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histoire chronologique d'israel
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3 octobre 2005 22:23
salam, voici une histoire chronologique d'israel selon une encyclopédie.

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Cette chronologie ne fait pas l'unanimité; elle représente le point de vue maximaliste qui considère que la Bible est une source historique sûre. Différentes théories concernant l'origine du peuple hébreu existent: elles sont très variées, certaines allant jusqu'à remettre en cause l'existence de David et de Salomon, et même l'existence du Temple de Salomon. Il convient d'être donc très prudent sur cette chronologie, jusqu'à l'époque hellénistique.
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Les débuts d'Israël : l'histoire biblique
• Vers -1950 avant J.-C.: Abraham et ses tribus font route d'Our vers Harran et s'installent près d'Hébron.
• Vers -1700 : Joseph et certains clans hébreux passent en Égypte.
• Vers -1390 : Les Israélites sont asservis en Égypte.
• Vers -1250 : L'exode d'Égypte.
Depuis, et jusqu'à nos jours, les juifs prononcent la prière contenant « l'an prochain à Jérusalem » durant les repas rappelant l'esclavage en Égypte.
• -1230 : Josué, les israëlites vivent en Palestine.
• -1200 : Les Philistins (peuples de la mer) envahissent les côtes.
• -1010 à -970 : David, roi de Juda et d'Israël.
• -972 à -933 : Salomon, roi de Juda et d'Israël.
Salomon construit le premier Temple juif de Jérusalem (dit Temple de Salomon) : sa construction dura sept ans, sous la forme rectangulaire de 50 m sur 30 m environ. L'ami de Salomon, le Roi de Tyr, Himram (actuel Liban) fournit les ouvriers. (Description (http://www.bibliorama.com/atlas/atlas_html/AT_archeo_temple.htm))
• -933 : Séparations en deux royaumes juifs : Israël et Juda.


Les conflits
• -721 : La Samarie est envahie par les Assyriens.
Domination babylonienne :
• -620 : Daniel est déporté à Babylone.
• -598 : Nabuchodonosor s'empare de Jérusalem. Exil à Babylone.
• -593 : Vocation du prophète Ezéchiel.
-587 : Destruction du Temple juif de Jérusalem.
-538 : Édit de Cyrus permettant aux exilés de rentrer à Jérusalem.
-521 à -515 : Mission d'Esdras. Reconstruction du Temple juif.
Vers -330 Conquête de la Palestine par les armées d'Alexandre le Grand.
-167 Révolte des Maccabées devant les provocations d'Antiochus IV en Judée.
-63 : Pompée s'empare de Jérusalem.
-40 les Romains désignent Hérode roi de Judée.
+7 ou +6 : Naissance de Jésus.
+70 Prise de Jérusalem par l'empereur Titus.
+70 : Destruction définitive du Temple. Les synagogues prennent le relais et deviennent lieux de prière et d'étude.
132 à 135 : Simon Bar Kokhba se révolte devant l'empereur Hadrien et refonde un État juif, détruit en 135 par les Romains.
395 L'empire romain est divisé en empire d'occident et empire d'Orient (ou de Byzance). Le régime clément laisse les juifs autonomes en Palestine.
613 à 636 : La Palestine est envahie par les Perses sassanides.
636 Le calife Omar s'empare de Jérusalem. Jérusalem devient lieu saint pour les juifs, les musulmans et les chrétiens.
15 juillet 1099 : Les croisés s'emparent de Jérusalem et fondent le Royaume latin de Jérusalem. Durant 200 ans, chrétiens et musulmans se disputent la Palestine, les juifs sont décimés.
1291 Domination des Mamelouks.
1517 Domination des Turcs ottomans jusqu'en 1917. Les Ottomans laissent les juifs se réinstaller en Palestine, fuyant les persécutions (notamment d'Espagne).
1799 Napoléon Bonaparte, empereur des Français, durant sa campagne d'Égypte fait une déclaration éloquente reconnaissant la propriété de la terre sainte (Palestine) au peuple juif. Extrait du discours : « La France vous propose de prendre l’héritage de vos pères ». Il écrit aux dirigeants du monde pour leur expliquer qu’il faut faire le nécessaire pour que les juifs s’installent en Israël.
Déclaration de Napoléon Bonaparte:
"Proclamation à la nation Juive Quartier général Jérusalem, 1er floréal, an VII de la République Française (20 avril 1799) Bonaparte, commandant en chef des armées de la République Française en Afrique et en Asie, aux héritiers légitimes de la Palestine : Israélites, nation unique que les conquêtes et la tyrannie ont pu, pendant des milliers d'années, priver de leur terre ancestrale, mais ni de leur nom, ni de leur existence nationale ! Les observateurs attentifs et impartiaux du destin des nations, même s'ils n'ont pas les dons prophétiques d'Israël et de Joël, se sont rendu compte de la justesse des prédictions des grands prophètes qui, à la veille de la destruction de Sion, ont prédit que les enfants du Seigneur reviendraient dans leur patrie avec des chansons et dans la joie et que la tristesse et que les soupirs s'enfuiraient à jamais. (Isaie 35.10) Debout dans la joie, les exilés ! Cette guerre sans exemple dans toute l'histoire, a été engagée pour sa propre défense par une nation, de qui les terres héréditaires étaient considérées par ses ennemis comme une proie offerte à dépecer. Maintenant cette nation se venge de deux mille ans d'ignominie. Bien que l'époque et les circonstances semblent peu favorables à l'affirmation ou même à l'expression de vos demandes, cette guerre vous offre aujourd'hui, contrairement à toute attente, le patrimoine israélien. La Providence m'a envoyé ici avec une jeune armée, guidée par la justice et accompagnée par la victoire. Mon quartier général est à Jérusalem et dans quelques jours je serais à Damas, dont la proximité n'est plus à craindre pour la ville de David. Héritiers légitimes de la Palestine. La Grande Nation qui ne trafique pas les hommes et les pays selon la façon de ceux qui ont vendu vos ancêtres à tous les peuples (Joël 4.6) ne vous appelle pas à conquérir votre patrimoine. Non, elle vous demande de prendre seulement ce qu'elle a déjà conquis avec son appui et son autorisation de rester maître de cette terre et de la garder malgré tous les adversaires. Levez-vous ! Montrez que toute la puissance de vos oppresseurs n'a pu anéantir le courage des descendants de ces héros qui auraient fait honneur à Sparte et à Rome (Maccabée 12.15). Montrez que deux mille ans d'esclavage n'ont pas réussi à étouffer ce courage. Hâtez-vous! C'est le moment qui ne reviendra peut-être pas d'ici mille ans, de réclamer la restauration de vos droits civils, de votre place parmi les peuples du monde. Vous avez le droit à une existence politique en tant que nation parmi les autres nations. Vous avez le droit d'adorer librement le Seigneur selon votre religion. (Joël 4.20)"
Le 16 août 1800, Napoléon déclara: "Si je gouvernais une nation juive, je rétablirais le temple de Salomon.".

1862 Moses Hess écrit « Rome et Jérusalem ». 1880: Premières revendications d'autonomie arabe pour la Syrie et le Liban; la Palestine n'est à cette époque qu'une expression géographique et forme la région Sud de la « grande Syrie »; la population juive est estimée à 24 000.
1881 Eliezer Ben Yehuda s'installe à Jérusalem ; il renouvelle l'usage de l'hébreu. Les pogroms en Russie provoquent un désastre dans les régions où les Juifs sont autorisés à résider. Début de la Première Alyah (départ pour vivre en Palestine).
Fondation de l'organisation Bilou (Beith Israël Lekhou Vena'ale), premier mouvement haloutsique (pionnier) en Ukraine. Dans son livre Autoémancipation, Leon Pinsker défend l'idée de la création d'un État juif. Première Alyah : des Juifs venus du Yémen, de Russie et de Roumanie viennent s'installer en Palestine.
1883 Le Baron Edmond de Rothschild commence à soutenir financièrement les localités juives d'Eretz Israël.
1884 Fondation du mouvement des Hovevei Tsion (Amants de Sion) à Kattowicz en Pologne.
1890-91 Arrivée d'une grande vague d'Alyah en provenance de Russie. Theodor Herzl, journaliste hongrois, publie en 1896 L'État Juif, à la suite de l'affaire Dreyfus (Théodore Herzl assiste à la cérémonie de sa dégradation) et organise en 1897 le Congrès de Bâle(29-31 août) qui marque le début du sionisme organisé, mouvement visant à créer un foyer national juif. 1897 création de la première organisation juive ouvrière marxiste, le Bund. Congrès sioniste de Bâle Herzl le 29 août. 1896: la population de Jérusalem devient à majorité juive.
1898 visite de l'Empereur Guillaume II en terre sainte qui concrétise l'alliance Turquie-Allemagne. Création de la Banque coloniale Juive destinée à financer l'achat de terre en Palestine.
1901 Création du Keren Kayemeth LeIsraël (K.K.L.), base du domaine foncier public israélien.
1903 Pogroms (massacres) de juifs de Kishinev. Le gouvernement britannique propose à Herzl de lui donner l'Ouganda pour y créer un foyer juif.
1904 Mort de Théodore Herzl à Vienne. La Seconde Alyah est précipitée par les grands pogroms de 1902 à 1905. Création du Va'ad Halashon (Comité de la langue hébraïque). Création à Paris de la Ligue de la Patrie Arabe, comprenant l'Arabie, la Mésopotamie, la Syrie et la Palestine.
1905 Le septième Congrès Sioniste à Bâle, décide de repousser définitivement la proposition de l'Ouganda, ainsi que toute alternative à la Palestine.
1906 David Green (Ben Gurion) arrive en Israël. Fondation du premier lycée hébraïque à Jaffa. Fondation de l'École des Arts Bezalel à Jérusalem
1909 Fondation de Tel Aviv au nord de jaffa, première ville entièrement juive en Palestine. Premier Kibboutz à Diagana.
1914-1918
Première guerre mondiale : les Britanniques et leurs alliés combattent contre l'Allemagne et l'Empire ottoman.
1915 En janvier, les troupes britanniques pénètrent dans l'empire. Les anglais autorisent en avril la création d'une unité juive palestinienne de transport, la Zion Mule Corps. 32 personnalités arabes sont pendues par les Turcs. En juillet, début de la correspondance secrète entre Hussein, chérif de la Mecque et Mac Mahon, en vue d'établir un royaume arabe indépendant après la guerre. Le 24 octobre, Londres décide de « reconnaître et de soutenir l'indépendance des arabes dans toute les régions situées dans les limites revendiquées par le chérif de la Mecque », exceptés les lieux saints de Palestine, des districts de Mersine ainsi que de l'actuel Liban.
1916: le 5 juin Hussein déclenche la révolte arabe contre les Turcs et se proclame roi des arabes le 29 octobre. Son fils Faysal combat aux cotés de l'officier anglais Lawrence contre l'empire ottoman. Il rentre à Akaba en juillet 1917 et à Damas en octobre 1918.
1917
2 novembre : la Déclaration Balfour (adressée au Baron de Rothschild en Angleterre). 7 novembre : début de la révolution russe. 10 décembre : conquête de la Palestine par l'armée britannique. Jaffa tombe aux mains des Anglais en novembre, le 9 décembre Jérusalem capitule et le général Allenby entre à Jérusalem. Fin de la domination ottomane sur la ville sainte.
Avant la Première Guerre mondiale, la Palestine, en tant que région, recouvre l'actuel État d'Israël, la Bande de Gaza, la Cisjordanie, une partie du Golan et le Royaume de Jordanie. Elle fait partie de l'Empire Ottoman [1] (http://www.monde-diplomatique.fr/cartes/procheorient1914). À la fin de la guerre, le Royaume-Uni en obtient le contrôle par le Traité de Paix de Versailles signé en 1919.

1918 Offensive générale des alliés sur le littoral de la Palestine puis occupation totale du pays et administration militaire directe par la Grande-Bretagne. Fondation du journal juif « Haaretz ».
1919 Rencontre entre l'Emir Fayçal et Haïm Weizmann le 3 janvier; la possibilité d'une coopération judéo-arabe apparaît.
1920 Le fils du chérif de la Mecque, Faysal, est chassé de Syrie par la France, et le royaume arabe indépendant promis par les britanniques ne verra pas le jour. Nomination du premier haut-commissaire de la Palestine: Herbert Samuel. Au sein du Yishouv, élection au mois d'avril au suffrage universel d'une assemblée de députés (Asséfath Ha'Nivharim) de 314 membres, représentant vingt partis différents. 29 février : Joseph Trumpeldor, tombe héroïquement en défendant Tel Haï, en Haute-Galilée. Mandat britannique sur la Palestine ; Sir Herbert Samuel est nommé haut-commissaire du Mandat. Fondation de la Histadrouth (Confédération Générale du Travail).
1920-1921 Hamin Al Husseini (Hadj Muhammad Amin al-Husseini) devient Mufti de Jérusalem grâce aux Anglais. Premiers troubles judéo-arabes : pogroms antijuifs à Jaffa. Fondation de la Haganah (organisation d'auto-défense juive).
La Grande-Bretagne, qui s'est déclarée favorable à l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif, par la Déclaration Balfour [2] (http://www.monde-diplomatique.fr/cahier/proche-orient/balfour-fr) en 1917, se voit conférer en 1922 un mandat sur la Palestine [3] (http://www.monde-diplomatique.fr/cahier/proche-orient/mandat-fr) par la Société des Nations.
1924-1932 Quatrième Alyah (principalement en provenance de Pologne). 1925 soulèvement Syrien contre la France. 1928 création du mouvement des frères musulmans en Egypte. 1929 création de l'Agence juive chargée de l'immigration des juifs en Palestine. Le 23 août, harangue du Mufti à Jérusalem. Nouveaux troubles ; massacres à Hébron puis à Safed : 133 juifs tués, 339 blessés.
1930 Publication du second Livre Blanc britannique, limitant pour la première fois l'immigration des Juifs en Palestine.
1931 Estimation de la population juive en Palestine: 174 000. 1932 Fondation du quotidien Jérusalem Post. 1933 Adolf Hitler accède au pouvoir en Allemagne. Début de la Cinquième Alyah, principalement en provenance d'Allemagne et des territoires contrôlés par les Allemands.
1934 Début de la Hapa'alah : l'entreprise d'immigration illégale de réfugiés juifs dont le nombre dépasse les quotas imposés par les Anglais. 1935 Le 15 septembre, les lois anti-juives de Nuremberg sont proclamées en Allemagne. Estimation de la population juive en Palestine: 335 000. 1936 À partir du mois d'avril, la « révolte arabe » déclenche des troubles sanglants, supervisés par le grand mufti de Jérusalem, Haj Amin al Husseini. Réaction efficace de la Haganah.
1936-1939 Entreprise d'implantations Homa Oumigdal (murailles et tour). 51 nouvelles localités seront ainsi créées, chacune en une nuit.
1937 La Commission Peel recommande le partage de la Palestine entre Juifs et Arabes. Le gouvernement britannique accepte le principe de cette recommandation.
1939 3 mai : le troisième Livre Blanc (de MacDonald) limite gravement le quota d'immigration des Juifs en Palestine. 1er septembre : début de la seconde guerre mondiale. « Nous ferons la guerre comme s'il n'y avait pas de Livre Blanc, et nous combattrons le Livre Blanc comme si la guerre n'existait pas», déclare Ben Gourion.
20 janvier : en Allemagne la Conférence de Wannsee décide de la Solution finale pour l'extermination du peuple juif (un tiers du peuple juif sera détruit pendant la guerre). Février: naufrage du bateau Struma contenant 767 réfugiés juifs qui s'étaient vus refuser l'entrée en Palestine.
1940 premières actions de l'Irgoun contre la puissance mandataire, puis arrêt de ses actions au déclenchement de la seconde guerre mondiale. certains leaders arabes, comme le Mufti de Jérusalem, vont du coté allemand, la Syrie d'abord vichyste passe du coté des forces françaises libres.
1941 En novembre, à Berlin, le grand Mufti musulman de Jérusalem Haj Amin al Husseini rencontre Adolf Hitler, Himmler et von Ribbendrop. Il réclame à Hitler la construction de camps d'extermination pour juifs dans les pays arabes et l'envoi de troupes allemandes. Hitler refuse et lui répond « ces juifs sont les vôtres ». Le grand Mufti financera des troupes SS de choc spécialisées dans le massacre des juifs, dans les pays de l'est.
1943-44 Les parachutistes juifs-palestiniens de l'armée britannique tentent de renouer le contact avec les Juifs des pays occupés; sept d'entre eux y laisseront leur vie.
1944 La Brigade juive de Palestine (30 000 combattants) participe à la guerre, comme partie intégrante de l'armée britannique.
1945-46 Réunion temporaire de la Haganah, du Etzel et du Le'hi.
1946 Les immigrants juifs illégaux sont déportés par les Anglais dans des camps de personnes déplacées à l'île de Chypre. 22 juillet : l' Irgoun (le Etzel ) fait sauter l'aile droite de l'Hotel King David à Jérusalem (qui abritait l'état-major du Mandat britannique). La Transjordanie acquiert son indépendance et devient le Royaume Hachémite de Jordanie.
1947 Juillet : le bateau Exodus est expulsé des côtes de Palestine vers l'Europe, portant à son bord 4 500 survivants de la Shoah.
En 1947, le gouvernement britannique remet son mandat aux Nations unies. L'Assemblée Générale de l'ONU adopte le 29 novembre 1947 (résolution 181 (http://www.yale.edu/lawweb/avalon/un/res181.htm)) un plan de partage de la Palestine [4] (http://www.monde-diplomatique.fr/cartes/procheorient1949) en deux états, l'un arabe, et l'autre juif — Jérusalem ayant un statut particulier sous l'égide de l'ONU. Le projet est soviéto-américain, il passe en commission le 25 novembre et est ratifié le 29. La convergence entre les deux puissances (russes et américains) en conflit fait sensation.
Discours du représentant soviétique Semyon Tsarapkin : « Les arguments historiques et juridiques ne peuvent pas et ne doivent pas être décisifs dans le règlement de la question palestinienne. Le problème a pour base essentielle le droit des populations juives et arabes de Palestine à décider de leur sort. Les souffrances subies par les Juifs au cours de la dernière guerre doivent constituer un élément important dans la décision de l'Assemblée. Les Juifs luttent pour un état qui leur soit propre, et il serait injuste de leur refuser le droit d'atteindre cet objectif » (journal Le Monde, 12-13 octobre 1947).
L'U.R.S.S. a appuyé la création d'Israël en pensant créer aussi un nouvel état communiste : l'État hébreu s'appuyait sur une idéologie philosophique sioniste libertaire (qui lutta contre les impérialismes ottoman, britannique puis plus tard soviétique) proche des idéologies socialistes et des méthodes collectivistes soviétiques, en créant des collectivités semblables aux kolkhozes russes (coopératives agricoles de production qui avait la jouissance de la terre qu'elle occupait et la propriété collective des moyens de production), ou tout est mis en commun au service de la communauté.
En Israël ce sont à la campagne des collectivités appelées Kvoutza, modernisées ensuite par le Kibboutz et le Mochav, coexistants avec un secteur privé. Les terrains ont été achetés petit à petit légalement, à prix d'or, par les Fonds Nationaux Juifs (Keren Kayemet), le Yichouv et la Palestinian Jewish Colonization Association. Par ces dons du monde entier, venant surtout des quêtes dans les milieux ouvriers, et de donateurs comme la famille du Baron de Rothschild en Angleterre, la superficie cultivée par les juifs s'élèvera de 20 400 hectares en 1897 à 180 230 ha un demi-siècle plus tard, et le nombre de colonies passa de 27 à 300. Tel Aviv dépasse les 150 000 habitants en 1936.
Régénérer le peuple juif par le travail, tel est l'idéal du mouvement sioniste, en particulier de sa tendance socialiste, très influente parmi les immigrants provenant de l'ex-empire tsariste.
Pourtant, tandis que Moscou chante ses louanges, David Ben Gourion déclare à l'ambassadeur américain MacDonald, nommé par Truman : « Israël salue le soutien russe aux Nations unies, mais ne tolérera pas de domination russe. Non seulement Israël est occidental dans son orientation, mais notre peuple est démocrate et réalise qu'il ne peut devenir fort et rester libre qu'à travers la coopération avec les États-Unis. Seul l'occident lui-même, en humiliant Israël et en l'abandonnant aux Nations Unies et ailleurs, pourrait s'aliéner notre peuple » (Dans Arnold Kramer, Soviet Policy on Palestine 1947-1948, Journal of Palestine Studies, Vol. 2, Numéro 2, hiver 1973).
Le partage et la création des deux états, Israël et la Palestine, est votée par 33 voix contre 13 avec 10 abstentions.
Ont voté pour : États-Unis d'Amérique, Australie, Belgique, Bolivie, Brésil, Biélorussie, Canada, Costarica, Danemark, République dominicaine, Équateur, France, Guatemala, Haïti, Islande, Libéria, Luxembourg, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Nicaragua, Norvège, Panama, Paraguay, Pérou, Philippines, Pologne, Suède, Tchécoslovaquie, Ukraine, Union Sud-Africaine, U.R.S.S., Uruguay et Venezuela.
Ont voté contre : Afghanistan, Arabie saoudite, Cuba, Égypte, Grèce, Inde, Iran, Irak, Liban, Pakistan, Syrie, Turquie, Yémen.
Se sont abstenus : Argentine, Chili, Chine, Colombie, Salvador, Éthiopie, Honduras, Mexique, Royaume-Uni, Yougoslavie.
Un coup d'État au Siam empêcha la délégation de ce pays de prendre part au vote.
Ont pour mission de veiller à la transition sur le terrain : Bolivie, Danemark, Panama, Philippines et Tchécoslovaquie.
Les Juifs, qui représentent alors 32 % de la population et possèdent 6,58% des terres, obtiennent 54% des terres, qui incluent, outre la côte méditerranéenne, le désert du Néguev (donc 40 % de désert dans les 54 % octroyés aux 32 % de juifs). Israël accepte sans condition le partage de 54 % des terres et la création de la Palestine comme voisin d'Israël devant l'ONU, les autorités arabes rejetèrent ce plan.
Le 14 mai 1948, l'État d'Israël est proclamé [5] (http://www.mfa.gov.il/mfa/go.asp?MFAH0o4o0) dans les territoires prévus par l'ONU.
Peu après, une coalition arabe (libanaise, syrienne, irakienne, égyptienne et jordanienne) attaque le nouvel état. En gagnant cette guerre, Israël conquiert 26 % supplémentaires (par rapport au Plan de Partage, soit 81 % au total) des territoires du mandat britannique. Le conflit créa 750 000 réfugiés palestiniens et 600 000 réfugiés juifs.
Avant le conflit, il y avait plus de 870 000 juifs vivants dans les pays arabes, certaines communautés depuis plus de 2 500 ans. Durant le conflit entre 1947 et 1948, ces Juifs furent l'objet de persécutions et leurs biens furent confisqués. Il y eut des pogroms (massacres) anti-juifs à Aden, en Égypte, en Libye, en Syrie et en Iraq. 600 000 juifs durent se réfugier en Israël.
Toutefois, durant cet « échange de déplacés » les immigrants juifs devinrent des citoyens israéliens à part entière, tandis qu'une partie des immigrés arabes fut maintenue dans leur statut précaire de « réfugiés » par les dirigeants des pays ou ils s'étaient installés.
Le problème des réfugiés palestiniens :
« La somme des preuves essentielles actuellement à notre disposition, indique que l’évacuation de la Palestine est due à l’exhortation des chefs militaires ou politiques des États arabes eux-mêmes. » (Analyse de l’institut des affaires publiques (Washington))
Entretien avec Nahrnoud Darwich, poète palestinien, réalisé par Farouk Nardam-Bey et Elias Sanbar (Revue d’Etudes palestiniennes, No 10, Hiver l984)
« Pour mes parents, notre séjour au Liban était temporaire ; nous y étions en visite ou même en villégiature. On avait à l’époque commandé aux Palestiniens de quitter leur patrie pour ne point gêner le déroulement des opérations militaires arabes qui devaient durer quelques jours et nous permettre de réintégrer rapidement nos maisons. Mes parents découvrirent bien vite que ces promesses n’étaient que rêves… »
Extrait du Bulletin du REMP (Groupe de recherches pour les problèmes des migrations européennes Janvier-mars 1957) à La Haye (pp 10-il) :
« Dès les premiers mois de 1948, la Ligue arabe publiait des instructions demandant aux gens de chercher refuge temporairement dans les pays voisins, pour revenir plus tard à leurs domiciles dans le sillage des armées arabes victorieuses et recueillir leur part des biens juifs abandonnés. »
Témoignage égyptien. (El -Yom, journal du Caire 12.4.1963):
« Le 15 mai 1948 arriva.., et le dernier soldat britannique quitta la Palestine. Ce même jour, le mufti de Jérusalem demanda aux Arabes de Palestine de quitter le pays, de quitter Haïfa, Jaffa et les autres villes.., car les armées arabes étaient sur le point de pénétrer dans le pays et de se battre à leur place, contre les bandes juives pour les chasser de Palestine. »
Extrait des Mémoires de Haled alAzrn (1973), Premier_Ministre de Syrie en 1948 et 1949, paru à Beyrouth :
« [La raison de l’échec arabe en 1948 fut] l'appel des gouvernements arabes aux habitants de la Palestine, pour qu’ils se rendent dans les pays voisins... C’est nous qui les avions encouragés à partir... Nous avons amené la destruction sur un million de réfugiés arabes, en les incitant et en les adjurant de quitter leurs terres, leurs foyers, leur travail et leurs commerces. »
Extrait de « Ma'al Nas” (Avec le peuple 1956): livre de Mahmoud Seif-e-Din Irani, paru à Amman (Jordan Publishing House) :
« Soudain, les habitants de Jaffa commencèrent à abandonner leur ville... Nous étions tous trop optimistes, nous avons quitté le pays de notre libre choix, croyant que nous partions pour une courte visite, des vacances et que nous retournerions peu après, comme si rien ne s’était passé. »
30 mai 1955, témoignage arabe palestinien (Falastin, quotidien jordanien):
« Nous, les réfugiés, avons le droit de dire aux membres du Conseil de la Ligue arabe: nous avons quitté notre patrie sur la foi de fausses promesses faites par des dirigeants malhonnêtes des Etats arabes. Ils nous ont promis que notre absence ne durerait pas plus de deux semaines, qu’elle serait une sorte de promenade, après quoi nous reviendrions ».
Extrait d’un livre (1955 ) de Edouard Attiya, secrétaire du bureau de la Ligue arabe à Londres, de 1941 à 1950, The Arabs paru à Londres (p 183) :
« Cet exode en masse est particulièrement dû à la croyance qu’avaient les Arabes, encouragés en cela par les vantardises et par les déclarations inconscientes de certains chefs arabes, selon lesquelles la défaite des Juifs par les armées des États arabes était l’affaire de quelques semaines et qu’elle permettrait aux Arabes palestiniens de rentrer dans leur pays et d’en reprendre possession ».
Extrait de Sirr al Nakhba (Le secret du désastre 1955), livre de Nimr al Hawari, ancien commandant de l’organisation paramilitaire Nedjada, paru à Nazareth :
« Les chefs brandirent leurs sabres, prononcèrent des discours enflammés et rédigèrent des articles retentissants. Nous fracasserons le pays à coups de canon, tonna le Premier Ministre d’Irak nous détruirons tout endroit où les Juifs chercheront un abri. Les Arabes devront conduire leurs femmes et leurs enfants dans des régions plus sûres en attendant que les combats se soient apaisés, »
Déclaration du Premier Ministre d’Irak (Presse de Baghdad 15 mars 1948): « Nous écraserons le pays avec nos fusils et nous détruirons tout lieu où les Juifs chercheront refuge. Les Arabes devront emmener leurs femmes et leurs enfants à l’abri pendant le danger, après quoi toute la Palestine sera à eux. »

Il y a un problème sur les sources des recherches historiques, puisque les textes concernant la sécurité de l'état, dont les archives militaires, sont bloqués pour une durée de cinquante ans.

Cependant l'appel radiophonique au départ volontaire immédiat a été confirmé par de nombreux réfugiés palestiniens. Les récits palestiniens et la presse d'époque confirmant tous le départ volontaire originel sans expulsion, ne peuvent être réfutés; d'ou la destruction de nombreux documents et d'archives par certains pays arabes voulant créer le mythe officiel d'une expulsion forcée brute des palestiniens, à des fins politiques.


1948-1952 Immigration en masse de Juifs vers Israël, en provenance des pays arabes et d'Europe. Opérations »Tapis volant" (au Yémen), « Ezra et Néhémie » (en Irak).
1950 Vote de la Loi du Retour.
En 1956, la Crise du canal de Suez fait suite à la nationalisation du canal de Suez par l'Égypte. La France, le Royaume-Uni et Israël concluent un accord secret à Sèvres pour prendre le contrôle du canal. En octobre 1956, l'invasion israélienne du Sinaï est suivie par le débarquement des forces britanniques et françaises à Port Saïd [6] (http://www.monde-diplomatique.fr/cartes/procheorient1956). L'Assemblée Générale de l'ONU impose un cessez-le-feu et britanniques, français et israéliens laissent le canal aux Casques Bleus en 1957.
1956-1962 Décolonisation française en Afrique du Nord : Immigration massive en provenance du Maroc, de Tunisie, d'Algérie. Création des villes de développement en Israël.
1959 Juin : premières manifestations de Juifs originaires d'Afrique du Nord contre les disparités sociales, dans le quartier de Wadi Salib à Haïfa.
1960-1962 Capture d'Adolf Eichmann en Argentine : il est amené en Israël pour y être jugé, puis condamné à mort et exécuté (le 31 mai 1962).
1962 Fin de l'embargo tacite imposé à Israël par le gouvernement des États-Unis.
1963 David Ben Gourion se retire de la vie politique et va s'installer au kiboutz Sdei Boker dans le Neguev.
1964 Fondation de l'O.L.P. (0rganisation pour la Libération de la Palestine) qui décide de l'intensification de la lutte contre Israël.
1965 Grave crise économique en Israël : chômage, problèmes sociaux et Yeridah ("descente"winking smiley du pays.
1966 L'écrivain israélien Shmuel Yossef Agnon reçoit le Prix Nobel de Littérature.
1967 Guerre des Six-Jours. « Réunification » de Jérusalem.
L'Égypte obtient le retrait des troupes de l'ONU en mai 1967, remilitarise le Sinaï et ferme le Détroit de Tiran, passage-clef du transport maritime israélien. Le 5 juin 1967, devant l'imminence d'une attaque arabe préparée et les bombardements Syriens réguliers depuis le plateau du Golan depuis début 1967, Israël lance une offensive préventive éclair contre l'Egypte, menée par le général Moshe Dayan (voir : Guerre des Six Jours) et appelle la Jordanie à rester neutre.
La Jordanie refuse et attaque Israël avec l'artillerie lourde sur Jérusalem-ouest et la région de Tel aviv. Le 8 juin Israël vainc l'armée jordanienne et conquiert la Judée et la Samarie.
Les Syriens continuent de bombarder les habitations, les vergers et les silos agricoles israéliens depuis le plateau du Golan ; en réponse le 9 juin, Israël attaque les Syriens sur le Golan.
Les aviations égyptiennes, jordaniennes et syriennes sont détruites en une journée. Au terme d'une guerre-éclair de six jours, Israël conquiert la Cisjordanie, la bande de Gaza, le Golan (y compris la zone des fermes de Chebaa), la péninsule du Sinaï et Jérusalem-Est. [7] (http://www.monde-diplomatique.fr/cartes/procheorient1967).
La surface supplémentaire prise joue ainsi le rôle de zone tampon sécuritaire en cas de nouvelle attaque arabe, la plus faible largeur du pays pouvant être franchie par un avion en quelques instants seulement.
Avant, la plus faible largeur d'Israël était de 14 kilomètres, d'où le besoin sécuritaire devant cette vulnérabilité encore d'actualité : une attaque aérienne contre Israël prend entre six minutes (depuis l'Arabie saoudite) et dix minutes pour atteindre Jérusalem.
1968 Début de l'Alyah en provenance d'U.R.S.S. et début d'une série de procès antijuifs spectaculaires intentés en Russie, contre les « refuzniks » ou « prisonniers de Sion »
1969 Début de la guerre d'usure le long du Canal de Suez. Yasser Arafat (né le 24 août 1929 au Caire en Égypte, décédé le 11 novembre 2004 à Clamart en France) leader de l'OLP.
1969-1972 Les passagers juifs et israéliens des lignes aériennes deviennent la cible du terrorisme de l'air. 1969 Décembre, au sommet arabe, Nasser refuse une nouvelle guerre israélo-arabe. 1970 Septembre Noir : la guerre éclate entre les Palestiniens et les Jordaniens. La poussée palestinienne (les Fedayin) menace le trône hachémite : tentative d'assassinat du roi Hussein de Jordanie. Offensive de l'armée jordanienne contre les bases palestiniennes à Amman et Irbid du 17 au 27. Combats syro-jordaniens. Accord d'Amman le 13 octobre signé entre Yasser Arafat et le roi Hussein.
1972 4 septembre : 11 athlètes israéliens sont assassinés aux Jeux Olympiques de Munich. Les jeux ne s'arrêtent pas pour autant.
Le 6 octobre 1973, jour de la fête juive de Kippour (période de prière et de jeune), l'Égypte et la Syrie attaquent conjointement Israël (voir : Guerre de Kippour) dans le but de reconquérir les territoires perdus pendant la Guerre des Six Jours. Pendant que les troupes et les hélicoptères égyptiens traversaient le Canal de Suez, l'armée syrienne lança une attaque simultanée sur le Plateau du Golan (Le Plateau du Golan contrôle le Lac de Tibériade et toutes les ressources en eau du nord d'Israël).
L'armée israélienne est mise en difficulté, mais repousse les assaillants en quelques jours grâce à un ravitaillement en munitions, par un pont aérien américain. L'ONU impose un cessez-le-feu le 22 octobre 1973, les combats cessent le 25 octobre [8] (http://www.monde-diplomatique.fr/cartes/procheorient1973). Suite à leur défaite, les pays arabes augmentent le prix du pétrole et cessent leurs exportations vers les pays ayant soutenu Israël, c'est le début du choc pétrolier de 1973.
1973 6-24 octobre: guerre de Yom Kipour - lourdes pertes israéliennes (plus de 2 500 morts, des milliers de blessés).
1975 17 octobre : l'Assemblée générale de l'O.N.U. vote une résolution assimilant le sionisme au racisme. Début de la guerre civile au Liban.
1976 Année record pour l'Alyah en provenance d'URSS. 27 juin - 4 juillet : Opération Entebbe. 47 otages juifs et israéliens, capturés par un commando terroriste à bord d'un avion et fait prisonniers en Ouganda, sont délivrés par un raid de l'Armée de l'Air israélienne.
En novembre 1977, le Président égyptien Anouar el-Sadate met fin à 30 ans d'hostilités avec Israël et prononce un discours à la Knesset dans lequel il propose une paix «juste et durable». En septembre 1978, le Président américain Jimmy Carter invite le Président Sadate et le Premier ministre israélien Menahem Begin à Camp David pour négocier les accords de paix.
1978 Anouar el-Sadate et Menahem Begin reçoivent le Prix Nobel de la Paix.
Le 26 mars 1979, Anouar el-Sadate et Menahem Begin signent les Accords de Camp David [9] (http://www.monde-diplomatique.fr/cahier/proche-orient/campdavid-fr) qui prévoient le retrait israélien du Sinaï et la reconnaissance de l'État d'Israël par l'Égypte. Conformément au traité, Israël se retirera du Sinaï en avril 1982. Nombreuses manifestations d'extrémistes musulmans dans les capitales européennes contre le traité de Paix, notamment à Bruxelles, avec pour slogans « Begin, Sadate, assassins ».
1981 6 octobre : Assassinat du président Sadate par un extrémiste arabe.
1982 Depuis le Liban, des centaines d'obus sont lancés contre Israël, en Galilée. Le 6 juin 1982, Israël déclenche l'opération « Paix en Galilée » et envahit le Liban pour repousser les forces de l'OLP à plus de 40 km de la frontière israélienne. Le 20 juin, les États-Unis obtiennent un cessez-le-feu comportant l'évacuation de l'OLP en Tunisie.
1982 Massacre de Sabra et Chatilla durant la guerre du Liban. Le vendredi 17 septembre, des militaires israéliens positionnés à proximité des camps de réfugiés palestiniens de Sabra et Chatila sont témoins d'actes de brutalité commis par des Phalangistes chrétiens sur des civils palestiniens. Mais, dans l'après-midi, le commandant en chef de Tsahal, le général Eytan, rencontre les officiers phalangistes qui l'informent que l'opération dans les camps est achevée et qu'ils quitteront les lieux le lendemain à cinq heures du matin. Au matin du samedi 18 septembre, les Phalangistes sont toujours dans Sabra et Chatila. Le général israélien Yaron exige alors du chef des Phalangistes chrétiens qu'il retire ses hommes immédiatement. Les Phalangistes obéissent, et les derniers d'entre eux quittent les camps à huit heures du matin. Par haut-parleur, l'armée israélienne appelle les habitants palestiniens des camps à sortir de leurs maisons ; ils sont rassemblés dans un stade voisin, où ils reçoivent à boire et à manger. On découvre alors que les Phalangistes ont tués, outre des combattants palestiniens, des civils en grand nombre. Des employés de la Croix-Rouge et des journalistes arrivent sur place et informent le monde entier. Menahem Begin apprend tout cela le samedi au soir, en écoutant la BBC. Il alerte aussitôt Ariel Sharon et Raphaël Eytan, qui lui disent que les tueries ont cessé et que les Phalangistes ont été expulsés des camps. Mais il est trop tard. Il y aurait eu 900 réfugiés palestiniens tués (3 500 selon le journaliste israélien Kapeliouk). L'ordre des meurtres donné aux phalangistes chrétiens libanais a été donné par le libanais Elie (Elias) Hobeika, chef des services de renseignements des forces libanaises, qui devint ministre au Liban et pro-syrien au parlement libanais, sans avoir été inquiété. Il est assassiné devant son domicile de Beyrouth, le 24 janvier 2002. La presse internationale accuse Israël, avant que Le Figaro, Le Monde et des agences de presse ne se rétractent timidement plusieurs semaines plus tard.
1984 Formation d'un gouvernement d'union nationale pour permettre la résolution de la crise économique et la sortie du Liban. Première opération de sauvetage en masse des Juifs d'Éthiopie : Opération Moïse.
1987 Les Palestiniens déclenchent la première Intifada ou « guerre des pierres », en réponse à l'occupation israélienne en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Ce conflit prendra fin avec les Accords d'Oslo signés à Washington le 13 septembre 1993 par Yitzhak Rabin et Yasser Arafat. Ces accords prévoient la création d'une Autorité Palestinienne et une reconnaissance mutuelle de l'OLP et d'Israël.
1989 Novembre : Chute du Mur de Berlin marquant la fin du Bloc de l'Est, début de l'alyah de masse en provenance d'Union Soviétique et des anciens pays communistes.
1990 Deuxième opération aérienne pour sauver les Juifs d'Éthiopie : Opération Salomon. 2 août: l'Irak annexe le Koweït.
1991 15 janvier : Début de la Première Guerre du Golfe. 30 octobre : Conférence de paix, qui réunit à Madrid, pour la première fois, Israël et les dirigeants des pays arabes. Décembre : Mikhail Gorbatchev annonce la fin de l'Union Soviétique.
1992 Élections législatives en Israël : le Parti Travailliste revient au pouvoir, dirigé par Itzhak Rabin.
1993 13 septembre : signature de la Déclaration de Principes entre Israël et l'O.L.P.
1994 4 mai : Signature de l'accord sur Gaza et Jéricho par Israël et l'O.L.P.. 25 février : 29 fidèles musulmans qui prient au Caveau des Patriarches à Hebron, sont assassinés par le Dr Baroukh Goldstein. 26 octobre : traité de Paix entre Israël et la Jordanie. 12 décembre : Itzhak Rabin, Shimon Peres et Yasser Arafat reçoivent le Prix Nobel de la Paix.
1995 4 novembre: Assassinat du premier ministre Itzhak Rabin par un fanatique juif.
1996 Le Hezbollah envoie des obus sur Israël depuis le Liban sud. Mars : L'opération « Raisins de la colère » lancée contre le Hezbollah au Sud-Liban. 29 Mai : Elections en Israël. Benjamin Netanyahu est élu Premier Ministre.
1997 Janvier : l'Armée israélienne quitte la ville de Hebron qui passe sous autorité palestinienne.
1999 Ehud Barak est élu Premier Ministre.
2000 Septembre, début de la seconde Intifada, Intifada El-Aqsa. Novembre 2000, Ehud Barak approuve un plan de construction d'une « barrière destinée à empêcher le passage de véhicules motorisés » depuis le nord-est de la Cisjordanie jusqu'à la région du Latrun.
Le problème du terrorisme palestinien : Les organisations terroristes les plus actives sont le Hamas, le Hezbollah, les Brigades d'Al Aqsa et le Jihad Islamique qui sont localisés dans la Bande de Gaza et la Judée-Samarie. Les organisations terroristes considèrent les morts civils qui en découlent comme étant des martyrs du jihad islamique. Les organisations terroristes tentent de se procurer des armes interdites par les conventions de Genève. -Voir article (à venir) sur les armes de destruction massive et la disparition croissante d'éléments utilisés dans la construction d'armes nucléaires, bactériologiques ou chimiques-
Le Hamas a créé une infrastructure d’aide sociale, lui faisant gagner ainsi des milliers de supporters. C’est un mouvement politique et terroriste, très répandu et très populaire, à sa tête: Ramadan Abdallah Shalakh. Le Hamas est soutenu financièrement par de nombreuses organisations mondiales, particulièrement en Europe, ainsi que des pays comme l'Iran et la Syrie. Le Jihad Islamique est moins populaire que le Hamas. Il est plus petit, et n’a pas d’activités sociales au programme et aucune aspiration politique. Le Jihad Islamique est très actif à Jénine, Tulkarem et Naplouse (Schrem) en Judée-Samarie. Il travaille en cellule et n’a pas d’infrastructure civile.
2002 14 avril : Suite à la multiplication des attentats terroristes, le gouvernement décide de construire une barrière anti-terroriste à l'intérieur de la Ligne de Séparation, et émit une directive en vue de « commencer immédiatement la construction d'une clôture dans la région de 'Anin... le secteur de Tulkarem et le secteur de Jérusalem ». 14 août : Approbation par le Gouvernement du tracé du Mur, resté secret. Il sera composé en grande partie de barrières électroniques. Novembre : élections primaires (les adhérents d’un parti élisent leur chef) au sein du Likoud et du parti travailliste, en vue des élections de janvier 2003.
2003 Janvier, élections pour la 16e Knesset. Likoud 37 sièges, Travaillistes 19 sièges. Le premier cosmonaute Israëlien, llan RAmon, décède dans la catastrophe de la navette spatiale Colombia.
2004/2005 Plusieurs modifications du tracé du mur de protection anti-terroriste, pour contenter des demandes palestiniennes, européennes et de la haute cour de justice israélienne. 11 novembre 2004 décès de Yasser Arafat, chef de l'OLP (né le 24 août 1929 au Caire en Égypte - mort le 11 novembre 2004 à Clamart en France). Un astronaute israélien rejoint le programme spatial de la Nasa, qui met au point un ambitieux programme de faire atterrir un être humain sur Mars, avec la probabilité qu'Israël participe au programme, d'après l'ambassadeur d'Israël à Washington.
2005 Après la mort de Yasser Arafat, relance du processus de paix par Ariel Sharon et Mahmoud Abbas (Abou Mazen), nouveau président de l'Autorité palestinienne. Ce dernier, élu sur un programme visant à la fin de la violence, établit une trêve avec Israël qui semble respectée par des mouvements terroristes palestiniens, sauf par le Hamas et le Jihad qui s'opposent à Abou Mazen au sein de l'Autorité palestinienne et durant les élections. Ariel Sharon de son côté, œuvre à la décolonisation de Gaza mais se heurte à une opposition au démantèlement des colonies dans son propre parti, le forçant à composer avec la gauche israélienne. Les colonies israéliennes dans les territoires disputés font barrage politique à leur démantèlement et réclament un référendum soutenu par la droite israélienne. Mars : Israël envisage de confier à l'Égypte le contrôle d'une zone tampon à Gaza. « Un accord de principe » sur le déploiement d'une force égyptienne de 750 hommes le long des huit kilomètres de la zone tampon, dite du « couloir de Philadelphie », a été conclu à Charm el-Cheikh en Égypte entre le président égyptien Hosni Moubarak et le ministre israélien de la Défense Shaoul Mofaz.








Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/10/05 22:25 par garfy.
V
3 octobre 2005 23:31
pas mal comme poste , on apprend des tas choses
merci
a
4 octobre 2005 00:14
VOIR LIGNE 10 A PARTIR DU BAS DE TEXTE

comme toujours, Israel traite de mouvements térroristes
les mouvements de libération palestiniens

libérer son pays est devenue térrorisme !
w
4 octobre 2005 03:15
ce juif est tout frais sur notre site, il a la fabuleuse intention de redorer le blason sionniste au depend des RESISTANTS PALESTINIEN

et le terrorisme d etat, quen pense t il? celui pratiqué par son israel cheri?
S
4 octobre 2005 11:59
L'histoire chronologique d'Israel, démarre en 1947 et pas avant, puisque par définition Israel est une création ex-nihilo.
Israel est fondé sur l'expropriation du peuple Palestinien.
Israel est une erreur politique, car les différentes composantes de cette population est un cosmopolitisme qui n'a rien d'une nation et encore moins d'un peuple. On y trouve des polonnais, des russes, des français, des marocains ....
Les hebreux n'ont rien rien à voir avec les juifs actuels.

Cette pseudo-histoire est une pure création, c'est une propagande distillée par le Likoud et par les sionistes.
Israel est une parenthèse dans cette histoire, car jamais un peuple ne peut vivre éternellement sous la domination d'un autre. Les Palestiniens se libéreront tôt ou tard de cette occupation.
Les juifs, pourront retourner et s'intégrer dans leurs pays respectifs.
Je souhaite d'ores et déjà la bienvenue à mes compatriotes juifs marocains, qui ont fui le Maroc, sous des pretextes fallacieux, craignant une éventuelle agression de la part des marocains.
C'est une bêtise, car les juifs vivent encore au Maroc en toute quiétude et ne craignent absolument rien.




Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/10/05 12:51 par Salaheddine.
I
4 octobre 2005 12:43
Garfy tu ne nous convaincra pas de la légitimité de cet etat violent et assassin.
A
4 octobre 2005 12:49
C'EST PLUTOT L'HISTOIRE CHRONOLOGIQUE DE LA PALESTINE, TU CROIT PAS MON FRERE?
I
4 octobre 2005 12:54
"• Vers -1950 avant J.-C.: Abraham et ses tribus font route d'Our vers Harran et

s'installent près d'Hébron"






Elle est bonne celle là,mais elle ne fait pas le ménage!
V
4 octobre 2005 17:37
comment ca se fait que garfy ne réponds pas confused smiley

t'a posté un bon sujet , alors prend la peine de répondre .....


merci d'avvance
D
4 octobre 2005 17:41
C'est quoi Israël ?
Vivre sous occupation, c'est l'humiliation à chaque instant de sa vie ... Résister à l'occupation, c'est vivre libre !Aujourd'hui Gaza, demain Al-Qods !
D
4 octobre 2005 18:01
Salam,



Israel est a son apogée et fait ce que bon lui semble, les palestieniens et le monde voient en direct qu'israel ne veut pas la paix, mais prefere le terrorisme, elle evacue les juifs pour les separer des palestinien pour eviter un brassage des ces populations, et ainsi eviter de tuer ces correligionnaires.
Et en vue des elections legislatives, l'armee sionsite tue tous les candidats du Hamas, veulent ils vraiment la paix, qu'on vienne pas me dire que les israeliens la veulent, c'est faux.

[hr] [b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color] [color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
g
4 octobre 2005 19:59
il faut bien comprendre que chacun voit celà et juge selon sa position.
selon ce qu'on lui adit, semlon ce qu'on luia appris, selon son éducation;

Or il faut que tous nous tendions vers la paix, celà veux dire que , que l'on ait tord ou raison, et il est inutile de dire qui a tord qui a raison, puisque chacun en est intimement convaincu,il faudra accepter le coté opposé comme il est.
Le temps passe vite, dans la vie.

c'est pourquoi, quoi que je dise et quoi que vous dites, il faut la reconnaissance des deux cotés.
c'est la meilleure chose: arretons tous de vouloir avoir raison a tout prix. il faut savoir arreter un conflit.
et pour celà chacun doit accepter l'autre.il faut partager, que l'on se sente oppréssé et innocent là n'est plus la question. que l'on légitimise le terrorisme ou que l'on légitimise la lutte contre le terrorisme, il faut un partage et une acceptation de l'autre , il faut que chacun ait un pays et se sente majoritaire chez lui.
qu'importe qui a eut les grands tords, ca ne sert vraiement a rien de prouver quoi que ce soit.
un peuple n'est pas globalement responsable des fautes de ses péres, non. et ceci dans les deux cotés.

le but de mes messages n'est pas de prouver quoi que ce soit. mon but est de vous montrer a quel point vos certitudes ont comme écho, d'autres certitudes qui sont diametralement opposées.
or nous sommes d'accord sur une chose: l'opposition des points de vue.
et nous devons tous nous rendre compte d'une autre chose: il faut la réconciliation sans reclamer forcément justice. pourquoi? parceque justement chacun pense avoir raison et refusera ses tords.
Donc il faut prendre l'autre ainsi, faire avec.
partager ces terres convoitées, c'est la seule solution.
par exemple un camp dira "terre disputées", et l'autre dira "terres occupées".
il est impossible de vraiment prouver à l'autre qu'il a tord.
c'est pourquoi je le dit: redevenons des freres d'infortune, des freres de larmes, et enterrons les haches de guerre.
acceptons que l'autre ait droit a une terre, meme si l'on est certain que celà soit injuste et inadmissible.
mes messages vous montrent a quel point les certitudes sont fortes, et resterons comme celà. vos réponses prouvent la meme chose.
Donc il faut passer par dessus tout celà, et faire la paix MALGRE TOUT.
La guerre doit cesser, et il faut s'opposer partout a ceux qui cherchent a agir avec la force au lieu de discuter.
Salam.
je ne vois en vous que des etres humains.
on a vraiment autre chose a faire que la guerre. A vous d'éduquer la jeunesse pour la paix.
nous faisons ainsi.
Il faut apprendre aux enfants a tenir la main de l'autre et à jouer ensemble.
Le futur des peuples, c'est l'enfance; il faut la proteger, et aimer nos familles comme nos voisins, et quelque soit notre facon de croire ou de ne pas croire, nous sommes là pour vivre tranquilles.
Acceptons tous deux états indépendants, voisins, religieusement majoritaires.
Enlevons nous tous ces épines du pied.
CULTIVONS noptre jardin.
Je souhaite visiter un jour la palestine, et que vous soyez tous bienvenue pour visiter israel un jour.
Gardez ces messages dans votre mémoire.
Bonnes fetes du ramadan.






g
4 octobre 2005 20:11
juste rajouter que la chronologie viens d'encyclopédies certifiées, qui se confirment toutes, que les documents cités viennent des archives de l'ONU ou des journaux ou livres arabes, qui ne sont pas écrits ni par des juifs ni par le likoud ni des organisations sionistes.
Je peux , moi aussi donner ma définition du sionisme, qui ne sera pas la meme que la votre, que vous pourez appeler comme il vous plaira, apartheid ou autre !.


c'est une idéologie philosophique et pacifiste, visant a la libération du juif opprimé par le retour sur ses terres d'ou il a été mis en esclavage, en paix et amitié avec ses voisins. c'est un mouvements à base socialiste proche du communisme communautaire.
le sionisme a lutté contre l'impérialisme ottoman, brittanique puis soviétique.

Enfin surtout, ne confondez pas sionisme et nationalisme.
Il ya le sionisme pacifique comme le nationalisme exacérbé.


Comme vous le constatez, la culture est différente selon les contrées ou l'on vit.
Accpter la culture de l'autre dans toute sa diversitée est, j'en suis sur, trés difficile.
Manger a la meme table serais un bon début.




I
4 octobre 2005 20:18
Le sionisme est bien condamné par l onu?
g
4 octobre 2005 20:58
iron man, je pense que la dénonciation du sionisme est une erreur politique, ceci n'a pas avoir lieu que grace a une majorité de pays opposés à isarel au sein de l'onu. pesne que des gens voulant survivre et be pas mourir ont pris le sionisme pour survivre, ce qui est l'autre point de vue de l'histoire par rapport à la catastrophe.

Tout d'abord, l'ONu et ce vore ont complétemnt mélangés l'idéologie sioniste, qui est une philosophie de liberté, au nationalisme et a un gouvernement ayant mal agis anvers un peuple.
par exmple, prend les staliniens, qui ont mal utilisé le communisme.
c'est un trés bob exemple: oin peux prendre une idéologie qui est bonne, et la defomrmer pour l'utiloiser a des fins politiques.
dieu seul sait combien de bonnes idées ont été mal utilisées de part le monde.
or on condamne le stalinisme, alors que le communsiema été trés libérateur de certains peuples, tout comme ila a été mal utilisé ailleurs..
aucun coourant d'idées n'a pas eu son paroxisme et ses déviations malsaines.
le sionism reste l'espior pour des millions de gens; des sionistes soutiennent le peuple palestinien,sache le.
l'amalgame politique est négatif. relativise ce que tu crois savoir.


ensuite, l'ONu ce n'est pas le bon dieu, c'est une entité politique avec d=ses magouilles, ses crises, ses détournements de fond, ses partisants et ses clans.
on ne peux pas sacraliser ce qui n'est qu'une organisation politique, qui peux aussi faire des erreurs.
e gros, une majorité n'a pas forcément raison par rapport à une minorité.
un cote d'ivoirien verra trés mal, par exemple, l'impérialisme francais en afrique, actuellement.
il serait minoritaire a avoir ce point de vue, masi n'aurais pas forcément tord.


a
4 octobre 2005 22:54
Salaheddine a écrit:
-------------------------------------------------------
> L'histoire chronologique d'Israel, démarre en 1947
> et pas avant,

PRECISION :

je crois que c'est 1948
a
4 octobre 2005 23:01
garfy a écrit:
-------------------------------------------------------
> il faut bien comprendre que chacun voit celà et
> juge selon sa position.
> selon ce ....................................................
...............................................
.........
......................................
> Gardez ces messages dans votre mémoire.
> Bonnes fetes du ramadan.



reponse :

tu as dit Bonnes fetes du ramadan

AU DEBUT DU MOIS DE RAMADAN on dit : BON RAMADAN
ET ON DIT VERS LA FIN DU MOIS DE RAMADAN : BONNES FETES

t'es pas musulman, t'es juif ?

moi, je l'ai senti
a
4 octobre 2005 23:18
garfy a écrit:
-------------------------------------------------------
> ma définition du sionisme, qui ne sera pas la meme
>que la votre, que vous pourez appeler comme il vous plaira,
> apartheid ou autre !. > c'est une idéologie philosophique
>et pacifiste,


TU DIS LE SIONISME EST PACIFISTE
TU N'AS PAS LA TELE CHEZ TOI ?
QUI A TUE LES DIZAINES DE MILLIERS DE PALESTINIENS
LES E.T. ?

> Accpter la culture de l'autre dans toute sa
> diversitée est, j'en suis sur, trés difficile.
LE SIONISME N'ACCEPTE NI PALESTINIENS NI LEURS CULTURE
IL SE SEPARE DES AUTRES PAR UN MUR

> Manger a la meme table serais un bon début
LES SIONISTES NE MANGENT QUE CACHER
MANGER A LA MEME TABLE LEURS EST IMPOSSIBLE.

B
4 octobre 2005 23:18
garfy j´ai bien lu ton histoire chronologique. Mais il y beaucoup d´hombre voir des trou d´histoire:
1. les massacres commis par les extremistes juifs contre les philistins. Dans les années 40 et 50: diryassine entre autre
2. L´exode forcés des vrais habitants de la palestine qui etaient obligé a ceder la place au "colons blancs"
3. les massacres au libans Sabra et chatila: nous avons une autre version des choses mais bon...Je pense que personne ne tiens la verité absolu
4. la periode de domination arabe (omar) et qui a duré 400 ans a ete reduite en une phrase. Et pourtant c´etait unen phase ou musulmans chretiens et juifs vivaient en paix.
5. Jerusalem l´evacuation forcé de musulmans
6. Le mur de la honte construit par un ex criminel de guerre
7. Jenine un vrai carnage avec la benediction des amerlocs: F16 contre lance pierre
.....
pour ne citer que ces points. Bref ton histoire a ete ecrit par des sionistes qui essaie de montrer au monde qu´ils sont des gens gentils, alors qu´en verité, ils ont profités de la naiveté du monde arabe apres la deuxiemes guerre mondial.
a
5 octobre 2005 00:27
garfy a dit :


Or il faut que tous nous tendions vers la paix, celà veux dire que , que l'on ait tord ou raison, et il est inutile de dire qui a tord qui a raison, puisque chacun en est intimement convaincu,il faudra accepter le coté opposé comme il est.
Le temps passe vite, dans la vie.


d'abod ,la liberation des territoires paléstiniens ,jusqu'à la frontière 1947,liberation de tous les prisonniers paléstiniens sans exception,jugement de tous les responsables de crimes anti-paléstiniens.et tu verras la paix viendra toute seule .
tu vas me dire que tous ça c'est impossible, je te répondrai que la paix sera aussiimpossible .