Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Le Hamas ne veut pas que la Palestine soit reconnue
U
19 septembre 2011 07:23
Ils viennent même d'apporter sur un plateau de bonnes raisons pour justifier un refus et donner raison à Israël:

L'ONU ne va jamais accepter d'intégrer un pays dont le but est a priori de faire la guerre.

[www.lorientlejour.com]

Le Hamas vient de démontrer qu'il ne veut pas la paix et de condamner les Palestiniens à ne pas avoir d'État pendant au moins deux décennies de plus.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
c
19 septembre 2011 07:40
je crois que ton titre est faux. le hamas est surtout en concurence avec le fatah. d'ou sa strategie et ses déclarations. dans les faits, le hamas a été garant de la paix, empêchant des groupes extrémistes de balancer des rockettes en israel et en refusant de jouer le jeu de bachar el assad voulant enflammer les frontières israéliennes cet été pour faire oublier la sanglante repression en syrie. et du coup, israel a débloqué les crédits.

Le Hamas mise sur l'échec de la démarche palestinienne à l'ONU

Publié le 18.09.2011, 17h38
Facebook Twitter Envoyer
Le Hamas parie sur un échec du projet du président Mahmoud Abbas d'obtenir à l'ONU un Etat de Palestine mais sans s'y opposer frontalement, pour le moment, afin de ne pas rouvrir un conflit interpalestinien impopulaire, selon des experts.
Le Hamas parie sur un échec du projet du président Mahmoud Abbas d'obtenir à l'ONU un Etat de Palestine mais sans s'y opposer frontalement, pour le moment, afin de ne pas rouvrir un conflit interpalestinien impopulaire, selon des experts. | Mahmud Hams

Le Hamas parie sur un échec du projet du président Mahmoud Abbas d'obtenir à l'ONU un Etat de Palestine mais sans s'y opposer frontalement, pour le moment, afin de ne pas rouvrir un conflit interpalestinien impopulaire, selon des experts.
"Si Abou Mazen (Mahmoud Abbas, NDLR) échoue, le Hamas sera plus fort que jamais car c'est la dernière carte d'Abou Mazen et cela mettra fin au projet des négociations au profit de celui du Hamas", estime l'analyste politique Akram Atallah.


"Le Hamas mise sur l'échec d'Abou Mazen à l'ONU parce qu'il le comptabilisera comme un point positif pour lui et qu'il a intérêt à hâter la fin de son pouvoir", confirme Moukhaïmer Abou Saada, professeur de science politique à l'Université Al-Azhar de Gaza.
Le mouvement islamiste, qui a saisi le pouvoir dans la bande de Gaza en chassant en juin 2007 les forces du Fatah, le parti du président Abbas, accuse ce dernier d'avoir agi sans concertation.
"Il aurait dû y avoir d'abord un consensus sur une stratégie nationale unifiée plutôt qu'une décision solitaire", a déclaré à l'AFP un dirigeant du Hamas, Ismaïl Radwane, faisant allusion aux craintes que l'avènement d'un Etat ne mette en péril les droits des réfugiés hors des Territoires palestiniens.
Le président Abbas a l'intention de présenter le 23 septembre une demande d'adhésion d'un Etat de Palestine à l'ONU sur les frontières du 4 juin 1967, c'est-à-dire la Cisjordanie, la bande de Gaza et Jérusalem-Est.
Mais le Premier ministre du Hamas à Gaza, Ismaïl Haniyeh, a réitéré dimanche le rejet par son mouvement de l'initiative de Mahmoud Abbas.
M. Haniyeh a estimé qu'"aucun acteur palestinien n'a de mandat pour faire des concessions historiques sur le territoire palestinien ou les droits des Palestiniens, en particulier le droit au retour", une allusion aux réfugiés.
Toutefois, le Hamas --au sein duquel s'expriment des opinions différentes même si une seule décision prévaut-- se ménage encore une marge de manoeuvre au cas où la demande à l'ONU aboutirait à des progrès pour les Palestiniens, afin de ne pas heurter de front les aspirations d'une partie de l'opinion.
Un succès à l'ONU "influencera positivement le Hamas qui s'oriente vers la modération cette année et le rendra plus souple en fonction de la situation", juge Talal Okal, un analyste basé à Gaza, .
"Si Abou Mazen obtient un Etat, cet Etat sera gouverné par le système politique palestinien, dont le Hamas fait partie, ce qui représente un gain politique pour le Hamas et sa légitimité après la réconciliation", approuve Akram Atallah.
Le Hamas et le Fatah ont conclu un accord de "réconciliation" le 27 avril au Caire mais ce pacte est aujourd'hui au "réfrigérateur", selon le vice-ministre des Affaires étrangères du Hamas, Ghazi Hamad, en raison notamment de divergences sur la formation d'un nouveau gouvernement palestinien.
"Nous ne parviendrons pas à l'indépendance sans la réconciliation", arguait récemment M. Hamad, un modéré du Hamas, dans un entretien avec l'AFP.
Il est certain, selon les commentateurs, que la démarche onusienne représente un danger pour le Hamas car une victoire du président Abbas renforcerait sa position dans l'opinion palestinienne et isolerait un peu plus le mouvement islamiste sur la scène internationale.
"Il s'agirait d'un revers pour le Hamas dans la mesure où le projet de l'Autorité apparaîtrait comme porteur de meilleurs résultats que le sien: un Etat et la reconnaissance internationale dans un cas, le blocus (israélien, NDLR) dans l'autre", explique Akram Atallah.

[www.leparisien.fr]
U
19 septembre 2011 08:17
Je me base sur qui suit. (dans l'intervalle, le lien précédent, peut-être erroné ne conduit plus nulle part)

Posé comme le Hamas le pose, il n'y aura jamais aucun État palestinien reconnu internationalement.


Le Hamas veut un Etat palestinien sur toute la Palestine, Israël inclus

Le mouvement islamiste Hamas veut que l'ONU reconnaisse un Etat palestinien sur toute la Palestine. Ce qui signifie que le territoire de l'Etat d'Israël y serait inclus.



ATS | 18.09.2011 | 17:41

Le mouvement islamiste Hamas souhaite que l’ONU reconnaisse un Etat palestinien sur «la totalité de la Palestine», le territoire de l’Etat d’Israël inclus. Le Quartette doit se réunir aujourd'hui à New York pour une dernière tentative de relancer les négociations de paix avant la demande de la Palestine.

Le président palestinien Mahmoud Abbas, du parti rival Fatah, a l’intention de présenter le 23 septembre une demande d’adhésion d’un Etat de la Palestine à l’ONU sur les frontières du 4 juin 1967, soit la Cisjordanie, la bande de Gaza et Jérusalem-Est.

Le dirigeant du Hamas, Khalil al-Hayya, a affirmé que cette revendication n’était pas suffisante, lors d’une réunion de parlementaires palestiniens à Gaza, territoire contrôlé par le mouvement islamiste.

Il a appelé à «demander une reconnaissance d’un Etat palestinien sur tout le territoire de la Palestine et la confirmation du droit des Palestiniens à vivre à l’intérieur des frontières de cet Etat».

Du Jourdain à la mer Méditerranée

Le Hamas considère comme «Palestine historique» le territoire de la Palestine sous mandat britannique (1920-1948), avant la création de l’Etat hébreu, s’étendant du Jourdain à la mer Méditerranée.

Lançant une pique à Mahmoud Abbas, le Premier ministre du Hamas à Gaza, Ismaïl Haniyeh a déclaré qu’»aucune Autorité palestinienne n’a de mandat pour réduire les droits nationaux des Palestiniens».

«Nous demandons aux Nations unies d’invalider l’entité qui a pris la décision de s’établir sur la terre d’un autre», a dit M. Hayya, en faisant référence à Israël, lors de cette réunion à laquelle assistait le Premier ministre du Hamas à Gaza, M. Haniyeh.

Le Hamas, qui a chassé le Fatah du pouvoir à Gaza en 2007, a critiqué ces derniers jours la démarche du président Abbas à l’ONU, estimant qu’elle «comportait de grands risques». «Elle peut constituer une violation des droits nationaux tels que le droit au retour, notre droit à la résistance et à l’autodétermination», a déclaré Sami Abou Zouhri un porte-parole du Hamas à Gaza.

Réunion de la dernière chance

L’initiative de Mahmoud Abbas, à laquelle sont fermement opposés Israël et son allié américain, risque de provoquer de vives tensions diplomatiques dans les chancelleries. Israéliens et Américains estiment que cette demande nuira aux efforts de paix. Ils font valoir qu’un Etat ne peut voir le jour qu’à la suite d’un règlement entre les deux parties en conflit.

La diplomatie s’active en espérant relancer à la dernière minute les négociations de paix. Les représentants du Quartette (Union européenne, Etats-Unis, Russie et Nations unies) doivent se retrouver aujourd'hui à New York pour tenter d’éviter une épreuve de force cette semaine à l’ONU.
Les Vingt-Sept n’ont pas arrêté pour l’heure de position commune à ce sujet et risquent de voter à l’ONU en ordre dispersé entre le «oui», le «non», voire l’abstention. «Les jours à venir seront cruciaux», a déclaré la porte-parole de Catherine Ashton, la responsable de la diplomatie européenne.

Du côté palestinien, on se montre sceptique. «Je ne pense pas qu’il y ait une chance pour le Quartette de changer de position» lors de sa réunion, a ajouté le négociateur Nabil Chaath, membre de la délégation palestinienne à l’ONU, lors d’une conférence de presse.

Les chrétiens prient

Les chrétiens palestiniens ont prié pour un Etat de Palestine à l’ONU lors des messes dominicales dans les Territoires, ceci à l’appel de représentants des Eglises de Terre sainte.

L’ancien patriarche latin de Jérusalem, Mgr Michel Sabbah, le premier Palestinien à avoir été nommé à cette fonction (1987-2008), a prononcé une homélie dans l’église catholique de Naplouse (nord de la Cisjordanie), tandis que des politiciens et notables palestiniens assistaient à des messes dans les paroisses de Cisjordanie, selon des sources palestiniennes.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
w
19 septembre 2011 10:05
Salam

Oui le Hamas ne veut pas que la Palestine soit reconnu comme un état croupion.
Cela ce comprend aisément.
Qui dans le monde pourrait accepter telle situation qui ?




Ségolène Royal, ou la "sionisation" des esprits des socialistes.


Dimanche, Ségolène R. était interviewée sur une radio juive. Elle s'est déclarée opposée à l'indépendance unilatérale des Palestiniens. Il faut négocier et arriver à un compromis entre l'exigence d'un état palestinien et la "sécurité d'Israël".
5e puissance nucléaire et 4e exportateur mondial d'armements, le régime sioniste a besoin d'assurer sa "sécurité". Pour les non-initiés, cette exigence, martelée par l'establishment sioniste, Sarko, Obama, Fabius et les autres, signifie que les frontières du futur état (croupion) palestinien seront surveillées par les forces sionistes. Des fois qu'un terroriste s'introduirait en Palestine.
Par ailleurs, Royal a réalisé l'exploit pendant toute l'interview sur le conflit de ne jamais prononcer les mots "occupation" ou colonisation"
Qu'est-ce que vous dites? Was ist das?

Source: ==> [jacobdemeknes.blogspot.com]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/09/11 10:20 par wakrim.
w
19 septembre 2011 10:25
Salam

UNE PALESTINE... JUDENREIN ?


Les sionistes vivent un moment difficile, et le monde se TAIT ! Où sont Merkel, Sarkozy, Obama, Lanzmann.... ?
Un crime historique va être commis sous nos yeux, équivalent à la Shoa. C'est Lieberman qui nous l'annonce, ce grand démocrate expert en transfert de populations.
Imaginez! Les Palestiniens, ces bougnoules de 3e catégorie, projettent de chasser les colons sionistes des terres que ces derniers ont accaparées, les rendre "Judenfrei", des terres promises par l'Eternel au peuple juif, sur le futur état croupion que les sionistes, dans leur grande générosité, leur accorderont dans quelques années, sur 50% de la Cisjordanie, si les Palestiniens se montrent obéissants et baisent la main de leur maître sioniste.
Comment faire une VRAIE PAIX avec des énergumènes pareils? Pauvres sionistes!

Source: ==> [jacobdemeknes.blogspot.com]
w
19 septembre 2011 10:29
Salam

Les sionistes degainent la phraséologie nazie... contre les (pauvres) Palestiniens!
On connaît l'amalgame entre antisionisme et antisémitisme pour terrifier les critiques de la politique sioniste.
On connaît aussi l'utilisation des termes autour de la Shoa pour faire avaler les menaces de "génocide" sur Israël, puissance nucléaire.
On se rappelle des comparaisons abusives de dirigeants arabes qualifiés de "Hitler", comme Nasser et Arafat.
Et voilà qu'on ressort un terme utilisé par les nazis pour "purifier" l'Europe de ses juifs: JUDENREIN, "pure de toute présence juive.
Et pourquoi? Parce que les palestiniens veulent récupérer la Cisjordanie en chassant les colons sionistes qui se sont installés à l'ombre des tanks et des hélicoptères, en détruisant et en assassinant et en expulsant.
Le sang de Lieberman n'a fait qu'un tour. Il a ordonné de déposer une plainte officielle à l’ONU à propos de la déclaration palestinienne en comparant les propos du Palestinien à ceux d’Hitler exigeant une Allemagne Judenrein.

Si les sionistes croient que le monde va verser une larme. On est vaccinés.
c
19 septembre 2011 10:41
s'il n'y avait de sombres cons soit disant antisionistes pour reprendre tout les mythes antisemites des nazis, il n'y aurait pas cette suspicion permanent.
w
19 septembre 2011 10:47
Citation
coldman a écrit:
s'il n'y avait de sombres cons soit disant antisionistes pour reprendre tout les mythes antisemites des nazis, il n'y aurait pas cette suspicion permanent.

Salam

Quand le chien entend sioniste, il aboie grinning smiley
w
19 septembre 2011 10:53
 
Facebook