exerçait le simple métier de forgeron, comme son père avant lui et son grand-père avant son père.

Ayant entendu ces paroles, le jeune homme rentra chez lui, prit ses sandales, sa besace et son bâton, et quitta la ville et ses amis sur le champ. Il marcha pendant quarante jours et quarante nuits. Enfin il arriva dans la ville du forgeron. Il alla directement au souk et se présenta à celui dont tous les passants lui avaient indiqué la boutique. Il baisa le pan de la robe du forgeron et se tint devant lui avec déférence.

Le forgeron qui était un homme d'âge au visage marqué par la bénédiction lui demanda :

- Que désires-tu, mon fils ?

- Apprendre la science. répondit le jeune homme.

Pour toute réponse le forgeron lui mit dans les mains la corde du soufflet de la forge et lui dit de tirer. Le nouveau disciple répondit par l'obéissance et se mit aussitôt à tirer et à relâcher la corde sans discontinuer, depuis le moment de son arrivée jusqu'au coucher du soleil. Le lendemain il s'acquitta du même travail, ainsi que les jours suivants, pendant des semaines, pendant des mois et ainsi toute une année, sans que personne dans la forge, ni le maître, ni les nombreux disciples qui avaient chacun un travail tout aussi rigoureux, ne lui adressât une seule fois la parole, sans que personne ne se plaignît ou seulement murmurât.

Cinq années passèrent de la sorte. Le disciple, un jour, se hasarda timidement à ouvrir la bouche :

- Maître...

Le forgeron s'arrêta dans son travail. Tous les disciples, à la limite de l'anxiété, firent de même. Dans le silence il se tourna vers le jeune homme et demanda :

- Que veux-tu ?

- La science !

Le forgeron dit :

- Tire la corde !

Sans un mot de plus tout le monde reprit le travail. Cinq autres années s'écoulèrent durant lesquelles, du matin au soir, sans répit, le disciple tira la corde du soufflet, sans que personne ne lui adressât la parole. Mais si quelqu'un avait besoin d'être éclairé sur une question de n'importe quel domaine, il lui était loisible d'écrire la demande et de la présenter au Maître le matin en entrant dans la forge. Le Maître ne lisait jamais l'écrit. S'il jetait le papier au feu, c'est sans doute que la demande ne valait pas la réponse. S'il plaçait le papier dans son turban, le disciple qui l'avait présenté trouvait le soir la réponse du Maître écrite en caractères d'or sur le mur de sa cellule.

Lorsque dix années furent écoulées, le forgeron s'approcha du jeune homme et lui toucha l'épaule. Le jeune homme, pour la première fois depuis des années, lâcha la corde du soufflet de forge. Une grande joie descendit en lui. Le Maître dit :

- Mon fils, tu peux retourner vers ton pays et ta demeure, avec toute la science du monde et de la vie dans ton cœur. Car tout cela tu l’as acquis en acquérant la vertu de la patience !

Et il lui donna le baiser de paix. Le disciple s'en retourna illuminer dans son pays, au milieu de ses amis. Et il vit clair dans la vie.
Qu'ALLAH nous guide .AMINE
g
14 mars 2008 11:12
Je n'ai pas pris le temps ...

J'ai reçu cela d'une sœur dans ma boite email, cela fait vraiment réfléchir... on dit souvent ah je n'ai pas eu le temps mais en réalité nous devrions plutôt dire je n'ai pas pris le temps car du temps Allah nous en donne avec largesse....


Je me suis agenouillée pour prier mais pas pour longtemps.
J'avais trop de choses à faire. Je devais me dépêcher et d'arriver au travail car le salaire en dépendait. Donc je me suis agenouillée et j'ai dit une prière pressée, ensuite
j'ai sauté sur mes pieds. Mon devoir de MUSULMAN...était fait.
Mon âme pouvait reposer tranquillement.
Tout au long de la journée, je n'avais pas le temps de prononcer un mot de bonne disposition. Pas le temps de parler de Mouhammad (sws) à mes amis. Je craignais qu'ils rient de moi.
Pas de temps, pas de temps, trop à faire. C'était mon cri constant, Pas de temps à donner à des âmes dans le besoin.

Mais enfin arriva le temps, le temps de mourir. Je suis arrivée devant le Seigneur. J'étais debout avec l'air battu. Dans ses mains, Dieu tenait un livre.

C'était le livre de vie. Dieu examina son livre et dit: "
Je n’ai pas trouvé ton nom. J'allais une fois l'écrire en bas, mais je n'ai jamais trouvé le temps.


"Moralité:

Quelle que soit la manière dont nous Sommes pressés ou occupés (à quoi?), nous devons faire de notre vie une Eternelle prière, toujours garder le contact avec Dieu.
g
14 mars 2008 11:13
La pomme

Au 1er siècle de l’hégire dans la ville de Koufah, Sabeth marche sous un soleil brûlant en plein midi. Il arrive dans un jardin et voit une pomme tombée à terre. Il la ramasse et en mange la moitié. Puis il se rappelle qu’il n’a pas le droit de manger quelque chose qui ne lui appartient pas, il se blâme d’avoir mangé la moitié de cette pomme, et à ce moment, survient le jardinier.

Sabeth lui dit :
« Je vous demande pardon pour la moitié de pomme que je viens de manger ; voilà, je vous rends ce qui reste de la pomme. »

Le jardinier dit :
« Je ne suis pas le propriétaire du jardin, et je n’ai pas le pouvoir de vous accorder le pardon. »

« Qui est le propriétaire alors ? » demande Sabeth.
Le jardinier lui indique une maison. Sabeth s’y rend, demande à voir le propriétaire et lui raconte ce qui s’est passé.

Le propriétaire dit :
« Je vous pardonne à une seule condition ! Si vous l’acceptez ; vous êtes pardonné, sinon vous me rendrez des comptes au jour du jugement dernier devant Celui Qui veille tout le temps et Qui n’oublie rien. »

Sabeth se met à trembler de tout son corps, de peur que la condition ne soit trop dure.
« Quelle est cette condition ? » Demanda-t-il.
« Je veux vous donner ma fille en mariage. » répondit le propriétaire.
« Est-ce là une condition ? C’est plutôt un prix de mérite et une récompense d’encouragement. »

Mais le propriétaire du jardin poursuit aussitôt :
« Je vais vous décrire ma fille : Elle est aveugle, sourde, muette, handicapée. Elle ne peut ni entendre, ni parler, ni voir, ni marcher ! Si vous la prenez pour épouse, je vous pardonne, sans cela vous ne pourrez pas bénéficier de mon pardon. »

Sabeth réfléchit longuement, la tête baissée...
Puis il dit :"Je l’épouserai. Maintenant, pardonnez-moi. Je la servirai devant Dieu Tout Puissant."
Le propriétaire fait venir deux compagnons du Prophète pour être les témoins du mariage. Puis arrive le jour du mariage.

Le père de la fille dit :

"Je vous ai préparé une chambre dans ma maison."
Il introduit ensuite sa fille dans la chambre et Sabeth entre à son tour. Il la voit assise et lui adresse le salut conformément aux préceptes de l’Islam.

Son père lui avait dit qu’elle était aveugle, muette, sourde, et handicapée. Or celle-ci répond à son salut puis se lève, et lui serre la main. Il constate alors qu’elle n’est ni aveugle, ni sourde, ni muette, ni handicapée !

Etonné, il s’exclame :
"Expliquez-moi ? Votre père vous avez décrit autrement ! ! Vous n’êtes donc pas aveugle, sourde, muette et handicapée ?"

Elle lui répond :
"Mon père ne vous a pas mentit : Il a dit que je ne voyais pas, et effectivement, je suis aveugle à tout ce qui puisse provoquer la colère de Dieu Tout Puissant.

Il vous a dit également que j’étais sourde : Effectivement, mes oreilles n’ont jamais entendu ni médisance, ni diffamation, ni frivolité, ni futilité.

Il vous a dit que j’étais muette : Effectivement, je n’ai jamais prononcé de paroles susceptibles de susciter la colère de Dieu. Je suis muette à tout ce qui peut me divertir de mon adoration de Dieu.

Il vous a dit que j’étais handicapée : Effectivement, je ne fréquente aucun lieu qui ne donne pas satisfaction à Dieu. Je vais seulement à la mosquée et accomplir de bonnes œuvres.

Mon père n’a pas menti mais a bien dit la vérité."
Sabeth la regarde alors, et la trouve d’une beauté éblouissante.
De leur union naquit le grand imam Abou Hanifa.
g
14 mars 2008 11:14
Les prisonniers de la grotte


Trois hommes marchaient lorsqu’un orage les surprit. Ils se réfugièrent dans une grotte. Un rocher se détacha de la montagne et boucha l’entrée.

L’un d’entre eux dit : " Que chacun de vous invoque Allah en Lui indiquant la meilleure action qu’il a faite pour obtenir Son amour ; invoquez-le et priez Allah, peut-être seriez vous délivrés de cette grotte ".

L’un d’eux commença par dire :
" Ô Seigneur ! J’avais un père et une mère, tous deux très âgés et des jeunes enfants. J’étais berger et tous les jours, je sortais faire paître le troupeau ; puis, aussitôt rentré, je trayais les brebis et donnais à boire à mes parents avant mes enfants. Un jour, j’ai mené paître mes bêtes un peu loin, et je rentrai si tard que je trouvai mon père et ma mère endormis. Je ne voulais les déranger dans leur sommeil pour leur servir le lait, et il m’était désagréable de commencer par les enfants bien que ceux-ci pleuraient de faim à mes pieds. Je restai ainsi pendant toute la nuit jusqu’à l’aube. Ô Seigneur ! Si Tu sais que j’ai fait ça pour Ton amour, pratique-nous une ouverture qui nous permette de voir le ciel ".

Allah, le Très-Haut, ordonna alors de leur pratiquer une ouverture leur permettant de voir le ciel.

" Ô Seigneur ! J’avais une cousine que j’aimais très fort, aussi fort qu’un homme peut aimer une femme. Je me suis mis à la séduire, elle refusa à moins que je ne lui donne cent dinars. J’ai travaillé et ramassé cette somme. Je suis allé la trouver avec l’argent et alors que nous étions enlacés, elle me dit : "Ô Serviteur d’Allah ! Crains Dieu et respecte-moi ! ". Aussitôt, je me levai et la laissai. Si Tu sais, Seigneur, que j’ai agi ainsi, seulement pour Ton amour, écarte nous cette roche ".

Et la roche s’écarta encore un peu.

" Ô Seigneur ! s’écria le troisième, j’avais employé un ouvrier moyennant un fariq de riz (c’est une mesure médinoise équivalente à huit kilos de riz). Quand il termina son travail, je lui présentai son salaire qu’il refusa de prendre le jugeant trop bas et s’en alla. Je pris alors le riz, le semai et plus tard je pus acheter, grâce au produit, des bœufs et employa des bergers. Quelque temps après, le même homme vint me trouver et me dit : " Crains Allah et donne-moi mon salaire et ne me lèse pas ".
- " Va prendre ces bœufs avec leurs bergers ", lui répondis-je.
- " Crains Allah et ne te moque pas de moi ! " me répliqua-t-il.
- " Mais non, je ne me moque pas de toi, lui dis-je, prends ces bœufs et leurs bergers ".
Seigneur ! Si Tu sais que j’ai fait cela pour Te plaire, délivre-nous ".


Allah ordonna alors de leur ouvrir complètement l’issue de la grotte.
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