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Histoire secrète : Comment notre Sahara oriental a été amputé
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30 avril 2006 14:37
source: tel quel

Le processus qui a amené Hassan II à abandonner une part du Sahara oriental nous aide à mieux comprendre les relations entre le Maroc et l’Algérie, aujourd’hui sur le point de renégocier pour le sort de l’autre Sahara, occidental celui là. Analyse, par Driss Ksikes


Quand ce politicien, méconnu, du nom de Mohamed Alouah est sorti de l’ombre le 3 novembre dernier pour revendiquer 38% du territoire algérien, il a carrément créé un incident diplomatique. Normal, le sujet est officiellement clos et le tracé des frontières
définitif est publié au Bulletin officiel depuis 1992. S’il a dérangé, c’est parce que les deux pays s’apprêtent, sous pression internationale, à reprendre le chemin des négociations. Autrement dit, "le timing est mal choisi pour retourner le couteau dans les plaies", commente un connaisseur des relations tendues entre les deux pays limitrophes. Incidemment, cela nous apprend qu’il y a une part de vérité dans les propos "désinvoltes" d’Alouah. La leçon de l’histoire vaut, donc, le détour. D’autant que rien dans les manuels d’histoire au Maroc n’explique aux jeunes comment Tindouf, Béchar, Ich, Kenadsa, Beni Ounnif, Hassi Baïda, Tinjoub et autres localités, introuvables sur notre carte, hier encore sous l’autorité du Makhzen, sont passés du côté algérien. Or, l’histoire des négociations secrètes, des fausses promesses du premier président de l’Algérie indépendante, Ahmed Ben Bella, de la flexibilité excessive de Hassan II sur cette question des frontières communes, est lourde d’enseignements.

Comment Alger a hérité du flou colonial
"Le Maroc n’est pas une simple continuation de l’Algérie mais il serait absurde d’établir entre notre colonie et les régions qui l’avoisinent une cloison étanche", écrivait André Bernard en 1901 pour justifier la politique de la France envers "les confins algéro-marocains". Le flou créé sous le protectorat a eu comme effet d’amputer le Maroc de Tindouf et Jehifat, pour des raisons minières, de Béchar pour faciliter la construction d’une ligne ferroviaire, et une fois la guerre d’Algérie déclenchée, de Beïda, Tinjoub et Zegdou pour "éviter l’infiltration du FLN par le Sahara marocain", rapporte Mohamed Maazouzi, conseiller de Hassan II en matières frontalières. Au lendemain de l’indépendance, chaque pays avait une position à défendre. Dans un premier temps, solidarité maghrébine et nationale obligent, "Mohamed V et plus tard Hassan II avaient refusé de négocier la question des frontières avec Paris tant que l’Algérie n’avait pas recouvert son indépendance", raconte Maazouzi. Une fois les deux pays sur le même pied d’égalité, chacun affûtait ses arguments. Rabat maintenait que les limites administratives posées par Varnier en 1912 et Trinquet en 1938 étaient en faveur des départements français d’Algérie et au détriment de la souveraineté du Maroc, vaguement représentée alors par des mokhaznis en poste et confirmée par les accords antérieurs de Lalla Maghnia. Mieux, dans un élan confraternel, le 6 juillet 1961, Hassan II a réussi à signer à Rabat un protocole d’accord avec le président du gouvernement provisoire de la république d’Algérie, Ferhat Abbas, lequel "reconnaît que le problème territorial posé par la délimitation imposée arbitrairement par la France entre les deux pays trouvera sa résolution dans les négociations entre le gouvernement du royaume du Maroc et celui de l’Algérie indépendante". Entre temps, depuis le milieu des années 50, la France qui avait des visées sur la région et ne comptait pas la rétrocéder, a créé un ministère du Sahara et une organisation commune des régions sahariennes OCRS, qui établissait Bechar et Tindouf, par exemple, en départements dépendant de la métropole. Depuis le 16 mars 1962, une convention paritaire franco-algérienne a hérité du dossier et s’est considérée comme "un prolongement naturel de la tutelle française sur ces localités". Rien n’y a fait. Les tentatives de récupérer les territoires menées par l’armée de libération nationale ont été "contrecarrées aussi bien par nos homologues algériens que par les FAR", raconte Bensaïd Aït Idder. Et les manifestations spontanées des Tindoufis en faveur de la marocanité de leur ville ont été matées. "Lorsque feu Hassan II s’est rendu à Alger le 13 mars 1963, pour rencontrer le président Ben Bella, il a rapporté des preuves historiques, des cartes, pour régler le différend frontalier. C’est comme s’il tenait une clef pour ouvrir une serrure rouillée", raconte Adbdelhadi Boutaleb, qui l’accompagnait. "Je lui ai dit, il y a quand même Tindouf, vous ne pouvez vraiment pas méconnaître que Tindouf est certainement, parmi toutes les injustices, la plus flagrante et la plus patente", rapportait le roi défunt, prêt alors à toutes les concessions sauf celle-ci. Sur un ton rassurant, mais trompeur, Ben Bella lui a répliqué :"Il ne saurait être question pour les Algériens d’être purement et simplement les héritiers de la France en ce qui concerne les frontières de l’Algérie". Le roi a pris cela pour une promesse, mais comme le dit Ben Bella dans une interview accordée à Al Jazeera, "il n’y a jamais eu un engagement écrit ". Il fallait donc s’attendre à un volte-face. La preuve, à peine Ahmed Réda Guedira, directeur du cabinet royal, et Abdelaziz Bouteflika, ministre des Affaires étrangères alors, s’étaient réunis le 5 octobre 1963 à Oujda pour "réaffirmer le principe de non-ingérence" entre les deux pays, que l’armée algérienne s’est empressé de le violer. Ses incursions enregistrées à Hassi Baïda et Tinjoub, mais aussi les attaques violentes contre les postes d’Ich, à 50 km de Figuig, et un viol de l'espace aérien de la région de Tindrara (près d’Oujda) ont été le prélude à la fameuse guerre des sables. Derrière cette volonté hégémonique, il y avait une Algérie sortie héroïque de sa guerre d’indépendance, portant des projets d’industrialisation par lesquels elle justifiait sa mainmise sur des régions riches sur le plan minier et énergétique. Contre les revendications marocaines, elle se référait aux textes concoctés à l’OCRS et se prévalait d’une couverture française. Valéry Giscard d’Estaing n’avait-il pas déclaré au Nouvel Observateur : "Le Maroc ne pourra plus jamais récupérer Tindouf".

Comment Hassan II a cédé
Le roi défunt a eu plusieurs occasions pour récupérer son dû. Surtout que Ben Bella lui a envoyé un message sans équivoque, par la voie de Boutaleb et Medbouh, alors conseiller militaire du roi, l’informant que "la question des frontières est un problème imaginaire. Il faudrait cesser d’en parler aujourd’hui pour le dépasser plus tard, ajoutant que le système monarchique se doit d’affronter ses problèmes internes et savoir que le système algérien est blindé". Cela a été l’élément déclencheur entre les deux pays, mais lorsque les FAR étaient à 20 km de Tindouf, l’ordre leur a été intimé par le roi de rebrousser chemin. Le colonel Driss Benomar est alors rentré voir le roi dans tous ses états, remettant son trier comme signe de démission. Il lui a dit, en présence de Guédira, Balafrej et Boutaleb, "il est inacceptable dans la logique de guerre et de par les traditions militaires, qu’une armée victorieuse revienne sur ses pas, comme si elle avait perdu".
"Le roi devait alors gérer des données plus complexes. L’Algérie était plus forte idéologiquement, avait le soutien de Nasser, et la sympathie d’une partie de la rue marocaine, emmenée par une gauche impressionnée par le modèle algérien", explique Larbi Messari. C’est d’ailleurs dans cet élan de sympathie pro-algérien, dans des temps difficiles, que Mehdi Ben Barka s’est rendu à Hassi Baïda affirmer son soutien au projet révolutionnaire algérien. Ce qui lui a valu sa condamnation à la peine de mort. C’est donc face à un Maroc divisé et devant une Algérie prestigieuse que le Maroc s’est retrouvé à Bamako dans une commission instaurée par l’OUA pour régler le litige frontalier. Mais suite à l’assasinat de Ben Barka, et la révolte du 23 Mars 1965, et face à l’entêtement d’une Algérie alimentant le sentiment antimonarchique, le roi a décidé de se retirer de cette commission et d'abandonner l’affaire. Dans la foulée, l’ambition algérienne s’est confirmée par la nationalisation de la mine de fer la plus importante et la plus controversée entre les deux pays, Garat Jbilat.
Quatre ans plus tard, et suite à des contacts téléphoniques au sommet avec le nouveau président Houari Boumedienne, une rencontre à Ifrane puis une seconde à Tlemcen allaient entériner le vœu longtemps caressé par les Algériens, à savoir garder toutes les localités spoliées et ensuite avoir un accès par une ligne ferroviaire à l’Atlantique pour acheminer leurs minerais et productions industrielles. Ils allaient de la sorte réaliser le vieux rêve français de créer une ligne ferroviaire transsaharienne qui affrêterait à partir d’Agadir. L’accord n’a pas abouti. Boutaleb, alors ministre des Affaires étrangères, ne disposait d’aucun dossier sur l’affaire. "Tout se gérait au téléphone entre les deux chefs d’État". Lorsqu’il devait conclure avec Bouteflika les modalités à Lusaka, il s’est rendu compte que l’Algérie voulait le beurre et l’argent du beurre. Le projet, tel que prévu par le roi et le président, prévoyaient une co-exploitation équitable de la mine, mais le ministre algérien, parlant au nom de l’État à son homologue, lui a fait savoir que "seul l’usufruit pouvait être partagé".
Lorsque le 15 juin 1972, les deux pays finissent par signer la convention qui fixe définitivement le tracé des frontières (elle n’a été publiée au Bulletin officiel qu’en 1992), Hassan II est affaibli par les coups d’État et commence déjà à songer à une solution plus pérenne pour le Sahara occidental. Il en a fait part dans une réunion à huis clos des chefs d’Etat islamiques en 1970. "Il voulait réfléchir longuement pour arriver à une solution qu’il négocierait avec l’Algérie", rapporte Boutaleb
s
30 avril 2006 16:17
la monarchie n'a pas hésité à céder une partie du territoire, et aprés on parle de la monarchie garante de l'intégrité territorial.
Pour moi c'est de la traitrise.
z
30 avril 2006 19:01
C'est bien pour cela qu'il faut etre clair et net quant a la souverainete du pays. Pas de negociations sur la souverainete. pas de referendum. Point barre. H2 a fait les erreurs qu'il a fait pour les raisons cites ci-haut. Il a eu tort de faire confiance a la parole de Ferhat Ababs et de Bumedienne. Le Maroc en a paye le prix. Il ne le payera pas une seconde fois avec le sahara. Alger s'y fera tot ou tard, ce n'est qu'une question de temps.
l
1 mai 2006 13:44
ce n'est pas une histoire secréte c'est l'Histoire avec un grand H ,et il est du Devoir du Maroc de faire la lumière sur toute cette histoire ( renier tous les accords puisque les algeriens les ont reniés) devant toutes les instances internationales pour comprendre le vrai probléme du Sahara car il tire son origine de cette époque coloniale et je suis sur que cette carte de l'Algérie a fait du tort aussi bien à la tunisie à la lybie au mali et au Niger...et pas besoin d'etre un expert suffit d'observer cette carte pour comprendre le complot de la France et s'il y a un devoir moral que devrait assumer cette chere France et de faire la lumière devant les nations unies de toute cette magouille dictée evidement par les ressouces énergetiques et rien de plus ...
4 mai 2006 00:38
dans ce cas, il faut que les pays nordafricains ou subsahariens colonisés et touchés par ce morcellement arbitraire déposent une plainte contre la france pour :
1) exiger des réparations ( en milliards de milliards de dollars us )
2) rétablir chaque pays victime dans ses frontières historiques et légitimes. Point final.
d
4 mai 2006 01:51
Ma femme est espagnol ma mère la appeler aujourd’hui pour lui dire que son nom était SAHAR.
Je suis marocains je te dis que le Sahara est marocain .
VIVA TU CASTRO
s
4 mai 2006 13:21
Citation
zaki7 a écrit:
C'est bien pour cela qu'il faut etre clair et net quant a la souverainete du pays. Pas de negociations sur la souverainete. pas de referendum. Point barre. H2 a fait les erreurs qu'il a fait pour les raisons cites ci-haut. Il a eu tort de faire confiance a la parole de Ferhat Ababs et de Bumedienne. Le Maroc en a paye le prix. Il ne le payera pas une seconde fois avec le sahara. Alger s'y fera tot ou tard, ce n'est qu'une question de temps.

on avais pas a payer même une premiére fois, mohamd5 et hassan2 auraient du être ferme sur les frontiéres marocainne, on ne vends pas son pays pour avoir la paix avec son voisin.

Rien que ça devrais les discréditer aux yeux de l'histoire.
k
14 mai 2006 12:40
« Mentez, mentez, mentez Plus un mensonge est gros…plus il a de la chances d’être cru ! », Voila en quoi se résume votre histoire …c’est étonnant comment l’histoire du grand Maroc ressemble étrangement a celle du grands Israël…vous avez bien appris la leçons de vos maître sioniste seul différence que eux son puissant…Alors pourquoi vous n’avez pas combattu les français pour récupérer vos frontière …je pense que Mohamed 5 avait une stratégie lâche qui consistais à dire « laisser les algérien combattre les français et mourir et une fois qu’ils obtienne leur indépendance on récupérera notr terre imaginaire… ». Aillez le courage au moins une fois dans votre vie et envahissez l’Algérie pour les récupérer
a
14 mai 2006 14:04
moi le sentiment que j'ai c'est que la monarchie fait passer ses intérêts avant ceux de la nation.
le roi h2 avait peur que l'Algérie utilise la gauche marocaine de l'époque emmenée par Mehdi Ben Barka, afin de causer la perte de la monarchie marocaine, surtout qu'une partie de la rue marocaine admirait la révolution algérienne. Alors h2 a vite fait le calcul et alors que son armée était sur le point de récupérer Tindouf, il a tout simplement fait marche arrière, de peur d'être enlisé dans une guerre avec l'Algérie qui serait en plus soutenue par Nasser. C'était trop dangereux pour la monarchie.
K
14 mai 2006 14:08
Citation
kar64 a écrit:
« Mentez, mentez, mentez Plus un mensonge est gros…plus il a de la chances d’être cru ! », Voila en quoi se résume votre histoire …c’est étonnant comment l’histoire du grand Maroc ressemble étrangement a celle du grands Israël…vous avez bien appris la leçons de vos maître sioniste seul différence que eux son puissant…Alors pourquoi vous n’avez pas combattu les français pour récupérer vos frontière …je pense que Mohamed 5 avait une stratégie lâche qui consistais à dire « laisser les algérien combattre les français et mourir et une fois qu’ils obtienne leur indépendance on récupérera notr terre imaginaire… ». Aillez le courage au moins une fois dans votre vie et envahissez l’Algérie pour les récupérer

Traiter feu Mohamed 5 de lache c'est un manque RESPECT, qui me fait dire que ta façon de penser ne mérite méme pas de débat.
Seul conseil ouvre un livre d'histoire,dans n'importe quel pays et tu apprendras qui était feu mohamed 5. Le million de moudjahid algériens (que dieu ai leurs ames), qui EUX savent, qui il était doivent avoir honte de TOI.
Dire que les marocains ont laissé combattre les algériens, c'est une HONTE,tu connais le groupe d'Oujda, si non demande à Bouteflika (dont il faisait partie) tu auras une réponse.
k
14 mai 2006 16:06
malheuresemnt c'est une réalité..je t'apprends qu'indirectement mohamed5 avait conditioné l'aide marocaine aux algerien par la "récupération" du maroc (aprés l'indépendance de l'algerie) de tindouf et je dit bien indirectement...cette information tu ne la trouveras nul part, meme pas chez les historien algérien mais moi j'ai un proche qui avait participer, avec la délégation du FLN, a des rencontre avec Feu mohamed 5, et ce dernier anat tout octroi d'aide leur faisait un cour d'histoir sur les frontière soi disant réel du maroc qui allait jusqu'au sénégal englobant la mauritanie au passge et une partie de l'algerie...mes amis quant on veut être puissant, il faut avoir les moyens de sa politique....
k
14 mai 2006 16:31
c'est comme bizard que les usa ne reconnaissent pas le sahara occidental comme téritoire marocain
[www.usembassy.ma]
l
14 mai 2006 16:40
Citation
kar64 a écrit:
c'est comme bizard que les usa ne reconnaissent pas le sahara occidental comme téritoire marocain
[www.usembassy.ma]

Pourquoi bizarre? aucun pays au monde ne reconnait officiellement le Sahara occidental comme territoire marocain.
k
14 mai 2006 16:42
Citation
kar64 a écrit:
c'est comme bizard que les usa ne reconnaissent pas le sahara occidental comme téritoire marocain
[www.usembassy.ma]


quoi de nouveau en 2006
14 mai 2006 16:44
citer :
kar64:
'' j'ai un proche qui avait participer, avec la délégation du FLN, a des rencontre avec Feu mohamed 5, et ce dernier anat tout octroi d'aide leur faisait un cour d'histoir sur les frontière soi disant réel du maroc qui allait jusqu'au sénégal englobant la mauritanie au passge et une partie de l'algerie...mes amis quant on veut être puissant, il faut avoir les moyens de sa politique....''

------------ce proche du fln n'était-il pas un harki blanchi ? vas apprendre l'histoire et l'éducation avant d'intervenir sur ce forum , n'incites pas à la haine , ne dénigres pas '' SYADAKS '' ----------le maroc ou '' al maghrib al aqsa '' comprenait ( maroc actuel - oran - tlemcen - maghnia - tindouf - tout le sahara - la mauritanie - et une partie du sénégal ( fleuve du sénégal ). mais la france a fait ce qu'elle a voulu faire de l'afrique du nord ! -----------------------------------------------------
a
14 mai 2006 17:18
Citation
kar64 a écrit:
« Mentez, mentez, mentez Plus un mensonge est gros…plus il a de la chances d’être cru ! », Voila en quoi se résume votre histoire …

figure toi que nos cousins sont meme au mali....


[www.maroc-hebdo.press.ma]

ce n'est ni pretention ni un sentiment hegemonique...on ne peux pas mentir lorsqu'il s'agit d 'HISTOIRE ...les liens d'appartenance defient les lignes et les tracés coloniaux...celà s'appele la FIDELITE... parlant de fidelité ..le SENEGAL pays souverain n'a pas laissé passer l'occasion du defilé militaire commemorant les 50 ans de la création des FAR ..sans marquer sa presence en defilant avec 2 contingeants...j'aurais aimé que se soit l'ALGERIE qui le fasse ...inchaalah

Ceci etant la realpolitik exige ne pas perdre de vue la realité actuelle...le monde d'aujourd'hui se reunit en bloques economiques pour negocier une place sous le soleil ...le MAROC a tourné cette page avec les voisins en acceptant les choses telquel ....pour permettre un avenir pacifique ...mais le pouvoir algerien ne s'est pas contenté de ces consessions et s'entete à vouloir priver le Maroc de son sahara ... ...
g
14 mai 2006 22:10
On a liberé le sahara ocidentale, on doit maintenant prendre notre résponsabilité et réclamer haut et fort notre sahara orientale.
on peut le prouver avec des documents historiques selon le droit internationale, pourquoi pas ???
La guerre froide est finie, les marocains doivent prendre leurs résponsabilité peuple et Roi, et réclamer notre territoire par les instances intérnalionales.
Si on continu à négocier sur notre sahara occidentale, tout en laissant notre sahara orientale au mains de l'algérie, on risque de le regreter très très fort !
Ce n'est pas du populisme aveugle qui parle, mais du réalisme stratégique que le Maroc ne doit pas nier.

L'énérgie solaire thermique est l'avenir de toutes les énérgies, et le Maroc et la tunisie sont les mieux placées par leur approximité de l'europe qui a soif d'énérgie verte.

Dans un documentaire que j'ai recement vu concernant l'environement, les allemants qui sont les meilleurs dans le domaine d'énergies renouvelables ont dit clairemant que prqtiquement 1 % DU sahara africain, pourra fournir en énergie électrique la totalité de la consomation mondiale. Ces mêmes spécialistes ont dit : ''il nous faut des stations d'énergie solaires thermique au Maroc , car il a un grand potentiel et en plus il est déjà relié au réseaux européen par des cables maritimes '''
le Maroc a un projet pour doubler la capacité de cette liaison, et a déja batit une petite station d'énergie solaire thermique à cycle combiné ( energie solaire ,gaz algérien acheté, charbon de jerada).

Je vous dis ça pour vous expliquer que ce n'est pas juste du sable qui est en jeux ou un leadership régionale, c'est des gigawattheurs avec un potentiel plus durable que le petrole qui est en jeux.

l'algérie est trop loin de l'europe, et des projets pareils seront moins rentable qu'au maroc ou en Tunisie.
je ne reponderai à aucun algérien qui va intervenir car on parle ici entre marocains avec le respect des autres.

Le maroc a une mine d'or devant lui s'il saura placer les stratégies et développer les expertises nécéssaires pour ça, sinon ça sera une malédiction d'avoir un grand désert comme l'ai le petrole maintenant.

notre sahara orientale est a nous, alors réclamons la !et d'une manière civilisée.
salut
l
14 mai 2006 22:24
..Certains disent que le plus grave c'est que le Maroc soit amputé de ses meilleurs éléments..à cause des maladresses et de la haine de certains responsables..ce qui l'affaibli énormément..
m
14 mai 2006 23:48
Je propose une marche verte pour recuperer le sahara orientale.grinning smiley,comme ca les marocains auront droit a un autre jour ferrié.
A
15 mai 2006 00:26
1 million de personnes ont perdus la vie pour liberer le pays et vous vous voulez qu'on vous donne 30% de notre territoire comme sa. Vous etes serieux la?
Nous on fait le sale boulot et vous voulez recolter les fruits de notre combat.
L'Algerie aurait pu devenir independante des 1958. La france avait proposé de donner l'independance au nord du pays et laisser le sahara algerien sous domination francaise. La reponse a ete claire pas de paix sans l'indepandance de 100% du territoire algerien.
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